Lettre D’information De Transparency International France .

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Lettre d’information de Transparency International FranceLa Lettre de Transparencen 57 — Août 2014www.transparency-france.orgL’EDITOAdapter notre grille de lecture et nos moyens d’action auxnouvelles règles du jeu de la vie internationalePar Daniel Lebègue, Président de Transparency FranceDes affaires récentes, qui ont fait laune des médias internationaux (RanaPlaza, condamnations de banques enlien avec la crise des subprimes ou des manipulations demarchés, fichiers d’évadés fiscaux, BNP Paribas et embargos américains ), témoignent d’un bouleversement decertaines des règles du jeu de la vie internationale dont lesacteurs publics et privés n’ont sans doute pas encore mesuré toute la portée et les conséquences.1) Avec internet, les réseaux sociaux et les lanceurs d’alerte, le champ du secret se réduit comme peau de chagrindans la vie publique comme dans le monde des affaires.2) Dans une économie mondialisée, les Etats et d’abord lesplus puissants d’entre eux font de leurs règles du droit uneapplication extraterritoriale.3) La coopération internationale dans la lutte contre la dérégulation sauvage et la délinquance financière (corruption,blanchiment, grande fraude fiscale) se renforce, en particulier sous l’impulsion du G 20, parce qu’aucun Etat n’est plusen mesure d’agir isolément, à l’ère de la libre circulationdes biens, des services, des personnes et des capitaux.4) Dans le champ de la délinquance économique et financière, la justice transactionnelle (plaider coupable, amendes, dommages-intérêts, adoption de mesures préventives)tend à devenir le mode opératoire principal, non seulementaux Etats-Unis mais dans la plupart des grands pays démocratiques : Royaume-Uni, Allemagne, Canada, Italie. Seulela France fait pour l’instant exception, avec les résultatsque l’on sait : une seule entreprise française condamnée àune amende de 500.000 euros pour corruption depuis l’adoption de la convention de l’OCDE sur la corruption d’agents publics étrangers en juin 2000.5) La frontière entre conformité (respect de la loi) et éthique (respect des valeurs et principes d’action que l’onconsidère comme correspondant au bien commun) est deplus en plus poreuse. Dans le drame du Rana Plaza, les entreprises multinationales mises en cause n’ont sans douteenfreint aucun règlement mais n’ont-elles pas une formede responsabilité morale vis-à-vis de leurs fournisseurs etsous-traitants ?6) Aujourd’hui, une entreprise n’est plus seulement redevable de ce qu’elle fait vis-à-vis de ses actionnaires ou de lajustice. Elle l’est vis-à-vis de toutes ses parties prenantes :clients, salariés, fournisseurs, collectivités publiques, ONG.La reconnaissance du droit d’alerte et l’extension de l’action collective en sont l’illustration.Dans le monde de l’entreprise, pour une association comme Transparency International, les conséquences de cesnouvelles règles du jeu sont d’une portée considérable.Elles nous imposent de faire évoluer notre grille d’analyseet nos moyens d’action - c’est ce que nous ferons en find’année dans notre rapport sur l’état de la lutte contre lacorruption et la grande délinquance financière en France etdans le monde. DANS CE NUMÉRODossier - La lutte contre la corruption dans l’UE .2- Le rapport anti-corruption de la Commission- Les marchés publics, premier secteur vulnérable à lacorruption dans l’UE- Comment les institutions européennes luttent-elle contrela corruption ?La France adhère à l’Open Government Partnership.9Brèves . . .10- Eurobaromètre 2013Décisions judiciaires . .11- Les bonnes pratiques mises en avantA lire. . .12

LA LUTTE CONTRE LA CORRUPTIONDANS L’UNION EUROPÉENNEAquelques mois d’intervalle, la Commission européenne et Transparency International ont publié deux rapportsinédits sur la corruption en Europe. Tandis que celui de la Commission européenne – publié en février – s’intéresse auxpratiques et aux mesures adoptées pour combattre la corruption dans les 28 Etats membres, le rapport de Transparency International – publié en avril – analyse le rôle joué par les différentes institutions européennes dans la lutte contrela corruption. L’ONG vient ainsi combler une lacune, la Commission n’ayant pas souhaité inclure les institutions de l’UEdans son rapport.Le rapport anticorruption de laCommissionLa Commission européenne a rendu public le 3 février 2014 un rapport qui analyse l'ampleur et les formes de la corruption dans les 28 États membres de l’Union Européenne (UE) ainsi que les mesures prises pour la prévenir et la combattre. Ce rapport, qui fait suite à l’adoptionen juin 2011 d’une communication sur lalutte contre la corruption, doit permettrede suivre et évaluer les efforts des Étatsdans ce domaine. Il doit être actualisétous les deux ans.Composé de chapitres par pays, le rapport passe en revue tant les bonnes pratiques que les faiblesses des dispositifs anti-corruption. A ce jour, si tous