Quel Type D’aliment Utiliser

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04ChapitreGénéralités sur la conduitede l’alimentationFabrice Morinière (CA 85)Quel type d’aliment utiliser ?Qu’est-ce qu’un aliment ?Un aliment est une substance qui doit fournir à l’animall’énergie et les éléments nécessaires à son maintien en vieet donc couvrir les besoins d’entretien. Pour les animauxd’élevage, l’aliment devra en plus apporter assez denutriments pour répondre aux besoins de production (œufsou viande).L’aliment peut se présenter sous différentes formes :matières premières, aliment composé (mélange d’aumoins deux matières premières), aliment complet (alimentcomposé qui, en raison de sa composition, suffit à couvrirles besoins journaliers) ou aliment complémentaire (conçupour compléter des matières premières distribuées àl’animal, par exemple des céréales).Les dispositions qui régissent la mise en marché desaliments à destination des animaux se trouvent dans lerèglement (CE) N 767/2009.Acheter ou fabriquer son aliment ?Produire une partie de son aliment permet de réduire le coûtalimentaire, qui représente en agriculture biologique plus de60% du coût de production des volailles ou des œufs. Pourcela, plusieurs stratégies peuvent exister :› Acheter un aliment complet du commerce pourchaque stade physiologique des volailles (démarrage,croissance, finition) sur la durée complète d’élevage ousur une période en particulier (démarrage par exemple).› Acheter un aliment complémentaire du commerce(comprenant vitamines, minéraux et éventuellementprotéines ) qui sera ajouté à des matières premièresachetées ou produites sur l’exploitation.› Fabriquer la totalité des aliments avec des matièrespremières achetées ou produites sur l’exploitation etcomplétées par des minéraux et vitamines du commerce.Cette solution pourra permettre de véritables économiesà partir d’un certain seuil de production. Mais il faut bienprendre en compte toutes les contraintes de cettestratégie (matériels, analyses, surface de cultures, temps ).Voir le chapitre 8 consacré à la fabrication de l’aliment à la fermeAlimentation des volailles en agriculture biologique19

Qu’est-ce qu’une conduite alimentaire ?La conduite alimentaire est l’adéquation de plusieurséléments :› le programme alimentaire (régime alimentaire) :combien d’aliments différents pour les volailles ? Quel âgede transition alimentaire ? Quels besoins nutritionnels ?Quelle présentation pour chaque aliment ? Quellequantité pour chaque aliment ?› le système de distribution de l’aliment (au sol ou dansdes mangeoires)› le mode de distribution (à volonté, rationnement,repas )La conduite alimentaire sera définie en fonction desobjectifs de production choisis par l’éleveur qui déterminentnotamment le poids et l'âge recherchés à l'abattage, oul'intensité de ponte.Indicateurs de l’efficacitéd’une conduite alimentaireL’efficacité de la conduite alimentaire va être appréciée enfonction du résultat obtenu par rapport aux objectifs visés.Le premier critère est l’obtention du poids cible à l’âgeattendu. Ensuite, la performance peut être recherchée enatteignant les objectifs poids et âge tout en optimisant laconsommation des animaux.Plusieurs indicateurs techniques servent à évaluer l’efficacitéde la conduite alimentaire :› Quantité d’aliment consommée : que l’aliment soitacheté ou fabriqué, il est primordial de noter la quantitéd’aliment distribué pour un lot donné. Si l’aliment estacheté, il faut répertorier chaque livraison et en fin delot estimer les stocks d’aliment restant. Pour les éleveursFAFeurs (terme utilisé pour les éleveurs qui Fabriquentleur Aliment à la Ferme), il n’est pas toujours facile deprocéder de la sorte, mais chacune des distributionspeut être notée sur une fiche de lot. Connaître laquantité d’aliment consommé par un poulet ou unepoule pondeuse permet de déterminer son coût derevient, et par conséquent le juste prix de vente desproduits (viande ou œufs) qui va permettre de dégagerune marge.