L'Architecte Nous Ecrit

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L'ARCHITECTE NOUS ECRIT :Le 590 est un intermédiaire excellent entre le bateau de régates etle bateau de croisière côtière.Sécurité et facilités d'utilisation :En promenade familiale, il permet à six, sept et même huit personnes de trouver place à bord en toute sécurité. Sa stabilité remarquable,de par ses formes, tolère toutes fautes de manœuvre.C'est plus qu'un bateau « camping » : les couchettes permettent àquatre personnes de dormir à bord {noter que les deux couchettesavant constituent une couchette double avec 1,60 m de largeur utileaux épaules lorsque le tillac avant est en position relevée).L'échouage se pratique sans difficulté. Son très faible tirant d'eaupermet d'accéder au bateau sans que l'eau ne dépasse les mollets.Il est facilement transportable sur remorque derrière voiture.Toutes les manœuvres de voile peuvent être faites en restant deboutà l'intérieur du roof, soit par la très large ouverture du capot, soit parle trou d'homme de l'avant pour le foc et le spinnaker.Son très vaste cockpit et son franc-bord réduit à l'arrière permettentla pêche, « les mains dans l'eau ».Le cockpit est autovideur : intérêt certain en navigation ; au mouillage, le taud n'est pas nécessaire.Il comporte un système de borne à rouleau qui lui permet en parfaite sécurité d'affronter tous les temps.Il satisfait parfaitement le barreur régatier qui cherche un bateaunerveux, vivant, rapide et très évolutif.Il peut être utilisé en course-croisière et devient alors un concurrent redoutable pour les bateaux les plus rapides de cette catégorie.On peut y vivre facilement à deux (ou trois) personnes en croisièrecôtière. Cette utilisation en a été faite avec toute satisfaction par unéquipage expérimenté de l'Ecole d'Initiation à la Croisière de Pauillac(Service départemental Jeunesse et Sports de la Gironde).Ce bateau correspond à une conception tout à fait nouvelle. Il estsans concurrent sur le marché.Quelques mois après son lancement, une cinquantaine d'exemplairesnaviguent déjà, à la satisfaction enthousiaste de tous ceux qui ont eul'occasion de le barrer.Christian MAURY.76

à la barre du 590par Jacques MonsaultLe temps des séries et des chantiers locauxs'estompe peu à peu et c'est tout le marchéfrançais au moins, que doivent maintenantviser les constructeurs de petits voiliers.Cette évolution se faisait déjà sentir dutemps de la construction traditionnelle àfranc bord, petites lattes brochetées à clinsou à couvre joint pour les coques à bouchain vif. Avec les procédés modernes,contreplaqué et surtout plastique, cette tendance devient une loi.En effet, les outillages à mettre en œuvrereprésentent de telles mises de fonds qu'ilfaut des séries importantes pour amortirl'investissement initial.C'est une des raisons qui ont pousséLanaverre, après le 5.0.5. où il a acquis unesorte d'exclusivité de fait dans notre pays,après le 420 où il a une exclusivité véritable,à chercher un trou de la gamme offerte aupublic pour essayer de s'y tailler une placeprépondérante et trouver une large diffusion.Il a donc visé le « Day Boat », lebateau de jour, entre le dériveur et le croi-seur côtier, et voulu un bateau dont lebarreur pourrait retrouver une partie aussigrande que possible des joies que procurele dériveur, sans perdre pour autant toutescelles du croiseur-côtier : abri, insubmersibilité, sécurité relative. Un bateau où l'onpuisse loger à l'occasion sans que le logement encombre le bord à tel point qu'ilvous prive du grand cockpit des bateauxde jour.CONCEPTION GENERALEPour obtenir cette combinaison de sécuritéqui entraînait un certain lest, de logeabilitéqui nécessitait un roof, de plaisir à la barrequi voulait un bon équilibre, bonne répartition du poids de l'équipage aux postes demanœuvre, il a été conduit à adopter unelongueur assez grande, si on la compare àcelle des dériveurs et croiseurs côtiers lesplus répandus.Cette longueur et une bonne largeurétaient nécessaires pour obtenir les lignestendues nécessaires aux performances qui.77

