LÕUniversit” De Montr”al En 1999

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L’Universitéde Montréalen 1999

Conseilde es étudesComité exécutifComitéde la Vice-recteurPlanificationVice-rectriceEnseignement de 1er cycleet formation continueDirection généraleM. Robert LacroixRecteurM. Michel TrahanVice-recteur exécutifMme Claire McNicollVice-rectrice à l’enseignementde premier cycle et à la formationcontinueM. Alain CailléVice-recteur à la rechercheM. François DuchesneauVice-recteur à la planificationM. Patrick RobertVice-recteur aux affaires publiqueset au développementM. Louis MaheuDoyen de la Faculté des étudessupérieuresM. Michel LespéranceSecrétaire généralM. André RacetteDirecteur des financesM. Fernand BoucherRegistraireSecrétaire généralDoyenFaculté des étudessupérieuresDoyensM. Louis MaheuDoyenFaculté des études supérieuresM. Jean-Marc CharronDoyenFaculté de théologieM. Claude FabienDoyenFaculté de droitM. Patrick VinayDoyenFaculté de médecineMme Mireille MathieuDoyenneFaculté des arts et des sciencesM. Jean TurgeonDoyenFaculté de médecine dentaireM. Robert GoyerDoyenFaculté de pharmacieM. Réjean PoirierDoyenFaculté de musiqueMme Suzanne KérouacDoyenneFaculté des sciences infirmièresVice-recteurRechercheMme Gisèle PainchaudDoyenneFaculté des sciences de l’éducationMme Irène Cinq-MarsDoyenneFaculté de l’aménagementM. Raymond S. RoyDoyenFaculté de médecine vétérinaireM. Robert LerouxDoyenFaculté de l’éducation permanenteM. François PéronnetDirecteurDépartement de kinésiologieM. Pierre SimonetDirecteurÉcole d’optométrieÉcoles affiliéesM. Réjean PlamondonDirecteurÉcole PolytechniqueM. Jean-Marie ToulouseDirecteurÉcole des Hautes ÉtudesCommercialesVice-recteurAffaires publiqueset développementLe 22 février 1999, le Conseil del’Université a adopté un coded’éthique et de déontologie pourses membres dont le texte estdisponible sur le site Web duSecrétariat général à l’adressehttp://www.secgen.umontreal.ca.Au cours de l’année 1999, tousles membres du Conseil ont déposé les informations requises parce code et aucun cas de manquement au code d’éthique n’a étéconstaté.Le rapport annuel 1999 est publiépar la Direction des communicationsde l’Université de Montréal, avec lacollaboration de l’École Polytechniqueet de l’École des Hautes ÉtudesCommerciales.Conception graphiqueGuénette Delisledesign et communicationDépôt légalBibliothèque nationale, OttawaBibliothèque nationale du Québec1er trimestre 2000Dans le présent document, la formemasculine est parfois employée pourdésigner aussi bien les femmes queles hommes.Université de MontréalDirection des communicationsC.P. 6128, succursale Centre-villeMontréal (Québec) H3C 3J7www.umontreal.cadircom@dircom.umontreal.ca

