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NRLaLE P-DG DU GROUPE, CHAHER BOULAKHRAS :«SONELGAZ ENTAMERABIENTÔT LA PHASEDE DÉPLOIEMENTDE SA STRATÉGIEÀ L’HORIZON 2035» p. LA NOUVELLE RÉPUBLIQUEWWW .lnr-dz.comQuotidien d’information indépendant - n 7041 – Mardi 20 avril 2021 - Prix : DADU NOUVEAU DANS LE DOSSIER AUTOMOBILETebboune impose de nouvellesconditions aux concessionnairesLa polémique autour dudossier relatif à l’importationde véhicules neufs s’est enapparence calmée, cesdernières semaines, bien quele projet soit toujoursd’actualité. Photo : D.Rp. ALGÉRIE-FRANCE :MACRON COMMENTE LES PROPOS DE DJÂABOUBPRISE EN CHARGEDES SOURDS-MUETSCréation d'uneécole de formationspécialiséeprochainement p. p. L'AMBASSADE DE TURQUIEp. PAS D'INTERFÉRENCESDANS LES AFFAIRES DE L'ALGÉRIE

actuelLa NR 7041 - Mardi 20 avril 20212Chiffre du jourAccidents : 11 morts et 738 blessés depuis le début du RamadhanJusticeMinistère de l’IntérieurSEAALLe procès en appel de KarimTabou reporté au 28 juinLa création des 10 wilayas n’a entraîné aucunchangement dans les frontières territorialesVers la non-reconduction du contrat avecle partenaire françaisLa chambre correctionnelle près laCour de Tipasa a décidé, lundi, dureport au 28 juin prochain du procèsen appel de Karim Tabou, condamnéen première instance à une peined'une année de prison avec sursispour «atteinte au moral de l'armée».Le ministère de l’Intérieur, des collectivitéslocales et de l’aménagement du territoire aaffirmé, dimanche, dans un communiqué que lacréation des dix nouvelles wilayas n’a entraînéaucun changement dans les frontièresterritoriales, rappelant que la Loi relative àl’organisation territoriale du pays demeure envigueur.Le contrat avec le partenaire français assurantla gestion déléguée de l'eau dans les villesd'Alger et Tipasa à travers la société SEAAL, quiarrive à terme en août prochain, pourrait nepas être reconduit en raison des «irrégularités»constatées dans son application, a indiqué hierlundi à Alger le ministre des Ressources en Eau,Mustapha Kamel Mihoubi.Du nouveau dans le dossier automobileTebboune impose de nouvellesconditions aux concessionnairesLa polémique autour dudossier relatif à l’importation de véhicules neufss’est en apparence calmée,ces dernières semaines,bien que le projet soit toujours d’actualité.Compte tenu de sa portée et deson enjeu, et après avoir écoutél’exposé du ministre de l’Industrie, Mohamed Bacha, sur le projet de décret exécutif modifiant etcomplétant le décret exécutifn 20-227 du 19.08.2020 fixant lesconditions et les modalitésd’exercice de l’activité de concessionnaires de véhicules neufs,présenté lors de la réunion périodique du Conseil des ministres, organisée, avant-hier, àAlger, le président de la République, Abdelmadjid Tebboune,a souligné «la nécessité deprendre en considération lesnormes de sécurité environnementale et les exigences de l’approvisionnement du marché national de carburant, en vue de rationaliser l’importation desvéhicules neufs». Il a donné, à ceteffet, de nouvelles instructionsau sujet de l’importation de véhicules neufs dont «l’affectationd’un quota de 15% du total desvéhicules importés aux véhiculesélectriques, à condition de réduire au minimum des véhiculesdiesel», selon le communiqué dela Présidence, imposant, enmême temps, de nouvelles conditions et modalités aux concessionnaires souhaitant reprendrel'importation de véhicules neufset même électriques.Ainsi le chef de l’Etat donne sonagrément aux recommandationsdu ministre de La Transition énergétique et des énergies renouvelables, Chems Eddine Chitour, quidéfend depuis des mois cette option. Il ne cesse d’appeler leshauts responsables à rouler à lapuissance verte, convaincu que«la voiture électrique est unechance pour l'Algérie de sortirde cette dépendance aux hydrocarbures», a-t-il indiqué dans unedéclaration récente aux médiaslocaux. Il a réussi à faire admettreau Gouvernement l’importancede ce projet. Il reste, toutefois, àchanger la vision des citoyens del’utilité quotidienne de cette nouvelle technologie. La décision duPrésident Tebboune d’importerdes véhicules électriques permettra, progressivement, detransformer le parc automobilenational. D’autre part, le chef del’Etat impose de nouvelles conditions aux concessionnaires inté-n M. Tebboune : «Nécessité de prendre en considération les normes de sécurité environnementale et les exigences del’approvisionnement du marché national de carburant».