ELABORATION DU MANUEL D’ENSEIGNEMENT DES LANGUES .

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ELABORATION DU MANUEL D’ENSEIGNEMENT DES LANGUES NATIONALES DANS UNCONTEXTE MULTILINGUE : L’APPROCHE COMMUNICATIVE BIVECTORIELLE.Pr DOMCHE-TEKO Engelbertangeteko@yahoo.frUniversité de DschangetFOKOU Evaristefokoueva@gmail.comUniversité de DschangRESUMEL’enseignement des langues nationales se présente de nos jours comme le meilleurmoyen de garantir le développement endogène de l’Afrique. Cette promotion des langues etcultures nationales par le biais de l’enseignement formel a trouvé un terrain politique,législatif et social fertile au Cameroun. Cependant, sur le plan pratique, l’hétérogénéitélinguistique des sociocultures camerounaises qui se répercute dans les salles de classeoccasionne des problèmes d’opérationnalisation. L’un des plus prégnants de ces problèmesqui handicape la pratique enseignante des langues et cultures nationales reste l’élaboration dumatériel didactique. Le présent article est une proposition d’un modèle de séquence dans unmanuel didactique visant à faciliter la construction des compétences linguistiques en languesspécifiques camerounaises. L’approche communicative bivectorielle qui sous-tend cetenseignement des langues nationales spécifiques dans le sous cycle d’orientation prend encompte les différentes compétences à conjuguer pour produire un message pertinent. Il prendaussi en compte le contexte camerounais marqué par la diversité linguistique des situationsdidactiques dont la langue officielle peut servir de béquille pour y accéder. Le fondementthéorique de cette étude se trouve être l’Approche Par Compétence (APC) telle que présentéepar Roegiers (2007). En ce qui concerne la méthodologie, la recherche documentaire,l’observation participante des séquences d’enseignement des langues camerounaises dans 08établissements scolaire ainsi que l’entretien auprès de 15 enseignants sont des instruments quinous ont permis de collecter les données utiles à la production des séquences didactiquescoquilles qui, une fois remplies en fonction des différentes langues, pourront faciliter lapratique enseignante des langues camerounaises et permettre aux apprenants de pouvoircommuniquer efficacement dans les situations auxquelles ils pourront être confrontés ensociété.Mot clés : pratique enseignante, langues nationales, APC, approche communicative, bivectoriel,1

IntroductionLe présent article s’interroge sur la praticabilité de l’enseignement des langues nationalesdans un contexte camerounais particulièrement multilingue. Le manuel didactique étant unélément essentiel dans la construction des compétences communicatives en languesnationales, nous nous interrogeons sur le type de manuel didactique susceptible de faciliter lapratique enseignante des langues spécifiques camerounaises dans un contexte multilingue.Pour répondre à cette interrogation, nous proposons un modèle de séquence didactique eignement/apprentissage des langues nationales spécifiquesbivectoriellepourdans le sous cycled’orientation qui prend en compte les différentes compétences à conjuguer pour produire unmessage pertinent. Cette approche illustrée enlanguesNgiembɔɔn et Français permetd’élaborer des manuels de grammaire pédagogique pratiques, communicatifs et bivectoriels.1. CADRAGE THEORIQUE ET METHODOLOGIEL’approche d’enseignement des langues nationales que nous avons qualifié decommunicative bivectorielle bénéficie du fondement théorique de l’Approche ParCompétence (APC) quiest une méthode pédagogique basée sur la mobilisation et laconstruction des compétences en situation. Roegiers (2000) définie la compétence comme« la possibilité, pour un individu, de mobiliser de manière intériorisée un ensemble intégré deressources en vue de résoudre une famille de situations-problèmes ».L’APC permet de situerles apprentissages dans un contexte en relation avec des situations concrètes que l’élève varencontrer plus tard; elle permet aussi d’insister sur les apprentissages qui sont importants,soit parce qu’ils sont utiles dans la vie, soit parce qu’ils constituent les fondements desapprentissages suivants.Sur le plan méthodologique, la recherche documentaire, l’observation participante etl’entretien sont des méthodes qui nous ont permis de collecter les données relatives à lapratique enseignante des langues camerounaises. Ainsi, plusieurs travaux à l’instar deMba (2014), Owona (2015) et SADEMBOUO (2012) ont clairement présenté les problèmes quifreinent l’épanouissement de l’enseignement des langues camerounaises au rang desquels sesitue en bonne place celui du déficit du manuel didactiqueL’observation des pratiques pédagogiques dans 08 établissements scolaires de laRégion de l’ouest nous a permis non seulement de pointer du doigt le problème del’inexistence d’un manuel didactique approprié pour l’enseignement/apprentissage des2

