Les Concepts De Base En Psychologie Cognitive

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Les concepts de base en psychologieCognitiveClaudia Leuly JoncartNeuropsychologue.CHU. MartiniqueJanvier 2018

Définitions La cognition :- Ensemble des processusd’acquisition et d’utilisation desconnaissances.Parler, comprendre, analyser,synthétiser, organiser, anticiper,planifier, se concentrer,mémoriser, réfléchir sont desfonctions cognitives

Cognitions: Support de la pensée, de l’action, de lacommunication, de la perception de notreenvironnement.

Psychologie cognitive et traitement del’information La psychologie cognitive est l’étude des activitésmentales. La psychologie cognitive cherche la réponse, essaie desavoir ce qui se passe dans la « boite noire », c’est sous ceterme que l’on désigne la tête.

La Psychologie Cognitive : Elle s’intéresse nà l’utilisation desconnaissances chez l’hommeC’est donc une psychologie générale expérimentale.

Psychologie cognitive et traitement del’information L'humain est représenté par un système de traitement del'information qui optimise la transmission d'un message. Un émetteur envoie un message codé qui est ensuitedécodé au niveau du récepteur, la question étant : « Comment convoyer un minimumd’information en conservant le sens, en gardantla compréhension ? ».

Psychologie cognitive et traitement del’information le cerveau produit un message, Celui-ci est émis sur un canal (visuel, auditif, écrit, etc.) Arrive ensuite le décodage qui est la confrontation del’acquit avec ce que l’on a en mémoire. «La psychologie cognitive se réfère à tous lesprocessus par lesquels l’input sensoriel esttransformé, réduit, élaboré, stocké, rappelé etutilisé !» Neisser (1967)

Aujourd’hui, la psychologie cognitive De larges champs d’application :– Ergonomie dans le travail : ajustement de de la tâche auxcapacités cognitives de l’homme.– Recherche en laboratoire : recherche fondamentale– Education : prise en compte des capacités d’apprentissage et dudéveloppement cognitif– Santé et soin : processus de pensées en lien avec le soma, lesémotions et le comportement

Le traitement de sLes connaissancesRaisonnementReprésentations mentales et schémas

Le traitement de l’information Analogie avec l’informatique pour définir lefait que notre esprit traite (perçoit, reçoit,isole, transforme, restitue) del’information (visuelle, verbale, gustative,olfactive, proprioceptive, émotionnelle )

Le traitement de l’information :Architecture cognitive de base

Le traitement de l’informationArchitecture cognitive de base

La perception

La perception Ensemble de mécanismes et de processuspar lesquels l’organisme prendconnaissances du monde et de sonenvironnement sur la base desinformations élaborées par ses sens.

Le traitement de l’information :Architecture cognitive de base

L’ATTENTION L'attention est la prise de possession par l'esprit,sous une forme claire et vive, d'un objet ou d'unesuite de pensées parmi plusieurs qui semblentpossibles On insiste sur la notion de ressourcesattentionnelles et sur la gestion de ces ressources

L’attention

Préalable : La vigilance Correspond à notre niveau d’éveil, à notrecapacité à résister à l’endormissement dû enparticulier à la fatigue ou à la monotonie d’unetâche

3 types d’Attention- Sélective- Divisée ou partagée- Soutenue

L’attention sélective

Processus d’inhibition et sensibilité auxinterférences Effet Stroop

L’attention partagéeL’attention partagée est la capacité de se concentrer sur plusd’un stimulus à la fois. Notion de partage de nos ressources attentionnelles Par ex : au téléphone parler et noter une adresse au mêmemoment

L’attention attention soutenue Capacité de maintenir une performance surune longue période de temps qui dépenddu:- maintien de la vigilance,- la capacité de détection du stimulus- la résistance à la distraction, donc ducontrôle mental

Les émotions

Les émotions Définition : difficile !!! État affectif intense, caractérisé par une brusque perturbationphysique et mentale où sont abolies, en présence de certainesexcitations ou représentations vives, les réactions appropriéesd'adaptation à l'environnement.