(Photo : D.R)ressés par l’importation de véhicules neufs. Désormais, ils doi-vent importer des véhicules dont«la cylindrée du moteur ne doitPrise en charge des sourds-muetsCréation d'une école de formationspécialisée prochainement? Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a mis l’accent sur«la nécessité de prendre en charge toutes les franges de la société, notamment les personnes aux besoins spécifiques afin de garantir une éducationet un apprentissage adaptés à travers l'ensemble des wilayas des pays»,insistant, à ce propos, sur «la création d'une école nationale supérieur pourla formation des enseignants spécialisés dans l'apprentissage des sourdsmuets qui entrera en service la prochaine rentrée, tout en œuvrant à conférer à cet établissement une dimension africaine et arabe dans ce domaine»,a indiqué le communiqué de la Présidence.Il a ordonné, lors de la rencontre du Conseil des ministres, dimanche passé,au ministre de la Santé, la Population et de la Réforme hospitalière, Abderrahmane Benbouzid de «créer un établissement hospitalier pour la prise encharge des malentendants et des sourds, en focalisant sur le développementdes opérations de l'implantation cochléaire, et ce en partenariat avec lesstart-ups algériennes activant dans le domaine», exhortant son Gouvernement à «trouver les mécanismes adéquats pour la prise en charge desenfants autistes». Cette prise en charge est nécessaire et devient urgentepour maintenir un certain équilibre social et aider leurs familles dans leuréducation et formation spéciale.Dans la même perspective de formation et d’enseignement, le chef de l’Etata évoqué le rôle important de la science dans le développement et l’épanouissement des villes. Il a plaidé pour la création «de nouvelles villes scientifiques comprenant des écoles nationales supérieures spécialisées dans différentes régions du pays pour former l'élite sur la base d'une étude réalisteet profonde des besoins nationaux en ressources humaines, notammentdans les secteurs de l'industrie et de l'agriculture et dans tout autre secteurcréateur de richesse», mettant l’accent, par ailleurs, sur l’impératif «detrouver les mécanismes juridiques pour encadrer les diplômés des écolessupérieures et lutter contre le phénomène de la fuite des cerveaux. Ainsi,conduire l'Algérie vers une formation poussée dans le domaine des sciences,toutes spécialités confondues, tout en encourageant l'échange d'expériencesdans le domaine de la formation avec nos partenaires étrangers».Pour dissuader les jeunes élites de quitter le pays, il a souligné la «nécessitéde réunir toutes les conditions pédagogiques et de service pour encouragerles inscrits des deux écoles et leur accorder toutes les incitations nécessairespour développer le niveau d'apprentissage scientifique et faciliter leur intégration professionnelle plus tard». Il a mis en avant «le rôle des écolesnationales supérieures dans le renforcement de la cohésion nationale entreles différentes élites». Pour accélérer la transition numérique, le chef del’Etat a ordonné l’accélération «de la cadence de réalisation et de développement des écoles supérieures spécialisées et tournées vers l'économie dedemain, un pas essentiel vers l'édification de l'Algérie nouvelle».Samira Tkpas dépasser 1.6 litre», tandis