Sens Communs Et Dynamiques Sémantiques : L'objet Discursif .

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SENS COMMUNS ET DYNAMIQUES SÉMANTIQUES : L'OBJETDISCURSIF INTERMITTENTJulien LonghiArmand Colin « Langages »2008/2 n 170 pages 109 à 124Article disponible en ligne à l'adresse ---------------------------------------Document téléchargé depuis www.cairn.info - - - 78.194.163.53 - 26/04/2019 00h32. Armand ColinPowered by TCPDF (www.tcpdf.org)Distribution électronique Cairn.info pour Armand Colin. Armand Colin. Tous droits réservés pour tous pays.La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans leslimites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de lalicence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie,sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit del'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockagedans une base de données est également interdit.Document téléchargé depuis www.cairn.info - - - 78.194.163.53 - 26/04/2019 00h32. Armand ColinISSN 0458-726XISBN 9782200924669

Julien LonghiUniversité Blaise Pascal (L.R.L)longhi@lrl.univ-bpclermont.frDocument téléchargé depuis www.cairn.info - - - 78.194.163.53 - 26/04/2019 00h32. Armand ColinDans la perspective d’une réflexion sur le sens commun en linguistique, noussouhaitons aborder ici les dimensions sémantico-discursives de ce paradigme, parl’intermédiaire du concept d’objet discursif. Ce concept articule en effet deuxorientations complémentaires : l’objet, dans une perspective d’indexicalité dusens 1, synthétise les différentes propriétés conférées par l’activité langagière lorsdes dynamiques sémantiques, et l’apport discursif éclaire l’argumentativité desobjets en permettant de repérer leurs dimensions énonciatives. Ce concept d’analyse, dont nous donnerons une illustration avec l’exemple de l’objet discursifINTERMITTENT 2 dans un corpus de presse, s’inscrit dans le cadre d’une pragmatique topique, introduite par Ducrot et Anscombre, et développée depuis parSarfati (1996). Les initiateurs du modèle, dans une conception argumentative de lalangue, ont introduit en sémantique de l’énonciation la théorie des topoï argumentatifs, et Sarfati a développé le principe d’une pragmatique topique qui apour programme la constitution d’une théorie linguistique du sens commun : lesens commun devient le concept organisateur du paradigme topique, et celui detopos son concept général descriptif. Le concept de doxa est alors réservé à la délimitation d’une région du sens commun, comme telle dotée de son dispositif detopoï spécifiques. À leur suite, notre apport est d’introduire un concept d’analysequi permette de rendre compte des mécanismes sémantico-discursifs présents enamont des topoï, afin de déterminer les différentes dynamiques sémantiquespropres à un objet (en tenant compte des dimensions morphologiques, syntaxiques et thématiques : il y aurait ainsi une morphologie des topoï, une syntaxe des topoï, dans le cadre de thématiques qui se lexicalisent). Mises en rapportavec différentes positions énonciatives repérées en discours, ces caractérisationspermettent de circonscrire différentes régions du sens commun par les topiques quileur sont propres, et de délimiter ainsi différentes doxa relatives à un même objet.1. Nous préciserons cette notion dans le point 1.2.2. Les petites majuscules désignent l’objet discursif, tandis que les italiques désignent les mentions. L’objet discursif sera défini plus en détail (cf. 1.1).L a ng ag e s 170109Document téléchargé depuis www.cairn.info - - - 78.194.163.53 - 26/04/2019 00h32. Armand ColinSens communs et dynamiques sémantiques :l’objet discursif INTERMITTENT

