FICHE DE LECTURE LA SOCIOLOGIE DES ORGANISATIONS De .

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UNIVERSITE PARIS XIIVal de MarneCentre de formation INFAUFR SESS - STAPSCFA « Métiers du Tourisme »FICHE DE LECTURELA SOCIOLOGIE DES ORGANISATIONSde PHILIPPE BERNOUXPour l’obtention duMaster Sciences de la sociétéMention Education, Travail et FormationSpécialité Conduite de projets et Management des OrganisationsOption : Management de projets événementielsSolène GERONJuillet 2008

SOMMAIREPREMIERE PARTIE! Raisons du choix de l’ouvrage! Biographie de l’auteur! Bibliographie complémentaireDEUXIEME PARTIE! Postulats! Hypothèses centrales! DémonstrationTROISIEME PARTIE! Résumé de l’ouvrageQUATRIEME PARTIE! Discussion et Critique! Actualité de la question traitée dans ce livre! Conclusion sur l’intérêt que vous avez trouvé à ce travail

PREMIERE PARTIERAISONS DU CHOIX DE CET OUVRAGEL’ouvrage La Sociologie des Organisations doit être lu et étudié par les étudiantsdans le cadre de la première année du Master Management de projetsévénementiels.BIOGRAPHIE DE L’AUTEURPhilippe Bernoux est sociologue, docteur d’état, directeur de recherche au CNRS. Ilest également le fondateur du Groupe lyonnais de sociologie industrielle (CNRSuniversité de Lyon II). Il a mené et mène des recherches sur le fonctionnement desentreprises, sur leur création, leur organisatio et l’effet des nouvelles technologies. Ila enseigné dans plusieurs écoles d’ingénieurs, à l’université, dans des centres deformation continue et dans de nombreuses entreprises. Il travaille actuellement sur lechangement dans les entreprises et en particulier sur les fusiosn-acquisitions.BIBLIOGRAPHIE COMPLÉMENTAIRE ÉVENTUELLEPRINCIPAUX OUVRAGES RECENTS (OU REEDITES)! Bernoux Ph. (2004), Sociologie du changement dans les entreprises et lesorganisations, Paris, Seuil! Bernoux Ph., Servet J.M., ss la dir de, (1997), La construction sociale de laconfiance, Paris, Ed. Economie Financière,! Amblard H., Bernoux P., Herreros G., Livian Y.F., (1ère ed. 1996, 3e ed.2005), Les nouvelle approches sociologiques des organisations, Paris, LeSeuil, Troisième édition augmentée d’un chapitre inédit! De Coster M., Pichault F., ss la dir de, (1994), Traité de sociologie du travail,De Boeck, P. Bernoux, chap 15, « Systèmes d’autorité et relations de pouvoirau sein d’une organisation », pp337-354! Les nouveaux patrons (1974, Editions Economie et Humanisme, les EditionsOuvrières, Paris)! Un travail à soi. Pour une théorie de l’appropriation du travail (1982, Privat,Toulouse)

! La Sociologie des entreprises (1995, Seuil, « Point Essais » n 308! La Sociologie de changement dans les entreprises et les Organisations (2004,Seuil)ARTICLES RECENTS! « Des salariés acteurs de l’entreprise », (2004), Economie et Humanisme,n 370, oct., pp36-39! « Le changement dans les organisations. Entre structures et interactions ns,RI/IR(revuequébecquoise), Hiver, 57-1 pp. 77-99! Bernoux P., Livian YF., (1999), « L’entreprise, est-elle toujours une institution? », Sociologie du travail, n 2! Bernoux Ph., (1998), « Contrainte et domination sans autonomie ni acteurs ?Réponse à David Courpasson », Sociologie du Travail, il XL, n 3, pp. 393-405! « Herzberg Frederick », (entry) in Sorge A., Warner M., eds, The Handbook ofManagement Thinking, (1998), International Thomson Business Press.