langues nationalesspécifiques, mais aussi et surtout de relever les meilleurs pratiquespouvant optimiser la construction des compétences de communication en languescamerounaises au rang desquelles se situe en bonne place l’usage de deux vecteurs ( Languenationale et Langue officielle)L’entretien que nous avons mené auprès de 15 enseignants au sujet de la praticabilitéde cette approche ainsi quede son efficacité dans la construction de lacompétencecommunicative en langues camerounaises nous a permis de l’améliorer sur le plan théorique.Après l’amélioration de ces séquences didactiques dans diverses langues, elles ont été testéesdans plusieurs classes parmi lesquelles trois classes témoins à savoir : la 4e A1 du LycéeBilingue de Batcham, la 4e E1 du Lycée Classique de Dschang et la 3ème M4 du LycéeClassique de Bagangte. A la suite d’une séquence didactique de trois périodes d’une heurechacune, tous les élèves de la classe (locuteur natifs ou non natifs de la langue de la localité)étaient capables de produire un énoncé oral et écrit en langue nationale de la localité, relatifau domaine de vie qui leur avait été proposé dans la séquence didactique. La longueur del’énoncéétait liée au caractère natif ou non natif du locuteur : les natifs produisaientévidemment des énoncés plus longs que ceux des non natifs. De même, les énoncés deslocuteurs natifs étaient grammaticalement corrects, nonobstant le phénomène linguistiquemise en exergue dans la séquence didactique, alors que les non natifs insistaient beaucoupplus sur la grammaticalité en fonction de la notion linguistique étudiée.Cette capacité des apprenants à produire des énoncés oraux ou écrits dans un domainede vie à partir d’une situation semblable présentée dans un manuel nous a permis de concluresur la praticabilité de l’approche communicative bivectorielle ; laquelle pourrait donc servir àla production des séquences didactiques coquilles qui, une fois remplies, pourra faciliter lapratique enseignante des langues camerounaises et permettre aux apprenants de pouvoircommuniquer efficacement dans les situations auxquelles ils pourront être confrontés ensociété.2. CONTEXTE DE L’ENSEIGNEMENT DES LANGUES CAMEROUNAISESL’enseignement des langues nationales au Cameroun s’effectue dans un contextescolaire linguistiquement hétérogène, qui n’est en réalité que l’image de la sociétécamerounaise entière.2.1. Contexte sociolinguistique du Cameroun3

