Les Débordements De La Mer D'Aral - Hydrologie

3y ago
38 Views
2 Downloads
8.33 MB
446 Pages
Last View : 2d ago
Last Download : 3m ago
Upload by : Olive Grimm
Transcription

Université Paris-EstÉcole doctorale Ville, Transport et TerritoireLaboratoire techniques, territoire et sociétés (LATTS)Doctorat de sociologieLes débordements de la mer d’AralQu’apporte la sociologie de l’acteur-réseau à la sociologie dudéveloppement ?Raphaël JozanThèse dirigée par Bernard Barraqué, directeur de recherche au CNRSSoutenue le 2 décembre 2010Jury :Bernard Chavance, professeur d’économie de l’université de Paris 7 (président)Bernard Barraqué, directeur de recherche au CNRS (directeur)François Molle, directeur de recherche à l’IRD (rapporteur)Catherine Poujol, professeur à l’Inalco (rapporteur)Alain Desrosières, administrateur de l’INSEEPierre Jacquet, professeur d’économie à l’École nationale des ponts et chaussées

ii

i

SommaireSOMMAIRE . IIREMERCIEMENTS.IVINTRODUCTION GENERALE. 6Chap. 1 – « Guerre de l’eau » et coopération internationale en Asie centrale (1991-2010) . 35Chap. 2 – Dans les laboratoires de l’expertise. 94Chap. 3 – De l’introduction du coton à l’émergence d’un imaginaire hydraulique (1850-1916) . 130Chap. 4 – Le coton, l’hydraulique et le calcul pendant la période soviétique (1917-1990) . 172Chap. 5 – Résilience de la vallée de Ferghana (1991-2010). 224CONCLUSION GENERALE. 285ANNEXES. 293BIBLIOGRAPHIE . 422ii

iii

RemerciementsCette thèse est l’aboutissement d’un travail rendu possible grâce aux investissements detoute une série de personnes et de collectifs, que je tiens tout particulièrement à remercierici.Michel Malere (Agromillenium), Richard Leroi (Dagris), Rémi Dor et Bayram Balci(Institut français d’étude de l’Asie centrale), John Baxter et Iqbol Nazarov (WinrockInternational Institute) m’ont accueilli en Asie centrale et m’ont permis de réaliser lesindispensables enquêtes de terrain au sein de la vallée de Ferghana. Johann Gely et BakytMakhmutov (SDC), Anatoly Krutov, Alexander Platonov (IWMI) m’ont égalementintroduit aux problématiques générales de la gestion de l’eau en Asie centrale et mettant àme disposition les nombreux rapports internationaux. Je suis en particulier très redevableenvers les administrateurs et les agriculteurs de la vallée de Ferghana, de Tachkent, deBichkek et de Douchanbé qui ont répondu à mes questions et m’ont appris à connaîtreleurs pratiques.Je tiens en particulier à remercier les étudiants ou jeunes consultants qui m’ontaccompagné au cours de mes travaux de recherche et m’ont épaulé dans la réalisation desenquêtes et la compréhension des systèmes agraires de la vallée de Ferghana. CharlesBaubion et Rémi Laurenson (ENGREF), Marie Panarin, Samuel Martin, Romain Florentet Olivier Munos (INA P-G), Mélanie Audois et Jérémy Salinier (CNEARC). Je remercieégalement tous mes amis d’Asie centrale et plus particulièrement Sobir, Faroukh, Alexis,Élise, Goulia, Kiril, Oumid, Sobiraka, Lylia, Jyparysa, Mukhabat, Ulugbek et la familleMalère.Bernard Barraqué a suivi et dirigé cette thèse avec un intérêt bienveillant, me laissant unegrande liberté pour pousser la problématique vers d’autres horizons que ceux prévusinitialement. Il m’a accueilli au sein du LATTS, laboratoire où j’ai pu toujours éveillerma curiosité intellectuelle, encadré par un collectif exigent et multidisciplinaire. Jeremercie en particulier Olivier Coutard, Jean-Marc Weller, Ashveen Peerbaye,Kostantinos Chatzis, Gilles Jeannot, Marie d’Arcimoles, François-Matthieu Poupeau,David Guéranger, Nicole May, Jean-Marc Offner et Sylvy Jaglin, qui ont largementcontribué à l’avancée de mon travail par les lectures qu’ils ont fait de mes écrits, au coursdes séminaires et des minisoutenances. Je remercie tout particulièrement Robin Foot.Accompagné de Vincent Guiguenot et de Jean-Marc Weller, m’a introduit à la sociologiede l’acteur-réseau et aux travaux de Timothy Mitchell. Un grand merci à mes collèguesdoctorants, Antoine, Sarah, Éric, Fionn, Mathilde, Jian, Stéphanie, Fionn, Lionel,Aubépine, Louise, Laura, Géry, Catharina, Sabrina, Laura, Aurélie et Vanessa. Enfin, univ

