Concours Externe Et Troisième Concours De Recrutement Des .

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Concours externe et troisième concoursde recrutement des professeurs des écolesSession 2017Epreuves écrites d’admissibilitéRapport du jury de l’épreuve écrite de français(Académie Aix-Marseille)Rapport rédigé par Anne Guerpillon, IA-IPR de Lettres et Jean-Jack Grenet, IENRéf : arrêté du 19 avril 2013L’épreuve de français du CERPE, session 2017, a eu lieu le jeudi 20 avril, lescorrections, sur site, les 2, 3 et 4 mai. La double correction a été faite par un binôme composéd’un inspecteur ou d’un enseignant (ou conseiller pédagogique) du premier degré et d’unenseignant du second degré (de collège).Quelques chiffres :Pour cette session 2017, 580 postes sont offerts dans l’académie d’Aix-Marseille (559au concours externe, 21 au troisième concours).L’absentéisme aux épreuves écrites se maintient à un niveau élevé puisque, au concoursexterne, 1498 candidats se sont présentés sur 3659 candidats inscrits (soit 59% d’absents) et,au troisième concours, 179 candidats se sont présentés sur 738 inscrits (près de 75% d’absents).Pour l’épreuve de français, les résultats sont les suivants :- Concours externe : la moyenne est de 21,4 /sur 40 (en 2016 : 19,71 sur 40), soit10,7 sur 20 (en 2016, 9,85 sur 20).- Troisième concours : la moyenne est 19,7 sur 40 (en 2016, 17,79 sur 40) soit 9,85sur 20 (en 2016, 8,89 sur 20).Le jury d’admissibilité, réuni le 10 mai 2017, a fixé la barre d’admissibilité à 44 sur 80(moyenne des épreuves de français et de mathématiques) pour le concours externe, ce qui donne897 admissibles et à 42 sur 80 pour le troisième concours, ce qui donne 44 admissibles.

Le présent rapport a pour ambition première de donner aux futurs candidats les pistesnécessaires pour une préparation efficace à ce concours et pour diriger leurs efforts en vue dela réussite.Description de l’épreuve de français :L’épreuve dure quatre heures et son objectif est très clairement précisé dans l’arrêté :« L’épreuve vise à évaluer la maîtrise de la langue française des candidats (correctionsyntaxique, morphologique et lexicale, niveau de langue et clarté d’expression) ainsi que leursconnaissances sur la langue ; elle doit aussi évaluer leur capacité à comprendre et analyser destextes (dégager des problématiques, construire et développer une argumentation) ainsi que leurcapacité à apprécier les intérêts et les limites didactiques de pratiques d’enseignement dufrançais. »L’épreuve se divise en trois parties :- La première partie est une question relative à un corpus de textes proposés qui estnotée sur 11 points. Cette année la question était :« Vous analyserez la façon dont les textes du corpus questionnent la relation entremonstruosité et humanité. »Texte 1 : Chrétien de Troyes, Yvain ou le chevalier au lion (date approximative 1177), L’Ecoledes loisirs.Texte 2 : Jean Racine, Phèdre (1677), Acte V, scène 6, v. 1507-1550, Bordas.Texte 3 : Victor Hugo, Notre-Dame de Paris (1831), Livre huitième, Folio classique Gallimard.Texte 4 : Eugène Ionesco, Rhinocéros, Acte III, Gallimard- La deuxième partie porte sur la connaissance de la langue et est notée sur 11 pointségalement : cette année les questions portaient sur un exercice sur le lexique et lacompréhension de texte ; il fallait aussi identifier, dans un extrait du texte 2, les formes et lesfonctions des pronoms personnels et en proposer un classement pertinent. Il fallait encoreanalyser et justifier l’orthographe des terminaisons en [e] soulignées dans un passage du texte1. Enfin la dernière question portait sur l’analyse des temps des formes verbales conjuguéesdans un extrait du texte 4.- La troisième partie, notée sur 13 points, est une analyse critique à partir de supportspédagogiques. Cette année, étaient proposés un corpus de ressources constitué par unenseignant à partir de la banque de ressources éducatives Digitech, une reproduction d’un albumde bande dessinée et deux fiches de travail destinées aux élèves dont la seconde comprend uneproduction d’écrit.

