Repères - ARS Pays De La Loire

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d’analyses médicales173 laboratoiresMoyens au service del’accompagnement oudu changement par voiecontractuelle158 346 773 Fonds d’intervention régional(Loire-Atlantique,Maine-et-Loire, Mayenne,Sarthe et Vendée)Budget Agence(Établissements d’Hébergementpour Personnes Âgées Dépendantes)et 26 structures pour personnes confrontées à des difficultésspécifiques (comme, par exemple, les centres de soinsd’accompagnement et de prévention en addictologie)506 établissements pour personnes handicapéesLe contrat est le support privilégié de dialogue entre l’ARS et les acteursdu système de santé. Il est un outil majeur de pilotage de l’organisationterritoriale et de déclinaison du Projet Régional de Santé (PRS). Si lecontrat se décline différemment selon les secteurs sanitaire, médicosocial ou libéral, il s’appuie systématiquement sur les principes suivants :une vision pluri-annuelle, le fruit d’une procédure de négociation, unsuivi périodique prenant appui sur les outils du dialogue de gestion etenfin, une évaluation finale du contrat.sanitaires ou environnementaux mettant en jeula santé de groupes de population adressés à laCellule de Veille et d’Alerte dont la mission est d’yrépondre sans délai pour limiter l’impact de lamenace détectée.1 150 signauxsignés en 20157 contrats locaux de santésoutenus financièrement par l’ARS, mettant enœuvre 155 actions de prévention dans le cadred’un appel à projets et 23 actions hors appel àprojetssont financés par l’ARS(Services de soins infirmiers à domicile)106 SSIAD(hôpitaux, cliniques, publics et privés)192 établissements de santéelles offrent un lieu de prise en charge globale et pluriprofessionnelle. Elles formalisent un projet de santécommun avec éventuellement un regroupementphysique de certains professionnels de santé libérauxqui se coordonnent sur des activités de premier etsecond recours, pour améliorer la prise en charge despatients, notamment ceux atteints de pathologieschroniques.comptabilisées en 2015 sur tout le territoire :60 maisons de santé pluridisciplinaires sont29 626 infirmier(e)s10 565 médecins généralistes et spécialistes2 013 chirurgiens-dentistes1 171 sages-femmes57 667professionnels de santé (libéraux et salariés)108 porteurs de projets de prévention66 217 388 habitants :population couverte3 660 85218 Contrats pluri-annuels d’Objectifs et de Moyens financés582 EHPADphamarciesd’officine1 196Ensemble des dépensesde santé en Pays de la Loire9,9 milliards d’eurosagents à l’ARS4565 délégations territorialeschiffres clésrepères

les moments forts23 janvierAngersColloque « Agir ensemble pour lasanté des étudiants »6 et 7 févrierNantes et AngersRencontre Qualitefficience autour duProjet Personnalisé : outils et retoursd’expérience3 juinNantesRencontre annuelle des établissementsmédico-sociaux accueillant despersonnes en situation de handicap8 juinOrvaultRencontre annuelle des établissementsmédico-sociaux accueillant despersonnes âgées2 octobre15 juinNantesRencontre annuelle des établissementssanitairesChangé7, 8, 9, 14 et 18septembreNantes, Angers,Laval, Le Mans,La Roche-sur-YonEvénements « Présentation destableaux de bord ANAP »10 septembreBouinInauguration de l’EPSMS et de l’EHPAD18 septembreBeaufort-enValléeInauguration du Groupe d’EntraideMutuelle de la FraternitéBeaumont-sur-Sarthe50 ans NotreDame de Pritz29 septembrePose 1ère pierre Centre Hospitalier LocalLe Luart17 décembreÉchanges pour l’amélioration du repéragede l’habitat indigne en Perche sarthoisRedon 10 septembre4 juinSignature du Contrat Local deSanté Pays de Redon – Bretagne SudSignature du Contrat Local de SantéBaugé-en-Anjou31 marsSavenaySaint-Nazaire6 novembreInauguration du Centre HospitalierSavenay Loire et SillonAngersSignature du CPOM ARS-CRA(Centre de ressources autisme) /Journée des représentants desusagers du système de santé9 octobreSignature du Contrat Local de SantéNantes21 janvier21 septembreSéminaire « Des CommunautésHospitalières de Territoire vers les GHT »Noirmoutiers-en-île31 octobreSignature du ContratLocal de SantéCholet23 juinInauguration d’une Maisonde Santé Pluridisciplinaire2ème rencontre régionale : faire progresser la situationdes personnes vivant avec un trouble autistique17 novembreJournée Régionale de Veille Sanitaire5 févrierLa Roche-sur-YonJournée régionale d’échanges« Comment agir ensemble contre le suicide »La ChâtaigneraieSaumur22 septembreNantesJournée ANAP Sanitaire25 septembreNantes3ème rencontre régionale « Habitatsanté »25 septembreSaint-NazaireInauguration de l’EHPAD «  Galathéa »29 septembreAbbaye de l’EpauAnniversaire journée associativeAPAJH Sarthe Mayenne2 octobreSaint-Barthélémyd'AnjouInauguration Association des Paralysésde France2 octobrePlesséInauguration de la Résidence de laRochefoucauld Plessé2 octobreChallansInauguration de l’IRM du CentreHospitalier Loire Vendée Océan6 octobreAngersJournée nationale des aidants21 octobreSaint-NazaireInauguration EHPAD Suzanne Flon23 octobreAngersSignature d’une convention relative à lasanté (CPER)2 novembreLa Roche-sur-YonInauguration SAMU 85 CentreHospitalier Départemental de Vendée5 novembreSt-Philbert-deGrand-LieuInauguration SESSAD AREAMS26 novembreNantes6èmes assises régionales du CollectifInterassociatif Sur la Santé (CISS)2 décembreNantesÉchanges sur la mise en œuvre durapport Piveteau « Zéro sans solution »17 décembreSignature du Contrat Local de Santé27 janvierSignature du ContratLocal de Santé