DEUXIEME PARTIEPOSTULATSDans cet ouvrage, Philippe Bernoux conduit une explication profonde et cohérentedans le domaine de la sociologie des organisations. Après avoir étayé sa réflexionsur plusieurs chapitres, il pose finalement des postulats, des constats qui luipermettent de mieux appréhender les différentes questions auxquelles il estconfronté. Il dénombre trois postulats de l’analyse stratégique, analyse qu’il privilégiepour étudier les comportements des acteurs dans les organisations.Le premier postulat posé par l’auteur est le suivant : les hommes n’acceptent jamaisd’être traités comme des moyens au service de buts que les organisateurs fixent àl’organisation. Chaque acteur a ses propres objectifs, ses propres buts. Chacunpoursuit ses objectifs et l’organisation doit vivre avec cette multiplicité plus ou moinsopposée.Le second postulat réside dans la liberté relative des acteurs. Dans une organisation,tout acteur garde une possibilité de jeu autonome, qu’il utilise toujours plus ou moins.Cette affirmation est au centre de l’ analyse stratégique. Pour Philippe Bernoux, il estnécessaire que l’acteur préserve une certaine initiative, une zone de liberté d’actionet de liberté de pensée. Mettre l’accent sur cette autonomie, c’est aussi le faire sur lemoyen de régulation de ces libertés qu’est le pouvoir.Enfin, le troisième postulat énoncé par l’auteur pose les bases des stratégiesd’acteur. Dans ces jeux de pouvoir, les stratégies sont toujours rationnelles maisd’une rationalité limitée. Devant tenir compte des stratégies des autres et desmultiples contraintes de l’environnement, l’acteur n’a pas la réactivité et les moyensde trouver la solution la plus rationnelle pour atteindre ses objectifs. Dans unesituation, il y a plusieurs solutions possibles, l’idée de la meilleure solution, prônéepar Taylor, n’existe pas. D’une part, le monde dans lequel nous vivons est enperpétuelle évolution et les comportements des acteurs sont le plus souventimprévisibles. D’autre part, dans un environnement en perpétuel mouvement lesacteurs n’ont pas le loisir de lister toutes les solutions possibles pour choisir lameilleure. Ils s’arrêtent sur celle qui représente le moins de contraintes.HYPOTHÈSES CENTRALES

L’analyse de Philippe Bernoux repose avant tout sur des questions générales qui luipermettent d’orienter sa pensée et son étude.En premier lieu, l’auteur se demande quelle explication peut définir lescomportements des groupes et/ou individus au sein des organisations et de quellemanière les normes de comportement se modifient et changent. A ces questions, ilétablit une hypothèse qui soutient que les normes de comportement ne se prennentque dans la situation où est l’individu et que là, elle sont le résultat de l’interactionentre acteurs. Cette rencontre se fait sous forme d’interaction entre acteurs. Il y adonc dans toute organisation, rencontre entre l’individu et les groupes sociaux. Cetterencontre se fait sous forme d’interaction, les uns et les autres se donnant desobjectifs à travers l’organisation et les opportunités qu’elle présente.En second lieu, l’auteurse questionne sur la manière dont l’introduction d’unenouvelle technologie, la modification de la culture d’un groupe social, la pressionéconomique, le changement socio-politique modifient le jeu des éléments reconnusdans l’entreprise. Il se demande donc s’il est possible de trouver et de définir unelogique d’acteur. Selon lui, même si le poids de l’environnement et des structuresjoue un rôle, son hypothèse est que ce poids est suffisamment intégré dans lalogique d’acteur et les structures de l’entreprise pour qu’il suffise de décrirelarelation entre les acteurs et l’organisation.DÉMONSTRATIONLa manière de procéder de Philippe Bernoux pour démontrer ses propos est similairetout au long de l’ouvrage. Il part d’une question générale qui met en situation unproblème rencontré au sein d’une organisation. Ensuite, il commence sadémonstration par les déterminismes individuels, expliquant qu’en effet, on peutexpliquer une partie des comportements par cette caractéristique. Il élargit son étudeen replaçant l’individu au sein du groupe, en développant l’idée que lescomportements de chaque individu ne peuvent se comprendre que par rapport augroupe et à ses normes. Enfin, son analyse se termine sur le fait que les contrainteset les changements de l’environnement ont un impact conséquent sur lecomportement des individus. L’analyse des comportements doit se faire en relationavec les normes du groupe, les contraintes de l’environnement et les déterminismesindividuels.

