Quelques Stratégies Et Principes En Traduction Technique .

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ForskningsrapporterCahiers de la recherche21Quelques stratégies et principesen traduction techniquefrançais-allemand et français-suédoisAlexander KünzliInstitutionen för franska och italienskaDépartement de français et d’italien

Thèse pour le doctoratDépartement de français et d’italienUniversité de StockholmS-106 91 StockholmDoctoral dissertationDepartment of French and ItalianStockholm UniversityS-106 91 StockholmAbstractThis dissertation investigates translation strategies and translation principles intechnical translation. Five translation students and 5 professional translators fromGerman-speaking Switzerland and 4 translation students and 6 professionaltranslators from Sweden were asked to think aloud while translating a user guidefrom French into German and from French into Swedish, respectively. The focusof the analysis was on the strategies that could be observed by comparing thetranslation products with the source text; and on the principles underlying thesestrategies as revealed by the think-aloud protocols of the translation processes. Inorder to evaluate the extent to which the translation products complied with thefictitious translation brief given to the participants, 2 reviewers per language pairproofread the translation products. The analysis also included contrastiveanalyses of certain linguistic features of technical texts in French-German andFrench-Swedish. The results show that experience of translation does play a rolein the choice of translation strategy. It is, however, an even more important factorwith respect to knowing and applying translation principles in the translationprocess. Also, students more often display uncertainty regarding translationprinciples, and conflict between the principles verbalised and those actuallyfollowed. Language-pair specific differences were mostly found in connectionwith translation strategies. Comments about future directions include the need forclearer definitions and more systematic manipulations of the variables involvedin translation, and the potential interest in investigating the principles governinghow translations are revised through the use of think-aloud protocols.Keywords: translation strategies, translation principles, think-aloud protocols,technical translation, French-German, French-Swedish, translation students,professional translators. 2003 Alexander KünzliPrinted by Akademitryck, Stockholm, 2003ISBN 91-974284-6-9ISSN 1400-7010

TABLE DES MATIÈRESTABLE DES MATIÈRES1REMERCIEMENTS4LISTE DES ABRÉVIATIONS5LISTE DES TABLEAUX51 CADRE CONCEPTUEL DE RÉFÉRENCE71.1Introduction71.2Notions théoriques de base81.2.1Les stratégies de traduction81.2.2Les principes de traduction151.3La réflexion parlée211.4La traduction technique281.5Objectif et questions de départ312 MÉTHODE352.1Les répondants352.2Le matériau412.3Conditions s de transcription461

2.6Les réviseurs472.7Les instruments483 DÉCRIRE LA TECHNIQUE543.1‘Oh là là ! J’aime pas les volts et compagnie !’543.2Résultats623.2.1Le groupe germanophone623.2.2Le groupe suédophone833.3Discussion1004 INTÉRESSER L’ACHETEUR1064.1‘Pas la peine de flatter autant l’acheteur !’1064.2Résultats1144.2.1Le groupe germanophone1144.2.2Le groupe suédophone1304.3Discussion1525 DONNER DES INSTRUCTIONS1585.1‘Ce deux-points me rend fou !’1585.2Résultats1645.2.1Le groupe germanophone1645.2.2Le groupe suédophone1845.3Discussion1996 CONCLUSIONS2066.1206Synthèse2

6.1.1Les stratégies de traduction2076.1.2Les principes de traduction2086.1.3Domaines connexes2116.2Mise en contexte2146.3Implications2196.3.1Au niveau méthodologique2196.3.2Au niveau pédagogique2236.4Pistes de recherche pour l’avenir225BIBLIOGRAPHIE231APPENDICE 1 : LE TEXTE DE DÉPART238APPENDICE 2 : LES TEXTES D’ARRIVÉE240INDEX DES AUTEURS2643