Selon EKMAN Les émotions de base :PeurColèreDégoutTristesseSurprise Joie Honte . Consensus,universalité reconnue

Emotion et cognitionNos émotions influencent nos capacités cognitives et doncnos apprentissages selon différentes manières Par exemple pour l’attention- Réduction de nos ressources attentionnelles- Perturbation de l’attention sélective- Altération de la gestion de nos de nos ressourcesattentionnelles Par exemple, un anxieux peut consacrer une quantitédisproportionnée de ses ressources cognitives à sespréoccupations et ne plus avoir de ressources cognitivesdisponibles pour d’autres autres tâches.

Pour la mémoire Les émotions peuvent marquer nos traces mnésiques,nos souvenirs, nos connaissances. Nos émotions peuvent également affecter notremémoire. Chez les déprimés retenir et rappeler plus facilement desmots tristes que des mots neutres dans une liste àapprendre.

Le traitement de l’information :Architecture cognitive de base

La mémoire: ARCHITECTURE DE LA MEMOIRE

Les modalités mnésiques Sensorielles : Visuelles Auditives Gustatives Olfactives Proprioceptive

Les différentes mémoires La mémoire sensorielle La Mémoire à Court Terme, deTravail La Mémoire à Long Terme

La mémoire sensorielle Est en lien direct avec nos sens et qui permet :- le maintien de l’information pendant une courtedurée- Permet la prise en compte de l’information et lepassage ou non dans la mémoire de Travail(MDT)

La Mémoire à Court Terme/de TravailDéfinition: Espace de stockage et de traitement de l’information limité à7 /-2 items Caractéristiques :– Espace de traitement actif de l’information– Système dans lequel se déroule les opérations mentales quiinterviennent dans de nombreuses activités cognitives(raisonnement, compréhension du langage, prise dedécision )– L’information reste peu de temps– Dépend de l’attention

La mémoire à court terme La mémoire à court terme, également baptisée mémoire de travail, nouspermet de retenir, dans une durée comprise entre une et (environ) dixsecondes, jusqu'à sept « éléments », pour la plupart des personnes. C'est pour quoi nous regroupons nos numéros de téléphone en trois à cinqnombres, au lieu de le laisser sous la forme d'une suite de dix chiffres. Cependant, le nombre d'unités d'informations différentes que nous pouvonsretenir varie selon les individus : certaines personnes sont limitées à 5, d'autresvont jusqu'à 9, selon leur capacité de concentration (ce qu'on appelle l'empande la mémoire de travail). Cette unité d'information peut être un nouveau visage, un nombre, .Quoiqu'il en soit, cet élément survivra pendant environ 18 secondes avant dedisparaître à jamais de notre mémoire si on ne fait pas un effort conscient pours'en souvenir.

26 58 74 /916583 26 578 4698 15876 658712 3921587 49587136 349785015

Fonctionnement de la MDT L’information y est codée soit :– Verbalement : E, D 4, 6– Visuellement : visualisation de formes et defigures pour mémorisation de l’information– Sémantiquement : fondé sur la significationdes mots pour stocker et manipuler desinformations en MDT

Les processus mnésiquesL'encodage : Acquisition et consolidationEtape capitale pour l’enregistrement de l’information- Utilité des sens Mémoire detravailLe stockage: La création etl'enregistrementLa récupération: Utilisation desinformations stockées

La Mémoire à Long Terme (MLT) Définition : Stockage d'information qui a pu bénéficierd'une révision mentale et qui a fait l'objet detraitement approfondi. Le registre à long terme semble avoir unecapacité de stockage illimité, avec deslimitations sélectives sur la récupération desinformation.