En ce qui concerne la recherche, l’année 1999 a étémarquée par le succès remarquable que l’Université deMontréal et l’École Polytechnique ont connu aux diversconcours de la Fondation canadienne pour l’innovation (FCI). Ensemble, nous arrivons au premier rangdes universités canadiennes quant au nombre de projets financés (53) et au deuxième rang pour les sommesobtenues. Ces résultats ont contribué à une hausse deprès de 14% des fonds de recherche, qui ont atteint198,5 millions de dollars en 1998-1999. Par ailleurs, leprojet majeur de technopole sciences-génie évoluetrès bien; nous avons désigné les consortiums à établir,nommé les responsables du projet, préparé ou acheminé les demandes d’importantes subventions; plus de40 chaires seront proposées conjointement avec l’ÉcolePolytechnique et l’École des HEC dans le cadre de laCampagne des années 2000.Le recteur de l’Universitéde Montréal, M. RobertLacroix (à droite), encompagnie du chancelier,M. André BissonConstruire l’Université du XXIe siècleL’année 1999 a été celle au cours de laquelle l’Université de Montréal a tourné la page de la morosité. Aprèsavoir connu, à l’instar des autres établissements, la pirecrise que le système universitaire québécois ait connuedepuis la Révolution tranquille, nous avons commencéà construire l’Université du XXI e siècle en comptantd’abord sur nos propres moyens, notre sens de l’innovation et notre enthousiasme.Notre plan de relance a été présenté à la communautéuniversitaire en octobre 1998. Les progrès réalisés depuis, tout au long de l’année 1999, ont été possiblesgrâce à l’engagement remarquable de tous les membresde notre communauté. Ils laissent entrevoir des perspectives de succès qui dépassent nos espérances.Au chapitre de l’enseignement, pas moins de 50 programmes ou modules ont été créés, modifiés ou amalgamés en fonction des critères de qualité, de pertinenceet d’ouverture que nous avions établis dans le plan derelance. Parallèlement, nous avons intensifié nos activités d’accueil, conçu un guichet étudiant interactif surle Web, accéléré le processus d’admission et d’inscription des étudiants et multiplié le nombre de bourses.Les résultats ne se sont pas fait attendre: à l’automne1999, l’Université de Montréal a connu une augmentation de sa clientèle étudiante supérieure à la moyennede l’ensemble des universités québécoises. Nous sommesparticulièrement heureux de constater une hausse de14% du nombre de nouveaux étudiants inscrits à pleintemps au premier cycle, alors que la moyenne québécoise se chiffre à environ 6,6%. Au cours de la prochaine année, nous entendons poursuivre les effortsdéjà entrepris, mais nous voulons également réinvestirdans le soutien pédagogique aux professeurs et auxchargés de cours, en privilégiant entre autres le soutien à l’utilisation d’Internet et des nouvelles technologies dans l’enseignement.Sur le plan administratif, nous avons tout mis en œuvredepuis un an pour améliorer la gestion de notre établissement. Les résultats que nous avons obtenus sur leplan financier confirment que nous pratiquons unegestion responsable. En 1998-1999, l’Université deMontréal a présenté un excédent des dépenses sur lesrevenus, avant postes exceptionnels et virements interfonds, de 5,9 millions de dollars. Ce montant représente 5,9% du total des déficits courants des universitésquébécoises alors que notre part du budget de fonctionnement de l’ensemble des universités est de 18%.Pour l’année 1999-2000, nous envisageons un déficitde 4,6 millions, qui correspond à 5,2% du déficit courant prévu pour l’ensemble des universités québécoises.Selon les prévisions, le retour à l’équilibre budgétairedevrait être réalisé pour l’année 2002-2003 et peut-êtremême avant.À l’instar de l’Université de Toronto, qui se définitcomme la grande université canadienne de calibreinternational au service des Canadiens, l’Université deMontréal, l’École Polytechnique et l’École des HEC représentent le complexe universitaire francophone quiest en mesure de jouer ce rôle au Québec et dans l’ensemble du Canada, et d’occuper une place de premierordre sur l’échiquier universitaire mondial. Pour cefaire, cependant, nous devons bénéficier de ressourcesanalogues à celles des universités nord-américainescomparables. Nous avons accompli des progrès significatifs dans cette direction au cours de l’année 1999.Pour poursuivre ce travail, nous avons maintenant besoin de l’aide gouvernementale et de l’appui des diversescomposantes de la société québécoise. Le Québec nepeut faire l’économie d’un complexe universitaire francophone de calibre mondial.3