› Poids des animaux : il est conseillé d’effectuer unepesée hebdomadaire de 10 % des animaux (à adapterselon la taille de l’élevage), qui permette de suivrel’évolution du poids (sur une courbe de croissance pourles poulets et poulettes futures pondeuses) et d’adapterla conduite alimentaire. Par ailleurs, la pesée au momentde la vente ou à l’abattage est indispensable en volaillede chair.20Alimentation des volailles en agriculture biologique› l’Indice de Consommation (IC) en volaille de chaircorrespond à la quantité d’aliment consommée (kg)par un animal pour produire un kg de viande en vif.Pour point de repère, en filière organisée, l’IC moyend'un poulet biologique est de 3,063 pour un âged’abattage moyen de 89 jours (Enquête AvicoleChambres Agriculture 2014). Bien entendu, avec unschéma de production différent, l’IC peut être bienplus élevé (l’IC augmentant avec l’âge des animaux).En filière courte, avec fabrication d’aliment à laferme, système d’alimentation automatisé ou non,matériel plus ou moins adapté pour limiter le gaspillage,l’IC est très hétérogène et compris généralemententre 3 et 6. Le but est de déterminer l’IC quicorrespond à l’élevage et de l’améliorer en optimisantla conduite alimentaire (formule, présentation ) oula conduite d’élevage (matériel et réglage, démarrage,ambiance ). La réduction de la hauteur de l’alimentdans les assiettes après la période de démarrage permetde limiter le gaspillage, et d’optimiser l’IC.En production d’œufs, l’IC correspondra à la quantitéd’aliment consommée (kg) pour produire un kilo d’œuf.La consommation pourra être aussi ramenée à l’œufproduit pour se comparer à des références attendues.Aliments et conduites alimentairesen POULET DE CHAIRNombre et type d’alimentsLa conduite alimentaire en poulet de chair est généralementbasée sur trois types d’aliments (démarrage, croissance etfinition) afin que les apports en nutriments répondent aumieux aux besoins de l’animal.La phase de démarrageLa phase démarrage correspond aux 28 premiers jours dupoulet, pendant lesquels il consommera environ 30 à 35 gd’aliment par jour soit 1 kg sur la période de démarrage.En pratique, cette phase est très délicate, notammentparce qu’il est difficile d’apporter les acides aminés soufrés(méthionine et cystine) en suffisance dans la ration. Il faudraveiller, en particulier chez le poulet « démarrage », à apporterces nutriments limitants tout en évitant d’apporter enexcès des protéines afin de respecter rigoureusement lesexigences nutritionnelles et les équilibres entre les différentsacides aminés.

a savoir› une carence en lysine, chez les animaux jeunes,ne pourra pas être compensée par la suite.› les besoins du poulet « démarrage » (0-28 jours)diffèrent peu selon la souche et le contexte del’élevage.Pour ces raisons d’équilibres nutritionnels délicats àrespecter, l’alimentation des poussins avec un produitdu commerce est généralement incontournable.Les phases croissance et finitionLa phase croissance correspond à la période 28 – 63jours d’âge du poulet en filière courte pendant laquelle ilconsommera environ 75 à 85 g d’aliment par jour soit enmoyenne 2,9 kg sur cette période (28-56 jours en filièrelongue avec abattage plus précoce).La phase de finition est la dernière période d’élevage, dontla durée dépend essentiellement de l’âge à l’abattage quipeut aller de 81 à 140 jours d’âges en fonction des élevageset des circuits de commercialisation.A ces stades, les exigences nutritionnelles des pouletsvarient fortement et vont différer selon les objectifs deproduction (âge et poids à l’abattage), l’environnement(climat, conditions d’exploitation du parcours) et le choixde la souche.Avec des souches à croissance lente et abattues au-delàde 90 jours les besoins en nutriments et en particulier enacides aminés essentiels vont diminuer. Dans le cadre d’unabattage tardif (à partir de 126 jours), il peut être intéressantsur les plans technique, économique et environnemental,d’apporter deux aliments finition distincts pour « coller » auplus près des besoins nutritionnels et éviter un apport deprotéines non valorisé en fin de lot. A l’inverse, dans le cadred’un abattage plus précoce ( 98 jours) et dans un contextede fabrication d’aliment à la ferme et de vente directe,un aliment unique croissance-finition peut être envisagé.Si cette solution n’est pas optimale techniquement etéconomiquement, elle résulte généralement d’un souhaitde simplification en termes de logistique de fabrication etde stockage de l’aliment et de réduction du temps passéà la fabrication.Par ailleurs, à ces stades, il faut tenir compte du caractèrealéatoire des apports nutritionnels liés au parcours(herbe, petits animaux.), bien qu’ils dépendent à lafois des conditions de production de celui-ci ainsi quedu comportement exploratoire du poulet (qui varie enfonction des saisons, des souches, de l’individu, etc.).En conséquence, en conditions difficiles (hiver rigoureux,sécheresse prolongée) et avec des poulets peu explorateurs,il faudra prévoir des compléments, notamment en vitaminesA et D3.Distribution de grit en complémentDu grit (gravier de silex) doit être apporté dès le plus jeuneâge et au plus tard à 5 jours à raison de 5 à 10 grammes paranimal et par semaine, de façon à favoriser le broyage desaliments dans le gésier et ainsi d’augmenter la digestibilitédes matières premières.Des compléments en vitamines d’un complexe A, D, Esont conseillés dans les périodes critiques (stade poussin,hiver, période prolongée de sécheresse ). Les apports devitamines du groupe B seront assurés par l’ajout de levurede bière dans l’aliment (2% de la ration).Présentation de l’alimentLes aliments du commerce peuvent se présenter sous 3formes différentes : farine, granulés de différentes tailles(en volaille : entre 2 et 4 mm) ou miettes de différentestailles (granulés concassés dans un émietteur et triésdans un tamiseur). L’aliment démarrage du commerce estgénéralement fourni sous forme de miettes ou de farine.Le mélange de matières les plus et les moins appétenteset de minéraux permet de limiter le tri par les animaux.Les aliments croissance et finition sont généralementprésentés en miettes ou granulés. La granulationaugmente la consommation. A l’inverse les aliments troppulvérulent (farine fine) collent au bec, limitant l’ingéré et lesperformances de croissance.En fabrication d’aliment à la ferme (FAF), la présentationde l’aliment ne peut être réalisée sous forme de farine oude granulés. Il faudra rechercher, pour les céréales, unegranulométrie grossière afin d’optimiser la digestibilitédes protéines et de prévenir les ulcères et problèmesrespiratoires (sollicitation du gésier). Pour les protéagineuxet les oléagineux, il est préférable de pratiquer un broyagefin. Le mélange doit être homogène.La mouture dans son ensemble doit trouver un compromisentre deux facteurs antagonistes : L’augmentationdes particules fines ( 1mm) dans l’aliment entraineune dégradation des performances zootechniques.L’augmentation de la taille des particules stimule le triparticulaire. En choisissant les particules grossières mieuxadaptées à son bec, le poulet déséquilibre la formule.Il est donc nécessaire de trouver une taille de grille debroyeur optimale. La granulométrie de la mouture doit êtreanalysée pour répondre au mieux aux besoins des volailles :Alimentation des volailles en agriculture biologique21

Aliments et conduites alimentairesen PONDEUSESNombre et type d’alimentsEn poules pondeuses, les types d’aliment vont variersuivant deux paramètres :› Le potentiel de la souche› Le stade de ponte : entrée en ponte ou ponteL’aliment « entrée en ponte » : Son objectif est de satisfaireles besoins d’une pondeuse ayant une consommationplus réduite pendant la phase d’entrée en ponte (besoinsde croissance et de production). Les concentrations enénergie et acides aminés tels que la lysine et la méthionineseront ainsi majorées.s’approcher de 4 % de particules supérieures à 3,15 mm etéviter de dépasser 40 % de particules fines. L’incorporationd’huiles végétales améliore la présentation en limitant lesparticules fines (humidification de la ration et fixation desfines particules), le tri particulaire, et améliore la palatabilitéde l’aliment ainsi que la qualité