REMERCIEMENTSJe tiens, en premier lieu, à exprimer ma vive gratitude au professeurGunnel Engwall, directrice de thèse, et au professeur agrégé BirgittaEnglund Dimitrova, co-directrice de thèse, pour leurs encouragementsconstants, leurs judicieux conseils et leurs lectures attentives tout aulong de ces années.Je voudrais ensuite adresser mes remerciements les plus sincères :- aux professeurs Inge Bartning et Mats Forsgren pour leurs précieuses remarques qui m’ont permis d’améliorer le texte final ;- aux doctorants du Département de français et d’italien ainsiqu’aux membres de TRAPROS (Translation process group inSweden) pour leurs très utiles commentaires sur les versionsantérieures du présent travail ;- aux étudiantes en traduction, traducteurs professionnels et réviseurs pour avoir mis leurs connaissances et compétences à madisposition et sans lesquels rien n’aurait été possible ;- à Laure Berney, Fobester Chadehumbe, Denis Dafflon, BarbaraDarrier, Valérie Dullion, Carol Leipziger, Vinciane Mazy, MariaSandqvist et Katherine Stuart pour leur aide pratique, linguistique ou informatique ;- au Fonds commémoratif de la Banque centrale de Suède, grâceauquel j’ai pu financer le présent travail.Toutes les erreurs, approximations ou omissions restantes relèvent,bien entendu, de ma seule responsabilité.Stockholm, avril 2003Alexander Künzli4

LISTE DES ABRÉVIATIONSÉ-CH : étudiante germanophone G : syntaxico-grammaticalT-CH : traducteur germanophone S : sémantiqueÉ-SE : étudiante suédophonePr : pragmatiqueT-SE : traducteur suédophoneLISTE DES TABLEAUXTableau 1 : Caractéristiques des étudiantes germanophones37Tableau 2 : Caractéristiques des traducteurs germanophones38Tableau 3 : Caractéristiques des étudiantes suédophones39Tableau 4 : Caractéristiques des traducteurs suédophones40Tableau 5 : Volume des protocoles de verbalisation43Tableau 6 : Conventions de transcription47Tableau 7 : Stratégies employées par les étudiantes germanophonespour traduire la séquence descriptive80Tableau 8 : Stratégies employées par les traducteurs germanophonespour traduire la séquence descriptive81Tableau 9 : Répartition des stratégies employées par le groupegermanophone pour traduire la séquence descriptive82Tableau 10 : Stratégies employées par les étudiantes suédophonespour traduire la séquence descriptive96Tableau 11 : Stratégies employées par les traducteurs suédophonespour traduire la séquence descriptive975

Tableau 12 : Répartition des stratégies employées par le groupesuédophone pour traduire la séquence descriptive99Tableau 13 : Stratégies employées par les étudiantes germanophonespour traduire la séquence incitative127Tableau 14 : Stratégies employées par les traducteurs germanophonespour traduire la séquence incitative128Tableau 15 : Répartition des stratégies employées par le groupegermanophone pour traduire la séquence incitative129Tableau 16 : Stratégies employées par les étudiantes suédophonespour traduire la séquence incitative149Tableau 17 : Stratégies employées par les traducteurs suéodophonespour traduire la séquence incitative150Tableau 18 : Répartition des stratégies employées par le groupesuédophone pour traduire la séquence incitative151Tableau 19 : Stratégies employées par les étudiantes germanophonespour traduire la séquence instructionnelle180Tableau 20 : Stratégies employées par les traducteurs germanophonespour traduire la séquence instructionnelle181Tableau 21 : Répartition des stratégies employées par le groupegermanophone pour traduire la séquence instructionnelle183Tableau 22 : Stratégies employées par les étudiantes suédophonespour traduire la séquence instructionnelle196Tableau 23 : Stratégies employées par les traducteurs suédophonespour traduire la séquence instructionnelle197Tableau 24 : Répartition des stratégies employées par le groupesuédophone pour traduire la séquence instructionnelle6198