queles particuliers peuvent «importerlibrement les véhicules dont lacylindrée est supérieur à 1.6 litre»,précise la même source, qui arappelé, à l’occasion, l’engagement des autorités à réguler etencadrer le marché de véhicules.A ce propos, le chef de l’Etat asommé le Gouvernement à adopter «une approche qui allie simplification et efficacité avec coordination entre les différentssecteurs en vue de lutter contretous les phénomènes de fraude etd’escroquerie autour des conditions fixant l’exercice de cette activité». Cette approche est valableen tout temps et devrait susciterla mobilisation de tous les départements ministériels, en l’occurrence, faire preuve de rigueuret de professionnalisme dansleurs secteurs.Le Conseil des ministres a, également écouté un exposé du ministre de l’Industrie sur « le projet d’amendement du décret exécutif portant conditions etmodalités d’octroi de l’autorisation de dédouanement deschaînes et équipements de production rénovés dans le cadred’activités de production debiens et service», suite auquel, ila «demandé l’approfondissementdu débat autour de ce projet envue de le soumettre prochainement», a indiqué le même document.D’autres projets de loi ont étéexaminés et adoptés lors de cetterencontre, à l’instar des «troisprojets de décrets présidentielsprésentés par le ministre des Affaires étrangères, portant adhésion de l'Algérie à l'accord portantcréation de la Banque européenne pour la reconstruction etle développement (EBRD) signé àParis le 29 mai 1990, ainsi queses amendements du 30 janvier2004 et du 30 septembre 2010»,selon le même communiqué.REPÈREDéfis actuelset solutionpacifiqueà la criseBoukadoum etBeldjoud en visitede travail en LibyeLe ministre des Affairesétrangères, Sabri Boukadouma effectué hier lundi, encompagnie du ministre del'Intérieur, des Collectivitéslocales et de l'Aménagementdu territoire, Kamel Beldjoud,une visite de travail en Libye,dans le cadre de la promotiondes relations bilatérales et dusoutien des parties libyennesface aux défis actuels, indiqueun communiqué du ministèredes Affaires étrangères.«Le ministre des Affairesétrangères effectue,aujourd'hui, une visite detravail en Libye, pays frère, encompagnie du ministre del'Intérieur, des Collectivitéslocales et de l'Aménagementdu territoire, Kamel Beldjoud,en compagnie d'unedélégation de haut niveau»,lit-on dans le communiqué.Accompagné d'unedélégation, M. Boukadoumaura des rencontres avec deshauts responsables dunouveau pouvoir exécutiflibyen au niveau du Conseilprésidentiel, dugouvernement d'unionnationale et du Haut Conseild'Etat, et ce, pour examinerles relations bilatérales surtous les plans et lesperspectives du processus derèglement politique de la criselibyenne», selon la mêmesource.Cette visite s'inscrit «dans lecadre des efforts consentispour promouvoir les relationsentre les deux pays frères,l'Algérie et la Libye, etapporter le soutien aux partieslibyennes face aux défisactuels notamment la mise enœuvre de la feuille de routepour assurer une solutionpacifique et inclusive à lacrise», conclut lecommuniqué.R.N.Dans la même perspective, «unaccord de coopération avec laRépublique de Turquie dans ledomaine du transport et de l'aviation, et un autre avec la République d'Angola portant suppression des visas au profit des titulairesdespasseportsdiplomatiques et de service».Samira TakharbouchtVoir sur Internetwww.lnr.dz.com