chaleureux remerciement à toute l’équipe administrative, et plus particulièrement ValérieBocquillon, Catherine Quettier, et Christine Dujardin.Une fois à l’Agence française de développement (AFD), Pierre Jacquet et Jean-BernardVéron ont pris le relais. Regards sur la Terre et Afrique contemporaine ont largementcontribué à la poursuite de mon travail scientifique. Merci à Nicolas Courtin.Cette thèse n’aurait pu être possible sans Claude Millier, directeur scientifique del’ENGREF au cours de mes études au sein de cette même école. Sa confiance a étédéterminante dans le choix d’une approche interdisciplinaire. Avec Jacques Weber etThierry Rieu, il m’a accompagné dans le projet de Formation complémentaire par larecherche du Corps des ingénieurs du GREF, grâce auquel cette thèse a pu être en grandepartie financée. Je dois également beaucoup à l’UMR G-Eau, qui ont contribué à maformation, et notamment Sara Fernandez, Gabrielle Bouleau, Olivier Barreteau, AudreyRichard-Ferroudji, Julien Trottier, Sami Bouarfa et Nils Ferrand.L’écriture de cette thèse a été une aventure. Elle a bénéficié d’une encourageante énergied’amitié qui m’a entourée tout le long. Je tiens à remercier du plus profond du cœurAnnick Kayitesi, Antonin Vergez, Corentin Mercier, Cyaka Murenzi, Hugo Tateossian,Jean-Philippe Daulaud, Jonathan Chatel, Jozan’s family, Marie d’Arcimoles, PierreHenry Gomont, Raphaël Glucksmann et Sophie Vincent.v

Introduction généraleRaphaël Jozan – « Les débordements de la mer d’Aral »6

Raphaël Jozan – « Les débordements de la mer d’Aral »7

État délinquant ou modèle erroné ?Depuis 1991, articles de presses, rapports d’expertise et articles scientifiques brandissentla menace d’une « guerre de l’eau » sur l’Asie centrale. Des indicateurs et des modèleshydroéconomiques viennent démontrer que la situation est critique, voire explosive, pourle partage de la ressource d’eau du bassin versant de la mer d’Aral entre cinq anciennesrépubliques soviétiques. À lire les publications, on comprend que l’implosion de l’URSSrisque de chambouler la gestion et les usages de l’eau, dont on dit qu’elle est « laressource rare d’une région extrêmement aride ». On lit que les prélèvements étaientcoordonnés jusqu’en 1991 par le pouvoir du Kremlin, à travers le Gosplan, pourmaximiser la production irriguée de coton. Mais depuis l’affirmation des frontièresrépublicaines, le système ne serait plus coordonné, chaque pays du bassin de la merd’Aral souhaitant s’approprier le « maximum » de ressources pour ses usages propres,incompatibles avec ceux de ses voisins. La situation est particulièrement problématiquecar la plupart des usages, majoritairement agricoles, sont réalisés dans les républiques« de l’aval, pauvres en eau » – l’Ouzbékistan, le Kazakhstan ou le Turkménistan – et« extrêmement dépendantes de pays amont » – le Kirghizstan ou le Tadjikistan – quimaîtrisent les plus gros barrages de la région. Ces barrages sont au cœur de laproblématique, car les pays amont souhaiteraient orienter les lâchers pendant la périodehivernale pour produire de l’électricité. Cette stratégie est considérée incompatible avecl’irrigation estivale des pays de l’aval. Ceci pourrait faire basculer la région dans unconflit 1 .La « guerre de l’eau » centrasiatique est d’autant plus intéressante qu’elle mobilise de trèsnombreux experts internationaux, commandités par des organisations de l’Aide pourépauler les républiques centrasiatiques vers une solution « rationnelle et équitable » aupartage de l’eau. Plusieurs modèles hydro-économiques sont développés et démontrenttous l’existence d’un même point d’équilibre au problème et se traduit par l’orientation dela gestion des barrages vers un régime favorisant l’irrigation estivale, moyennant des1. Cette thèse sera analysée et critiquée dans le premier chapitre de la thèse. Sa forme la plusradicale s’exprime dans le Big Brother Syndrom selon lequel Staline aurait délibérément créé desrépubliques cotonnières pauvres en eau et des républiques riches en eau dans une politique du« diviser pour mieux régner ». La guerre de l’eau serait inscrite dans le projet stalinien deconstruire un système hydraulique ingérable sans l’intervention d’un despote hydraulique.Logiquement, en l’absence du « grand frère » qui décidait de tout, les petites sœurs ne pourraientfaire autrement que se « chamailler pour le trésor familial » (Abdulaev, Manthrithilake etKazbekov, 2006).Raphaël Jozan – « Les débordements de la mer d’Aral »8