les membres de l’UE se sont dotés d’instrumentsjuridiques pour lutter contre la corruption, des progrès doivent encore êtreaccomplis. Selon le rapport, « les règlesanti-corruption ne sont pas toujours appliquées strictement, les problèmes systémiques ne sont pas traités de manièresuffisamment efficace et les institutionsn’ont pas toujours la capacité suffisantepour faire respecter ces règles. » La Commission regrette ainsi que la « véritablevolonté politique d'éradiquer le fléausemble souvent faire défaut. »Le rapport adresse à chaque Etat des recommandations adaptées à leur contexteet s’inspirant des standards développéspar d’autres organisations (GRECO,OCDE, Transparency International). Lerapport doit également favoriser le partage d’expériences et ouvrir le débat entrela Commission, les États, le Parlementeuropéen, le secteur privé et la sociétécivile. Rapport disponible surhttp://ec.europa.eu/dgs/home-affairs- 2 - La Lettre de Transparence n 57Les marchés publics, premier secteurvulnérable à la corruption dans l’UEOutre des chapitres nationaux, le rapport inclut un chapitre thématiquesur un sujet revêtant un intérêt particulier à l'échelle de l'UE. Cette année, il est consacré aux marchés publics, un secteur particulièrementvulnérable à la corruption et représentant une part importante du PIBdes Etats membres. La Lettre de Transparence revient sur les principauxconstats et recommandations formulés par la Commission.Les risques de corruption dans les marchés publics en EuropeLe rapport rappelle qu’environ un cinquième du PIB des pays de l’UE estdépensé chaque année par les pouvoirs publics et les entités de droitpublic pour l'acquisition de biens, de travaux et de services, soit 2 405milliards d’euros en 2011. Compte tenu de l'importance des flux financiers générés, ces marchés sont un domaine propice aux pratiques decorruption. Selon une étude de 2008, les frais supplémentaires dus à lacorruption pourraient ainsi atteindre jusqu’à 20-25%, voire parfois 50%,du coût total du marché. Selon une autre étude publiée en octobre2013, les coûts directs de la corruption auraient représenté, pour 96 casétudiés, entre 1,4 et 2,2 milliards d’euros en 2010.Les entreprises déplorent elles aussi la corruption dans les marchés publics. Selon l'Eurobaromètre 2013 sur la corruption et les entreprises,plus de trois entreprises européennes sur dix ayant soumissionné à desmarchés publics déclarent que la corruption les a empêchées de remporter un marché. Plus de la moitié des entreprises bulgares, slovaques,chypriotes et tchèques déclarent avoir été dans ce cas. Par ailleurs, lamajorité des entreprises affirment que la corruption dans les marchéspublics gérés par des autorités nationales (56%) ou régionales/locales(60%) est monnaie courante. Plus de quatre entreprises sur dix affirment que des pratiques illégales sont très répandues dans les procédures de marchés publics. La construction (35%) et l'ingénierie (33%) sontles secteurs où les pratiques de corruption sont réputées les plus courantes.Les évaluations par pays réalisées par la Commission confirment cesperceptions. Les risques de corruption et pratiques couramment observées sont les suivants :- rédaction de cahiers des charges sur mesure en faveur de certains soumissionnaires ;- saucissonnage en marchés d'un montant inférieur pour éviter la miseen concurrence ;- conflits d'intérêts à divers stades de la procédure et concernant nonseulement les agents publics chargés de la procédure mais égalementdes niveaux plus élevés du pouvoir adjudicateur ;- critères de sélection disproportionnés et injustifiés ;›››

- exclusion injustifiée de soumissionnaires ;marché ;- recours injustifié aux procédures d'urgence ;- poids excessif accordé au prix le plus bas comme critèreprincipal au détriment de critères relatifs à la qualité deséléments livrables et à la capacité d'exécution ;- avenants au contrat modifiant le cahier des charges etaugmentant le budget.- exemptions injustifiées de la publication des offres.Le recours aux procédures négociées et de gré à gré estégalement utilisé abusivement afin d’éviter les obligationsd'une mise en concurrence. Enfin, le rapport note des risques dans la phase post-attribution :- commissions illicites versées ;- qualité des éléments livrables intentionnellement compromise ;- justification insuffisante des modifications apportées auEurobaromètre 2013Le rapport inclut également les résultats de l’Eurobaromètre 2013. Principaux enseignements : La corruption coûterait chaque année 120 milliardsd’euros à l’économie européenne. 76% des Européens estiment que la corruption esttrès répandue dans leur pays. Ce seuil dépasse 95%dans les pays comme la Grèce, l’Espagne et l’Italie.Au Danemark et en Finlande en revanche, la proportion est seulement de 20 et 29%. 26% des Européens considèrent qu’ils sont personnellement touchés par la corruption dans leur viequotidienne. En Espagne et en Grèce, ce chiffre estde 63%. Les pays où ce taux est le plus faible sont leDanemark (3%), la France (6%) et l'Allemagne (6 %). 