677Cécile courrèges, Directrice généraleNotre rôle est celui d’un service public qui assurela protection de la population.L'année 2015 marque lapremière année de votredirection. Quel est votre bilan ?Ce qui m’a frappée en arrivant, car celafaisait plus de trois ans que j’avais quittéle milieu des ARS, c’était de voir à quelpoint l’ARS Pays de la Loire était bieninscrite dans son paysage et reconnuepar ses partenaires. Je n’ai pas euà justifier l’existence de l’ARS ni à larepositionner.J’ai pu aussi noter la qualité et la forcedes relations partenariales. Nous avonsdes partenaires avec qui la discussionest simple. Nous avons nos désaccordsmais quand une décision est prise, elleest respectée et c’est appréciable.J’ai également remarqué la qualité deséquipes.Les agents sont impliqués etconscients de leur responsabilité, ilscherchent toujours à aller de l’avant.Quels ont été les enjeuxinternes et externes del'année 2015 ?J’ai passé beaucoup de temps àrencontrer les acteurs à mon arrivée.Passé cette phase d’installation, j’aisouhaité que l’on puisse lancer uncertain nombre de travaux stratégiques.Je pense notamment à trois sujetsparticuliers.Le premier est celui de la santé mentalequi s’est traduit par le lancement de deuxchantiers régionaux sur les financementset les ressources humaines.Une démarche autour du parcoursterritorial de santé mentale a égalementété initiée dans la Sarthe.Le deuxième sujet est celui des soinspalliatifs, travaux qui ont été menésavec la CRSA. Tandis que la CRSA s’estintéressée aux attentes des usagers,l’ARS s’est penchée sur un état des lieuxet un diagnostic de l’organisation et del’offre en soins palliatifs. Un plan régionalautour des soins palliatifs sera d’ailleursdéveloppé en 2016.Le troisième sujet concerne l’accèsaux soins des personnes en situationde handicap, un projet mené encoreune fois avec la CRSA.Il peut entrer le matin et sortir le soir. Levirage ambulatoire répond égalementà une demande sociétale. Les patientsdemandent eux-mêmes à pouvoir rentrerchez eux le plus rapidement possible.Car c’est souvent chez soi qu’on est lemieux. Le virage ambulatoire représentetoutefois une exigence forte au niveaudes établissements car il leur demandede revoir leur organisation interne et leurfonctionnement. C’est un processusprogressif, qui monte en puissance,cela prend du temps.En dehors de ces chantiersstratégiques, 2015 a égalementmarqué le début des travaux duProjet Régional de Santé (PRS),Nous avons besoin d’être confrontésà plusieurs points de vue, d’êtrechallengés et éclairés. Le plus grosrisque pour nous serait d’entrer dansun fonctionnement bureaucratique oùl’on pense que l’on possède toutes lesclés Et d’oublier que les expertisesse trouvent aussi chez nos partenaireset les acteurs de la santé. Nous avonsbesoin d’échanger et de dialoguer. Cettenécessité est d’autant plus forte dans lecontexte dans lequel nous sommes,avec des contraintes financières quinous obligent à faire des choix.au travers d’une réflexion autour de laterritorialisation et de la manière dontl’ARS porte le PRS, que j’ai d’abordsouhaité que l’on engage en interne.Quel est l’impact du virageambulatoire dans lesétablissements sanitaires ?Le virage ambulatoire accompagnel’évolution des pratiques et destechniques.Celle-ci permet et entraine ladiminution du temps passé dansl’établissement.Pour certains actes, le patient n’a plusbesoin de rester une nuit ou plusieurs jours.Pouvoir accompagner les personnes dans leurs parcours desanté sans rupture, sans avoir à construire ou trouver ellesmêmes leurs solutions, voilà une des grandes missions de l’ARS.Quelle est la place de ladémocratie sanitaire ?Il y a une forte maturité de ladémocratie sanitaire dans notre région.Les acteurs et partenaires sontautonomes et nous interpellent surdes sujets. Nous avons su construireensemble les moyens de bien travaillercollectivement.Quel est le rôle de l'ARSdans l'articulation des acteurs ?La santé au cœur de notre système,est-ce possible ?L’ARS a la légitimité de réunir des acteurs de milieux différents.C’est un des enjeux à venir. Lorsqu’il s’agit de santé, on se tournesystématiquement vers les acteurs du soin ou vers l’ARS, commesi c’était l’hôpital, les médecins et les professionnels de la santéqui étaient les seuls porteurs des questions de santé. Or, l’état desanté de la population n’est lié qu’à 20% à l’offre de soins, les 80%restants sont dus à l’environnement, au social, au comportement,au logement, donc à d’autres politiques publiques hors celles dela santé.L’enjeu, demain, est de faire en sorte que ces mêmesacteurs puissent prendre encore plus d’initiatives, et quel’ARS se positionne davantage comme accompagnateurou facilitateur et moins en initiateur.Quelle place accorder aux activités plusrégaliennes comme la sécurité sanitaire despersonnes et de l’environnement ?Je ne fais pas d’opposition entre les activités. Les activités ditesrégaliennes font partie des missions de l’ARS au même titre quetoutes les autres activités. Et d’une certaine façon plus que lesautres.Les enjeux de veille et de sécurité sanitaire sont desmissions essentielles. Ces activités relèvent de nosobligations morales, éthiques en tant que servicepublic de la santé.En temps de crise ou d’alerte, toutes les autres activités sontd’ailleurs mises en pause au profit de ces activités régaliennes.Nous assurons le contrôle sanitaire de l’eau, des missions sur l’airintérieur, la gestion d’événements indésirables graves. Notrerôle est celui d’un service public qui assure la protection de lapopulation.La santé au cœur de notre système, cela veut donc dire quele sujet de la santé doit être partagé par d’autres porteurs depolitiques publiques, les collectivités territoriales, d’autresinstitutions de l’Etat. Tous ont une responsabilité sur l’état desanté de la population.Et demain, quels sont les grands enjeux ?Les principaux enjeux gravitent autour de la territorialisation, del’accompagnement des initiatives d’acteurs sur le terrain, de lacoordination des acteurs autour de la personne dans les territoires.Le virage ambulatoire fait partie de ces enjeux. Il s’agit par ailleursd’encourager et permettre le maintien à domicile des personnesâgées, et en milieu ordinaire des personnes en situation dehandicap.Pouvoir accompagner les personnes dans leurs parcours desanté sans rupture, sans avoir à construire ou trouver ellesmêmes leurs solutions, voilà une des grandes missions de l’ARS.