échanges énergétiques entre « pays aval » et « pays amont ». Sur les bases du pointd’équilibre des modèles, un accord régional promu par les organisations internationalesest signé en 1998 par les républiques du bassin versant. Mais, paradoxalement, jamais letraité n’a pu se stabiliser dans la durée. L’Ouzbékistan, pourtant dessiné comme un pays« extrêmement dépendant » des lâchers du Kirghizstan se détourne du traité, alors qu’ilest celui qui consomme le plus d’eau dans le bassin, notamment pour la culture de coton,qu’il continue à irriguer selon des procédures héritées de la période soviétique. Malgré laproduction de nouveaux modèles hydro-économiques construits sur des méthodes decalculs toujours plus élaborées pour démontrer la « non-validité » (Banque mondiale,2004) de l’attitude ouzbek, la coopération internationale n’arrivera jamais à faireconformer l’attitude du pays avec celle préconisée par les modèles.Comment expliquer cette situation incongrue et paradoxale ? La thèse généralementadmise, comme nous l’étudierons dans le premier chapitre, est inscrite dans les résultatsdes modèles eux-mêmes. Elle consiste à reconnaître que ces derniers sont rationnels etque les républiques ont effectivement intérêt à les suivre. Selon cette thèse, lesrépubliques, et plus particulièrement l’Ouzbékistan, suivent une attitude déviante etanormale, voire même irrationnelle. Le modèle correspond en effet à « ce à quoi il faut seréférer », « ce qui est destiné à être reproduit » 2 . Outils scientifiques de quantificationsophistiqués, les modèles viennent légitimer la rationalité du chemin prescrit. Les calculssont sophistiqués. Grâce à leur approche « intégrée », les modèles hydro-économiquesseraient capables de prendre en considération l’ensemble du territoire. Non pas seulementles écoulements d’eau, mais également les économies nationales, les règles defonctionnement des barrages, les usages de la ressource en eau des différents acteurs (iciles républiques). La puissance des modèles permettrait de déplacer sur une mêmeplateforme des données physiques, politiques, institutionnelles et économiques duterritoire. Par leur puissance de calcul, les modèles offriraient la possibilité d’explorer2. Cette signification reprend celle du terme italien modello, arrivé dans notre langue à l’époque oùl’Italie règne sur les arts, utilisé pour désigner la personne qui pose dans l’atelier du peintre ou lamaquette d’un élément architectural à réaliser. Sur les différentes acceptions de la notion demodèle, on pourra se référer aux travaux de Nicolas Bouleau et notamment (Bouleau, 1999), sur la« qualité et la pragmatique des modèles ».Raphaël Jozan – « Les débordements de la mer d’Aral »9