1 CADRE CONCEPTUEL DE RÉFÉRENCE1.1 IntroductionLe présent travail est une recherche sur la traduction. Nous nousintéressons d’abord à étudier (1) les stratégies employées par des personnes appelées à traduire une notice technique (approche axée sur latraduction en tant que produit), et (2) les principes sous-jacents à cesstratégies (approche axée sur la traduction en tant que processus).Puis, à l’intérieur de chacun de ces deux volets, nous poursuivrons uneapproche transversale. Nous comparerons ainsi les stratégies et lesprincipes observables dans le travail d’étudiantes en traduction avecceux qu’on trouve chez des traducteurs professionnels. Une troisièmeet dernière distinction interviendra à l’intérieur de ces deux groupes :dans l’objectif d’étudier d’éventuelles différences dans les stratégies etles principes de traduction selon la langue et la culture d’arrivée, nousavons fait traduire le même texte de départ à des répondants germanophones et à des répondants suédophones. La décision de manipulerl’expérience de la traduction et la langue d’arrivée émane du constatque ces variables n’ont pas encore fait l’objet d’études systématiquesdans le domaine qui nous intéresse. Dans le souci de combiner ladescription des stratégies et des principes de traduction avec l’évaluation de leur adéquation avec la tâche de traduction concrète, nousavons, en outre, demandé à deux réviseurs par couple de langues deréviser les traductions écrites.Notre étude repose sur l’utilisation de deux instruments principaux.La taxinomie des stratégies linguistiques à l’échelle du texte, proposéepar Chesterman (1997), nous permettra de catégoriser certains traitsapparaissant dans les traductions écrites, produites par nos répondants.La réflexion parlée, qui consiste à demander à une personne de verbaliser toutes les pensées lui venant à l’esprit pendant qu’elle est en traind’accomplir une tâche, nous servira de base pour recueillir des protocoles de verbalisation. Dans ces protocoles, nous identifierons lesverbalisations qui révèlent les principes de traduction sous-jacents auchoix de telle ou telle stratégie, selon la taxinomie proposée parJääskeläinen (1999). L’analyse des données portera sur trois passagesdu texte de départ, dans lesquels se manifestent les principales fonc7

tions des notices techniques destinées au grand public : (1) décrire lescaractéristiques techniques de l’appareil, (2) inciter l’acheteur à enfaire usage, (3) donner des instructions. Ce ne sont cependant pas lesfonctions elles-mêmes qui constitueront l’intérêt principal de nosanalyses ; elles ne nous serviront que de point de départ pour la miseen évidence des stratégies et principes de traduction et, accessoirement, d’un ensemble de facteurs importants qui entrent en jeu dans latraduction au quotidien : l’incertitude, le sentiment de responsabilitéou encore la prise de risques du traducteur.Sur cette base, nous allons procéder au compte rendu des études quisont en rapport direct avec notre travail : les stratégies et les principesde traduction (1.2), la réflexion parlée (1.3), et la traduction technique(1.4). Suivra la présentation de notre objectif et de nos questions dedépart (1.5), dans laquelle nous fournirons également un aperçu denotre plan de recherche ainsi que de la structure des chapitres suivants.1.2 Notions théoriques de baseDans la présente section, nous donnerons un aperçu des notionsthéoriques essentielles pour notre travail : les stratégies et les principesde traduction.1.2.1 Les stratégies de traductionL’étude des stratégies de traduction connaît un essor considérabledepuis un certain temps déjà, alors que celle des principes de traduction est d’origine plus récente. Commençons par les stratégies. Ellesont été abordées selon deux axes. L’un porte sur la traduction en tantque processus, à savoir les stratégies cognitives ou actionnelles(exemple : recherche d’un terme dans un dictionnaire ; voir Krings,1986, et Lörscher, 1991). L’autre concerne la traduction en tant queproduit écrit, à savoir les stratégies textuelles grâce auxquelles le traducteur manipule le matériau linguistique (voir, par exemple,Chesterman, 1997). Dans la pratique cependant, les deux axes se chevauchent souvent.Les définitions proposées pour les stratégies de traduction cognitives ou actionnelles ont été fortement influencées par les recherchessur l’acquisition d’une seconde langue. Selon Færch et Kasper (1983,8