Personnel enseignant(en fonction, en congé ou en détachement, au 31 mai 1999)Professeurs et chercheursProfesseurs de clinique, chargés d’enseignement de cliniqueChargés de cours et de cliniqueAutresTotal4UdeMPolytechniqueHECTotal1 7521 5201 3211814 774218–366–584168–45046222 1381 5202 1371855 980UdeMPolytechniqueHECTotal2683552898513432 106583110512563382296775145483643554534691 1214542 852Sources: Bureau de recherche institutionnelle de l’UdeM, École Polytechnique et École des HEC.Personnel(au 31 mai 1999)CadresProfessionnelsTechniciensPersonnel de bureauPersonnel des métiers et servicesTotalSources: Bureau de recherche institutionnelle de l’UdeM, École Polytechnique et École des HEC.États financiers*(du 1er juin 1998 au 31 mai 1999)Fonds de fonctionnement généralRevenusDépenses293 429 000 299 384 000 Total des fondsRevenusSubvention du ministère de l’Éducation du QuébecAutres subventions gouvernementalesDroits de scolaritéServices auxiliairesServices aux étudiantsDonsAutres apports non gouvernementauxAutresDépensesEnseignement et rechercheServices à l’enseignement et à la rechercheAmortissementService de la detteGestion des immeublesAdministrationServices auxiliairesBoursesServices et aide aux étudiantsAutres* Ces chiffres ne comprennent pas ceux des Écoles affiliées.458 473 000 57 %14 %10 %3%2%2%1,5 %10,5 %467 240 000 57 %7%10 %7%6%4%3%3%2%1%L’équité en matière d’emploi ausein de l’Université de Montréals’inspire de la philosophie de gestion de la diversité et de la participation de tous les partenaires(gestionnaires, syndicats et associations). Cette philosophie seconcrétise par la mise en œuvrede différentes interventions inscrites au Plan d’équité en matièred’emploi afin d’atteindre nos objectifs d’une main-d’œuvre diversifiée et représentative dela population active. Le Comitéd’implantation des programmesd’accès à l’égalité, mis sur pieden 1994, analyse les résultats atteints annuellement et présenteau recteur un état de la situation avec les recommandationsjugées appropriées.

RechercheFaits saillantsLes sections Recherche et Enseignement présentent un survol des faitssaillants de l’année 1999 à l’Université de Montréal. Sans prétendreêtre un compte rendu exhaustif des activités importantes qui se sontdéroulées sur le campus, ce survol donne néanmoins une idée des réalisations accomplies à l’Université de Montréal au cours de l’année.Politique sur l’utilisation des sujetshumains en rechercheTous les projets d’étudiants à la maîtrise et au doctorat de l’Université de Montréal concernant des sujets humains seront désormais examinés par un comité d’éthique de la recherche. Lesmodifications adoptées concernent également la compositiondes cinq comités de l’Université de Montréal. À partir de maintenant, chaque comité comptera au moins un représentant del’extérieur de façon à assurer son indépendance.La contamination de la viande n’estpas un phénomène nouveau, dit leD r Sylvain Quessy, mais que les gens serassurent, il y en a de moins en moins.Création d’une chaire de rechercheen salubrité des viandesD’autres modifications présentées par le vice-recteur à la recherche ont été apportées à la Politique relative à l’utilisationdes êtres humains en recherche. Elles avaient toutes pour butde répondre aux normes édictées par les trois grands conseilssubventionnaires fédéraux et de se conformer au Plan d’actionministériel en recherche et en intégrité scientifique du gouvernement du Québec.Au Québec, la production de porcs s’élève annuellement à plusde six millions de têtes. La chair de volaille (poulet et dinde)représente quant à elle 35% de notre consommation de viande.Une certaine proportion de cette viande risque de contenir desbactéries et des résidus nocifs pour la santé.Inaugurée le 8 décembre 1999, la Chaire de recherche en salubrité des viandes de la Faculté de médecine vétérinaire, à SaintHyacinthe, vise l’élaboration de moyens de contrôle des sourcespotentielles de contamination dans les productions porcine etavicole. «La mission de la Chaire est de mettre au point et d’optimiser de nouvelles approches pour aider l’industrie de la viandeà améliorer la salubrité du produit», précise le Dr Sylvain Quessy,titulaire de la Chaire. Dans cette perspective, la Fédération desproducteurs de porcs du Québec, la société F. Ménard et Lesconsultants Vetco, associés à la Faculté de médecine vétérinaire,y investiront plus de deux millions de dollars au cours des prochaines années.Biochimie dans les top tenEn 35 ans, soit un peu moins que l’âge de la science qui lui adonné son nom, le Département de biochimie de l’Universitéde Montréal s’est propulsé sur la scène internationale, où ils’illustre parmi les plus gros joueurs des États-Unis, d’Europeou du Japon.Ainsi, au cours de l’année 1999, deux chercheurs du Département, Franz Lang et Steven Michnick, ont particulièrementattiré l’attention en publiant des textes dans la revue Science. Deson côté, Léa Brakier Gingras a breveté une molécule prometteuse pour le traitement du sida; Jurgen Sygush a fait voyagerses cristaux protéiques dans la navette spatiale américaine pourétudier les effets de la mirogravité; et Jacques Drouin a vu laqualité de ses travaux reconnue par l’atribution de la chaireGlaxo-Wellcome.Quelque 300 personnes se succéderont dans l’un des trois simulateursde conduite et répondront à une sériede questionnaires rigoureux sur leurscaractère, comportements et motivations quand elles ont un volant entreles mains.Sur la piste des fous du volantSelon la Société de l’assurance automobile du Québec, la vitesse est la première cause d’accidents dans 23% des décès et19% des blessures graves. Chaque année, elle est à l’origine de200 décès et de 6000 blessures. Il s’agit de la deuxième causeimportante d’accidents, tout de suite après l’alcool au volant.Qui sont les conducteurs qui affectionnent tant la conduitedangereuse? C’est ce que tenteront d’apprendre au cours de laprochaine année le psychologue Jacques Bergeron et son équipe.«Si l’on accepte le principe voulant que la socialisation permetde transformer l’agressivité en comportements mieux adaptés àla vie en société, le fait de voir surgir cette agressivité primaireau moment où l’on conduit un véhicule automobile est trèspréoccupant. Notre recherche tentera de percer ce mystère enanalysant les motivations biologiques, sociales et psychologiques des conducteurs les plus à risque.»5