des carcasses.Mode de distributionEn volaille de chair, l’aliment est généralement distribué àvolonté. Dans le cadre d’une alimentation automatisée, unvide des chaines par jour peut être conseillé afin d’obligerles animaux à consommer les minéraux sous forme de fines.En cas de rationnement pour maîtriser la consommationd’aliment et l’engraissement, la distribution doit être réaliséeà heures fixes.Le passage à l’aliment « ponte » correspond à l’atteintedu poids vif objectif et d’un niveau de consommationacceptable. La différence de niveau de consommationentre le transfert des poulettes et l’âge où l’optimum del’ingéré est atteint peut avoisiner 40 %.L’apport en calcium : Les besoins sont particulièrementélevés pour la formation de la coquille. Celle-ci se formanten fin de journée, la consommation de calcium sera plusimportante le soir. C’est pourquoi, il est conseillé de pratiquerl’alimentation calcique séparée : l’aliment contiendra 1 %de calcium, complété par un apport à volonté de coquillesd’huîtres ou de granulés de carbonate de calcium (2/3semoulette 1/3 farine).Cette pratique présente un triple avantage : (1) L’alimentationcalcique séparée améliore la solidité de la coquille ; (2) Lapoule prélève exactement ce dont elle a besoin ; (3) Le faiblepourcentage en calcium de l’aliment permet d’augmenterla concentration de l’aliment en énergie et en acidesaminés essentiels, avec un meilleur équilibre de ceux-ci.En revanche, l’ingéré de l’aliment diminuera un peu, du faitde la consommation par ailleurs, de l’alimentation calcique.Présentation de l’alimentLe niveau énergétique de l’aliment et sa présentation sontles 2 principaux facteurs qui influencent la consommationet en conséquence la production. La consommationd’aliment est très dépendante de la granulométrie. La poulea une préférence marquée pour les particules grossières.Elles sont facilement préhensibles et n’entrainent pasd’empâtement du bec. Une poule a tendance inversementà délaisser les fines particules.22Alimentation des volailles en agriculture biologique

En filière longue avec aliment du commerce, l’aliment seragénéralement sous forme de farine (objectif : limitation dutri particulaire, limitation du picage de par le temps passésupérieur à s’alimenter).En fabrication d’aliment à la ferme, une mouture assezgrossière et homogène sera recherchée sur les mêmes basesque l’aliment pour volaille de chair citées précédemment.L’incorporation d’huiles végétales améliore la présentationen limitant les particules fines, (humidification de la rationet fixation des fines particules), le tri particulaire, et améliorela palatabilité de l’aliment et le calibre de l’œuf (les acidesgras insaturés tels que l’acide linoléique présent notammentdans l’huile de soja et de tournesol l’influence positivement).Mode de distributionEn alimentation automatisée (chaine plate ou avecassiettes), généralement en filière longue, l’alimentation estrationnée (120 g/poule/jour) sur la base de 3 à 5 distributionsjournalières à heures fixes selon un planning bien déterminé.L’objectif est de maîtriser l’engraissement des poules et lepoids des œufs, limiter le gaspillage et adapter les apportsde la journée en fonction notamment du cycle de ponte etdes besoins en calcium pour la formation de la coquille (partimportante de la consommation journalière sur l’après midiet jusqu’au coucher).De plus, une consommation importante le matin lorsde la période de ponte engendrerait un nombre d’œufssales plus important. Les chaines plates au sol ou parassiettes doivent être vidées quotidiennement et à heurefixe (arrêt de consommation en fin de matinée), évitant ainsil’accumulation de fines. Si l’alimentation est manuelle, unrationnement serait à privilégier via un repas le matin et unle soir. La hauteur d’aliment dans le cas d’assiettes doit êtreréglée correctement pour contribuer à limiter le gaspillageet le tri particulaire.Aliments et conduites alimentairesen PoulettesNombre et type d’alimentsDeux périodes doivent être distinguées :1. Une phase de « démarrage » (0 - 6 semaines) pendantlaquelle, les