La plage avant avec la trappe d'accès en plexiglas permettantles manœuvres de foc.dans le cas du 590, vont parfois jusqu'auplaner.Assez long et large, le 590 a un franc bordtrès modéré et une silhouette élégante,malgré le roof forcément assez volumineuxpuisqu'il fallait trouver un minimum de hauteur sous barrots.Le cockpit, disposé comme celui d'un dériveur léger de compétition, avec caissonsarrondis, winches, filoirs sur rail, barred'écoute, etc., occupe près de la moitié dela longueur de la coque. On accède à deuxcoffres par des panneaux ouvrants aveccharnières, qui peuvent recevoir un abondantLe cockpit où d'importants volumes de rangement sont prévusdans les caissons latéraux.matériel, y compris le propulseur de petitetaille qui sera apprécié par les plaisanciersnaviguant en famille.Il est séparé du roof par un petit « bridgedeck » (1) d'où sort le brin qui, par l'intermédiaire d'un treuil, permet de contrôler trèsfacilement la position de la lourde dériveen tôle.Ensuite, une large descente donne accèsà la cabine. Elle est protégée par un capotcoulissant, fait de trois pièces imbriquées,qui lui permet de s'ouvrir presque jusqu'aumât.Cette descente confortable, bien couverte,vient prolonger le cockpit très agréablement.La cabine elle-même est remarquablementspacieuse et claire, si l'on se réfère à sonencombrement à bord. Elle paraît penséedavantage pour un usage occasionnel quepour la véritable croisière, mais jusqu'à sixpersonnes de taille moy enne peuvents'asseoir autour du puits de dérive, sur lequelvient se poser une table amovible. De chaquebord deux banquettes de 3,70 m peuvent,à l'occasion, recevoir quatre adultes.Notons, détail agréable, que l'élément deplancher avant peut se remonter au niveaudes sièges et qu'un coussin permet de réuniren une seule les deux couchettes avant.A tribord, sous la descente, on trouvenormalement un tiroir qui peut être remplacépar une cuisine miniature ; à bâbord, untube logé sous le cockpit est destiné à recevoir le tangon, la gaffe, et autres avirons.Sous chaque banc, un coffre est accessible en soulevant le matelas et un panneau,tandis que de vastes équipets en toile sontdisposés de chaque bord dans le dévers,sous le pontage avant.Le mât repose sur le roof, renforcé à sonaplomb par deux petits coffrages quin'encombrent pas.Devant le mât, un panneau transparent,amovible, permet d'accéder à l'avant et d'yeffectuer toutes les manœuvres sans montersur le pont, si l'on est d'une taille suffisante.Il combine agréablement le rôle de panneaude roof et de hublot avant.Ses lèvres s'engagent dans des saignéesaménagées dans le roof au moulage, ce quilui assure une étanchéité suffisante pourl'usage normal du bateau. Des ressorts defermeture le maintiennent à poste, mais unvoleur n'éprouverait guère de difficultés àle fracturer.( I ) Paroi avant du cockpit qu'il faut enjamber pour emprunterla descente.78

Le pontage avant, anti-dérapant, estentouré d'un balcon solide. On trouve, àbâbord, plus pratique qu'élégant, un posted'amarrage pour l'ancre. La chaîne se logeà l'extrême avant, au pied des couchettes,où elle arrive par un écubier bien disposé.Au milieu du pontage se situe un robustetaquet.Ces aménagements intelligents sont poséssur une très jolie carène qui porte bien lamarque de Christian Maury. La flottaisonest pincée à l'avant et trouve sa plus grandelargeur assez en arrière. Les murailles sonttoujours évasées, avec un peu de déver sà partir du milieu, sur un bouchain marqué,quoique relativement doux. Le lest est logédans un petit aileron qui dépasse très peusous la coque, et que traverse la lourdedérive en tôle, manœuvrée par un treuil.Cette coque paraît un très heureux compromis entre la marche et la stabilité. Sa dissymétrie ne se fera pas trop sentir aux petitsangles de gîte. Elle est taillée pour bienpasser dans le clapot tandis que la couléereste assez belle pour que la vitesse limiteen déplacement soit élevée et que le planerreste possible dans des conditions qui nesoient pas trop scabreuses. Tout cela formeune heureuse combinaison.La voilure, qui anime le 590, est assezimportante. Lanaverre n'a pas lésiné surl'équipement et chaque détail semble êtremûrement réfléchi, à l'expérience de lacompétition.Le mât est bien haubanné avec bas haubans et barres de flèche longues qui permettent de cintrer les espars. La tire d'écoutes'effectue au milieu à partir d'une longuebarre d'écoute. Les focs sont assez importants, bien que le triangle avant ne montequ'aux deux tiers du mât.Un barreur confirmé pourra utiliser toutesles finesses de réglage. Les novices risqueront d'être parfois un peu dépassés s'ilsveulent naviguer avec « tout dessus ». Ilsera préférable qu'ils réduisent la toilejusqu'à ce qu'ils aient bien en main lematériel mis à leur disposition. Pour le 590c'est assez facile, grâce au système de borneà rouleau et aux deux focs qui assurent uncertain choix.Dans la cabine une table est prévue, posée sur le puits dedérive.copieux accastillage dont il est équipé.Tout ce qu'il faut pour faire rêver ceux quisont épris de performances et rêvent d'unengin, encore passionnant à mener, mais quine rebute pas une femme moins sportive oudes enfants qu'on ne saurait faire montersur un bateau par trop nerveux.L'existence d'un lest, qui constitue unesauvegarde et évite le chavirage, ne suffitpas pour rassurer. On peut, en effet, avoirun bateau inchavirable, mais qui nécessite,en condition de navigation, de tels effortsde rappel que celle-ci soit aussi pénibleet athlétique qu'à bord d'un dériveur léger.La cabine vers l'avant, on remarque les vide-poches en toile.PERFORMANCES ETQUALITES NAUTIQUESLe 590 donne, dès le premier coup d'oeil,l'impression d'être une bête de race, impression que vient rapidement confirmer le très79