9page9 42àSOMMAIREL'ARS INNOVEp25Travaux en santé mentalep10Maladies chroniquesp26p11Simulation en santéCoopération Orthoptistes Ophtalmologistesp12Pour des parcours de vie sans rupturep27Soins palliatifs et développementdes équipes mobilesp13ViaTrajectoire personnes âgéesp28Accès aux soins de proximiténos réalisationsp29Permanence des soins ambulatoiresp30Plateforme transportsp31Plateforme de télémédecinep 32Notre identitéP9p14/15p16En santé à l'écolep17Évaluation de l'impact en santép18/19Qualité des eaux potables et de loisirsp20Plan régional santé environnement 3p33-36p21Plan sportet activité physique pour tousLes grandes missions et les délégationsterritorialesp37/38Les activités régaliennesp22Plan cancer 3p39/40Les directions supportsp23Plan autismep24Personnes handicapées vieillissantesp41La conférence régionalede la santé de l'autonomiep42LexiqueZFLASHEMOI !Publication : juin 2016Directrice de la publication : Cécile Courrèges, Directrice généraleDirection de projet et de la rédaction : Séverine Blanc, Responsable communicationCrédits photos : Fotolia - ARS - SNOF - Argentic & numéricConception et création : agence Latitude www.agence-latitude.frImpression : Hauts de Vilaine – www.hautsdevilaine.com - imprimé en 650 exemplairesPapier 100% recyclé – Cocoon SILK – 300 g pour la couverture et 135 g pour les pages intérieuresL’ARS Pays de la Loire remercie vivement tous les agentset les partenaires qui ont contribué à la réalisation de ce rapport d’activité.