8% des Européens déclarent avoir fait l'objet ou ététémoin de corruption au cours des 12 mois précédents. Les pays où ils sont les plus nombreux sont laLituanie (25%), la Slovaquie (21%) et la Pologne(16%). A l’inverse, ils ne sont que 3% en Finlande etau Danemark. 73% des Européens affirment que les pots-de-vin etle recours aux relations personnelles constituentsouvent le moyen le plus simple d’obtenir certainsservices publics dans leur pays. Cette conviction est laplus répandue en Grèce (93%), à Chypre (92%), enSlovaquie et en Croatie (89% chacune). 67% des Européens estiment que le financementdes partis politiques n’est pas suffisamment transparent ni contrôlé. Seuls 23% des Européens estiment que les effortsfournis par leurs gouvernements respectifs pourvenir à bout de la corruption portent leurs fruits. Au niveau européen, plus de 4 entreprises sur 10considèrent la corruption, mais aussi le clientélismeet le népotisme, comme une source de problèmesdans les affaires. Les secteurs de la construction, de l’énergie, des transports, de la défense et des soins de santé semblent êtreles plus vulnérables à la corruption.Le rapport relève enfin que, dans plusieurs États membres, certains partis politiques ont pu bénéficier de financement illégal en échange de l'attribution de marchés publics. Des liens trop étroits entre certaines entreprises etresponsables politiques nationaux ou locaux sont également pointés du doigt.La législation européenne sur les marchés publicsDu fait de ces risques très divers, la lutte contre la fraudeet la corruption dans les marchés publics constitue dèslors une priorité pour les États et les institutions de l’UE.Cependant, la Commission note qu’il existe encore descarences tant dans la prévention que dans la répression.Le rapport rappelle que les différentes directives relativesaux marchés publics (directive «marchés publics», directive «secteurs spéciaux», directive applicable aux marchéspublics dans les secteurs de la défense et de la sécurité, etdirectives «recours») ont pour principal objectif d’assurerle respect des principes du Traité sur le fonctionnementde l’UE et, en particulier, des principes de libre circulationdes marchandises, de liberté d’établissement et de libreprestation de services. Cette législation vise à garantirl'ouverture des marchés publics à toute l’Union afin defavoriser la meilleure utilisation possible des fonds publics, en créant une base équitable, uniforme et transparente pour les dépenses publiques. Cette législationcontient également certaines dispositions plus directement liées à la prévention de la corruption, par exemplel’exclusion des procédures d’appel d’offres des entitésayant fait l'objet d'une condamnation définitive pour corruption ou encore des dispositions sur la publicité et latransparence des différentes étapes de la passation desmarchés publics. Cependant, pour la Commission, cettelégislation est aujourd'hui encore insuffisante, notamment concernant les concessions de travaux ou de services. Au niveau national, la plupart des États traitent laquestion des marchés publics dans le cadre de leur législation générale sur la corruption. Rares sont ceux qui ontadopté une loi spécifique sur la corruption dans les marchés publics ou des mesures particulières visant à réduireles risques de corruption.En cas de violation potentielle des règles européennes surles marchés publics, la Commission intervient à la suite dudépôt d'une plainte ou de sa propre initiative. Selon l’examen annuel réalisé par la Commission en 2012 sur les procédures de passation des marchés publics, 97 procéduresd’infraction étaient en cours pour mauvaise applicationdes règles sur les marchés publics, dont plus de la moitiéconcernaient trois États membres. La plupart de ces affaires mettaient en cause, par ordre d’importance, le recoursinjustifié à la procédure négociée sans publication préalable, des discriminations, des attributions directes, un ›››La Lettre de Transparence n 57 - 3 -

Les bonnes pratiquesmises en avantPortugal - Un portail national centralisant les informationssur les marchés publicsDepuis 2008, le Portugal a mis en place un portail web national, appelé BASE, qui centralise les informations sur lesmarchés publics. BASE reçoit les données de l’édition électronique du Journal officiel portugais et des plates-formesélectroniques certifiées concernant les procédures ouverteset restreintes préalables à l'attribution des marchés. Tousles pouvoirs adjudicateurs publics utilisent un secteur réservé du portail pour y enregistrer les données concernant lesmarchés, y mettre en ligne les contrats et y consigner desinformations sur l'exécution des marchés. Depuis janvier2012, tout marché résultant d'une procédure de passationrelevant du code des marchés publics doit faire l'objetd'une publication sur le portail, qui fournit également desinformations sur l’exécution des marchés. La publicationdans BASE et au