La Rentrée En Chantant - SNES-FSU Toulouse

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Mai-Juin-Juillet 2017 - N 360La rentréeen chantant ?T 3154 BS n 357.indd 126/06/2017 15:33

ActualitéRéforme du collègeAprès la CA nationale (20-21 juin 2017)Le bilan de la réforme du collège démontreà quel point sa mise en place a dégradéles conditions de travail des collègues. Encette fin d’année, les professeurs exerçanten collège sont épuisés. Quelle feuille deroute après l’assouplissement du décret, quine règle pas tout, loin de là ?Fruit des luttes menées depuis 18 mois parle Snes-Fsu et la profession pour dénoncerle caractère inefficient et injuste de cetteréforme, l’arrêté de juin 2017, présentécomme un assouplissement, desserre légèrement l’étau bureaucratique sur les EPI etl’AP. Il rétablit la possibilité d’une offre enLVER et LCA, mais sans financement et enrenforçant le renvoi au local de nombresde décisions. Les enseignements facultatifssont clairement présentés comme un moyenpour les collèges de différencier leur offre deformation et, de fait, de se mettre en concurrence les uns avec les autres.nationale. Quant à l’aide aux devoirs, leSnes-Fsu sera vigilant sur les modalités demise en place dans les établissements, et enparticulier sur les choix des personnels l’encadrant. Une réflexion doit être menée pourréduire les inégalités scolaires qui s’opèrentdans le cadre des devoirs. Pour que l’aideaux devoirs aille dans ce sens, elle ne peut sefaire sans moyens spécifiques ni personnelsqualifiés.L’évaluation doit être au service des apprentissages des élèves.Le Snes-Fsu demande au nouveau ministreLe Snes-Fsu réaffirme sa volonté d’abrogation de la réforme du collège et l’ouverturede nouvelles discussions pour une autreréforme, qui réduise les inégalités scolaires.Il demande en outre l’établissement d’unecarte académique des LVER et des optionsfacultatives, dans le cadre d’une politiqueStage Technologie du 15 juin 2017.de revoir l’épreuve orale du DNB qui génèrede grandes inégalités entre les établissements et entre les élèves, notamment dufait de la diversité des projets possibles(EPI, parcours) et de la diversité des grillesd’évaluation (locales). Un cadrage plus strictdoit permettre de recentrer l’épreuve sur lescontenus travaillés en classe en lien avec lesprogrammes.Il demande aussi une simplification des modalités du DNB pour plus de lisibilité. La priseen compte du positionnement des élèves surles domaines du socle pour le DNB doit êtreremplacée par le contrôle continu de l’ensemble des disciplines, avec des enseignantslibres de choisir les modalités d’évaluationqu’ils souhaitent.Les chefs d’établissement n’ont pas àprendre le contrôle des grilles d’évaluationde l’oral du DNB, ni du positionnement surles composantes du socle, ni du choix entreévaluation chiffrée ou d’un autre type. Parailleurs, aucun logiciel ne doit être imposéaux équipes, et le LSU ne doit générer aucuntravail supplémentaire pour les équipes.Le Snes-Fsu a demandé en Conseil supérieurde l’éducation l’ouverture de discussions surl’évaluation des élèves.Deuxième temps fort du PPCRPartir sur de bonnes bases !Au 1er septembre 2017, tous les collèguesbénéficieront des effets de la reconstruction des grilles indiciaires, entraînant denouvelles hausses de salaire. Cette opérationprend la forme d’un reclassement, qui seraautomatiquement calculé par les services duRectorat. Pour autant, le SNES-FSU sera à ladisposition des collègues qui souhaiteraientvérifier que leur situation personnelle a bienété prise en compte : plusieurs outils serontprogressivement déployés à la rentrée pourcela.de passage à la hors-classe, avant l’éventuelaccès à la Classe Exceptionnelle, nouveaudébouché possible de carrière, substantiellement revalorisé. et de nouvelles pratiques d’évaluationprofessionnelle !Le Snes-Fsu porte - notamment auprès descorps d’inspection - ses attentes pour quel’évaluation professionnelle, désormais bienplus déconnectée de la progression de carrière, prenne un intérêt nouveau :Sortir de l’exercice convenu de l’inspection,pour permettre