TROISIEME PARTIERÉSUMÉ DE L’OUVRAGEChapitre I : Que cherchons-nous à expliquer ?Dans cet ouvrage, Philippe Bernoux part des questions qui se sont posées à luimême qui peuvent se regrouper sous une problématique générale : Commentexpliquer les comportements des individus et/ou des groupes dans les organisations? Pour pouvoir répondre à cette question, Philippe Bernoux pose un fait qu’il aconstaté : l’irrationalité apparente et l’imprévisibilité de ces comportements. Ens’appuyant sur des cas concrets, il va devoir trouver la logique à l’oeuvre descomportements des individus.Les comportements individuels dans les organisations sont généralement expliquéspar le tempérament individuel. Or, selon Philippe Bernoux, cette explication n’aqu’une valeur limitée. Pour l’auteur, dans toute organisation, et plus particulièrementdans l’entreprise, les comportements ne se comprennent que dans un ajustementpermanent entre l’individu, son tempérament, ses besoins, ses désirs et le groupe.De ce fait, Philippe Bernoux estime que les comportements doivent être étudiés endouble relation avec les individus et les normes produites par le groupe.Les comportements peuvent être également influencés par des déterminantscollectifs dus à l’environnement comme la culture nationale par l’intermédiaire derelais institutionnels et organisationnels,, et par des caractéristiques personnelles(sexe, âge, ).L’auteur propose également de prendre en compte les motivations individuelles et degroupes. Les premières sont celles qui poussent les individus à agir en fonction deleurs besoins. Selon les secondes, l’action est fonction du rôle donné par la sociétéou l’entreprise. De ce fait, parler de motivation revient à s’interroger autant surl’organisation que sur les individus qui la composent. Toutes les influencesénumérées par l’auteur n’ont donc d’impact que si l’individu est situé dansl’organisation et mis en relation avec les autres.L’hypothèse émise par Philippe Bernoux est donc que les normes de comportementne se prennent que dans la situation où est l’individu et que, là, elles sont le résultatde l’interaction entre acteurs. Il y a donc rencontre entre l’individu et les groupessociaux, lesquels vont se donner des objectifs à travers l’organisation. Entre eux va

donc s’établir une relation de contribution-rétribution, formelle et informelle. L’individuva donc déterminer son comportement en fonction de ses intérêts par rapport à ceque l’entreprise peut lui offrir, mais également l’harmoniser avec celui du groupe. Parla suite, le groupe va définir une stratégie globale que l’auteur appellera une logiqued’acteur. Cette logique d’acteur se traduit, dans une organisation, par des relationsde pouvoir quotidiennes, qui peuvent être, à la fois, organisationnelles et culturelles.Ces relations participent également à la constitution de normes de comportement.Ces normes de comportement peuvent évoluer et changer sous l’influence depressions internes et externes. Les pressions internes s’exercent lorsque lescontraintes auxquelles sont soumis les quatre facteurs déterminants (les logiquesd’acteur, les normes de comportement, l’organisation et les rapports de pouvoir) nerenforcent plus le système mais le font éclater. L’environnement peut égalementmodifier ce système de normes (par exemple, l’introduction d’une nouvelletechnologie). Les logiques d’acteur peuvent être elles-mêmes influencées par lechangement de l’environnement, du système socio-politique, par une nouvelle loi.Dans cet ouvrage, l’auteur étudiera plus précisément la manière dont l’introductiond’une nouvelle technologie, la modification de la culture d’un groupe social, lapression économique, le changement socio-politique modifient le jeu des élémentsreconnus dans l’entreprise.L’auteur souligne trois grands types d’explication sociologique :! Le déterminisme individuel qui explique le comportement à partir de variablecaractérisant l’environnement de l’individu, voire de l’individu lui-même.! Le réalisme totalitaire : le comportement est conçu comme le produit desstructures sociales caractérisant les sociétés dans leur totalité. Lecomportement sera expliqué par les normes et les moyens que la société luiimpose.! Le modèle interactionniste souligne le fait que les comportements sociauxsont le fait d’acteurs agissant intentionnellement en vu de fins choisis par euxen appliquant des stratégies pour les atteindre. On met l’accent sur le fait queles comportements ne résultent pas de déterminismes, mais d’une intentionstratégique de l’acteur.Pour Philippe Bernoux, l’approche interactionniste est supérieure aux autres, car lepoids de l’environnement et des structures est suffisamment intégré dans la logiqued’acteur, pour qu’il puisse s’attarder sur les objectifs, les stratégies, les logiquesd’acteur afin d’expliquer les comportements sociaux.