De façon générale, Les pays africains francophones présentent des situationslinguistiques complexes dans lesquelles le français cohabite avec de nombreuses langueslocales. II y règne ainsi une diglossie permanente qui se manifeste uniquement au sein de lapopulation dominée, car les locuteurs de la langue dominante, quel que soit leur petit nombre,n’apprennent jamais la langue dominée ou péjorée. Par contre, les locuteurs de la languedominée, quel que soit leur poids démographique, ont une tendance naturelle à apprendre lalangue du groupe dominant, tout en essayant tant bien que mal de maintenir leur languematernelle.Dans la plupart de ces pays, le français est la langue de l’administration, de l’éducationet de la scolarisation, de la justice, des médias (radio, télévision, presse écrite, livres,publicité). A quelques exceptions près, les langues locales sont exclues des circuitslinguistiques vitaux que nous venons de citer. Elles sont ainsi confinées à un usagevernaculaire, familial et ethnique.Pour le cas spécifique du Cameroun, et d’après le sociolinguiste camerounais ZachéeDenis Bitjaa Kody (2004), le Cameroun compte plus de 250 langues. Bien qu’elles aient lemême statut égalitaire de Langues Nationales, elles n’ont ni la même force numérique, ni lesmêmes domaines d’utilisation, ni les mêmes fonctions sociales. Certaines ont une fonctionvéhiculaire, sont utilisés à la radio, dans la musique moderne et dans les églises ; d’autres sontréduites à la communication orale, ethnique et familiale.2.2. Contexte scolaireAu cours de l’année scolaire 2016-2017, nous avons observé la pratique enseignantedes langues camerounaises dans huit (08) établissements scolaires de la Région de l’Ouest àsavoir le Lycée Bilingue de Batcham, Lycée Classique de Dschang, Lycée Bilingue deGalim, Lycée Classique de Bagangté, Lycée classique de Bafoussam, Lycée bilingue deBafoussam, Lycée Bilingue de Mbouda et Lycée Bilingue de Baham. Notre intérêt étaitparticulièrement porté vers lesous cycle d’orientation (classes de 4ème et 3ème) del’enseignement secondaire général francophone ; puisque c’est à partir de ce niveau que l’onest sensé enseigner les langues nationales spécifiques ( MINESEC 2014). Ce tour d’horizonnous a permis de nous fixer sur le niveau de diversité linguistique des classes ainsi que lemanuel didactique utilisé.2.3. L’hétérogénéité linguistique des salles de classeL’observation menée dans les différents établissements scolaires que nous avonsparcourus pendant notre étude nous a permis de les classer en trois groupes en fonctions des4

zones sociolinguistiques à savoir : Les établissements scolaires de la zone rurale, lesétablissements scolaires de la zone semi-urbaine, et les établissements scolaires de la zoneurbaine. Les tableaux suivants constituent quelques-unes des répertoires linguistiques desclasses observées. Ils présentent le nombre de langues nationales rencontrées dans ces sallesde classe. Classes4e A1TOTALClasses3e A2TOTALLycée Bilingue de BatchamNbre d’élèves0101025458Langues nationalesGombaaFulfuldeYembaNgiembᴐᴐn04Nbre d’élèves0101035257Langues rtoires linguistiques des classes de 4e A1 et 3e A2 du lycée bilingue de Batcham Lycée Classique de DschangClasses4e E1TOTALClassesNbre d’élèves56020111010101010101040181Nbre d’élèvesLangues oko12Langues nationales5

4e AL7810eeRépertoires linguistiques des classes de 4 E1 et 4 E2du lycée Classique de Dschang Lycée Classique de BagangteClasses3e M4Nbre d’élèvesLangues kpaTOTAL9109eRépertoire linguistique de la classe de 3 M4 du lycée Classique de BagangteDeux constats se dégagent de ces répertoires linguistiques. Premièrement, ces tableauxmontrent clairement le caractère multilingue des salles de classe visitées. La classe la plushomogène compte quatre langues nationales différentes. Ensuite nous constatons quel’ampleur du multilinguisme de ces classes varie avec la zone sociolinguistique dans laquellese situe l’établissement ; en d’autres termes, les établissements scolaires des zones ruralescomme le lycée bilingue de Batcham sont moins hétérolinguistiques que ceux des zonesurbaines comme le lycée classique de Dschang.2.4. L’absence d’un manuel didactique adéquatL’observation des leçons de langues nationales dans les lycées de l’ouest ainsi quel’entretien avec douze (12) enseignants de LCN au sujet du matériel didactique utilisé pourl’enseignement des langues spécifiquesnous a révélé l’inexistence d’un manueld’enseignement/apprentissage spécifique reconnu pour la pratique pédagogique de ceslangues au sous cycle d’orientation. Les manuels utilisés par les enseignants pour préparer6