Discours et sens commun1. SENS COMMUN, DOXA ET TOPOÏ : UNE VISION DYNAMIQUENous poserons d’abord les jalons d’une pragmatique topique dynamique,dont le concept clé d’objet discursif permet une description topique de la langue.De notre point de vue, la sémantique du sens commun permet de résoudrecertains paradoxes qui apparaissent dès lors que l’on souhaite appliquer la Théoriedes topoï à l’analyse de discours. En effet, dans les différentes versions développées par Ducrot et Anscombre 3, les topoï sont définis comme étant intrinsèquesou extrinsèques aux objets, cette nature étant définie dans la langue 4. Cette hypothèse reste concevable dans un cadre phrastique et pour des lexèmes qui nemettent pas en jeu des considérations idéologiques, mais elle devient inopérantepour des analyses de discours, qui constituent notre préoccupation. Le modèleintroduit par Sarfati propose l’avantage de déplacer la problématique de la naturedes topoï au niveau de la relation énonciateur-récepteur. En effet dans une étudesur la doxa, Sarfati définit ainsi un concept de compétence topique (CT) :Document téléchargé depuis www.cairn.info - - - 78.194.163.53 - 26/04/2019 00h32. Armand Colin(Elle) désigne l’aptitude des sujets à produire des énonciations opportunes et adéquates, et, corrélativement, de les interpréter compte tenu des formes et descontenus axiologiques investis dans la structuration du sens dans un cotexte et uncontexte donné. Ou encore : l’aptitude des sujets à sélectionner et identifier – à laproduction comme à la réception – les topiques afférentes à une situation langagière donnée (Sarfati 2002 : 112).Dans une situation donnée, la CT garantit la cohésion du texte, en sélectionnant dans l’univers de croyance qui lui correspond l’ensemble des doxèmesassumés par le locuteur (les doxèmes se définissant comme les topoï propresaux différentes communautés discursives). Pour cela, nous devons pouvoir travailler sur des corpus textuels, constitués de telle sorte qu’ils définissent aussibien les lieux d’inscription que les modélisations spontanées du système dusens commun. Ces ensembles discursifs doivent permettre de décrire non seulement les parcours de constitution des unités linguistiques, mais également derapporter ces parcours aux formations qui en sont à l’origine, afin de définir lescontours d’une topique ambiante relative à un objet particulier. Pour rapprocher les énoncés étudiés des formations à l’intérieur desquelles ils ont été produits, le concept de Formations Discursives (F.D.) sera ainsi introduit. Voici ladéfinition qu’en donne Mayaffre (2004 : 1) :Une formation discursive, c’est précisément ce qui fait qu’au-delà ou en-deçà dudomaine, du genre ou du thème [ ] deux discours se ressemblent [ ] et que cette3. Nous incluons à ce titre les modèles ultérieurs développés par ces deux auteurs, à savoir laThéorie des stéréotypes de Anscombre (qui différencie les stéréotypes primaires des stéréotypessecondaires) et la Théorie des blocs sémantiques, développée par Ducrot et Carel (qui différenciel’argumentation structurelle de l’argumentation contextuelle).4. Ils distinguent ainsi les topoï intrinsèques qui fondent la signification d’une unité lexicale(beau séduction), potentiellement présents dans les unités lexicales, des topoï extrinsèques quisont utilisés pour fonder des enchaînements conclusifs (beau coquet).110Document téléchargé depuis www.cairn.info - - - 78.194.163.53 - 26/04/2019 00h32. Armand Colin1.1. Doxanalyse et sémantique du sens commun