actuelLa NR 7041 - Mardi 20 avril 20213Algérie-FranceTAMAZIGHTLe printempsamazigh Macron commente les proposde DjâaboubLes efforts de réconciliation entre la France et l'Algérie se heurteraient à des«résistances» en Algérie,selon le Président françaisEmmanuel Macron qui aexprimé cette appréciation dimanche 18 avril, lorsd'un entretien au quotidien parisien, Le Figaro.Il estime que la volonté de réconciliation des mémoires entreFrançais et Algériens est «trèslargement partagée», mais qu’elleferait face à «quelques résistances» en Algérie. Le mêmeconstat - de la volonté de réconciliation des mémoires entreFrançais et Algériens, «très largement partagée» - a déjà été faitpar les autorités algériennes,avec cette différence qu’elles ontenregistré les «quelques résistances» plutôt en France.La plus grosse résistance portesur l’affaire des séquelles des essais nucléaires effectués au Sahara par la France et sur les responsabilités historiques de laFrance et de son armée. Les Algériens attendent du concret,car là, il s’agit non pas de considérations «morales» sur le passécolonial français, mais de l’impact de produits radioactifs surBRÈVEConférencede Bandung«Début de laparticipationalgérienne dans lesfora internationaux»Le ministre des Affaires étrangères,Sabri Boukadoum a indiqué, dimanche, que la Conférence deBandung a marqué le début de laparticipation des représentants duFront de libération nationale (FLN)dans les fora internationaux pourfaire entendre la voix du peuplealgérien et lui permettre de recouvrer sa souveraineté.La conférence de Bandung a «marqué le début de la participationdes représentants du Front de libération nationale (FLN) dans les forainternationaux pour faire entendrela voix du vaillant peuple algérienet lui permettre de recouvrer sasouveraineté sur l’ensemble de sonterritoire», a écrit M. Boukadoumdans un tweet sur son compte officiel à l’occasion de la célébrationdu 66e anniversaire de la conférence de Bandung tenue en 1955.M. Boukadoum a joint à ce tweetune photo rare de la délégation duFLN conduite par le défunt HocineAït Ahmed ayant participé à cetteconférence qui a donné naissanceau mouvement des non-alignés.Cette année, les pays en voie dedéveloppement en particulier etceux issus du Mouvement des nonalignés vont commémorer le 66eanniversaire de cette conférencehistorique qui avait réuni, sur l'îlede Java, en Indonésie, du 18 au 24avril 1955, les représentants devingt-neuf pays d'Afrique et d'Asiequi avaient acquis leurs indépendances.R.N.n Macron : «Je ne suis ni dans la repentance ni dans le déni. Je crois dans unepolitique de la reconnaissance qui rend notre nation plus forte». (Ph. : D.R)la population des zones où onteu lieu les essais nucléaires etqui sont encore contaminées àce jour par des déchets dont lalocalisation est connue par l’armée française. Par ailleurs, dansson entretien au Figaro, le Président Macron a évoqué la dimension franco-française de laquestion de la mémoire : «Aufond, nous n'avons pas réconciliéles mémoires fracturées niconstruit un discours nationalhomogène (.) La mémoire fracturée, c'est celle des Pieds-noirs,celle des harkis, celle des appelés du contingent, celle des militaires français, celle des Algé-riens venus ensuite en France,celle des enfants de cette migration, celle des binationaux.».«Je ne suis ni dans la repentanceni dans le déni. Je crois dans unepolitique de la reconnaissancequi rend notre nation plus forte»,a-t-il ajouté. Dans le même entretien, le Président Macron acommenté la petite phrase duministre du Travail, de l’Emploiet de la Sécurité sociale, Hachemi Djaâboub, qui qualifiait laFrance d’«ennemi traditionnel etéternel» des Algériens. Pour Emmanuel Macron, cette déclaration est «inacceptable». C’est lorsd’une séance plénière au ConseilCommémoré sousle signe de«la consolidationdes acquis»de la Nation, jeudi 8 avril 2021,portant sur le déficit que connaîtla Caisse nationale des retraites(CNR), et en citant l’exemple dudéficit de la caisse des retraitesfrançaise, que le ministre duTravail a tenu ces propos. Dansle même contexte, les marchesdu vendredi, même si elles drainent moins de monde qu’avant,ont pris une tournure antiFrance, avec des slogans qui fontréférence à son passé colonialet à ses prétentions néo-coloniales. Les médias français ignorent l’importance que prend laquestion mémorielle