un dialogue plus riche, pluspertinent et plus constructif, qui puisse offrirà tous les collègues un regard constructif surleurs pratiques de classe ; Une nouvelle carrière Cette entrée dans la nouvelle carrière s’accompagne aussi d’une évolution très significative de l’évaluation professionnelle, qui setraduit désormais par 3 rendez-vous de carrière : les deux premiers permettant un avancement plus rapide d’un an dans la classenormale, le troisième pour guider le rythmeLimiter les rapports exclusivement verticaux avec les corps d’inspection, qui ont tropsouvent été ces dernières années les promoteurs, plus ou moins habiles et bienveillants,de réformes largement contestées par laprofession ;Établir des pratiques d’inspection transparentes et harmonisées, sur la base d’attentesclaires, permettant de garantir l’équité detraitement dans la progression de carrière ; Permettre l’écoute des situations professionnelles complexes vécues par les collègues, afin de bâtir des plans de formationpertinents, etc. Les enjeux de la période qui s’ouvre sont essentiels pour transformer en profondeur uneévaluation professionnelle qui frisait la caricature, redonner aux corps d’inspection leurfonction de conseil et manifester concrètement aux collègues la confiance de l’institution. Le Snes-Fsu en sera l’artisan tout aulong de l’année prochaine. Pierre PriouretCo-Secrétaire Général Académique2 Bulletin SyndicalT 3154 BS n 357.indd 226/06/2017 15:33

StagiairesMardi 28 août 2017Le SNES sera au rendez-vous*, répondrepour accueillir les stagiairesseillerconlesà leurs questions et.néepour bien démarrer l’anmuniqué le lieu.*Le rectorat n’a pas encore comTZRMercredi 29 août 2017O pour les néo-TZRDe 14h à 17h REUNION D’INFsi les bienvenus)(les plus anciens seront ausau SNES 2 avenue Jean Rieuxis Verdiermétro ligne B station FrançoLes arrêtés d’affectation,les frais de déplacements,nset toutes les autres questio!ezpossvousque vouInscrivez-vous sur le site dèsmaintenant :www.toulouse.snes.eduDroits et obligationsDes participants attentifs au stagea rassemblé plusdu fonctionnaire du 20 avril 2017, quide 75 collèqgues.EDITORIAL - EDITORIAL - EDITORIALLe SNES vous accueilleet vous informeDerrière les apparences Si les premières mesures prises par J-M. Blanquer, le nouveau ministre de l’Éducation nationale, semblent faireécho au mécontentement de la profession, notammentsur le collège qui mobilise les collègues avec le SNESFSU depuis deux ans, la réponse par l’accroissement del’autonomie, véritable cœur de la réforme, n’est au mieux qu’unemesure de façade, au pire un leurre dangereux.L’essentiel n’est pas encore visible, mais les annonces de la campagne présidentielle quant aux créations de postes sont claires.Le choix politique d’une probable baisse des recrutements dansle second degré, dans une période d’augmentation sensible de ladémographie, va impacter les collèges et les lycées dès la rentrée2017 mais bien plus lourdement les années suivantes.Comment faire réussir les élèves sans planifier méthodiquementl’embauche de nouveaux enseignants solidement formés ? Quoique décide le gouvernement en matière d’éducation, il lui faudrabien apporter une réponse à cette question.En attendant, le ministre donne des gages aux uns et aux autres :aux chefs d’établissement, il fait miroiter l’autonomie, les postesà profil Aux enseignants, aux parents, souvent exaspérés pardes années d’empilement de dispositifs inefficients, il promet dese débarrasser des « pédagogistes » de la rue de Grenelle, de revenir sur la fin des redoublements, ou d’assouplir les rythmes Il est question également de réformer le bac pour la session2018.Mais avant, c’est l’aide aux devoirs en collège qui est ressortiedes cartons pour la rentrée. Rappelons que l’accompagnementéducatif a été supprimé il y a 3 ans. Sans financement, avec appelau volontariat, aux personnes en Service Civique, par l’extensiondes missions à des rôles pédagogiques pour les AED, on mesurele bricolage qui s’annonce partout en la matière, et la vision denos métiers qui en découle.Difficile donc de s’y