Revue De Presse Du 18 Au 23 Février 2017

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Revue de presseDu 18 au 23 Février 2017Les articles contenus dans ce document n’engagent que lesauteurs et les sources dont ils émanent. Ils ne reflètent en aucuncas une position officielle de la COI1Revue de presse de la COI produite par le centre de documentation

SommaireEntreprenariat .3 Island bio : « instaurer l'entrepreneuriat dans lescommunautés pour alléger la pauvreté » selon JohnOliver fanfanEconomie 6 Des réunions à foison mais aux résultats moindresTourisme .8 Tourisme: 366 000 visiteurs seront attendus cetteannée Salon du tourisme – Madagascar présent au salon deBerlinEnvironnement 11 Préservation environnementale: Il faut aller au-delàdes théoriesDéveloppement durable .12 Aspiring Blue Economy leaders complete internshipprogramme FINALISATION DES ÉTUDES DU PROJET DOWA: Leseaux profondes de l’océan pour climatiser desbâtiments « Le Groupe Airbus intéressé par un nomique des Comores »2Revue de presse de la COI produite par le centre de documentation

EntreprenariatIsland bio : « instaurer l'entrepreneuriat dans lescommunautés pour alléger la pauvreté » selon JohnOliver fanfan20 FEBRUARY, 2017Fondateur de l'entreprise sociale et sans but lucratif d'Island Bio, JohnOliver Fanfan a mis sur pied une ferme 100% naturelle, Island Bio,communautairedeBaie-du-Tombeau. Un projet visant à encadrerchômeurs, ex-détenus et ex-drogués, et qui aide, selon John OliverFanfan, « à libérer l'homme de la pauvreté, condition qui l'empêche dedevenir un entrepreneur ». Une journée portes ouvertes sera organisée le25 février sur la ferme Island Bio, à Baie-du-Tombeau, au Docker'sVillage. Tous ceux qui veulent s'y joindre pourront s'initier à l'agricultureorganique.« Nous encadrons des personnes en difficulté et comme nous ne urinstaurerl'entrepreneuriat dans les communautés tout en aidant l'homme à resterau centre des priorités », indique John Oliver Fanfan, fondateur d'IslandBio. Située sur un terrain de 3 arpents, Island Bio a encadré le groupe3Revue de presse de la COI produite par le centre de documentation

Twelfth Star et son équipe, qui s'adonnent à la plantation et à l'élevage.Ce faisant, cela les aide à vivre et à nourrir leur famille. Ils sont aussisoutenusdansleurprojetpar«Nous croyons fermement qu'il estlaFondationimportant deJosephLagesse.commencerparprivilégier une alimentation bio et locale afin de limiter son empreinteécologique et se nourrir de manière plus saine. Nous pensons aussi que tvalorisel'entrepreneuriat », affirme Marie Laurence Dupont, de la FondationJoseph Lagesse. L'idée a germé dans l'esprit de John Oliver Fanfan en2015 alors qu'il officiait comme directeur de projet pour une organisationrégionale, soit la Commission océan Indien (COI). Son rôle principal étaitde coordonner une équipe dont la mission première était de mettre 'IGqu'onn'accompagnait pas vraiment les gens et j'ai pensé au projet Island Bio,que j'ai soumis à la COI. J'ai été rejoint dans ma quête par Angel Angoh,artiste internationale et art-thérapeute ayant plus d'une quinzained'années d'expérience dans l'accompagnement des détenus à Maurice.L'allégement de la pauvreté est un problème nationalet il fautcommencer par mettre en place un travail communautaire, d'où leprogramme d'Island Bio, qui privilégie l'agriculture organique dans lesménages à faibles revenus », explique John Oliver Fanfan. Atteindrel'autosuffisance alimentaire et avoir une source de revenus garantis, telleest la maxime d'Island Bio, dont la pratique vise aussi à démocratiser lemarché bio à Maurice. Aussi les légumes bios de la ferme Island Bio sonten vente tous les samedis de 10h à 15h. La ferme a aussi bénéficié del'aide de la Fondation Lagesse, qui leur a remis cinq ruches en vue de lesaider à se lancer également dans l'apiculture et à produire leur propremiel.« L'homme au centre »« Island Bio apporte une solution durable à des personnes qui sont dansune culture de pauvreté, situation qui les empêche de devenir des4Revue de presse de la COI produite par le centre de documentation