chez lesjeunes Algériens, exprimée ence moment par ceux qui participent aux marches du Hirak, àtravers des slogans qui ont surpris ceux qui ne connaissent pasle peuple algérien en profondeur.Il ne s’agit pas d’une positionconjoncturelle. La place, dans lamémoire des jeunes Algériens,du passé colonial de la Franceet des crimes commis durant lapériode d’occupation, est gravement sous-estimée par les médias français qui traitent cettequestion avec une surprenantelégèreté, alors que la confianceen dépend. D’ailleurs, il sembleque la méfiance soit revenue enforce, après le geste inamicald’un groupe de LREM, parti créépar le Président Macron, qui ainstallé une antenne à Dakhla,au Sahara occidental, en territoire occupé par le Maroc.Lakhdar A.L'ambassade de Turquie :«Pas d'interférences dansles affaires de l'Algérie»L’ambassade de Turquie en Algérie a réagi, dimanche, dansun communiqué publié sur sapage Facebook, aux «allégationsselon lesquelles la Turquie s’efforce d’interférer sur la scènepolitique algérienne et qu’elleaurait agi en faveur de certainséléments».Cela ne reflète nullement la vérité, selon le communiqué quiajoute que ces allégations relayées par certains médias«cherchent à porter atteinte auxrelations entre les deux paysamis et frères».L’ambassade de Turquie en Algérie estime qu’«il est évidentque les auteurs de cette propagande mensongère et de faussesrumeurs, qui visent à brouillerl’évolution positive des relationschaleureuses et amicales entrela Turquie et l’Algérie, ne tiennent pas compte de la profondeur des liens fraternels entreles deux pays.Ces relations bilatérales, qui sedéveloppent dans tous les domaines sur la base du respectmutuel ainsi que les liens sincères remontant à plusieurssiècles entre les peuples desdeux pays, sont suffisammentforts et puissants au point defaire échouer toutes les initiatives négatives qui tentent denuire à ces relations». L’ambassade de Turquie en Algérie appelle les «organismes de presseà revérifier leurs sources d’information, montrer une vigilance accrue quant à la publication d’informations spéculatives et infondées, et agir dansle respect de la déontologiejournalistique».Les relations entre l’Algérie etla Turquie sont au beau fixe sil’on en juge par leur dimensionéconomique. Il y a un mois, lePremier ministre, Abdelaziz Djerad, a reçu l'ambassadeur de laRépublique de Turquie en Algérie, Mme Mahinur Özdemir Göktaş. La rencontre avait permisaux deux parties de «procéderà un large échange de vues surl’état et les perspectives de développement des relations bilatérales dans divers domaines»,ajoute le communiqué.Un intérêt particulier a été accordé à «la consolidation de l'aspect économique du partenariatalgéro-turc, des investissementset à la dynamisation des mécanismes bilatéraux de coopéra-tion». Au début de l’année, c’estle ministre de l’Energie et desMines, Mohamed Arkab, qui recevait l’ambassadrice de Turquie en Algérie, avec laquelle ilavait évoqué les opportunitésde coopération entre les deuxpays. Au cours de cet entretienqui s'est déroulé au siège du ministère, Mohamed Arkab s'étaitfélicité de la qualité des relations avec les entreprisesturques intervenant dans le secteur minier algérien et avait appelé «à leur approfondissement».Le ministre avait également informé Mme Özdemir Göktas desnouvelles opportunités de coopération et partenariat, notamment les ressources humaines,la formation et expertise, le développement des mines, le développement des cartes géologiques à travers l'appel aux universités et les centres derecherche, ainsi que le domainelégislatif régissant le secteur minier. Pour sa part, Mme ÖzdemirGöktas avait noté avec un«grand intérêt» ces opportunitéset s'était engagée à informer lapartie turque.L. A.Le Printemps amazigh, commémoré cette année sous le signede la consolidation des acquis,s'inscrit dans un nouveaucontexte