leurs leçons sont des manuels d’alphabétisation, des ouvrages scientifiques, les thèses etmémoires, les compilations de textes en langues nationales ou alors des productionspersonnelles.Au vue de ce contexte, il est donc clair que la pratique enseignante de languesnationales au secondaire en général et particulièrement au sous cycle d’orientation est unexercice véritablement difficile compte tenu de l’hétérogénéité linguistique des apprenants etde l’absence d’un manuel d’enseignement/apprentissage adéquat. C’est dont pour faciliter lapratique enseignante des langues nationales à ce niveau de l’enseignement secondaire quenous avons proposé le présent modèle de séquence didactique des langues nationales élaboréesuivant l’approche communicative bivectorielle.3.DEFINITION DEL’APPROCHE COMMUNICATIVE BIVECTORIELLEL’approche communicative bivectorielle que nous utilisons pour élaborer lesdifférentes séquences du manuel d’enseignement/apprentissage des langues nationalesspécifiques au sous cycle d’orientation de l’enseignement secondaire permet de construire lacompétence communicative en ces langues camerounaises. Cette approche permet de faciliterl’élaboration du manuel didactique de langues nationales qui permettra à son tour de faciliterle processus de construction des compétences linguistiques autant chez l’enseignant que chezl’apprenant afin d’optimiser les performances scolaires et socio communicatives des jeunesélèves des lycées et collèges. L’approche communicative bivectorielle comporte troiscaractéristiques principales à savoir : le caractère pratique, le caractère communicatif et lecaractère bivectoriel.3.1.Le caractère pratiqueL’approche communicative bivectorielle a un caractère pratique dans ce sens qu’elleest constituée essentiellement des exercices permettant de mobiliser des ressources diversesutiles à la construction des compétences orales (les exercices de traitement de situations,confrontation des productions, les exercices d’analyse des images et autres situationsdidactiques, exercices de compréhension des textes, les exercices de mobilisation desconnaissances grammaticales, lexicales, sémantiques, phonologiques, phonétiques etprosodiques, mais surtout des exercices d’interactions avec les membre de la société et autresdétenteurs de la connaissance endogène.) ; et de techniques pédagogiques de construction descompétences écrites (les exercices de traduction pédagogique, l’analyse contrastive, lesexercices de consolidation des acquis par la trace écrite, la résolution des situation problèmes,les exercices de rédaction , etc. ) qui sont essentielles pour la construction d’une grammairecommunicative en langue nationale dans un contexte multilingue3.2.Le caractère communicatifLe caractère communicatif de cette approche résulte du fait qu’elle permetted’accéder à une compétence de communication plus globale où se trouvent associées lesstructures grammaticales (sons, structures, lexique, etc.) et les tâches communicative ;d’apprendre effectivement à encoder et produire un discours, ainsi qu’à en décoder, voiredécrypter un autre dans une situation-problème ; de partir plutôt du sens vers la forme;7