Les 5 points restants permettent d’évaluer la correction syntaxique et la qualité écrite dela production du candidat. Une note égale ou inférieure à 10 sur 40 est éliminatoire.Un corrigé national a été diffusé et une commission d’entente académique composée ded’in IEN, d’un conseiller pédagogique du 1er degré, de deux professeurs du second degré etd’un IA-IPR de Lettres a établi un barème plus précis pour chacune des questions.Remarques des correcteurs sur cette épreuve :Remarques générales :Cette session 2017 marque un progrès de la moyenne à l’épreuve de français tant pourle concours externe ( 0,9) que le troisième concours ( 1) : cette amélioration témoigne del’effort entrepris par les candidats et de la qualité de leur préparation.L’examen de chacune des questions pourra donner aux futurs candidats des pistes detravail afin d’éviter les erreurs les plus courantes et les plus pénalisantes.Si les bonnes copies, en nombre satisfaisant, doivent être saluées, il convient égalementd’alerter les futurs candidats sur des défauts qui peuvent mener à une élimination: il faut rendredes copies qui soient lisibles, pour ce qui relève de la graphie comme de la correction de lalangue (syntaxe et orthographe). Les 5 points réservés à l’évaluation de la langue ont été répartisde la manière suivante : 2 points pour l’orthographe, 2 points pour la correction syntaxique, 1point pour la précision et la richesse du vocabulaire. Ces points étaient attribués si l’expressionétait jugée sans reproche par les correcteurs. Mais une copie dont une orthographe trophésitante, une syntaxe approximative, une graphie peu lisible rendent la lecture difficile estévidemment sanctionnée plus gravement comme il semble naturel quand il s’agit durecrutement de professeurs qui auront en charge d’apprendre la langue aux plus jeunes de nosélèves.Il importe également de ne pas céder à certaines modes langagières et à un jargon inutilequi ne peut que générer des phrases creuses ou incompréhensibles. Quelques candidats ont parexemple choisi cette année une approche « pseudo-philosophique » pour traiter de manièreconfuse et peu pertinente la première partie du sujet : les correcteurs ont été irrités de l’emploid’un jargon pédant qui n’a pas suffi à masquer la superficialité de l’analyse ni l’absence deréelle confrontation des textes. Nous conseillons vivement aux futurs candidats de veiller à uneponctuation et une mise en page (écrire une ligne sur deux sur les copies à petits carreaux estrecommandé par les correcteurs) qui rendent aisée la lecture des copies.Le seuil d’admissibilité permet cependant d’offrir à un nombre important de candidatsla possibilité de passer les épreuves orales : celles-ci joueront pleinement leur rôle pour lasélection finale et le jury se réjouit de trouver dans ce concours exigeant un nombre nonnégligeable de copies prometteuses.