ExempleSOURISVIOLET FLUTEPYJAMA

Caractéristiques et fonctionnementMLT Rôle prépondérant de la répétition mentale pour lestockage de l’information en MLT Importance de la profondeur et de l’élaboration del’encodage (moins bon si superficiel) Double codage : la mémorisation d’un matériel peut se faireselon plusieurs code (visuel et verbal par ex), ce qui augmente lamémorisation du matériel plutôt que d’utiliser un seul code. Effet du contexte : sur la mémorisation et le rappel del’information : le rappel d’information dans le contexte identiqueà l’apprentissage sera meilleur que dans un contexte différent

Mémoire à long terme est composé: Mémoire explicite/ déclarative: est sollicitéelorsque nous cherchons consciemment etintentionnellement à récupérer des informations quenous y avons préalablement stockées (apprentissageconscient et volontaire, par ex les plongeurs) Facilement accessible à la conscience - Mémoire Episodique - Mémoire Sémantique

La MLT EXPLICITE DECLARATIVE - Mémoire Episodique ou autobiographique:Les événements vécus, le contexte (date, lieu) et les émotions liésà cet événement.Concerne notre histoire, c'est donc notre mémoire affective. Lerappel des souvenirs de la mémoire épisodique peut êtrevolontaire ou non. - Mémoire Sémantique :Regroupe tout ce qui est théorique et relationnelle.À savoir les codes sociaux, le sens des mots, la fonction deschoses, les règles d'orthographes. Elle est en quelque sorte notrebase de connaissance du monde. Par exemple, « chien, oiseau »font partis des animaux.

Mémoire à long terme est composé: La MLT IMPLICITE/NON-DECLARATIVE : intervientlorsque nous utilisons des informations que nous avonspréalablement stockées sans nous rendre compte que nousréutilisons ces informations. (par ex : dans la vie de tous les jours,utilisation importante de cette mémoire Difficilement accessible à la conscience– Mémoire Procédurale Elle est surnommée ainsi car elle ne s'exprime pas avec des motset ne fait pas l'objet d'un rappel conscient. On y trouve parexemple comment marcher, jongler, faire un nœud. La mémoireimplicite regroupe la mémoire procédurale et la mémoireémotionnelle.

La MLT IMPLICITE NON-DECLARATIVE Qui sous tend l’habitude, le conditionnement, tout comme lesfacultés perceptives et motrices comme faire du vélo ou savoirjouer au tennis. La mémoire procédurale est composée d'automatismesparfaitement intégrés qui assurent nos savoir-faire techniques danstous les gestes de la vie courante, qu'ils soient simple oucomplexes. Comme par exemple lacer ses chaussures, conduireune voiture. La mémoire émotionnelle enregistre les émotions liées à desexpériences vécues. C'est la mémoire inconsciente au senspsychanalytique, elle conditionne inconsciemment notrecomportement et nos pensées.

icite

Mémoire et amnésies

Mémoire et amnésies L'amnésieantérograde (ou defixation) Incapacité de se souvenirou de reconnaître denouvellesinformations ou denouveauxévénements survenusaprès le début del'amnésie. L’amnésie rétrograde(ou d'évocation)Incapacité de se souvenirou de reconnaître denouvelles informationsou de nouveauxévénements survenusavant le début del'amnésie.

LES DIFFÉRENTS TYPES D'AMNÉSIE L’amnésie rétrograde (d’évocation)L’amnésie rétrograde résulte d’un accident au niveau del’hippocampe, la zone du cerveau responsable du stockage et de laconsolidation du souvenir. Elle correspond à undysfonctionnement du mécanisme de récupération pour certainsdes faits précédant l’événement qui a endommagé le cerveau.Cette amnésie engendre une perte partielle (quasiment jamaistotale) de la mémoire sémantique et épisodique, et la périodecouverte par la perte de mémoire peut être plus ou moins longue.

L’amnésie antérograde ( de fixation) L’amnésie antérograde résulte elle aussi d’un accident, qui aendommagé différentes zones du cortex . Il s’agit del’impossibilité pour le sujet d’apprendre de nouvellesinformations, suite à la destruction de groupes de neuronesliés à l’apprentissage.

L ’amnésie bitemporale Cette amnésie comporte les deux types d'amnésiesprécédentes. Elle est liée à un endommagement définitif del'hippocampe, ce qui empêche la remémoration des souvenirsinférieurs à 3 ans et la formation de nouveaux souvenirs.