besoins sont sensiblement les mêmes queceux du poulet de chair.2. Une phase de « croissance » qui s’achève à l’entréeen ponte (entre 20 et 23 semaines). L’objectif est dedévelopper la capacité d’ingestion par un alimentmoins riche (avec plus de fibres) à partir de 10semaines. C’est dans cette période que la pouletteva devoir s’adapter au parcours : son comportementexploratoire sera un indicateur de sa capacité àtrouver elle-même des compléments alimentaires(herbe, lombrics, petits insectes,.) à sa ration.Présentation de l’alimentEn aliment du commerce, la forme de présentation seragénéralement en miettes ou farine. Pour une fabrication àla ferme, les mêmes caractéristiques que pour la volaille dechair seront recherchées.Mode de distributionAvec une alimentation automatisée (filière longue), ilconvient d’habituer les poulettes à la notion de repas àpartir du moment où l’aliment croissance est distribué,ce qui permettra de stimuler la consommation. Il estrecommandé d’alimenter à heures fixes, ainsi que de viderquotidiennement les mangeoires pour éviter l’accumulationde particules fines.Facteurs de variation de laconsommation des alimentsLes besoins énergétiques et la concentration enénergie métabolisable de l'alimentTout facteur qui diminue ou augmente la dépenseénergétique a un impact sur l’appétit de l’animal (poids del’animal, niveau de production, température ambiante ).L’animal cherche en priorité à ingérer la quantité d’alimentlui permettant de couvrir ses besoins énergétiques. Enthéorie, un aliment pauvre en énergie augmente l'ingéréalors qu’un aliment riche va l’abaisser. Cependant, cetterégulation homéostatique fonctionne bien pour les poulespondeuses mais moins pour les poulets de chair.Température ambiante et apport en eauUne température trop élevée aura pour conséquence unebaisse de la consommation alimentaire. Au contraire, unetempérature trop basse entrainera une augmentation del’ingéré et de l’indice de consommation (besoin d’énergiepour se réchauffer). Il est donc important de suivre lesAlimentation des volailles en agriculture biologique23

températures de consignes correspondant à l’espèce etl’âge des animaux, d’avoir un système de chauffage adéquat,et de maitriser les coups de chaleur en veillant notammenten période chaude à un apport suffisant et régulier en eau(sa restriction entraînant une baisse de l'ingestion d'aliment).La forme de distribution et granulométrie des alimentsPour l’aliment en farine, la consommation baisse lorsquela taille des particules baisse (-4 % de consommation pourune réduction de 100 microns). La présentation en granulésaugmente l’ingéré surtout si le niveau énergétique est faible.Les transitions alimentairesLors des transitions entre deux aliments, une baisse deconsommation est généralement constatée. Il faudra éviterdes changements brutaux notamment en termes de tauxde protéines, de forme, de granulométrie et de couleurd’aliment auxquels les animaux sont sensibles.Les carences ou déséquilibres en acides aminésUne carence en acides aminés et surtout en tryptophaneou un excès de protéines avec déséquilibre (excès deleucine en cas d’apport important en maïs ou gluten demaïs) diminuera l'appétit des volailles. Un déséquilibre durapport Lysine/méthionine entrainera une augmentation del’IC et donc du coût de production. En termes d’appétence,les volailles préfèrent les aliments pauvres en protéines.Les déséquilibres en vitamines et minérauxLes carences en vitamines entraînent une baisse de l'appétitchez les animaux en croissance. En revanche, elles ont peud'effets chez les adultes. Les excès comme les carences ensodium, chlore, et calcium entraînent une baisse de l'appétit.Il en est de même pour les carences en oligo-éléments si

pesée hebdomadaire de 10 % des animaux (à adapter selon la taille de l’élevage), qui permette de suivre l’évolution du poids (sur une courbe de croissance pour les poulets et poulettes futures pondeuses) et d’adapter la conduite alimentaire. Par ailleurs, la pesée au moment de

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