p. 36), les stratégies de communication sont des plans potentiellementconscients pour résoudre ce qu’un individu considère comme un problème lorsqu’il tente d’atteindre un but de communication donné.Krings (1986, p. 175), quant à lui, définit les stratégies de traductioncomme des plans potentiellement conscients, activés par le traducteurpour résoudre des problèmes de traduction concrets, dans le cadred’une tâche de traduction concrète. Par exemple, devant un problèmede compréhension, le traducteur peut recourir à deux stratégies : soitinférer le sens, soit consulter une source d’information.Cette manière de voir le concept de stratégie soulève cependant certaines questions, comme le montre Jääskeläinen (1993) dans un articleconsacré à la discussion concernant le statut théorique de la notion destratégie de traduction cognitive ou actionnelle. En effet, si la plupartdes auteurs semblent d’accord sur le fait que la démarche visant àatteindre un but est un critère essentiel d’une stratégie, il en estautrement pour ce qui est des critères de problème et de consciencepotentielle. On peut ainsi avancer l’hypothèse qu’il existe des comportements stratégiques, même en l’absence d’un problème de traduction ; par exemple : la décision de suivre de près la structure du textede départ, fondée sur l’interprétation des exigences du mandat detraduction. Et pour ce qui est du critère de la conscience potentielle,l’auteur relève les problèmes pratiques que rencontre le chercheurappelé à distinguer ce qui est potentiellement conscient de ce qui relève d’un processus proprement inconscient.Ces réflexions amènent Jääskeläinen (1993) à abandonner les critères de problème et de conscience potentielle et d’élargir le conceptde stratégie de traduction en définissant la stratégie comme un ensemble de règles ou de principes (librement formulés) qu’utilise le traducteur afin d’atteindre de la façon la plus efficace possible les butstels qu’ils sont déterminés par la situation de traduction (p. 116). L’auteur propose aussi de distinguer les stratégies globales des stratégieslocales. Les stratégies globales feraient référence aux principes généraux et aux manières d’agir préférées du traducteur (exemple : la décision initiale sur le style à adopter dans le texte d’arrivée en fonctiondes besoins des receveurs), alors que les stratégies locales refléteraientles processus de résolution de problèmes et de prise de décision dans9

des situations spécifiques (exemple : la décision de supprimer tel élément du texte de départ).Venons-en aux stratégies textuelles : celles qui reflètent une manipulation du matériau linguistique du texte de départ dans le but de produire un texte d’arrivée (voir Chesterman, 1997, p. 92). On s’y intéresse depuis longtemps, bien que pas tous les auteurs n’y aient référésous le terme stratégie. C’est déjà dans les années cinquante queVinay et Darbelnet (1958/1977) publient leur Stylistique comparée dufrançais et de l’anglais, ouvrage dans lequel ils présentent les procédés techniques auxquels a recours le traducteur lors de la réexpression,dans la langue d’arrivée, des idées exprimées dans le texte de départ.Il est vrai que le terme procédé technique fait penser à une stratégieactionnelle plutôt qu’à une stratégie textuelle. Or, ces procédés techniques sont étudiés sous forme de comparaisons entre les structures dutexte de départ et du texte d’arrivée.Vinay et Darbelnet (1958/1977) distinguent sept procédés techniques, divisés en deux groupes (p. 46-55) : la traduction directe oulittérale d’un côté, la traduction oblique de l’autre. L’emprunt, lecalque et la traduction littérale relèvent de la traduction directe, alorsque la transposition, la modulation, l’équivalence et l’adaptation sontconsidérées comme des manifestations de la traduction oblique.Autrement dit, Vinay et Darbelnet utilisent le terme traduction littérale pour référer à la fois à une des deux directions générales que letraducteur peut emprunter (traduction directe ou littérale par opposition à traduction oblique) ainsi qu’à un procédé technique spécifique.C’est un tant soit peu gênant et nous en reparlerons. À côté des procédés techniques, il existe ce que les auteurs appellent indifféremmentprocédé ou technique tout court (exemple : l’explicitation ou l’implicitation). Ces procédés semblent coïncider, du moins dans certainscas, avec l’un des sept procédés techniques. Par ailleurs, les auteursadoptent une approche prescriptive. Le recours à la traduction obliquene serait autorisé que dans certaines conditions (p. 268). Ce prescriptivisme doit cependant être replacé dans son contexte historique ;il n’enlève rien à l’importante contribution des auteurs à la traductologie. Signalons encore que la taxinomie des procédés techniques a10