L’amnésie traumatiqueSuite à un traumatisme, la victime peut développer un stress posttraumatique, donnant lieu à une amnésie dissociative, c'est-à-direqu’elle ne pourra pas se souvenir des événements ayant eu lieupendant son choc émotionnel, ou son accident.Cette amnésie est en relation avec la mémoire épisodique, qui gèreles souvenirs marquants.Ce type d'amnésie pourrait être en relation avec la théorie de l'oublimotivé, avancée par Freud, la victime, choquée pourrait rejeter lessouvenirs traumatisants.

Psychologiecognitive: les connaissances

Psychologie cognitive :- Les connaissances Ce sont un ensemble de savoirs, savoir-faire, savoir-être que l ’on acquiert et que l’on peut mobiliser si besoin Certaines connaissances sont : théoriques (anatomie, physiologie, pathologie cardiaque.),mais nous avons besoin: de les reconstruire en mémoire, pour les acquérir.

Les connaissances D ’autres connaissances se construisent par unetransformation que nous opérons (la manière dont nousallons prendre en charge un patient porteur d ’unepathologie coronarienne ). C ’est parce que nous utilisons nos connaissancesthéoriques pour agir que nous transformons cesconnaissances théoriques en connaissances d ’action.

Les connaissances Donc acquérir des connaissances est un processus - constructif - cumulatif - on peut toujours apprendre, lacapacité de l ’homme est illimitée. La construction des connaissances permet de répondreau besoin fondamental de l ’homme de comprendre lemonde qui l ’entoure.

Les connaissancesIl y a deux notions importantes concernantles connaissances : la place des connaissances antérieures l ’organisation des connaissances enmémoire

Répertoire de connaissances Les connaissances antérieures Les connaissances déclaratives Les connaissances procédurales Les connaissances conditionnelles

Les connaissances antérieures: « Le verre est toujours à moitié plein » on apprend àpartir du « déjà-là ». Le savoir se construit progressivement : la personne quiapprend met en relation ce qu’elle connaît déjà avec lesnouvelles informations (exemple de l’étudiant enformation) On doit tenir compte des connaissances antérieures, si onveut en faire développer d’autres (exemple : éducation dupatient)

Les connaissances déclaratives Les connaissances théoriques sont appelées desconnaissances déclaratives :Les faits, les lois, les règles, les principes- Exemples : - anatomie, physiologie, pathologies - théorie de la démarche de soins - théorie sur les injections, les pansements, lesperfusions

Les connaissances déclaratives Ces connaissances ne permettent pas d ’agir, car ce sontdes connaissances théoriques. Ce n ’est pas parce que l ’on a des connaissancesthéoriques sur la pose d ’une perfusion, que l ’on estcapable de la poser. Par contre on en connaît les règles. C ’est la première étape.

Les connaissances procédurales Les savoirs-faire sont des connaissancesprocédurales : ce sont les connaissances d ’action. Correspondent au comment de l’ action, aux étapes, à laprocédure pour réaliser l’ action. Elles sont souvent automatisées (techniques de soins), cequi dégage de l ’espace dans la mémoire de travail, nouspermet d ’être disponible pour traiter d ’autressituations

Les connaissances procédurales Une connaissance automatisée ne passe plus par lamémoire de travail. Les connaissances procédurales ne sont pas toutes desgestes ; ce peut être une procédure : la démarche desoins nécessite d ’acquérir des connaissances déclaratives(théorie) et procédurales (raisonnement à partir deprocédure d ’action) C ’est pour cela que la démarche de soins placel ’étudiant dans une situation d ’action contextualisée :placer l ’étudiant dans un contexte de tâche réelle

Les connaissances conditionnelles Ce sont les connaissances qui tiennent comptedes conditions contextuelles, temporelles danslesquelles doivent être réalisé une action. Ex: vous allez faire vos courses en journée etrarement en pleine nuit (dans notre région).