constitutionnel oùTamazight est un «levier del'unité nationale» et un «paradigme de l'intégrité territorialeet sa défense» et un «pilier de lacohésion sociale» du pays, aindiqué hier le Haut Commissariat à l'Amazighité (HCA).Le HCA considère, dans un communiqué, que «l'aboutissementcombatif de ce processus fondateur agira certainement pourasseoir et confirmer définitivement la place centrale de l'amazighité, aux cotés des autresconstantes de la Nation».Ainsi, il affirme avoir constaté«résolument la décrispation desmentalités suscitées par l'actioncitoyenne et l'engagement duprésident de la République pourla promotion et la valorisationde la langue et de la cultureamazighes, en l'inscrivant demanière résolue, définitive etpérenne comme objectifs etactions relevant de la Politiquede l'Etat algérien», ajoute lemême communiqué.Le HCA a souligné que l'officialisation de Tamazight commelangue nationale et officielle estune «étape à marquer d'unepierre blanche», car aujourd'hui,ajoute-t-il, l'Université algérienne a «formé des milliersd'enseignants et de chercheursauprès desquels les institutionsde l'Etat trouvent des experts àmême de contribuer à la valorisation du patrimoine culturel etcivilisationnel amazigh».L'officialisation effective deTamazight, selon le HCA, doit setraduire par une série demesures d'une portée institutionnelle historique, dontl'amendement la loi organiquen 18-17 du 2 août 2018 qui s'estlimitée «à la simple et restrictivecréation d'une académie algérienne de la langue amazighe».Le HCA plaide également pourl'amendement de plusieurs lois,dont la loi d'orientation surl'éducation de 2008, qui continue à «figer» le caractère facultatif de l'enseignement deTamazight à l'école.Il estime, par ailleurs, qu'il esttemps de débattre des problèmes de fond par uneapproche systémique, fondée sur«les agencements institutionnels, les données juridiques, lesaspects pédagogiques et les articulations techniques», pour«consolider qualitativement etquantitativement» l'officialité decette disposition constitutionnelle, de la généraliser à traverstout le territoire national au travers de processus de mise enœuvre bien établi et de modalitéde son incorporation quantifiables et évaluables, dans tousles domaines prioritaires de l'activité publique». Pour la datesymbole du 20 avril, le HCAestime qu'elle reste un «catalyseur» d'aspiration de l'élémentidentitaire amazigh, légitiméepar l'écrasante majorité desAlgériens et qu'elle constituera«le creuset d'une victoire d'étapedéterminante», arrachée dehaute lutte et confortée par unevolonté politique des hautesautorités de l'Etat en «restituantà Tamazight la place prépondérante qu'elle occupe dans l'histoire de notre pays depuis lanuit des temps».R.N.

actuelLa NR 7041 - Mardi 20 avril 20214Le P-dg du groupe, Chaher Boulakhras :AGRICULTURE«Sonelgaz entamera bientôt la phasede déploiement de sa stratégie à l’horizon 2035»La phase de déploiementde la stratégie de laSociété nationale del’électricité et du gaz(Sonelgaz) à l’horizon 2035sera bientôt entamée, aannoncé dimanche àOuargla le Présidentdirecteur général (P-dg) del’entreprise, ChaherBoulakhras.En marge d’un regroupement régional sur la stratégie du GroupeSonelgaz-horizon 2035, Boulakhras a affirmé que le projet portant sur la réalisation de cettestratégie est en voie d’achèvement et sa phase de déploiementsera bientôt entamée. «L’élaboration de la stratégie c’est bien,mais il faut aussi garantir sondéploiement, ceci est le granddéfi qui nous attend», a-t-il souligné à ce sujet.Ce regroupement régional descadres de l’entreprise de la région Sud-Est du pays est unenouvelle étape, après celles deMostaganem (Ouest), Alger(Centre) et Sétif (Est), a-t-il déclaré. Quatrième du genre, ce regroupement régional, qu’a abritél’Université Kasdi-Merbah deOuargla, a pour mission de continuer à expliquer et à présentercette