Première partie : question relative aux textes proposésLe corpus retenu cette année regroupe des textes dans une approche plus nettementlittéraire que celui de l’année précédente, lequel proposait une approche plus culturelle eninterrogeant la fonction du musée. Nous voulons rappeler aux candidats que ce concours vise àévaluer « leur capacité à analyser et comprendre des textes » et à mesurer leur bagage dans ledomaine des savoirs et de l’analyse littéraires. On peut donc s’étonner qu’un candidat qui veutdevenir professeur des écoles ignore jusqu’au nom de Chrétien de Troyes qu’il appelle parfoisM. de Troyes ou dont il comprend qu’il est « un Chrétien habitant Troyes ». Dans telle autrecopie, la référence du candidat qui évoque Quasimodo n’est malheureusement pas Victor Hugomais Walt Disney Les correcteurs soulignent souvent les efforts faits par les candidats pour organiser leursproductions et répondre aux exigences premières de l’exercice : présence d’une introductionavec rappel des textes, développement, conclusion. Toutefois, malgré les précisions apportéesdans tous les rapports précédents, des candidats n’intègrent toujours pas les quatre textes dansleur analyse. Quelques-uns se contentent encore d’une juxtaposition de citations qui ne sauraittenir lieu de l’analyse ni de la réflexion exigées dans cette 1ère partie de l’épreuve. D’autrespersistent à confondre analyse et effets de catalogue.Rappelons que l’introduction doit présenter, non pas seulement citer, tous les textes,sans nécessairement préciser tous les détails (traducteur, édition, tome, pages ) et qu’on attenddes candidats qu’ils soulignent le titre des œuvres dès qu’ils convoquent celles-ci dans leurintroduction puis dans la suite de leur développement. L’introduction doit également comporterl’annonce du plan qui sera effectivement suivi. Elle est aussi le lieu de la reprise de la questionet de la problématisation du sujet ; il convient d’éviter les lieux communs ou lesdéveloppements trop généraux.Mais un plan parfois prometteur ne suffit pas, il s’agit ensuite de ne pas s’en tenir àparaphraser le contenu de chacun des textes, quelquefois de manière partielle voire àcontresens : les candidats ont souvent mal compris le texte de Ionesco et ont aussi fait uncontresens de lecture sur le texte de Chrétien de Troyes en faisant d’Yvain un monstre parcequ’il choisit de sauver le lion plutôt que le serpent. On peut ici regretter encore qu’une cultureinsuffisante ne permette pas à certains candidats de s’appuyer sur une symboliqueculturellement bien ancrée pour analyser ces textes ou qu’une approche vraiment trop naïveconduisent certains à faire d’Hippolyte et d’Yvain des héros monstrueux « car ils tuent desbêtes » . On constate encore que nombre de candidats transforment le couplemonstruosité/humanité en celui de beauté/laideur ou assimilent la monstruosité à l’animalité.On appelle donc ceux-ci à veiller à la rigueur ainsi qu’à la cohérence de leur propos.Afin d’analyser « la façon dont les textes du corpus questionnent la relation entremonstruosité et humanité », il était donc indispensable de bien prendre en compte le substantif« relation » qui impose aux candidats de trouver une problématique propre à tisser des liensentre humanité et monstruosité. Relèvent dès lors du hors sujet les développements quienvisagent successivement et uniquement l’humanité puis la monstruosité. On ne saurait tropinsister pour que les candidats prennent le temps d’une lecture attentive et analytique des termesdu sujet avant de se lancer dans la rédaction de leur analyse. On note toujours la difficulté qu’ilséprouvent à définir une problématique : les problématiques les plus intéressantes ont axé la