Les représentations

Quel sens accorder à la représentation ? Notion centrale en psychologie cognitive – difficile àclarifier car selon les auteurs, les concepts utilisés sontdifférents Cependant on lui accorde deux sens différents(consensus chez les auteurs) :

1er sens : La représentation : Représentation intellectuelle momentanéequi permet de donner du sens à unesituation en utilisant les connaissancesstockées dans la mémoire

2ème sens : La représentation : est une structure de connaissancesstabilisées en mémoire à long terme – on utilise souventle terme de schéma mental pour traduire cettereprésentation La connaissance est par nature permanente et ne dépendpas de la tâche à réaliser

La notion de représentation mentale Dans le premier cas : La représentation : est une représentation intellectuellemomentanée qui permet de donner du sens à une situationen utilisant les connaissances stockées dans la mémoire Ici : la représentation est dépendante de la tâche à réaliser :c’est une construction occasionnelle et précaire par nature Si un élément de la situation change, votre représentationest modifiée

La notion de représentation mentale Ex : vous faites la toilette d’un patient ; vous avez desconnaissances générales sur ce soin, la manière del’organiser, mais vous construisez une représentation dela tâche à réaliser à un patient donné, au moment oùvous agissez Si le patient que vous prenez en charge réagit au soin parun refus de se lever pour la toilette au lavabo, votrereprésentation de la tâche va changer.

La notion de représentation mentale Dans le 2ème cas : La représentation : est une structure de connaissancesstabilisées en mémoire à long terme – on utilise souventle terme de schéma mental pour traduire cettereprésentation Les connaissances sont enfouies dans la mémoire à longterme ; elle sont organisées en différents niveaux etselon les auteurs portent différents noms : schémas,réseaux, scripts, cadres, schèmes (pour Piaget) Ce sont les clés qui permettent à l’individu decomprendre le monde et d’agir dans ce monde

La notion de représentation mentale Ex : Quand une situation se présente à l’individu (s’inscrireà l’IFSI, prendre en charge un patient avec une fracture dufémur ), celui-ci peut la comparer à une situation déjàvécue et dont les enchaînements sont encodés sous forme deschémas (ou réseau, ou script ) Il va donner du sens à la situation en construisant unereprésentation de celle-ci (momentanée, liée au contexte )et pour cela utiliser ses connaissances en mémoire Si les connaissances ne sont pas suffisantes, la représentationde la situation sera partielle et peut être erronée

la notion de représentation mentale Ex : Quand une situation se présente à l’IDE, commeprendre en charge un patient à l’arrivée dans le service(ex. fracture du col du fémur chez une personne âgée) : La représentation de la situation est rapide quandl’infirmière rencontre le patient (identification de lapathologie, âge, contexte d’arrivée à l’hôpital, premièresactions de soins, risques, etc )

la notion de représentation mentale Par contre, les connaissances à mobiliser doivent êtreactivées : Généralement elles sont implicites mais si on demande àl’IDE d’expliquer tel examen, tel soin, l’anatomie dufémur, le risque traumatique, elle devra aller chercherdans sa mémoire, parfois faire un effort cognitif pour serappeler le schéma physiopathologique (traumatique)

la notion de représentation mentale 3 formes de représentations :3 types d ’appréhension de la réalité Les représentations liées à l’action Les représentations

Psychologie cognitive et traitement de l’information le cerveau produit un message, Celui-ci est émis sur un canal (visuel, auditif, écrit, etc.) Arrive ensuite le décodage qui est la confrontation de l’acquit avec ce que l’on a en mémoire. «La psychologie cognitive se réfère à tous les

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par un Pacs vivant sous le même toit, les enfants (légitimes, natu-rels ou adoptés), les petits-enfants, un frère ou une sœur, le père, la mère, les beaux-parents, les grands-parents, le tuteur légal, les beaux-frères et belles-sœurs, les gendres et belles-filles, les oncles et tantes, les neveux et nièces de l’Assuré. NULLITÉ

par un Pacs vivant sous le même toit, les enfants (légitimes, natu-rels ou adoptés), les petits-enfants, un frère ou une sœur, le père, la mère, les beaux-parents, les grands-parents, le tuteur légal, les beaux-frères et belles-sœurs, les gendres et belles-filles, les oncles et tantes, les neveux et nièces de l’Assuré.