nouvelle stratégie devantpermettre à l’entreprise d’avoirune boussole et une vision à longterme, a-t-il dit. La rencontre à laquelle ont pris part des cadres,venus des wilayas dans le SudEst du pays, en présence des autorités de la wilaya de Ouargla, aété une opportunité pour présenter les grandes lignes de ceprojet. Dans ce sillage, le conférencier Abdelwahab Boukherrouba, Conseiller du P-dg de Sonelgaz, a mis en exergue, dansson intervention intitulée «Lavision stratégique de Sonelgaz-n Boulakhras : «Le projet portant sur la réalisation de cette stratégie est en voie d’achèvement et sa phase de déploiement sera bientôt entamée».(Photo : DR)horizon 2035», sur les quatre FCS(facteurs-clés de succès) pourréussir le déploiement de la stratégie. Il s’agit de l’implication totale de tous les responsables, lechoix optimal des équipes de déploiement, la communication etla conduite du changement et lepilotage au quotidien du déploiement, a-t-il expliqué avantd’exposer les enjeux stratégiquesqui s’articulent, entre autres, autour de l’amélioration des performances de l’entreprise, la réorganisation et la restaurationde sa structure, outre la transformation digitale qui sera finalisée à la fin 2026. M. Boulakhrasa procédé, par ailleurs, à la miseen service du réseau d’électricité d’une usine de panneaux solaires, sise dans la zone des équipements publics de Ouargla, uneopération d’un coût de 1,3 million DA qui s’inscrit dans le cadrede l’accompagnement des investisseurs et industriels, selonles explications fournies à la délégation. Il a également mis enservice un poste transformateurd’une capacité de 220/60 kilo-volts à Ain-Beida (Est de Ouargla) devant contribuer à remédier aux perturbations dans ladistribution de l’électricité. Parailleurs, lors de la mise en service de l’électrification au périmètre agricole «Djanoub lakhdar» (le Sud vert), dans la communede N’goussa, le P-dg de Sonelgaza affirmé que le groupe «assurel’accompagnement des investisseurs dans la concrétisation deleurs projets agricoles», et ce, aexpliqué le même responsable,«en leur fournissant l’énergieélectrique, à considérer le caractère stratégique de ce secteur aux plans socio-économiques». Plus de 2.000 exploitations agricoles ont étéraccordées, depuis plus d’uneannée, aux réseaux d’électrification à travers le pays, a-t-il révélé dans ce cadre, en signalantque 2.500 demandes en ce senssont actuellement à l’étude. M.Boulakhras a ajouté que plus de62% du programme arrêté en matière de raccordement des périmètres agricoles à l’électricitéont été concrétisés, et que legroupe Sonelgaz s’emploiera àaccélérer le rythme de l’opération en vue de soutenir les efforts d’investissement dans lesecteur agricole et assurer le développement durable. L’exploitation agricole «Djanoub lakhdar» s’étend sur une superficiede 159 hectares, dont 132 ha exploités, et dispose de cinq pivots d’irrigation pour son activité de céréaliculture, selon lesexplications fournies à la délégation. Parmi ses objectifs, l’extension des superficies irriguées,la hausse de la production et lacréation de nouveaux emplois.Auparavant, M. Boulakhras avaitprocédé à la mise en service duréseau d’électricité d’une usinede panneaux solaires, dans lazone des équipements publicsde Ouargla, dans le cadre de l’accompagnement des investisseurs et industriels, ainsi qu’unposte transformateur de 220/60kilovolts à Ain-Beida (Est deOuargla) devant contribuer à remédier aux perturbations dans ladistribution de l’électricité.Djamila SaiGestion des ressources en eauVers la mise en place d’une charteFace au risque d’une pénurie de l’eau, le ministère des Ressources en eau opte pourune nouvelle vision de la gestion qui seconcrétise à travers la mise en place d’unecharte. Cette dernière permettra d’économiser et de rationaliser l’utilisation de cetteprécieuse denrée qui se raréfie de plus enplus.En effet, le ministre des ressources en eau,Mustapha Kamel Mihoubi, a révélé hier lorsde son intervention sur les ondes de laChaîne III de la radio nationale que «cettecharte sera présentée aujourd’hui au Conseilinterministériel (multisectoriels, ndlr)».Ces mesures de gestion interviennent, selonlui, dans le sillage d’une politique mise enplace pour circonscrire l’effet du stress hydrique dû à une pluviométrie avare ces dernières années et lutter contre le gaspillage.