Les enfants de la loi 101 parlent françaisdans la cour d’écoleDans les écoles primaires montréalaises, de 67% à 100% desconversations en dehors des classes entre enfants d’origine nonfrancophone se déroulent en français. Dans la cour de récréation et les corridors des écoles secondaires, l’utilisation du français est également majoritaire et surpasse l’anglais et les autreslangues réunis. C’est ce qu’une équipe de chercheurs discrets ontrapporté de quelque 38 500 observations effectuées entre 1996et 1998 dans 20 écoles primaires et secondaires de Montréal.6L’étude menée par Évelyne LapierreAdamcyk servira à l’élaboration d’unepolitique familiale et à la mise sur piedde programmes visant à encourager lanatalité.Avoir ou ne pas avoir d’enfantsSelon les dernières statistiques, 9 Canadiens sur 10 affirmentvouloir des enfants. Dans les faits, l’indice de fécondité auQuébec est bas: 1,4 enfant par femme. «Certains disent quec’est une question d’argent. D’autres croient que l’autonomiedes femmes dans la société influe sur la décision de faire peud’enfants. Mais il ne faut pas isoler les éléments, sinon nousne comprendrons pas le phénomène dans sa globalité», signaleÉvelyne Lapierre-Adamcyk, professeure au Département dedémographie et membre du Centre interuniversitaire d’étudesdémographiques. Depuis 20 ans, elle s’intéresse au devenir desfamilles et à l’évolution de la fécondité.En collaboration avec trois autres chercheurs, elle tente demieux comprendre les déterminants et les contraintes socioéconomiques liés à la procréation. À son avis, divers aspects dela vie familiale peuvent être associés à la baisse de la natalité,notamment la précarité des conditions de travail et du mariage.Mais la conception contemporaine du bonheur sur laquelle sefondent les individus semble également avoir des effets sur lanatalité. «De nos jours, nous valorisons davantage les réalisations professionnelles. Or, avoir des enfants retarde à coup sûrla carrière. Les gens ne sont pas égoïstes, mais cette recherchedu bonheur entre en conflit avec la vie familiale.»Pour mieux aider les proches des victimesde la maladie d’AlzheimerUne fois le conjoint ou le parent atteint de la maladie d’Alzheimerhébergé en centre de soins de longue durée, tout n’est pas réglépour les aidantes naturelles. Pour leur venir en aide, une équipede chercheuses et d’étudiantes de la Faculté des sciences infirmières dirigées par la professeure Francine Ducharme, ont missur pied un programme d’intervention à leur intention.Le programme a ensuite été mis à l’essai auprès d’un groupede filles et de conjointes afin d’évaluer leur satisfaction et derecueillir leurs suggestions pour l’améliorer. «Une analyse préliminaire de quelques entrevues permet déjà d’affirmer que lesparticipantes ont apprécié les rencontres, qui leur ont permisde briser leur isolement, de faire naître des liens de solidarité et d’acquérir des outils pour surmonter les difficultés, remarque Mme Ducharme. La phase suivante du projet permettrade vérifier les effets de ce programme sur la santé des aidantesdans plusieurs centres de soins de longue durée du Québec.»«Nous savions déjà que le français ne se portait pas trop maldans les classes, explique Marie McAndrew, professeure à laFaculté des sciences de l’éducation et directrice du centre Immigration et métropoles, mais on soupçonnait qu’il ne s’imposaitpas dans les lieux alentours. Cette étude démontre le contraire.»Avec des collègues de l’UQAM et de l’Université de Montréal,Mme McAndrew a donc pu tracer un portrait linguistique inattendu des enfants de la loi 101. «Nous devons conclure que lesenseignants, les directions d’école et les responsables des mesures linguistiques en milieu scolaire ont fait un bon travail»,résume Mme McAndrew.François Péronnet a acquis une expertise mondiale en physiologie del’exercice. Il entame maintenant ladeuxième étape de sa recherche, cettefois auprès d’un groupe de femmes.Une recherche confirme que les pâtes,c’est bon pour les sportifsLes pâtes alimentaires font peu engraisser et sont vite brûléesgrâce à l’exercice. Voilà du moins la conclusion d’une étude deFrançois Péronnet, professeur au Département de kinésiologie,menée auprès de trois groupes d’hommes. Après avoir mangéune bonne quantité de nouilles, les sujets du premier groupedevaient s’asseoir confortablement sur des chaises; les deuxièmesont effectué des exercices de faible intensité et les troisièmesont pédalé à bonne vitesse pendant 90 minutes sur des vélosstationnaires.«Il y a eu un léger gain de poids chez les gens qui n’ont pas faitd’exercice, signale M. Péronnet. On peut donc confirmer que lespâtes font engraisser, bien que le gain soit très faible. Cependant, tous les autres sujets ont éliminé sans peine les lipides.Cela démontre que même l’exercice de faible intensité permetd’éliminer les graisses provenant des pâtes alimentaires.»