Sens communs et dynamiques sémantiques : l’objet discursifINTERMITTENTressemblance linguistique témoigne du positionnement idéologico-social de l’instance énonciative.Un genre de discours est caractérisable certes par des propriétés textuelles [ ]mais surtout comme une interaction langagière accomplie dans une situationd’énonciation impliquant des participants, une institution, un lieu, un temps et lescontraintes d’une langue donnée (voire de plusieurs en situation plurilingue). End’autres termes, l’interaction se déroule dans le cadre d’une formation sociodiscursive donnée. (Adam 2004 : 36).Document téléchargé depuis www.cairn.info - - - 78.194.163.53 - 26/04/2019 00h32. Armand ColinParler de discours, c’est ouvrir le texte à la fois sur une situation d’énonciation-interaction toujours singulière et, d’autre part, sur l’interdiscursivité danslaquelle chaque texte est pris. La proposition énoncée comme unité d’analysepermet de lier textualité, généricité et discursivité. Concrètement, au niveauméthodologique, nous recueillons en premier lieu un grand nombre de textesdisponibles sur le thème à étudier 5 puis nous en extrayons toutes les propositions énoncées qui contiennent les termes à analyser. Le terme propositionénoncée signifie matériellement au moins deux choses : La prise en compte du cotexte et du contexte le plus large possible pour nepas éliminer certaines dimensions énonciatives : des structures syntaxiques aurepérage des thèmes des discours qui conditionnent pour partie les constructions sémantiques ; La prise en compte de la situation et des conditions d’énonciation (paratexteet péritexte) : date, lieu, conditions de l’énonciation, interlocuteur.Nous disposons ainsi, à la fin de la procédure, d’un corpus de propositionsénoncées, qui contient les objets discursifs que nous analysons. La constitutiondu corpus s’établit donc ainsi : un univers d’énoncés est l’ensemble des propos surun thème unique ; le corpus sera le sous-ensemble prélevé dans l’univers d’énoncés donton se proposera de rendre compte. Une fois le matériau recueilli, nous procédons àl’analyse des dynamiques du sens, en repérant les parcours qui construisent lestopiques afférentes aux objets à étudier.1.2. L’objet discursif, entre langue et discoursCette conception discursive du sens trouve selon nous une articulation avecla phénoménologie de Merleau-Ponty :5. Ici Le Monde et Le Figaro (mai/octobre 2003) constituent notre corpus.L a ng ag e s 170111Document téléchargé depuis www.cairn.info - - - 78.194.163.53 - 26/04/2019 00h32. Armand ColinL’étude du sens doit donc prendre en compte les F.D., qui caractérisent sonémergence. Puisque nous proposons la description des différents topoï liés auxF.D. (les doxèmes chez Sarfati), notre approche doit intégrer de manière systématique le discours dans l’analyse sémantique : pas seulement par l’intermédiairedu genre (en disant que tout genre procède d’un discours), mais par l’analysedes F.D., et de tout ce qui permet la prise en compte du caractère sémiotique desconditions d’énonciation. Les apports théoriques de la linguistique textuellepeuvent nous servir ici à ouvrir le texte sur ses conditions de production :