«Cette option est inévitable pour déterminerefficacement l’usage rationnel des différentessources de l’eau par ces temps de déficitpluviométrique», indique M. Mihoubi. Il aexpliqué dans ce sens que pour mettre enplace avec succès cette charte, il faut effectuer d’abord une campagne de sensibilisation au niveau de plusieurs secteurs autourde cette charte, pour ensuite passer à la ré-pression par le biais d’une police de l’eau».Ainsi, la police de l’eau sera instaurée entemps opportun, a souligné le ministre enajoutant qu’elle agira à la base d'une loi,étant en cours de révision.L’intervenant a précisé toutefois que sondépartement va commencer par soumettreune charte à différents secteurs pour enrichissement avec des actions concrètes etadoption. «Etant donné que cette police n’apas ce pouvoir juridique d’agir, nous voulonsdonner, par le biais de cette loi, plus deforce pour éradiquer ce fléau en régularisant ce qu’il y a à régulariser et éradiquer cequ’il y a lieu de l’être, comme le piquage del’eau, afin de lui donner plein pouvoir», notet-il à cet égard.Le ministre a affirmé que ce déficit sera,plus ou moins, rétabli, indiquant «ne plus secontenter des eaux de surface et l’objectif estd’aller vers l’eau non conventionnelle : eausouterraine, l’eau de mer dessalée, le recyclage de l’eau, etc».«La problématique du stress hydrique n’estpas nouvelle du fait que la région Sud de laMéditerranée est exposée, notamment notrepays, à un climat semi aride et le déficittourne autour de 20-30% en moyenne de-puis trois ans au moins», explique-t-il. «L’ensemble des régions du pays ont connu un déficit de pluviométrie depuis l’année dernièreà l’exception de la région Est qui a connu unsurplus de 2 %», a fait savoir le ministre enajoutant que le taux de remplissage des barrages est de 28 %, 21 % pour le Centre, 28 %pour le Chelif et 67 % pour l’Est, soit un tauxde remplissage national autour de 44 %.Par ailleurs, M. Mustapha Kamel Mihoubi, arévélé l’intension des autorités du pays à«doubler le nombre des stations de dessalement de l’eau de mer (11 stations en activité actuellement, ndlr) à l’horizon 2030pour arriver à 2 milliards de mètres cubes enmatière d'eau non-conventionelle». En attendant le montage progressif de ces nouvelles stations, le ministre a fait part de l’option d’extension de celles d’El Tarf, de Béjaïaet d’Alger (celle d’El Hamma) qui va passerde 200 à 240 milles à titre d’exemple.«On est entrain de voir le montage financierde

effet, de nouvelles instructions au sujet de l’importation de vé-hicules neufs dont «l’affectation d’un quota de 15% du total des véhicules importés aux véhicules électriques, à condition de ré-duire au minimum des véhicules diesel», selon le communiqué de la Présidence,

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Manual Revision 12-12-15. Operating Instructions: Band Selection: Bands are selected with 2 sets of three-position slide switches. The three switches must be in the same position for the rig to work properly. The band switches on the left select the 40 and 30 meter bands. When set to the right-

2. AngularJS looks in the template for the ngApp directive which designates our application root. 3. Loads the module associated with the directive. 4. Creates the application injector 5. Compiles the DOM treating the ngApp directive as the root of the compilation AngularJS: beginner's Guide - part 1