entrepreneurs, en les engageant dans un parcours de développementpersonnel et spirituel axé sur des formations adaptées comme l'artthérapie, le “self leadership” et la gestion en coopératives », souligne Biosont:l'autonomisation des familles des quartiers défavorisés, en leur donnantles outils nécessaires pour devenir des entrepreneurs pleinement épanouisdans un parcours de développement personnel; apporter une souverainetéalimentaire sur le marché national par rapport aux produits naturels; offrirun label certifié, solidaire et gratuit aux bénéficiaires en leur facilitantl'accès et en encourageant les gens à croire dans leurs produits.Aujourd'hui, le projet a grandi avec, à sa tête, Cloé Chavry, responsabledes tâches journalières chez Island Bio, Angel Angoh, responsable desprogrammes de développement personnel et spirituel, et John OliverFanfan, responsable de développement du projet. Pour ce dernier, il estimpératif d'aménager les lieux communautaires en ciblant les quartiersdéfavorisés.« On met l'accent sur le travail intérieur afin de mieux observer lechangement extérieur. Il faut qu'il y ait un élément de partage, un travailcommunautaire pour permettre à l'individu de s'épanouir. Pour pouvoirêtre partie prenante de ce jardin bio, il faut que la personne soit encadréesur différents points incluant l'art-thérapie et le self leadership. Dès que lapersonne a su comprendre sa voie, elle peut se préparer à devenirautonome. »Il poursuit : « Nous plaçons l'homme au centre de nos projets en levalorisant dans son métier de par l'éveil de conscience tout au long decette expérience communautaire basée sur des valeurs et une cultureacquises dans nos sessions de formations et d'accompagnement continus.On lui apprend aussi à gérer son temps quand il travaille à son proprecompte. Toutes ces formations sont dispensées en amont durantl'implémentation et l'intégration du jardin. » John Oliver Fanfan rappelleque les produits de la ferme sont naturels et que la consigne est derespecter les normes internationales. « Nous garantissons non seulementla qualité du produit grâce à notre partenaire Quantilab, le premier5Revue de presse de la COI produite par le centre de documentation

laboratoire dans l'océan Indien, mais nous certifions aussi l'accès àl'épanouissement personnel de l'individu grâce à des programmes deformation et d'accompagnement. » Une journée portes ouvertes seraorganisée le 25 février à la ferme Island Bio, à Baie-du-Tombeau, auDocker's ger-la-pauvrete-selonjohn-oliver-EconomieDes réunions à foison mais aux résultats moindresSommet extraordinaire des chefs d’Etat et de gouvernement de laCommunauté de développement de l’Afrique australe (SADC) du 6 au 18mars au Swaziland, réunion inaugurale de la plateforme économiqueafricaine du 20 au 22 mars à Maurice, 32ème conseil des ministres de laCommission de l’océan Indien (COI) le 1er mars à la Réunion. Ce sontautant de réunions d’envergure régionale et continentale auxquellesMadagascar participera. Ces dates ont été annoncées en conseil desministres mercredi dernier. Il faut toutefois souligner que l’intégration del’économie malagasy aux blocs régionaux laisse à désirer. En 2012, lesexportations de Madagascar vers les pays de la SADC ont représenté 3%du total, contre 5,3% pour les pays du COMESA et 3,1% pour la COI,d’après le Plan national de développement (PND). Du côté desimportations aussi, la part de ces blocs est moindre comparée au total.Elle affiche 12% pour les importations de Madagascar en provenance despays membres du COMESA, contre 6,9% pour la SADC et 5,5% pour laCOI.Rappelons toutefois que Madagascar a rejoint la zone de libre échange duCOMESA depuis 2000, soit depuis 16 ans. Résultat : les produits égyptienset mauriciens envahissent le marché malagasy sans que les produits de6Revue de presse de la COI produite par le centre de documentation