Chapitre II : Les premières organisations de la société industrielleLes organisations de nos sociétés aujourd’hui sont héritières des changementssurvenues dans les premières sociétés industrielles. Selon Philippe Bernoux, touteorganisation concrète et chaque théorie de l’organisation s’inscrivent dans unsystème de valeurs. C’est pourquoi il en présente les plus significatifs :! L’accumulation de capitalL’œuvre de Max Weber repose sur ses réflexions sur le développement de la sociétéindustrielle. Le système capitaliste repose sur l’entreprise industrielle dont le but estde faire le maximum de profits grâce à l’organisation rationnelle du travail et de laproduction. Le propre de l’entrepreneur capitaliste est qu’il désire accumuler sanslimites, sans aucune fin. Cette réussite matérielle s’impose au nom d’une visionéthique du monde. Cette accumulation de richesses va de pair avec une moraleaustère, puritaine, méfiante vis-à-vis du monde et de la jouissance qu’ils pourraientprocurer. On assiste à une conjonction entre l’état d’esprit protestant et celui ducapitalisme, celui-ci suppose que laplus grande part du profit ne soit pasconsommée mais épargnée afin de permettre le développement des moyens deproduction.! La naissance des valeurs bourgeoisesKarl Marx s’est intéressé à la question du conflit que l’accumulation des richessesexacerbait entre les détenteurs des moyens de production et ceux qui, ne lespossédant pas, étaient exploités par les premiers. La bourgeoisie est le produit d’unlong processus de développement, de toute une série de révolutions survenues dansles modes de production et d’échange. Chaque étape de l’évolution parcourue par labourgeoisie était accompagnée d’un progrès politique correspondant, permettantainsi la création de la société industrielle.! La substitution de l’idée de contrat social à celle de théocratieL’organisation du XVIIIe siècle est héritée du modèle moyenâgeux. Les deuxanalogies pour décrire cette société sont celle du corps humain et celle du contratsocial. Dans les deux cas, chacun occupe une fonction particulière et personne nedoit y déroger. Cet ordre prédestiné a été voulu par Dieu, il ne fait donc pas lemodifier. On est dans une société rigide et moralisée.! Individualisme et hédonisme

Auparavant, l’homme n’avait conscience de lui-même que comme membre d’unerace, d’un peuple, d’un parti, d’une famille ou d’une corporation. Par la suppressionde la loi Le Chapelier, la société retrouve un équilibre naturel par le libre jeu dumarché où les meilleurs gagnent et où les faibles périssent. L’intérêt individuelremplace la providence divine.Selon Jeremy Bentham, toutes les actions humaines sont intéressées etfondamentalement motivées par le désir du plaisir et l’évitement de la douleur. Letravail apparaît donc comme une nécessité pénible et déplaisante que l’hommechercher à fuir. La crainte de la famine est l’incitation au travail la plus répandue ; lereste, en particulier, l’intérêt au travail est tout à fait secondaire.! Le scientisme rationalisateurLes hommes ont placé une confiance illimitée dans l’application de la science audéveloppement des sociétés humaines. Néanmoins, personne ne s’est inquiété desconséquences de l’action de ces machines omniprésentes sur la personne humaine.Le machinisme industriel, étant une des plus amples transformations de la civilisationpar la science, ne pouvait être suspecté dans ses conséquences par une générationsi profondément marquée par Darwin et Spencer. Le second aspect du scientismedu XIXe siècle réside dans l’idée que la science triomphe par la rationalisation.Des débuts du machinisme industriel à l’ère de l‘automation et des industries deprocess, le travail dans l’entreprise industrielle a subi une certaine évolution, en troisphases :! La première phase commence aux débuts de l’ère industrielle que l’on appellela phase de la machine-outil. C’est la modification de cet outil qui dirige lesétapes de la production. Ces machines universelles sont capables d’effectuerdifférentes fonctions. L’ouvrier travaillant sur ces machines a acquis un savoirfaire par expérience représentant un très grand capital, qu’il transmet à sonéquipe, dressant ainsi une hiérarchie basée sur l’expérience. Ce savoir luiconfère donc un pouvoir technique qui lui permet de s’imposer par rapport à lahiérarchie.! La deuxième phase est celle de production en grande série qui passe par uephasefaisaitAsontdécomposées et attribuées à différentes machines, spécialisées donc dansune seule opération. Dans cette phase, l’ouvrier n’a plus besoin d’expérience