Technopole Montréal: c’est parti!En mai dernier, l’Assemblée universitaire a donné son aval à lacréation de Technopole Montréal. «Il s’agit d’un projet structurant dont la raison d’être se confirme de plus en plus à lalumière des engagements qui sont à prévoir en recherche etdéveloppement au cours des prochaines années», a déclaré levice-recteur à la recherche Alain Caillé.Après avoir terminé ses études de médecine et de psychiatrie, le D r Cormiera fait une maîtrise en santé publiqueà l’Université Harvard. C’est alorsqu’il a pris la décision de faire de larecherche un axe majeur de sa carrière. «La recherche comble mon désirde contribuer à l’atténuation de lasouffrance chez les gens.»Le centre Fernand-Seguin dansles ligues majeuresCe projet vise à unir les efforts de l’UdeM, de l’École Polytechnique, de l’École des Hautes Études Commerciales ainsi quedes centres, hôpitaux et instituts qui leur sont affiliés afin decréer une technopole d’envergure internationale dans l’est duCanada. Il compte déjà 140 unités (centres, groupes, instituts,chaires) de recherche dont le financement s’élève à 175M .Les forces de Technopole Montréal, ce sont actuellement 600professeurs et chercheurs, 2300 étudiants des deuxième et troisième cycles ainsi que 400 stagiaires postdoctoraux en sciencespures et appliquées, dans le domaine biomédical et en ingénierie.Viennent s’y ajoute

Secr”taire g”n”ral Comit” . Selon les pr”visions, le retour ‹ lÕ”quilibre budg”taire devrait ’tre r”alis” pour lÕann”e 2002-2003 et peut-’tre m’me avant. lÕinstar de lÕUniversit” de Toronto, qui se

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3 Scienti c and Organizing Committees 3.1 Scienti c Committee ( ) Liliane Basso Barichello (UFRGS, Porto Alegre, lbaric@mat.ufrgs.br)( ) Piermarco Cannarsa (Universit a di Roma Tor Vergata, Roma,cannarsa@axp.mat.uniroma2.it)( ) Ciro Ciliberto (Universit a di Roma Tor Vergata, Roma, cilibert@axp.mat.uniroma2.it)- co-chair ( ) Giorgio Fotia (Universit a di Cagliari, Giorgio.Fotia@crs4.it)

Clemens Berger, Universit e de Nice-Sophia Antipolis: cberger@math.unice.fr Richard Blute, Universit e d’ Ottawa: rblute@uottawa.ca Lawrence Breen, Universit e de Paris 13: breen@math.u

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