Madagascar n’arrivent à percer sur ces marchés. Maintenant, des produitskényans commencent aussi à gagner le marché malagasy. L’on peut leconstater à travers les foires commerciales organisées notamment dans lacapitale. Ainsi, des produits en plastique et des ustensiles de cuisine enprovenance du Kenya sont proposés sur le marché malagasy.Particulièrement pour l’Egypte, elle organise même une foire annuelle àAntananarivo pour proposer une large gamme de produits allant desmeubles luxueux aux denrées alimentaires. Et quand on observe la partde l’exportation de Madagascar vers ces pays, elle demeure insignifiante.Or, la zone de libre-échange offre l’opportunité de la franchise douanière.En 16 ans d’adhésion à cet espace économique, le pays n’en récolte pasapparemment grand-chose. Les réunions se multiplient pourtant etMadagascar a même accueilli le sommet du COMESA l’an dernier. Lesresponsables étatiques malagasy qui s’y rendent régulièrement n’amènentque très rarement des opérateurs économiques dans ces délégations.Toutefois, il s’agit de dépenser des deniers publics mais pour des résultatspeu probants.Rappelons que sous Ravalomanana, l’adhésion à la SADC a été commetirée aux forceps. L’ex-président est un homme d’affaires visionnaire et avoulu positionner le groupe Tiko sur ce marché dont l’Afrique du sud est lemoteur. Il ne faut pas non plus oublier la montée de la classe moyennedans les pays de la SADC comme dans le bloc COMESA. Cette classebooste la consommation. Mais l’environnement des affaires à Madagascarest trop difficile pour permettre aux opérateurs de diversifier leursmarchés, d’afficher des produits et services à prix compétitifs. Notonstoutefois que des jeunes malagasy se lancent sur le marché africain enproposant des services TIC de qualité. Ils ne sont pas nombreux maiscette percée mérite d’être soutenue. Mais ce n’est pas encore le cas, carpour devenir de grands experts en TIC, il faut des formations de hautequalité dont le coût n’est pas abordable pour la grande majorité ndex.php?option com content&view article&id tsmoindres&catid 56&Itemid 1127Revue de presse de la COI produite par le centre de documentation

TourismeTourisme: 366 000 visiteurs seront attendus cette annéeLe paquebot MS Island Sky fera escale dans la Baie de Bombetoka, àMahajanga, ce dimanche 19 février. Une visite du Parc NationalAnkarafantsika est au programme des touristes. Classé dans la catégorie4 étoiles, le paquebot MS Island Sky est destiné à des croisières de luxepartout dans le monde.Le ministère du Tourisme entend poursuivre ses efforts afin d'augmenterde 25% le nombre de touristes et ainsi d'atteindre 366 000 visiteurs en2017. A partir de 2018, le ministère ambitionne d'atteindre 500 000touristes par an.L'écolodge de luxe Miavana sur l'ïle Ankao, dans le nord de Madagascar,est prévu ouvrir ses portes au mois d'avril. Classé hôtel ultra luxe,l'écolodge Miavana figurait déjà en 2016 dans le top 10 des îles privées àvisiter à travers le monde en 2016, devant d'autres hôtels de renom enTanzanie, en Thaïlande et en index.php?option com content&view article&id etteannee&catid 45&Itemid 1108Revue de presse de la COI produite par le centre de documentation