retrouver - même si on devine des lignes politiques dérégulatrices trop bien connues - tandis que ces derniersjours ne laissent pas de nous inquiéter sur la méthode adoptéepour les faire passer : accueil musical des élèves à la rentrée, etdistribution des Fables de La Fontaine aux collégiens, sont autantd’annonces qui masquent mal les buts réels !La tentation de tomber dans la mécanique médiatique de l’effetd’annonce est toujours grande. Si N. Vallaud-Belkacem s’y estperdue, parfois jusqu’à la démagogie, voire le ridicule, le SnesFsu n’y sera pas plus sensible demain qu’hier.Bernard SchwartzCo-Secrétaire Général AcadémiqueN CPPAP : 1117 S 06278 - Prix au numéro : 1 Dépôt légal à parution - ISSN 1635-9658Journal édité par le Snes : 2, avenue Jean-Rieux - 31500 ToulouseTél. 05 61 34 38 51 Fax 05 61 34 38 38 - Mél : s3tou@snes.eduDirecteur de Publication : Jean-Louis Viguier - Rédactrice en chef : Monique Degos-CarrèreMai-juin-juillet 2017 - N 360 - Public-Imprim Midi-Pyrénées : Tél. 05 61 44 11 12Bulletin Syndical 3T 3154 BS n 357.indd 326/06/2017 15:33

ActualitéPolitique scolaireUne éducation à la sauce région?En cette fin d’année, les lycées de la régionont reçu un document intitulé « nouvellepolitique régionale d’actions éducatives enfaveur des lycées ». On sait que les nouveautés annoncées n’en sont par toujours, maispour le coup le titre n’est pas menteur, il ya bien de la nouveauté : en effet, on pourrait dire en l’occurrence que la région passeà l’action.Ce qui est exposé dans ce document, c’estla politique de soutien aux projets pédagogiques menés dans les lycées de la région ;mais les formulations étant souvent révélatrices, force est de constater qu’il est désormais de question « politique éducative ». Larégion aurait-elle récupéré les compétencesde l’État en matière éducative ? Toujourspas. et pourtant on pourrait le croire à lirele discours sur le « jeune » : « à chaque jeunede pouvoir élever son niveau de qualification,et améliorer son insertion sociale devient unenjeu majeur. Cela implique d’accompagneret élargir son champ des possibles [.] ».Quoi ? Qu’est-ce ? Est-ce l’Éducation nationale qui parle ou la région ferait-elle de laventriloquie ?Ce qui se joue en fait ici en filigrane, c’est unchangement de paradigme qui n’a rien d‘innocent : en effet, à travers un long cahier descharges posant critères de sélection, orientations, modes d’évaluation, la région glissedu rôle de soutien à celui de prescripteurse positionnant sur un champ pédagogiquequi n’est normalement pas le sien. Quand larégion se contentait auparavant d’accompagner les projets des personnels à l’initiative,elle veut désormais les susciter en définissant un cadre : par exemple, tout projetdevra obligatoirement proposer un modèleéconomique s’appuyant sur des partenariatsfinanciers auprès d’autres collectivités territoriales, les services de l’État, mais aussi desacteurs locaux (entreprises, associations, sociétés de transport public, etc.) ou d’autresstructures (fondations, etc.).Ce qui ressort donc, c’est que la Région veutLe Snes-Fsu ne lâche pas l’affaireLes élus en CTA ont demandé, dès janvier,des comptes à la Rectrice sur l’utilisationprécise des 10 postes d’enseignants prévuspour les lycées de l’Éducation Prioritaire.Après sa première réponse évasive, leSNES-FSU et le Snuep-Fsu lui ont écritpour exiger des précisions. Cela valait lapeine d’attendre : les moyens ont été attribués, sur la base d’arbitrages ponctuels,aux établissements déjà identifiés par lepassé, sans indicateurs clairs qui auraientpermis de dégager de nouveaux établissements bénéficiaires. Et les postes attribuéscomptent pêle-mêle des postes de professeurs, de proviseur, ou d’infirmière !Le dossier n’est donc pas clos, et le SNESFSU continue d’intervenir afin d’obtenirdes critères objectifs pour l’attributionde moyens aux lycées pouvant relever del’Éducation Prioritaire.Pierre Priouretco-secrétaire général académiqueLangues vivantesHalte aux tâchesinutiles !omme si la charge de travailsupplémentaire induite parla réforme n’était pas suffisanteen cette fin