Discours et sens communChaque acte linguistique partiel comme partie d’un tout et acte commun du toutde la langue ne se borne pas à en dépenser le pouvoir, il le recrée parce qu’il nousfait vérifier, dans l’évidence du sens donné et reçu, la capacité qu’ont les sujets parlants de dépasser les signes vers le sens, dont après tout ce que nous appelons lalangue n’est que le résultat visible et l’enregistrement. Les signes n’évoquent passeulement pour nous d’autres signes, et cela sans fin, le langage n’est pas commeune prison où nous serions enfermés ou un guide dont nous aurions à suivre aveuglément les indications, parce que leur usage actuel, à l’intersection de ces millegestes apparaît enfin ce qu’ils veulent dire, et à quoi ils nous ménagent un accès sifacile que nous n’aurons plus même besoin d’eux pour nous y référer (1969 : 146).Document téléchargé depuis www.cairn.info - - - 78.194.163.53 - 26/04/2019 00h32. Armand ColinL’« objet » est défini comme une infinité potentielle de rapports focalisés sur unpoint. Cette infinité potentielle est l’expression d’une conception d’« équilibre phénoménologique », qui établit qu’un objet est une synthèse d’apparences. Ceciconstitue le renversement fondamental à la théorie : on ne peut pas dire qu’unobjet prend des apparences, mais que des apparences – parce qu’elles sont conçuescomme telles – synthétisent un objet. [ ] L’articulation de ces notions jette les basesd’une théorie du sens que j’ai nommée « indexicalité du sens ».L’objectif d’une analyse de la création du sens d’INTERMITTENT est donc dedécrire une dynamique de constitution, de façon telle qu’on puisse la comprendre comme inhérente à l’activité des sujets ainsi qu’au milieu sémiotiqueoù elle s’exerce.Pour procéder à l’analyse sémantique des objets discursifs contenus dans lecorpus de propositions énoncées, nous nous inspirons des travaux de Cadiot etVisetti (2001), tout en en remaniant certains aspects, pour les ajuster à une perspective discursive qui s’intéresse au sens commun. Ces auteurs proposentl’étude de formes sémantiques selon la tripartition motifs-profils-thèmes. Ce quenous retenons de cette théorie, c’est que le motif prend « en compte une certaine couche « morphémique » du sens, dont la portée ne se limite pas aux morphèmes, mais au contraire, et par exemple, se réalise particulièrement bien dèsque l’on envisage les mots eux-mêmes, non d’abord comme des types (seraientils instables et sujets à déformations réciproques) mais plutôt comme desouvroirs à motifs. » (Id. : 114). C’est donc en quelque sorte un élément de stabilité, comme le montrera l’analyse du corpus. Les différents motifs sous-tendentles dynamiques sémantiques. Les motifs se stabilisent à travers la mise en syntagme, et par l’entremise d’opérations textuelles. Ils servent de base pour laclassification des différents topoï recensés (cf. le tableau en Annexe).La construction met aussi en jeu les profils : il faut entendre, « par profilage,l’ensemble des opérations grammaticales qui contribuent à la stabilisation desunités, et construisent du même coup un ensemble de vues sur la thématique »(ibid. : 127). Dans de très nombreux cas, ces profilages se font sur la base desmotifs : le profilage est donc un système, déjà frayé et enregistré en lexique et112Document téléchargé depuis www.cairn.info - - - 78.194.163.53 - 26/04/2019 00h32. Armand ColinEn effet, l’enjeu de l’étude des topoï relatifs aux F.D. est pour nous de mettreen valeur la manière dont le sens se construit en tant que représentation etconstruction d’une réalité sociale, de saisir comment les énonciateurs dépassent« les signes vers le sens ». Le concept d’objet doit être explicité à ce niveau ;Lebas (1999 : 487-8) définit bien les enjeux de ce concept :

Sens communs et dynamiques sémantiques : l’objet discursifINTERMITTENTDocument téléchargé depuis www.cairn.info - - - 78.194.163.53 - 26/04/2019 00h32. Armand ColinEnfin la thématique est ce dont on parle, à prendre dans un sens foncièrementtextuel : le thème est ce qui est posé par l’activité du langage sans être dissociédes traces et des modes d’accès propres à cette activité. Les thèmes se situent auniveau de l’identité. Pour nous, dans une perspective discursive et énonciative,c’est ce qui permet de plonger le travail des motifs et des profils dans quelquechose de plus permanent : des grands ensembles que nous repérons en termes detopoï, c’est-à-dire des lieux communs argumentatifs sous-tendant les enchaînements en discours ayant en commun certains motifs qui se stabilisent par les différents profilages. Nous devons garder à l’esprit que ces strates entretiennent desrelations dynamiques : la séparation présente l’avantage de souligner les apportsparticuliers de chacune des strates, sachant que ces apports se combinent entreeux lors du processus de construction de l’objet discursif. Ainsi les exemples,classés par les différents motifs à l’œuvre, ont été répartis au sein des différentesstrates pour souligner les traits les plus saillants de chacune d’elle. Dans uneconception dynamique de la construction sémantique, ces strates sont en perpétuelle interaction dans le processus qui articule les unités en discours.Résumons les principales orientations qui se dégagent et permettent de lierla linguistique à la question du sens commun : la problématique du sens commun s’articule à l’analyse des discours : elle y discrimine les lieux d’inscription et de construction de représentations qui soustendent l’activité discursive ; les dynamiques du sens visant à définir les objets du langage en tant qu’ils synthétisent les apparences que les locuteurs leur confèrent.2. LE SENS COMMUN COMME CONCEPT ORGANISATEUREN DISCOURS : L’EXEMPLE D’INTERMITTENTLes jalons d’une pragmatique topique dynamique étant posés, nous proposons de décrire certains aspects linguistiques du sens commun, à partir del’analyse du lexème intermittent dans un corpus de presse 6. Outre les dynamiques sémantiques qui seront décrites par ce prisme, nous montrerons que lesens commun éclaire également d’autres pans du domaine linguistique, témoignant ainsi de la pertinence de ce paradigme. Nous proposerons alors, à la suitede la description sémantico-discursive de ce lexème, de rendre compte de deux6. Cf. Note (5).L a ng ag e s 170113Document téléchargé depuis www.cairn.info - - - 78.194.163.53 - 26/04/2019 00h32. Armand Colinen grammaire, de parcours de stabilisation. Par exemple dans statut des intermittents, intermittents – complément du nom – profile la composante /statut/du motif. Mais bien souvent, les profilages ouvrent la voie aux thématiques,comme dans la colère des intermittents : le profilage ouvre sur le thématique dumauvais caractère des intermittents. Dans les intermittents semblent pris d’unefièvre mortelle, intermittent est le sujet de fièvre mortelle, ouvrant alors sur la thématique de la maladie des intermittents.