réflexion sur le « choix » du héros ou les « actes » qui élèvent à une réelle humanité, sur ce quiconstitue l’acte héroïque face à l’acte monstrueux. Le plan suivant pouvait être adopté : larelation d’opposition et d’altérité entre monstruosité et humanité que la confrontation des textespermet d’exhiber pouvait d’abord être analysée, puis pouvait aussi être étudiée la relationcomplémentaire qui s’établit entre les figures du monstre et celle du héros et plus largement del’homme ; les textes du corpus soulignent aussi, ce qui pouvait constituer une troisième partie,la réversibilité de cette relation monstre/humain, le monstre pouvant être humanisé et aussidevenir un héros, tel Quasimodo dans le texte 3 ; le texte de Ionesco ouvre alors des perspectivesintéressantes, puisqu’après la tentation de devenir monstrueux dans un monde de rhinocéros,c’est finalement le choix de l’humanité que fait Béranger, rejetant ainsi la réversibilité de lamonstruosité et de l’humanité. On a trouvé d’autres plans parfaitement recevables : quelquescandidats ont ainsi habilement cherché à dessiner une évolution d’Yvain à Béranger, recherchequi les a conduits à questionner réellement la relation entre humanité et monstruosité. Tel autrecandidat s’est d’abord interrogé sur la place de l’apparence dans la monstruosité pour ensuitese demander comment l’homme se positionne face à ce qu’il définit comme monstrueux. Unautre encore s’est d’abord intéressé « aux sentiments divers provoqués par l’irruption de lamonstruosité » puis a questionné « la frontière laissée ouverte dans les textes du corpus » entremonstruosité et humanité. Des plans en deux parties ont été le plus souvent adoptés :l’opposition de l’homme et du monstre a dans ce cas généralement constitué une premièrepartie, laquelle a ensuite laissé place à la remise en question de cette opposition, le monstrepouvant devenir humain.Certains détails formels, il faut le rappeler, ont leur importance : il faut citer les œuvreset ne pas seulement les numéroter, souligner leur titre ; il faut citer les textes entre guillemets,non entre parenthèses ; il est inutile de donner des titres aux parties du développement : ce sontles transitions qui doivent indiquer à quelle étape du développement se trouve le lecteur ; lesparagraphes (et les alinéas !) facilitent également ce repérage.Trop de candidats ne maîtrisent pas encore l’exercice de synthèse de documents qui leur estdemandé et ne font pas dialoguer les textes entre eux. On voudrait ici leur rappeler, une nouvellefois, l’importance de la confrontation et de la mise en résonance des textes du corpus dans undéveloppement cohérent et articulé.On note des écarts importants en matière de compétences rédactionnelles et de maîtrisede la langue. Les correcteurs, soucieux de recruter des professeurs qui seront en mesure demener un véritable apprentissage de la langue et de l’écrit, ont été très sensibles aux qualitésd’écriture présentes dans certaines copies et les ont valorisées. Nous voudrions enfin évoquerun dernier point de vigilance : cette première partie a parfois été traitée avec finesse etintelligence mais au détriment des autres parties rapidement traitées voire négligées. Al’inverse, certains candidats n’ont pas traité cette première partie ou n’ont qu’ébauché uneintroduction plus ou moins achevée. Quel que soit le cas de figure, ces candidats prennent lerisque d’obtenir une note éliminatoire pour avoir mal géré leur temps et mal équilibré leurtravail. Les seules parties traitées étaient pourtant souvent encourageantes

Deuxième partie : connaissance de la langueC’est sans doute la partie de l’épreuve qui demeure la plus problématique pour denombreux candidats alors que le niveau attendu correspond à celui exigé à la fin du collège :un même constat avait été dressé en 2015 et en 2016.Nous voudrions d’abord encourager les candidats à faire preuve d’une plus grandeefficacité dans la présentation de leurs réponses, pour en faciliter la lisibilité et pour gagner dutemps. Les correcteurs ont apprécié l’initiative de certains qui ont choisi de construire destableaux, en particulier pour répondre à des questions qui demandaient un classement. Il est parailleurs inutile de perdre du temps à recopier de façon exhaustive l’énoncé des questions. Lescandidats doivent y répondre en allant à l’essentiel et en se limitant à ce qu’on leur demande :il n’était par exemple pas demandé de justifier les synonymes dans la première question, ce queplusieurs candidats ont pourtant fait.Revenons maintenant sur les insuffisances dans le domaine de la maîtrise de la langue :- de manière surprenante, le premier exercice relevant du lexique et de la simple compréhensionde texte a été inégalement réussi et certaines réponses comme celles qui proposent commesynonyme de « montagne humide » le nom « volcan » ou telle autre qui propose « cavaliersmarins » comme synonyme du nom « coursiers » ont laissé les correcteurs perplexes sur leniveau de compréhension de ce texte classique chez certains candidats.- le traitement des questions de grammaire qui suivaient révèlent des lacunes importantes dansla formation initiale de nombre de candidats dans ce domaine : les formes et les fonctions des pronoms personnels ont rarement été toutes relevées etcorrectement identifiées. On confond très fréquemment les pronoms personnels et lesdéterminants, on fait figurer les pronoms relatifs dans la liste des pronoms personnels, desGN sont repérés comme des pronoms Les classes grammaticales sont ainsi malmaîtrisées. Quant aux fonctions de ces pronoms telles que les candidats les ont identifiées,elles ont déconcerté les correcteurs : certains ignorent qu’un pronom personnel peut êtreCV-COD ou CV-COI et les pronoms indirects « lui » et « leur » sont particulièrementmaltraités. Le classement demandé a été inexistant ou peu pertinent. On attendait,conformément à ce que proposent les grammaires universitaires, un classement en pronomsqui présentent des formes conjointes ou disjointes, les rares candidats qui connaissent ceclassement ont été valorisés. Les correcteurs ont accepté un classement par fonctions à lacondition que celles-ci aient été identifiées avec rigueur. les réponses doivent être complètes pour que le candidat obtienne les points prévus aubarème : la justification de l’orthographe d’un certain nombre de terminaisons en [e] devaitainsi être suffisamment précise et expliquée avec la terminologie grammaticale quiconvient. On ne peut en effet accepter qu’un candidat au CRPE ne puisse identifier unadjectif épithète, qu’il confonde un verbe à l’infinitif avec un participe passé ou qu’il nefasse pas la distinction entre un nom et un verbe. On ne demandait pas, à la question 4, de relever les occurrences des formes verbales, ceque certains ont tout de même fait ; en revanche, on attendait que les candidats ne prennentpas un conditionnel pour un futur ou un subjonctif. Les valeurs des temps ont souvent étéconfondues avec l’aspect ou évoquées en visant l’exhaustivité là où les valeurs en contexteseules étaient attendues.