Sous spi, le petit largue n'est pas interdit.Il semble d'ailleurs que les commentairesqui ont été faits précédemment sur cebateau ont pu donner une fâcheuse impression, à cet égard, ce qui risque de priverune certaine clientèle d'un bateau qui pouvait correspondre à ses besoins et, réciproquement, le chantier d'un certain nombrede ventes.C'est donc sous un double aspect que nousavons entrepris nos essais : comme nousl'avons toujours fait dans le passé, nousavons, d'une part, cherché à tirer le meilleurdu 590 dans un esprit de compétition, et de80l'autre, nous avons soigneusement examiné,sous chaque allure, comment le 590 secomporte lorsqu'on ne veut pas sortir deslimites qu'impose une navigation paisible.Doté d'une voilure importante, le 590 sepropulse très bien par petit temps. Les fondssont suffisamment arrondis pour qu'on luifasse très facilement prendre les quelquesdegrés de gîte nécessaires pour faire tenirles voiles en forme, malgré le poids du tissu.Il est alors très agréable à barrer, démarreau moindre souffle et conserve une erreétonnante pour un bateau qui paraît siléger.Docile, il évolue pourtant assez lentement,plus lentement que la plupart des petitscroiseurs côtiers. Cela tient sans doute àsa grande longueur, a l'inertie qu'elle luiconfère, accentuée encore par le poids deses extrémités chargées de matériel : ancre,chaîne, balcon à l'extrême avant, barreur etmatériel des soutes situées très près dutableau.Par brise plus établie, il est difficile dedire quelle est son allure la plus agréable,car le 590 est toujours sympathique. Il remonte très près du vent et passe remarquablement dans le clapot. Il faut pourtantsouligner que le poids de ses extrémités luiconfère une période propre de tangage etque certaines longueurs de clapot court leferont peiner, comme tous les bateauxd'ailleurs, mais de façon très sensible. Ilne faudra pas hésiter à a juster le cap,pipant un peu, ou abattant, faute de quoion risque de stopper et de ramasser beaucoup d'eau.Ceci ne se produit que par brise fraîche,quand la mer commence à se former. C'estpar ce temps que, avec trois hommes à bord,dont un au trapèze, le 590 paraît donner lemeilleur de lui-même, si l'équipage saitutiliser les très grandes possibilités quelui confère l'accastillage. Point de tire dela barre d'écoute assez filé, écoute degrand-voile bordée à mort, la bôme et lemât se cintrent jusqu'à ce que les esparsviennent buter sur la traction des haubanset galhaubans. La voile bien aplatie, le 590se déchaîne et marche très vite, accélérantà mesure qu'on abat, jusqu'à planer aulargue de façon enivrante ; ceci pour les« sportifs ».Nous avons voulu voir ce qu'il en serait,dans les mêmes conditions, pour un père(Suite du texte, page 85)

L'emplanture avec dispositif permettant de basculer le mâtfacilement.La barre d'écoute sur laquelle est fixée la pagaie servant derepose-mât.REPORTAGE PHOTO LA NOUE-BATEAUXL'arrière du cockpit, les sangles derappel sont réglables.Le moteur Evinrude semble avoirété conçu spécialement pour cetemplacement.84