Discours et sens communphénomènes linguistiques particuliers qui peuvent être appréhendés par lapragmatique topique : l’ellipse et la néologie.2.1. Description topique d’INTERMITTENTPour procéder à cette description, nous utiliserons la tripartition motifs-profils-topoï introduite précédemment.Document téléchargé depuis www.cairn.info - - - 78.194.163.53 - 26/04/2019 00h32. Armand ColinL’analyse morphologique d’intermittent fournit des pistes intéressantes pourl’analyse des motivations. Ce terme a été emprunté au latin intermittens, participe présent de intermittere. Le verbe est composé du préfixe inter- et du verbemittere. Le préfixe inter exprime l’espacement, la répartition, ou une relationréciproque ; quant au verbe mittere, il signifie étymologiquement « laisser dansl’intervalle », « interrompre ». Dans la notion d’intermittent, l’espacement ou larelation entre deux choses sont dominants. Il est d’ailleurs remarquable qu’historiquement, en langue, intermittent est un adjectif qui s’applique à quelquechose qui s’arrête et reprend par intervalle, se comportant comme un synonyme de discontinu. Il est ensuite devenu un nom commun (par ellipse du nomtravailleur dans travailleur intermittent). L’exemple du dictionnaire Le Robert(1992), intermittent du spectacle, met d’ailleurs en valeur le caractère irrégulierpar rapport au spectacle. Dans l’étude du corpus, les énonciateurs font parfoisappel à la légitimité génétique et historique de l’objet, en mettant en avant lecaractère discontinu du travail des intermittents : intermittent retient donc ladimension « espacement/répartition » d’inter en l’appliquant à travail. Leschéma suivant synthétise les enjeux du sémantisme étudié :Intermittent (adj.)Ellipse(Travailleur) intermittent (sub.)EllipseStatut/régime des ittent du spectacleCela permet de poser plus clairement le problème que la composante /métier/du motif révélait : on doit en effet traiter ce « travail par intermittence » defaçon particulière, puisqu’il est question d’un statut spécifique. Travail est114Document téléchargé depuis www.cairn.info - - - 78.194.163.53 - 26/04/2019 00h32. Armand Colin2.1.1. Motifs

Sens communs et dynamiques sémantiques : l’objet discursifINTERMITTENTdans ce cas à comprendre comme « travail rémunéré

Th orie des st r otypes de Anscombre (qui diff rencie les st r otypes primaires des st r otypes secondaires) et la Th orie des blocs s mantiques, d velopp e par Ducrot et Carel (qui diff rencie lÕargumentation structurelle de lÕargumentation contextuelle). 4.

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