Salon du tourisme – Madagascar présent au salon deBerlin23.02.2017Les professionnels du tourisme malgache misent beaucoup surl’Internationale Tourismus Börse (ITB).Une forte participation. Madagascar annonce sa participation à l’un desplus grands salons internationaux du tourisme. Des professionnels dutourisme feront le déplacement à Berlin, lors de l’InternationaleTourismus Börse (ITB) qui se tiendra dans cette ville allemande du08 au 12 mars 2017.Cet évènement laisse une grande opportunité pourles acteurs locaux de faire la promotion de la destination Madagascar. Lesspécialistes annoncent même que l’ITB, avec ses 120000 visiteursprofessionnels et quelque 10000 exposants, reste un salon incontournablepour le marché du tourisme. Plus de 187 pays y seront représentés.EngouementC’est pourquoi, des tours opérateurs, des professionnels de l’hôtellerie, lacompagnie Air Madagascar, ainsi que l’Office national du tourisme deMadagascar (ONTM) et des offices régionaux occuperont le standMadagascar à ce grand évènement international. D’après un communiquéde l’ONTM, une conférence de presse pour faire découvrir la destinationMadagascar sera organisée le 9 mars au Parc des Expositions « MesseBerlin ». Elle sera suivie d’une table ronde avec les tours opérateurs émetteurs importants en Allemagne, Autriche et Suisse.L’ITB Berlin est le plusgrand salon en Europe dédié au tourisme. Toute la gamme de voyages ysont présentés comme les pays, les destinations, les voyagistes, lessystèmes de réservation, de transport. En 2016, pendant cinq jours, le9Revue de presse de la COI produite par le centre de documentation

Salon a enregistré un nombre record de visiteurs professionnels, avecenviron 120 000 personnes contre 115 000 en 2015, et a réuni 10 000entreprises issues de 187 pays. Pour le marché allemand, les actions depromotion seront surtout focalisées sur le birdwatching et la plongée.L’Allemagne est un marché émetteur prioritaire pour Madagascar, dans lamesure où les touristes allemands font partie du top 10 mondial destouristes les plus dépensiers, lorsqu’ils voyagent à l’étranger.Lova -de-berlin/10Revue de presse de la COI produite par le centre de documentation

EnvironnementPréservation environnementale: Il faut aller au-delà desthéoriesLa protection de l’environnement demeure un enjeu majeur si l’on veutpréserver notre écosystème. Toutefois, la dégradation environnementaleest telle que restaurer les dégâts reste un grand défi à relever. Il n’y aqu’à observer l’impact de ces dégradations par rapport auxenvironnements climatiques. La pluie arrive tardivement causant denombreux dégâts au niveau de l’agriculture. L’Etat a même dû faire appelà de nombreux tonnages de riz importé pour pallier le manque dû à lasécheresse qui faisait rage dans la capitale. Tout le monde a consciencede l’impact négatif que peut avoir la dégradation environnementale sur lavie des êtres vivants. C’est pourquoi des actions préventives telles que lereboisement sont mises en actions afin de préserver au mieux notreenvironnement. Toutefois, les actions menées ne sont nullementsuffisantes, vu qu’il n’y a aucun suivi entrepris et les jeunes poussesn’arrivent pas à se développer convenablement et finissent tous pardépérir. Puis, une grande partie des forêts à Madagascar sont dilapidéspour la production de charbon et de bois de chauffe servant à la cuisson.Pour Madagascar, le maintien et la préservation de la biodiversité est nonseulement vital, mais cela a également des visées économiques. Desvisées économiques puisque la préservation environnementale contribueamplement à l’amélioration de la fertilité du sol du pays et ainsi àl’amélioration des revenus d’une grande majorité de la populationmalgache composée exclusivement d’agriculteurs. Effectivement, 80 % dela population malgache fait de l’agriculture son activité de subsistance,d’où la nécessité de la protection de l’environnement. De nombreuxateliers se sont tenus au niveau de la Grande Ile afin de trouver desstratégies adéquates pour la préservation environnementale, mais laplupart reste dans le domaine de la théorie. Protéger l'environnement,c'est protéger l'humanité et permettre qu'elle survive car l'homme ne vitpas tout seul, mais en société.Jean Rianahttp://www.lagazettedgi.com/index.php?option com content&view article&id u-dela-des-theories&catid 45&Itemid 11011Revue de presse de la COI produite par le centre de documentation