Journal officiel est désormais obligatoirepour les ajustements de prix, les augmentations d'au moins15% du prix des marchés déjà conclus et les sanctions encourues.Slovénie - Une application en ligne pour suivre la dépensepubliqueL’application en ligne «Supervizor» fournit des informationssur les transactions commerciales conclues par les pouvoirslégislatifs, judiciaires et exécutifs, les organismes publicsautonomes, les communautés locales et leurs agences dotées de la personnalité juridique, etc. Elle fournit des informations sur les parties contractantes, les principaux bénéficiaires, les personnes morales apparentées, ainsi que lesdates, montants et objets des transactions. Elle offre ainsiune vue d'ensemble des achats de biens et de services parle secteur public slovène. Cette application fournit également des informations détaillées sur les conseils d’administration et de surveillance de toutes les entreprises d’État etsociétés contrôlées par l’État, ainsi que sur leurs rapportsannuels. Ce système de transparence facilite la détectiondes irrégularités dans les marchés publics et la dépensepublique. Cette application fut un succès dès sa mise enligne, avec plus de 1,2 millions de visiteurs le premier jour.En 2013, l’application a reçu le Prix Champion du ServicePublic décerné par les Nations Unies.Lituanie - Passation électronique des marchés publicsLa Lituanie a considérablement développé l'accès en ligne àun ensemble de données sur les marchés publics. L’éventaildes informations publiées va au-delà des obligations prévues par la législation européenne : on y trouve les projetsde spécifications techniques, ainsi que les marchés concluset exécutés. Les soumissionnaires sont tenus de mentionner leurs sous-traitants dans leurs offres. Depuis 2009, ilsdoivent présenter au moins 50% de leurs offres par voieélectronique. De ce fait, la part des marchés publics électroniques est passée de 7,7% à 63% en 2010. - 4 - La Lettre de Transparence n 57manque de transparence, des avenants injustifiés auxcontrats, une mauvaise application de règles internes ouune violation des principes généraux consacrés dans letraité. Dans la majorité des cas, ces infractions concernaient le secteur des infrastructures, suivi des eaux uséeset des déchets, des marchés de services informatiques,des chemins de fer, de la santé et de l’énergie.Les réformes en coursPour la Commission, les directives sur les marchés publicsont permis de significatives avancées : la transparences’est accrue, la concurrence s’est intensifiée et l’abaissement des prix a permis des économies tangibles. Néanmoins, des progrès supplémentaires sont nécessairespour simplifier les procédures et renforcer les mesurescontre la fraude et la corruption.En décembre 2011, la Commission a d’ailleurs proposéune révision de ces directives. Cette réforme portait surles marchés publics dans les secteurs de l’eau, de l’énergie, des transports et des services postaux ainsi que surles marchés de travaux publics, de fournitures et de services. La Commission proposait d'adopter des dispositionspour prévenir les conflits d’intérêts et pour fournir desdonnées centralisées sur la corruption, les fraudes et lesconflits d’intérêts. Elle proposait également d’introduiredes règles plus strictes concernant la modification desmarchés, des critères d’exclusion plus larges et un suivides contrats conclus. La proposition prévoyait enfin l'instauration d'un suivi de la mise en œuvre de ces règles etla création de systèmes d’alerte pour détecter la fraudeet la corruption (pour en savoir plus, lire l’interview deThierry Beaugé dans la Lettre de Transparence n 55). LaCommission proposait enfin de réformer la Directive surles contrats de concession afin de réduire l’incertitude quientoure l'attribution de ces contrats et de favoriser lesinvestissements publics et privés dans les infrastructureset les services stratégiques avec une utilisation optimaledes fonds. Cette proposition prévoyait également desdispositions obligeant les États membres à adopter desrègles visant à lutter contre le favoritisme et la corruptionet à prévenir les conflits d’intérêts.Au moment de la rédaction du rapport, les textes étaienten cours d’examen par le Parlement européen et leConseil. Depuis, le Parlement européen a voté en faveurde ces directives le 15 janvier 2014 tandis que le Conseilles a adoptées le 11 février 2014. Les États membres ontjusqu’à avril 2016 pour traduire les nouvelles règles endroit national (sauf en ce qui concerne les marchés publics électroniques, où le délai est septembre 2018). EnFrance, le ministre de l’Economie a annoncé en mars quela transposition de la partie législative de ces directivesserait engagée avant la fin 2014 par ordonnance s’agissant des directives marchés. Concernant la directiveconcessions, le Gouvernement proposera un projet de loiau Parlement début 2015 qui devrait définir un soclecommun élargi à tous les contrats de

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