d’année, certainschefs d’établissement n’ont passu ou voulu comprendre correctement les textes et ont tentéd’imposer des tâches supplémentaires aux équipes.Cela a été le cas avec lesépreuves de langues en fin de 6eet en fin de 5e qui ne sont pasobligatoires, comme l’indiquentclairement la lettre de rentrée des IA-IPR et le protocoleaccompagnant ces évaluations,protocoles que certains chefsd’établissement ont dû oublierde transmettre.Sylvain LagardeSecteur lycéeLycées Éducation PrioritaireÉvaluationCimposer sa vision et mener sa politique éducative. Mais à travers cela, ce qui apparaît,pour nous, c’est le spectre d’une éducationencore plus territorialisée ! Dans le mêmetemps que nous critiquons toute remise encause du bac comme cadre national, nouscondamnons toute tentation d’imposer deslogiques territoriales vectrices d’inégalités.Affirmons-le : avant d’être des lycées d’Occitanie, les lycées de notre académie sont deslycées de l’Éducation nationale !Quant aux charges supplémentaires ET inutiles, la palme revient à cette équipe de directionqui, considérant certainementque le remplissage des bulletins pour chaque trimestre etla validation des 8 domaines dusocle en fin de cycle sur le LSUn’étaient pas suffisants, a eul’idée de demander aux équipesenseignantes une appréciationsupplémentaire sur l’année pourchaque élève, alors que la bascule des éléments déjà rentréspouvait très bien se faire !N’hésitez pas à signaler ce genrede dérives au secteur.Carine Riossecteur collègeInégalités et opacitéL’année se termine et leConseil Académique desLangues Vivantes Étrangères(CALVE) n’a toujours pas été réuni cette année malgré nos demandes réitérées, pas plus quela carte des Langues vivantesétrangères n’a été présentée,pas même en CTA.Pourtant, à en croire Madamela Rectrice lors de l’ouverturedes FPMA, la réforme des collèges n’a pas appauvri l’offrede langues. Comment expliquer cela aux élèves qui ont vuleur enseignement interrompuet leur choix d’offre de languediminuer ? Comment expliquercela aux collègues qui ont leursservices modifiés, sans parlerde ceux pour lesquels le poste atout simplement été supprimé ?Après avoir quasiment disparudans les collèges publics, lesdispositifs bilangues et sectionseuropéennes pourront faire leurretour dès la rentrée, conformément au nouveau décret.Mais pour l’instant, le choix estrenvoyé à l’autonomie des établissements, sans aucun cadrageacadémique. A quand la réunioncomme à Grenoble, d’un CALVE,même tardif, sur la carte des langues ? Alors que les questions demixité sont d’actualité, il seraittemps de se pencher concrètement sur la place et le rôle desoptions et dispositifs dans l’égalité des chances d’accès aux enseignements pour chaque élève.Carine Riossecteur collège4 Bulletin SyndicalT 3154 BS n 357.indd 426/06/2017 15:33

Intra 2017Un mouvement chaotique !Après un hiver passé à discuter de la circulaire INTRA avec la DPE dans le butde fluidifier un mouvement qui se sclérose etpour une mutation choisie dans un temps raisonnable pour tous les personnels, le Snes Fsus’est rendu à l’évidence fin janvier : après troisgroupes de travail, tel n’était pas l’objectif denotre employeur.Malgré les mises en garde du SNES-FSU quiavait averti du danger des modificationsenvisagées, le choix du Rectorat a été decontraindre encore davantage le mouvementdes personnels du second degré pour éviterune surcharge de travail aux services du Rectorat, qui manquent cruellement de personnelspour assurer cette période de l’année très chargée pour les gestionnaires.Des contraintes en tout genre se sont ajoutéesles unes aux autres : Contrainte de renvoyer soi-même sa confirmation de demande de mutation pour éviterun passage par la voie hiérarchique qui permettait aux collègues d’avoir l’assurance queleur dossier avait été transmis,Agrégésle Snes défend tous les collèguesCAPA Liste d’aptitude 14 mars 2017Le nombre de collègues candidats à la listed’aptitude ne cesse d’augmenter dans l’académie : 518 candidats en 2015, 618 en 2016,718 en 2017. Cette augmentation peuts’interpréter comme le marqueur d’uneforte attente de revalorisation. 