Développement durableAspiring bruary-2017An initiative under the SIDS Youth AIMS Hub (SYAH), with the support ofthe British high commission, the internship programme entitled ‘Prosperityand Environment: Promoting sustainable development opportunities foryouth in the Blue Economy Sector' has ended.The first cohort of the Blue Economy champions received their certificateand a book ‘Rethinking the oceans’ (written by former President JamesMichel) during the closing ceremony held on Saturday at the NationalHouse in the presence of Vice-President Vincent Meriton, variousministers, principal secretaries and other guests.The initiative entailed a Blue Economy internship geared towards allowingyoung people to understand and experience the breadth of careeropportunities within the Blue Economy sector, as well as inspiring them totake up a career in the ocean-based economy.During the internship the 20 interns gained knowledge and practice on theBlue Economy through work placements in organisations such as IslandConservation Society (ICS), Seychelles Petroleum Company Ltd (Seypec),Seychelles Energy Commission (Sec), Wise Oceans and Seychelles AirForce, among others.The second part of the internship was held in Mauritius where 14 of themvisited many Blue Economy linked organisations and places includingSYAH Mauritius, the University of Mauritius, Indian Ocean RIM Associationand Mauritius Oceanography, among others.The interns were Shantana Barbe, Frances Benstrong, Emmaline Contoret.Ryan Dewa, Carol Hoareau, Melissa Jumaye, Camilla Labonte, Alvania12Revue de presse de la COI produite par le centre de documentation

Lawen, Nathalia Lawen, Lauran Montano, Reza Moustache, MarianneNaya, Raina Nicette, Daryl Onezime, Sarah Purvis, Nikita Rennie, JoshuaSofola, Nathanielle Soomery, Anna Yang and Nathalie Young.During the ceremony a short video presentation of the interns’ experiencewas shown, followed by a presentation on how to attract youths to theBlue Economy by intern Natalie.Blue Economy champion, Joshua, also shared his entrepreneurial idea of aproject entitled ‘The circular movement’ which encourages the propermanagement of waste.Another project proposal for Blue Economy Clubs in school were alsopresented by Anna, Frances and Laura.Shantana also pledged a 12-month commitment on behalf of all interns toa plan that includes both knowledge sharing and an action orientedagenda.VP Meriton said every idea that has youths at its core has a chance tosucceed.“Every idea that youths are involved in is destined to make a difference inthe life of our country and our nation. Every idea that is espoused by theyouth is sustainable for decades and centuries [ ] when the youths areinvolved nothing is impossible,” he said.Political consul at the British high commission, Matthew Harper, thankedthe interns for giving the British high commission the opportunity to getinvolved and to provide support to an initiative which will be instrumentalin shaping the next generation of Blue Economy leaders.“The experience which you have, I hope, enjoyed, will aid in tradedevelopment and technology and scientific opportunities in the future, andwill provide inspiration to other island states. But only if you make ithappen,” he said.One of the project coordinators, Kalsey Belle, said the interns were fuelledby the encouraging words of VP Meriton and British high commissionerCaron Röhsler as they indeed dived right into their internship withsustainable development clutched firmly at their hearts.“They performed amazingly [ ] It wasn’t just the interns who

Revue de presse de la COI produite par le centre de documentation Revue de presse Du 18 au 23 Février 2017 Les articles contenus dans ce document n’engagent que les auteurs et les sources dont ils émanent. Ils ne reflètent en aucun cas une position officielle de la COI

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