l’ensemble des possibles, de les comparer et de déterminer la solution optimale àprescrire 3 .Les modèles placent les organisations de l’Aide en surplomb, en leur donnant les moyensde proposer une solution rationnelle aux républiques centrasiatiques, comme l’ingénieursavant de l’époque des lumières, tel qu’il est fréquemment présenté, répandait la sciencecontre les superstitions. Cette conception prescriptive de l’Aide a été très généralementsuivie à l’implosion de l’URSS par les organisations internationales, activementimpliquées pour guider les anciennes républiques socialistes vers l’économie de marché.À l’implosion de l’URSS, elles ont largement proposé leur expertise pour éclairer desRépubliques dont le développement économique avait été dévoyé pendant soixante-dixans de socialisme et qu’il fallait nécessairement remettre sur le chemin capable pourrépondre aux exigences du développement, de la croissance, du progrès, de la paix, quatreconcepts considérés synonymes dans cette conception du développement largementcritiquée dès les années 1970, mais qui retrouve ses lettres de noblesse avec l’implosionde l’URSS 4 .L’Aide a largement fait appel aux chercheurs académiques et experts pour dresser sesprescriptions au sein des territoires anciennement socialistes, nouvel espaced’expérimentation de l’expertise internationale. Ces travaux ont conduit à la naissanced’un nouveau champ disciplinaire, Economics of Transition (l’économie de la transition),développé dans la lignée des théories standards 5 . Selon cette approche, le changementdoit se réaliser le plus rapidement, par « thérapie de choc », vers la situation d’équilibrefinal, l’économie de marché. Celle-ci détermine la voie la plus courte depuis l’économiesocialiste inefficace, point de départ supposé unique de toutes les économies nationales de3. Les modèles et leur mobilisation dans l’espace politique de la coopération internationale sontprésentés dans le chapitre 1 de la thèse. Avec les progrès de la science, la modélisation devientmême un outil d’optimisation – la plateforme GAMS – qui permet de trouver l’optimum hydroéconomique, quand les autres outils de calculs utilisés au début des années 1990 – par exemple laplateforme WEAP – permettent seulement de construire des scénarios dont les résultats sontensuite comparés.4. La notion de « développement » a souvent été mise en relation, voire confondue avec celle demodernisation. Dans une telle perspective, les sociétés traditionnelles se transforment en sociétésmodernes caractérisées par une technologie de pointe, une prospérité matérielle (Rostow, 1960).5. La transition économique est pensée selon le raisonnement suivant : la stabilisation monétairedoit être assurée pour éliminer les effets pervers de l’inflation, la privatisation permettra de créerl’incitation des agents économiques, et la libéralisation laissera au marché la possibilité d’opérer lanécessaire « destruction créatrice » des industries et des entreprises léguées par le systèmesocialiste (Chavance, 2004).Raphaël Jozan – « Les débordements de la mer d’Aral »10

l’ensemble des républiques anciennement socialistes. De fait, la marche vers l’économiede marche devait suivre des politiques construites sur les mêmes principes, sansexception 6 , construits sur le Consensus de Washington.Les modèles économiques quantitatifs ont été largement mobilisés dans cette démarche,notamment par l’apparition concomitante d’outils informatiques toujours plus puissants,qui permettaient de faire sauter un verrou technologique dans l’intégration de donnéesparticulièrement nombreuses et hétérogènes nécessaires à la modélisation des économiesnationales. Les modélisations offraient également un outil particulièrement cohérent avecl’économie de la transition, en proposant une méthode clé en main capable de définirprécisément et rationnellement la nature du point d’arrivée : un équilibre fondé non plussur des principes soviétiques d’allocation des ressources 7 mais sur des principes supposésde nature radicalement différents, ceux du marché.Dans le cas des modèles hydro-économiques analysés dans cette thèse, le droit chemin estdémontré, construit sur le marché et la rationalité scientifique, et dont on espère qu’il seraensuite suivi par les républiques. Ne pas suivre les préconisations revient alors à conduirela région vers une situation sous-optimale, de non-développement, qui pourrait se traduirepar une « guerre de l’eau ». D’ailleurs, l’acteur qui vient « transgresser » la norme n’estautre que l’Ouzbékistan, ouvertement reconnu comme l’acteur d’Asie centrale qui semontre le plus récalcitrant envers les propositions de réformes proposées par lesorganisations internationales. Pays gouverné par un régime autoritaire, il s’est lancé dansune « transition gradualiste » marquée par le maintien d’une production administrée etplanifiée du coton, dont l’irrigation est jugée « irrationnelle » et dont l’inefficacité auraitconduit à l’assèchement de la mer d’Aral en amont des rivières pour lesquelles le traitéprévoit une gestion rationnelle et efficace. À l’opposé, le traité international est soutenupar le Kirghizstan, le pays de l’Union soviétique qui s’est le mieux aligné sur les réformes6. La théorie de la convergence des systèmes économiques retrouve un souffle nouveau avecl’implosion du bloc socialiste que certains analysent comme la « fin de l’histoire » (Fukuyama,1992) et l’avènement d’un consensus universel autour de la démocratie et de l’économie demarché.7. On verra dans le chapitre 1 comment la catastrophe écologique de la mer d’Aral sera mobiliséepour démontrer « l’inefficacité économique du système ». Dans le chapitre 5, on montreracomment le système économique « capitaliste » performe, au sens austinien, l’efficacitééconomique, et comment le système économique administré performe l’inefficacité.Raphaël Jozan – « Les débordements de la mer d’Aral »11