1011maladies chroniquesSIMULATION en santéAméliorer la qualité de vie des personnes atteintes d’une maladie chronique est une des missions de l’ARS.Cette amélioration passe notamment par la mise en œuvre de plusieurs expérimentations comme cellesur l’insuffisance rénale chronique.« Jamais la première fois sur le patient ! ». La simulation en santé permet aux professionnels de la santéde développer leurs compétences, le travail en équipe et de gérer des risques en soin.Ou encore le protocole Asalée qui prévoit des modalités dérogatoires de coopération entre médecinet infirmier sur deux dépistages (troubles cognitifs de la personne âgée, BPCO du patient tabagique) et deuxsuivis de pathologies chroniques (diabète de type 2 et risque cardiovasculaire). 14 sites expérimentaux,répartis sur 4 départements, ont été retenus et le suivi de la mise en œuvre de ces protocoles a été un desobjectifs prioritaires de l’année 2015. Par ailleurs, dans l’amélioration des parcours de santé, le déploiementde programme d’éducation thérapeutique en premier recours reste une priorité stratégique.EN 2015, l'ARS A.2015 a été marquée par la poursuite de l’expérimentation dudispositif d’annonce d’une IRC et d’une SEP, programmée sur3 ans. Un dispositif voué à une harmonisation régionale encohérence avec les orientations de la HAS, respectivement,dans le cadre de l’expérimentation du « parcours IRC »et du PMND.23 nouveaux programmes d’ETP (maladies cardiovasculaires,diabète, santé mentale, cancer, SEP, obésité infantile,insuffisance rénale) ont été mis en œuvre, dont 35%concernent une offre autre qu’hospitalière : en ACT, encentres d’examens de santé, ou encore portés par desprofessionnels de santé libéraux, contribuant ainsi audéveloppement d’une offre en proximité.et Angers, du CH du Mans, du CHD de Vendée et dans lesSSR des CH de St-Nazaire, Laval et Le Mans.Il a été identifié deux moyens d’informer sur les maladieschroniques à l’initiative d’acteurs de santé. D’abord, endéveloppant un annuaire des consultations spécialiséesmaladies chroniques, un support réalisé par la CHTsarthoise et diffusé aux praticiens et médecins libéraux duterritoire de santé. Puis, en concevant un livret d’informationde la population et des professionnels de santé pourl’accompagnement des personnes malades chroniques(« Parkinson ») sarthois, diffusé dans les établissements desanté.Par ailleurs, le rapprochement des trois réseaux asthme,diabète et insuffisance cardiaque a fait émerger un dispositifpolyvalent, nommé MC 44, pour développer l’ETP etaccompagner les professionnels de santé libéraux, danscette démarche.Enfin, la candidature de l'ARS a été retenue pour la miseen œuvre du décret du 17 juillet 2015 « relatif à desexpérimentations tendant à améliorer la prise en charge despersonnes atteintes d’insuffisance rénale chronique » dansune cohérence avec la stratégie nationale de santé sur ladémarche « parcours, pré-suppléance et suppléance ».Dans le même souci d’optimisation qualitative, le premierdispositif de consultations de suivi post-AVC a été mis enplace dans les unités neuro-vasculaires des CHU de NantesLes actions réalisées en 2015 forment un socle de conditionsfavorables à une amélioration de la coordination de l’offre etdes parcours de santé au cours de 2016.ELIANE MÉAUDEChargée du projet Qualité de vie et du dossier « Dispositif d’annonce » à l’ARS Pays de la LoireLe rapport d’activité fait état de la réalisation de l’expérimentationd’un dispositif d’annonce d’une insuffisance rénale chronique etd’une sclérose en plaques. Qu’est-ce qu’un dispositif d’annonce ?C’est une organisation hospitalière qui vise à faire bénéficierles patients de conditions qui leur sont individuellementappropriées pour leur annoncer le diagnostic d’une maladiegrave ou de son aggravation. L’objectif du dispositif est de lesinformer