d’acquérir implicitement d’abord puis explicitement les structures propres à la languenationale. Dans l’approche communicative bivectorielle, la langue est conçue comme uninstrument de communication ou d’interaction sociale. Elle prend en compte les dimensionslinguistique et extralinguistique qui constituent un savoir-faire à la fois verbal et non verbal,une connaissance pratique du code et des règles psychologiques, sociologiques et culturellesqui permettront son emploi approprié dans une situation de communication de la vie réelle,concrètes et authentiques. De ce fait, seulement ¼ du temps de l'enseignement doit êtreconsacré à l'acquisition directe du savoir sur la langue, les ¾ restant pour les expériencescommunicatives qui pourront alors fixer davantage ce savoir et l'automatiser au fur et àmesure.3.3.Le caractère bivectorielL’enseignement bivectoriel consiste en « l'utilisation de deux langues pourl'enseignement des contenus des programmes dans une classe donnée » (Sadembouo 2005 :4). Dans la présente approche d’élaboration du manuel didactique, l’articulation simultanéede la langue officielle et de la langue nationale favorise la compréhension de certainessituations didactiques et des consignes qui devront permettre à l’apprenant de construire lescompétences en langue nationale. Bien que l’idéal veuille que tous les éléments du manuelsoient rédigés en langue nationale, le multilinguisme des élèves en situation d’apprentissage,l’usage de la langue officielle comme vecteur officiel des enseignements et la pratique de lalangue officielle en situation scolaire depuis les cycles maternelle et primaire ainsi que lesous-cycle d’observation permettent que cette langue officielle soit aussi utilisée pour énoncerles consignes des activités et présenter certaines situations didactiques afin de permettre unemeilleure compréhension de la tâche qui est confiée aux élèves.Concernant les techniques de mise en œuvre pédagogique, l’usage à la fois de lalangue nationale et la langue officielle comme véhicule du discours pédagogique favorise unemeilleure compréhension des situations, des consignes et des explications. Notons cependantque l’usage de la langue nationale doit être fondamental et que celui de la langue officielledoit être secondaire ; chacune des deux langues vectrices ayant ses spécificités. Ce qui nousdonne l’occasion de spécifier les domaines de spécialisation de chaque vecteurLe domaine d’utilisation de la langue nationale comme vecteur d’enseignement estrelatif aux contenus culturels, endogènes et scientifiques ; la langue nationale est la base pourl’acquisition des savoirs et des savoir-faire nouveaux. La langue officielle (L01) quant à elleest utilisée pour renforcer les connaissances et les compétences à construire en languenationales. Elle permet de faciliter la compréhension du discours pédagogique et surtout desconsignes de travail afin de permettre aux élèves de mieux exprimer leur compétencecommunicative en langue nationale.Ce bilinguisme est d’autant plus efficace qu’il permet de dominer le multilinguisme dela classe afin de favoriser la communication en langue nationale. C’est pourquoi avecl’approche communicative bivectorielle, les pratiques de classe sont caractérisées par lestechniques comme les alternances et les mélanges codiques, la conceptualisation bilingue, latraduction pédagogique, l’analyse contrastive et bien d’autres.8

Avec cette approche, enseigner la grammaire des langues nationales dans les lycéeset collèges, n’est plus seulement conduire les élèves à comprendre les mécanismes de lalangue, à maitriser la terminologie qui sert à les identifier et à les analyser ; c’est davantageamener les élèves à apprendre une grammaire orientée effectivement vers l’expression (àl’écrit comme à l’oral) et la communication en langues nationales dans les situations de la vie.Apprendre une langue nationale, c’est apprendre désormais à se comporter demanière adéquate dans des situations de communication où l’apprenant aura quelque chancede se trouver en utilisant les codes de cette langue nationale. Cependant, apprendreeffectivement à encoder et produire un discours, ainsi qu’à en décoder, voire décrypter, unautre dans une situation-problème requiert des compétences qui ne se construisent pas par laseule pratique scolaire du discours grammatical traditionnel. Surtout lorsqu’on se trouve dansun contexte multilingue et multiculturel. Cette activité nécessite, en plus des compétenceslinguistiques (écriture, lecture, etc.), des compétences socioculturelles, interculturelles, etc.L’enseignant ici devient un chef d'orchestre qui limit

L’approche d’enseignement des langues nationales que nous avons qualifié de communicative bivectorielle bénéficie du fondement théorique de l’Approche Par Compétence (APC) qui est une méthode pédagogique basée sur la mobilisation et la construction des compétences en situation.

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