63 collèguesont été proposés à l’issue de la CAPA et 14ont été promus dans notre académie par laCAPN des 17-19 mai. Comme chaque année,pour améliorer la constitution des listes académiques, la Fsu vérifie tous les dossiers, suitet conseille particulièrement les collèguesqui ont fourni une fiche syndicale, et avancede nombreuses propositions en commission.CAPA Hors-classe 25 avril 2017Depuis quelques années, les évolutions dela note de service, à porter au crédit de laFsu et du travail de nos syndicats en CAPA eten CAPN, ouvrent la perspective non négligeable de voir réaliser notre revendicationd’un passage à la hors-classe assuré pourtous les agrégés. Depuis 2011, tous les collègues au 11e échelon depuis plus de quatreans pourraient être promus au regard dunombre de promotions possibles.Pour ce dernier exercice dans le cadre statutaire existant, parmi les 1 518 collèguespromouvables, 304 ont été proposés à l’issuede la CAPA pour remontée en CAPN (27-29juin).Afin de poursuivre et d’amplifier les résultats obtenus les années précédentes, nosinterventions en commission ont porté enparticulier sur la défense de nos collèguesen congé longue maladie et sur les avis distribués. En effet de trop nombreux collèguesont vu l’avis porté par leur chef d’établissement ou leur IPR être modifié défavorablement par rapport à l’an dernier, sans justification ni explication particulière. Le Snes nesaurait accepter que l’évaluation pour l’accèsà la hors-classe puisse être instrumentaliséecomme moyen de représailles et/ou de pression sur les collègues ! Nous avons pointé leproblème spécifique du lycée Henri-Matissede Cugnaux et le projet initial a été en partiecorrigé. Les représentants des autres organisations syndicales ne sont pas intervenuspour défendre les collègues concernés.Thomas JarryPour les élu.e.s Fsu en CAPAContraintes de calendrier pour les collèguesavec une date de renvoi des confirmations dedemande de mutation avant le 7 avril pendantles vacances scolaires. Impossibilité pour tous les collègues de modifier leurs vœux avant les groupes de travail devérifications de vœux et des barèmes commecela était le cas les années précédentes pourcompléter un dossier, faire valoir une annéede séparation oubliée, inverser des vœux pourfaire valoir un rapprochement de conjoint quene se serait pas déclenché etc.Ces diverses contraintes, loin de faciliter letravail des gestionnaires du Rectorat l’a considérablement alourdi et a conduit à des interprétations multiples. Les collègues ont étécontactés, avertis, conseillés de façons très différentes et le SNES-FSU a souligné une iniquitéde traitement qui devait être rectifiée.Le Rectorat a dû se résoudre à accepter la proposition du SNES-FSU de permettre à tous lesdemandeurs de pouvoir modifier leurs vœuxjusqu’au 23 mai minuit.Cependant cette situation n’est pas satisfaisante, et il faudra qu’elle soit revue. Le Snesvous informera et continuera à défendre ledroit à une mobilité choisie, avec des procédures lisibles et équitables. Isabelle Richardeausecteur emploiSeuls les syndicats de la Fsu (Snep, Snes,Snesup), de par le nombre et l’expertisede leurs représentant.e.s en CAPA et enCAPN (6 élu.e.s sur 10 dans les deux cas)sont en mesure de faire un travail exhaustifsur l’intégralité des dossiers. La FSU portedonc la parole de tous les collègues, pourles défendre tous et pour faire de manièrecrédible des propositions alternatives àcelles de l’administration.Pour bénéficier des meilleurs conseils surune promotion ou pour avoir l’assuranced’un meilleur suivi de son dossier :carriere.agreges@toulouse.snes.eduBulletin Syndical 5T 3154 BS n 357.indd 526/06/2017 15:33

ActualitéProtection socialeLa Sécu comme complémentaire,une idée d’

LVER et LCA, mais sans fi nancement et en renforçant le renvoi au local de nombres de décisions. Les enseignements facultatifs sont clairement présentés comme un moyen pour les collèges de différencier leur offre de formation et, de fait, de se mettre en concur-rence les uns av

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