globalement sur les conséquences et sur les réponsesaux besoins de soins et d’accompagnement existantes, pouréclairer leurs choix et les associer dans les prises de décisions,notamment thérapeutiques.Comment fonctionne ce dispositif d’annonce ?La démarche d’annonce est séquencée en quatre temps : un temps médical spécialisé où le médecin annonce aupatient sa maladie ou son aggravation, les conséquences,les soins et répond à ses questions. un temps paramédical où l’infirmière reprend les informationsmédicales et identifie les besoins du patient avec lui enfonction de son environnement. un temps d’accès à une équipe de support (psychologue,assistant social, diététicien ) qui, avec le patient, définit etsuit la mise en place des réponses adaptées à ses besoins. un temps de coordination où les médecins s’informentmutuellement sur les éléments liés à la maladie, le contextemédico-psycho-socio-professionnel du patient et partagentles décisions.L’annonce d’une maladie est intrinsèque de l’activité médicale.Quelle est la plus-value du dispositif d’annonce ?Le dispositif d’annonce fait appel à une équipe pluriprofessionnelle qui coordonne ses informations, ses décisionset ses actions. Les patients sont engagés plus rapidement dansun parcours de santé et sont assurés d’être accompagnés, pardes professionnels formés spécifiquement, dans ce momentdifficile d’entrée dans une maladie qui va bouleverser leurshabitudes de vie personnelle, familiale et sociale. Dans cetaccompagnement, les patients sont amenés à être des acteursprincipaux dans toutes les décisions qui les concernentet dans la gestion de leur maladie et de ses contraintes.Les patients sont concrètement au cœur de l’attention.Expérimenter pour mieux pratiquer, c’est là tout l’enjeu de la simulation où le droit à l’erreur et la remiseen question apparaissent comme nécessaires. La grande variété de situations appréhendées favorisel’acquisition de nouvelles compétences notamment dans le développement professionnel continu (DPC).Convaincue des bénéfices de cette approche pédagogique, l’ARS s’engage dans le développement de lasimulation au niveau régional.EN 2015, l'ARS A.Faire connaître largement la simulation en santé, développerl’offre des programmes de simulation et favoriser lacomplémentarité et les coopérations entre les structureseffectrices sont les principales missions de l’ARS.Dans ce cadre, l’ARS a poursuivi, en 2015, leconventionnement pour développer la méthode de lasimulation sur toute la région. Le comité de pilotage enplace a assuré ce déploiement au gré de 6 réunions. Ainsiles structures potentiellement effectrices de programmes desimulation en santé, dans le cadre du DPC de l’éducationthérapeutique, ont pu être identifiées et promues. Sur avisdu comité scientifique, regroupant des a

Pouvoir accompagner les personnes dans leurs parcours de santé sans rupture, sans avoir à construire ou trouver elles-mêmes leurs solutions, voilà une des grandes missions de l’ARS. Notre rôle est celui d’un service public qui assure la protection de la population. Pouvoir accompagner les personnes dans leurs parcours de

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Defense Workforce, Innovation, Rep. Troy Balderson and Industry Caucus Rep. Jason Crow Democratic Women's Caucus Rep. Lois Frankel Rep. Brenda Lawrence Rep. Jackie Speier Diabetes Caucus Rep. Diana DeGette Rep. Tom Reed Digital Trade Caucus Rep. Suzan DelBene Rep. Darin LaHood

170 Huestis E S ics 39 Hunter I. 11 res 55 Hunter Margaret M res 60r2 Hyde F 0 Hay Merchant 74 Hyde II E res' 196 llyslop's ladies Wear I)44 Imperial Oil Limited D L McCain Agent 199 Irwin R G res 70 JACKSON BROS LTD Hardware Saddlery & Men's Wear 68 Jackson C F res 21 Jackson J H res J 59 Jackson W H res 130 Jetta H F res 133 Johnson A J res

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