de thérapie de choc promue par les institutions financières internationales, fidèlement auConsensus de Washington 8 .Tout semble conduire à penser que l’Ouzbékistan suit effectivement une trajectoire nonrationnelle. Cependant, les expériences de transition suivies par les économies anciennesdémontrent la nécessité d’une analyse plus poussée. En effet, les transformationspostsocialistes ont largement « mis les théories économiques à l’épreuve » (Chavance,2004). Elles ont conduit à de multiples « surprises » (Ellman, 1997). Comme dans le casdu partage de la ressource en eau centrasiatique, de très nombreux programmes deréformes se sont traduits par des situations inattendues, non-conformes, voire opposéesaux objectifs affichés initialement. La crise financière russe de 1998 ou l’effondrementindustriel de l’Allemagne de l’Est sont des exemples aujourd’hui bien connus. Lesprogrammes de privatisation de masse conduits en Europe de l’Est furent rapides « sur lepapier » mais très lents dans la réalité, engendrant des configurations particulièrementcomplexes (Stark, 1996). Ces « recombinaisons » n’avaient pas été anticipées par lesexperts, prenant parfois des configurations « inquiétantes » (Chavance, 2004) dans larépartition de la propriété réelle et dans la gouvernance des entreprises. Ces « surprises »ouvrent la voie pour une deuxième thèse permettant d’expliquer la difficulté à stabiliserun traité international de partage de l’eau autour d’un équilibre démontré par les modèleshydro-économique : l’échec des organisations internationales. L’instabilité du traitéinternational promu par les organisations internationales ne viendrait qu’allonger la listede ces surprises, qui ont conduit certains économistes hétérodoxes à critiquer la théorie dela transition tout au long des années 1990 et 2000.Les économistes institutionnalistes ont lourdement critiqué la conception téléologique etdéterministe du changement de la tradition mainstream classique. Le changement estconçu comme «

le partage de la ressource d’eau du bassin versant de la mer d’Aral entre cinq anciennes républiques soviétiques. À lire les publications, on comprend que l’implosion de l’URSS risque de chambouler la gestion et les usages de l’eau, dont on dit qu’elle est « la ressource rare d’une région extrêmement aride ».

Related Documents:

CP Programmation Français P1 (7 sem.) P2 (7 sem.) P3 (5 sem.) P4 (7 sem.) P5 (10 sem.) Copier de manière experte CP Positionnement et lignage Les boucles e l Les étrécies i u t Les ronds c o Les ronds a d Le s / Les ponts m n Les lettres p j La lettre r Les lettres q g Les lettres v w Les lettres y z Les lettres b h Les lettres k f La .

territoriales (« ART »), les traités (les traités numérotés, les traités modernes et les traités sur les droits fonciers (« TDF »), les accords sur les établissements des Métis, les ententes d’autonomie gouvenementale (« EAG ») et les revendications spécifiques. Animateur : Jeff Harris, Myers Weinberg LLP (Winnipeg, Manitoba)

les titres de créance négociables à court terme, à savoir principalement les bons du Tré-sor émis par les Trésors nationaux (ceux du Trésor français sont les BTF et les BTAN courts), les certificats de dépôt émis par les banques et les billets de trésorerie émis par les entreprises. 1.2.1. Les emprunts « en blanc »

Guide de biosécurité pour le secteur des pépinières Page 6 Les vecteurs biologiques, comme les plantes entrantes, les insectes (y compris les insectes avantageux) et les personnes. Les vecteurs physiques, comme l'équipement. Les vecteurs environnementaux, comme le vent et les eaux de surface. Afin de déterminer les points critiques dans les voies de transmission des ravageurs

Les croix commémoratives, les croix de chemin et les petites niches de parterre sont peu ou pas ornementées, alors que les niches de grande taille et les calvaires tendent à être plus sophistiqués. 5 PRÉSERVATION ET MISE EN VALEUR Contrairement au mobilier religieux conservé dans les églises, les monastères, les établissements d'enseignement ou les presbytères, la préservation .

ou tout autre espace non utilisé par les enfants, comme les bureaux, les bureaux du personnel, les escaliers, les espaces de rangement fixe, les corridors, les toilettes, la cuisine, la salle de lavage et les chambres d’isolement. . – des espaces soient aménagés pour les jeux individuels, en petits groupes ou en grands groupes;

par un Pacs vivant sous le même toit, les enfants (légitimes, natu-rels ou adoptés), les petits-enfants, un frère ou une sœur, le père, la mère, les beaux-parents, les grands-parents, le tuteur légal, les beaux-frères et belles-sœurs, les gendres et belles-filles, les oncles et tantes, les neveux et nièces de l’Assuré. NULLITÉ

par un Pacs vivant sous le même toit, les enfants (légitimes, natu-rels ou adoptés), les petits-enfants, un frère ou une sœur, le père, la mère, les beaux-parents, les grands-parents, le tuteur légal, les beaux-frères et belles-sœurs, les gendres et belles-filles, les oncles et tantes, les neveux et nièces de l’Assuré.