On le voit, les connaissances souvent insuffisantes des candidats et les erreurs qu’ils fontsur des notions de base s’avèrent particulièrement inquiétantes et inacceptables : commentenseigner la langue de manière réflexive et active, comme le préconisent les nouveauxprogrammes des cycles 2 et 3, lorsqu’on maîtrise aussi peu les savoirs à transmettre ?Nous avons grand plaisir cependant à féliciter certains candidats pour la rigueur de leursanalyses sur la langue, lesquelles traduisent le sérieux et l’efficacité d’une préparationmanifestement bien conduite et nous nous réjouissons qu’ils puissent être bientôt en situationd’enseigner la langue aux jeunes élèves, avec les meilleures chances d’y parvenir.Comme l’année dernière, nous engageons les candidats à la fréquentation régulière d’unegrammaire universitaire de référence, ce qui constitue le seul moyen d’atteindre la maîtrisesouhaitée.Troisième partie : analyse critique de supports d’enseignementLe jury, comme en 2016, conseille vivement aux candidats de prendre le temps de liretrès attentivement les documents soumis à leur réflexion et les mots-clés des consignes qui lesaccompagnent : ainsi, pour la première question qui consistait à décrire le corpus réuni parl’enseignant et les sélections qu’il a effectuées, de nombreux candidats ont analysé lesdocuments (ce qui n’était pas attendu) ou n’ont pas distingué le corpus et la production del’élève, voire les ont même confondus. D’autres n’ont décrit ni les choix (ou se sont limités àceux-là), ni les abandons. Or la démarche d’un enseignant consiste bien, une fois les ressourcesrepérées, en une sélection impliquant que certains supports sont retenus et d’autres écartés.Cette première question devait permettre au candidat de repérer notamment que le sujet (héros,héroïnes et personnages) était conservé et la gravure (Ulysse et ses compagnons) utilisée alorsque la bande dessinée devenait un support oral.Par ailleurs, si cette partie de l’épreuve se fonde sur une connaissance des programmeset plus largement, des recherches actuelles en didactique, aucun discours théorique n’estévidemment attendu : le candidat doit adapter ses connaissances au contexte proposé. Ainsi, ilévitera des développements hors sujet : le jury a constaté que la question 2 sur les compétencestraitées dans la séance a souvent donné lieu à la rédaction de longues

sur 20 (en 2016, 8,89 sur 20). Le jury d’admissibilité, réuni le 10 mai 2017, a fixé la barre d’admissibilité à 44 sur 80 (moyenne des épreuves de français et de mathématiques) pour le concours externe, ce qui donne 897 admissibles et à 42 sur 80 pour le troisième concours, ce qui donne 44 admissibles.

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