Sur cette photo, on remarque l'importance du cockpit par rapport à la cabine.de famille dont l'équipage ne pourrait pasfournir de rappel athlétique.Nous avons constaté une chose très agréable : quand on réduit progressivement lerappel, en supprimant d'abord le trapèze,puis en cessant le grand rappel sur sangle,la gîte augmente progressivement jusqu'àce que l'eau atteigne la lisse, mais ondépasse difficilement cet angle de gîte. Le590 devient alors assez ardent, mais on peutrétablir un équilibre très acceptable enremontant la dérive basculante, à peu prèsaux trois quarts de la course du cordagede contrôle. On dérive davantage, bien sûr,mais la barre redevient plus douce et l'anglede gîte diminue. On peut ensuite laisserpartir plus loin sous le vent, le point detire de la grand-voile. C'est une bonneréserve à utiliser. On aura alors intérêt àcharger un peu l'arrière quitte à engagerun peu le tableau pour conserver ausafran le maximum d'efficacité. Ce serabien sûr, un peu au détriment de la marche.mais en plaisance non compétitive cela n'aqu'une importance relative, le tout est d'arriver à bon port.Il sera -tout de même préférable de rouler la grand-voile et de changer de ioc, oumême l'amener complètement, toutes cesmanœuvres étant assez faciles. Tant que l'angle de gîte est modéré, le 590 reste docilesous grand-voile seule.La manoeuvre du spi, pour un équipagemoyen par temps maniable, est facile, parceque bien prévue sur le plan du matériel.La surface importante de cette voile la rendtrès amusante à porter. Elle nous a paruun peu trop creuse en tête pour le petitlargue, dès que le vent force un peu. Unspinnaker moins creux serait plus facile àmanier pour des équipiers moins entraînés.Nous avons eu l'occasion de parler del'accastillage très complet dont le 590 estLa carène dû 590, le légertulipage de l'avant restevisible.85

Nous avons moins apprécié la bôme àrouleau, très bien faite pourtant, mais qui anécessité trois croissants : deux pour le paland'écoute, un pour le palan de retenue, etpréférerions, pour notre part, deux ou troisbandes de ris avec transfilage, les violonsétant prévus sur la bôme. On éviterait ainsiquelques contacts douloureux entre crâneset croissants.Sous l'angle sécurité, le 590 nous paraîtsuffisamment équipé, compte tenu de sonprogramme d'utilisation.L'étanchéité de la cabine n'est pas extraordinaire, ni au panneau avant — rarementmouillé, car le bateau mouille assez peu —ni à la descente, qui est vraiment large, niaux caissons arrière qui embarquent un peud'eau, car le franc-bord est très faible. Lesvolumes étanches sont suffisants en cas decatastrophe et, le bateau n'étant pas destinéà la haute mer, on ne sera pas exposés pendant de longues heures aux infiltrations continues que le mauvais temps entraînera.Le cockpit est autovideur et son fond,comme celui des caissons latéraux, est à unniveau supérieur à la flottaison. Il noussemble pourtant que les orifices d'évacuation, prévus dans le tableau, sont un peupetits et que des trappes, laissant un plusgrand passage, seraient préférables. La barred'écoute et les taquets coinceurs de contrôlede drisse permettront d'accrocher le harnaisdes équipiers. les enfants seront en sécuritédans la cabine close, si on est pris par letemps avant d'avoir pu gagner un abri.Le trapèze permet au 590 de devenir un dériveur spoéquipé au départ, et qui soutient la comparaison avec les machines de compétition.Cet accastillage est peut-être un peu tropabondant car, d'une part, il risque d'effrayerle simple amateur et, d'autre part, il vientgrever quelque peu le prix du bateau.Il est très complexe et très bien prévu.Entre autres raffinements, il existe, d'origine,une pagaie qui, plantée dans des logementsprévus sur la barre d'écoute, sert à soutenir la bôme au mouillage. Pendant les transports sur route, elle tient le mât après avoirpris sa place dans des arceaux fixés en facedes ferrures de gouvernail, à l'intérieur dutableau.86Le 590 offre un éventail d'utilisations beaucoup plus large que sa silhouette et sonéquipement très sportif pourraient le fairecraindre. Il nous paraît être très complet etbien adapté à une navigation, alternativement sportive — à vide — et familiale, où ilsera forcément assez chargé, mais où sonaccastillage complet sera au service du barreur compétent.Bien qu'il ne soit pas difficile à mener*,ce n'est pas un bateau d'initiation, et nousconseillerons à ses acquéreurs un peu débutants de se familiariser avec lui par petittemps, en suivant les conseils d'un barreurplus confirmé. Ils apprendront alors très viteà profiter pleinement de toutes les ressourcesdu 590, de toutes les joies que procure, parjolie brise, la conduite de cette jolie coque,très bien équipée.

l'investissement initial. C'est une des raisons qui ont poussé Lanaverre, après le 5.0.5. où il a acquis une sorte d'exclusivité de fait dans notre pays, après le 420 où il a une exclusivité véritable, à chercher un trou de la gamme offerte au public pour essayer de s'y tailler une place prépondérante et trouver une large diffusion.

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