été reprise, entre autres, par Malblanc (1968) et appliquée au couplede langues français-allemand.D’autres catégorisations ont été proposées par Nida (1964) etCatford (1965). Nida distingue quatre types de changements intervenant lors du transfert du texte de départ en langue d’arrivée (p. 184192) : les changements au niveau de l’ordre, les omissions, leschangements structurels et les ajouts. L’auteur élabore un système devaleurs numériques pour mesurer l’importance qu’il faut accorder àchacun de ces types de changements. Par exemple, il considère qu’unajout a plus d’importance qu’une omission, puisque l’impact de ce quiest perdu ne serait pas aussi grand que l’effet de ce qui est ajouté. Enoutre, il distingue différents degrés de changements au sein de chaquetype : il y aurait ainsi des omissions plus attendues d’une part, et desomissions moins attendues d’autre part, ces dernières se voyant attribuer une valeur numérique plus élevée. La question se pose, cependant, de savoir si les jugements attribués par différents chercheurs serejoindraient systématiquement. Catford, quant à lui, construit sathéorie de la traduction autour du concept de translation shifts, parlequel il entend des écarts dans la correspondance formelle entre textede départ et texte d’arrivée. Comme le note Snell-Hornby (1995,p. 19-20), l’approche de Catford se soustrait quelque peu à la complexité de la traduction dans sa réalité, puisqu’il étaye sa théorie enétudiant des mots ou des phrases isolés.Il existe des travaux plus récents. Citons d’abord l’ouvrage deDelisle (1993), consacré à la traduction professionnelle de l’anglaisvers le français. L’auteur y aborde certaines questions, développéespar Vinay et Darbelnet (1958/1977). Il se démarque cependant à plusieurs égards. Les procédés de transfert comprennent des manipulations textuelles qui relèvent de différentes catégories chez Vinay etDarbelnet. L’explicitation, par exemple, fait partie des procédés detransfert à côté de la modulation ou de la transposition. Aussi Delisleutilise-t-il le terme stratégie de traduction pour référer au résultat del’opération de traduction. L’auteur en distingue deux types : la traduction littérale et la traduction libre. Cette division rejoint la distinctionfaite par Vinay et Darbelnet entre traduction directe et traduction11

oblique, tout en évitant la confusion de la hiérarchie des notions(procédé de transfert par opposition à stratégie de traduction).La taxinomie des stratégies de traduction textuelles, proposée parChesterman (1997, chap. 4), s’inspire, entre autres, des travaux deVinay et Darbelnet (1958/1977), Nida (1964) et Catford (1965).Chesterman (p. 89) voit les stratégies comme des formes explicites demanipulations textuelles, observables en comparant le résultat del’opération de traduction, à savoir le texte d’arrivée, avec le texte dedépart. Il se concentre, en outre, sur les manipulations qui ne relèventpas d’une simple obligation, mais qui sont le résultat d’un choix faitpar le traducteur entre différentes possibilités (voir aussi la dif

sonnes appelées à traduire une notice technique (approche axée sur la traduction en tant que produit), et (2) les principes sous-jacents à ces stratégies (approche axée sur la traduction en tant que processus). Puis, à l’intérieur de chacun de ces deux volets, nous poursuivrons une approche transversale.

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