pour faire son travail, est interchangeable, a perdu toute responsabilité ettoute autonomie. Il est donc soumis à sa hiérarchie.! La troisième phase s’inscrit dans un mouvement de recomposition du travail.Elle est caractérisée par le regroupement des opérations décomposées de laphase B. Il se dégage, chez les ouvriers, une double évolution : les ouvriersspécialisés demeurent mais il se crée une catégorie plus nombreused’ouvriers d’entretien très qualifiés. L’agent de maîtrise a pour rôle d’assurer lefonctionnement harmonieux des sous-groupes de travail et de veiller à ce quedes tensions et des conflits n’éclatent pas. On remarque également que lepouvoir technique s’est éloigné de l’atelier et de l’entreprise, il est passé dansles mains des services d’ingénierie concevant les procédés.On est passé d’un système professionnel qui repose sur l’autonomie professionnellede l’ouvrier qualifié de fabrication à un système technique de travail défini par lapriorité accordée à un système technique d’organisation sur l’exécution individuelledu travail. A la première phase correspondait une compétence professionnelle, latroisième est celle d’une responsabilité sociale. L’homme est de plus en plus intégréà l’organisation.L’œuvre de Frederick Wilson Taylor apparaît au moment de la seconde révolutionindustrielle, celle du passage de la 1ère phase à la seconde phase. L’apport de Taylorest d’avoir perçu la nécessité d’une répartition nouvelle du travail par préparation dutravail. Tout travail doit subir une analyse préalable qui se fera à travers une analyseminutieuse de l’existant, décomposition la plus poussée possible des gestespréalables. Taylor systématise un ensemble d’idées et de représentations dont lerôle est donc de permettre une rationalisation de son action.Chapitre III : Rationaliser le facteur humain ?L’auteur va démontrer que la rationalité n’est pas que le fait des acteurs investis dulabel scientifique, qu’ils peuvent se tromper et qu’elle est aussi détenue par lesautres acteurs de l’entreprise.La psychologie naissante et la psycho-sociologie vont orienter les organisateursd’abord dans la direction d’une meilleure connaissance de l’individu et du groupe.L’école des relations humaines est née d’une expérience célèbre suivie d’une grandeenquête au sein des ateliers Hawthorne de la Western Electric Company. Malgré debonnes conditions matérielles, et des avantages sociaux élevés, et bien que les

salariés se disent en général satisfaits de l’entreprise, les signes de mécontentementétaient nombreux. Finalement, l’auteur était en présence

et de libert de pens e. Mettre lÕaccent sur cette autonomie, cÕest aussi le faire sur le moyen de r gulation de ces libert s quÕest le pouvoir. Enfin, le troisi me postulat nonc par lÕauteur pose les bases des strat gies dÕacteur. Dans ces jeux de pouvoir, les strat gies sont toujours rationnelles mais dÕune rationalit limit e.

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individuelle de travail Fiche 12. Les formes de la relation de travail Fiche 13. La qualifi cation du contrat de travail Fiche 14. L'embauche Fiche 15. La conclusion ducontrat de travail Fiche 16. Les clauses du contrat de travail Chapitre 4. L'employeur Fiche 17. Le pouvoir de direction Fiche 18. Le pouvoir réglementaire Fiche 19. Le pouvoir disciplinaire Fiche 20. Le transfert d .

Fiche 6 : Les articles indéfi nis (un, une, des) 14 Fiche 7 : Les articles défi nis (le, la, l’, les) 15 Fiche 8 : Les adjectifs de couleur 16 Fiche 9 : L’obligation : Il faut infi nitif 17 Fiche 10 : Les nombres de 21 à 60 18 Fiche 11 : Le présent du verbe être 19 Fiche 12 : Le genre des noms et des adjectifs (réguliers) 20

Chapitre 12 – Le système digestif Fiche 120 De l’alimentation aux nutriments 123 Fiche 121 L’appareil digestif : généralités 124 Fiche 122 L’histologie du tube digestif 125 Fiche 123 Le système nerveux entérique 126 Fiche 124 La cavité buccale 127 Fiche 125 L’œsophage et la déglutition 128 Fiche 126 L’estomac129

FICHE 16 L’analyse du texte argumentatif 291 FICHE 17 L’analyse de l’image 294 Les méthodes FICHE 18 Le commentaire 297 FICHE 19 La dissertation 301 FICHE 20 La contraction de texte 306 FICHE 21 L’essai 308 FICHE 22 La prise de notes 311 V E R S L E BAC. Histoire littéraire et culturelle .

Fiche 7 Domaine de définition d’une fonction, graphe 18 Focus La construction de l’ensemble des réels : les coupures de Dedekind 21 Fiche 8 Comment définir une fonction? 22 Fiche 9 Majorations et minorations 24 Fiche 10 Fonctions monotones 26 Fiche 11 Parité, imparité 28 Fiche 12 Symétries 30 Fiche 13 Fonctions périodiques 32

Introduction of Chemical Reaction Engineering Introduction about Chemical Engineering 0:31:15 0:31:09. Lecture 14 Lecture 15 Lecture 16 Lecture 17 Lecture 18 Lecture 19 Lecture 20 Lecture 21 Lecture 22 Lecture 23 Lecture 24 Lecture 25 Lecture 26 Lecture 27 Lecture 28 Lecture

I-L’histoire de la naissance et de l’évolution de la sociologie de la lecture en France a été étudiée par plusieurs sociologues de la lecture : en particulier, Martine Poulain (“ Naissance des sociologie de la lecture ”, Histoire des Bibliothèques Françaises, t. 4, Paris, Promodis- Cercle de la Librairie, 1992, pp.195-203), Nicole Rob