SOMMAIRE - WordPress

3y ago
21 Views
2 Downloads
8.53 MB
40 Pages
Last View : 5d ago
Last Download : 3m ago
Upload by : Fiona Harless
Transcription

SOMMAIREAVERTISSEMENTINTRODUCTION. P. 2. P. 3I. LE DROIT DE L’EAU . P. 41. Les principaux textes qui régissent la politique de l’eau2. Les principales dispositions portant sur la gestion et le prix des servicesd’eau et d’assainissement3. L’eau dans le droit au logement, le droit de santé publique,la pauvreté et l’exclusion4. La transparence et l’égalité devant les services publicsII. LA DÉMARCHE UTILISÉE POUR LE RECUEIL DES DONNÉES . P. 10ET LES RÉTICENCES RENCONTRÉESIII. COMPOSITION DE L’ÉCHANTILLON . P. 12IV. DES PRIX DISPARATES, SOUVENT ÉLEVÉS . P. 13ET INÉQUITABLES POUR LES CONSOMMATEURS1. Un éventail de prix très largelorsque l’on compare les moyennes départementales2. Un éventail encore plus largelorsque l’on compare les médianes départementales3. Des écarts de prix à l’intérieur de certains départementsqui dépassent l’entendement4. Des prix très élevés sur trop de territoires5. La France rurale pénalisée par rapport à la France des grandes villes6. Des prix qui s’homogénéisent lorsque la taille des villes augmente7. Les prix des grandes villes ne sont pas représentatifsdes prix pratiqués en FranceV. UN SYSTÈME DE TARIFICATION QUI PEUT ENTRAÎNERD’IMPORTANTES INJUSTICES . P. 201. Le tarif binôme2. Le tarif progressif et social3. Le tarif dégressif4. Le tarif saisonnierVI. CERTAINS TERRITOIRES ONT MENÉ UNE POLITIQUED’HARMONISATION DES PRIX DE L’EAU. P. 24VII. LA PART FIXE DU TARIF DE L’EAU . P. 26VIII. CONCLUSION . P. 28PROPOSITIONS . P. 30ANNEXES . P. 32 1 Eau CGL-SB.indd 103/01/14 10:35

AVERTISSEMENTL’eau, élément essentiel de la vie, a atteint un coût difficilementsupportable pour beaucoup de foyers. Ce coût vient s’ajouter auxnombreux autres éléments de dépenses liées au logement commeles loyers, les remboursements d’emprunts immobiliers, lescharges, etc.C’est parce que nous sommes de plus en plus fréquemment interpelléssur le prix de l’eau, que nous avons décidé de nous pencher sur sacomposition et voir si la maîtrise de certains éléments constitutifs de soncoût ne permettrait pas de rendre la facture moins douloureuse.Notre première surprise dans cette recherche est liée aux réticencesrencontrées pour obtenir la communication des prix, et en particulier lefaible nombre de réponses obtenues à nos demandes. Puis, l’extrêmediversité des prix pratiqués a constitué notre seconde surprise.Les prix sont variables et l’ampleur des écarts nous a beaucoup interpellés.Enfin, la diversité et la complexité des tarifications ont achevé de nousconvaincre que nous n’étions pas dans un système juste et équitable.Finalement, l’idée du juste prix rémunérant un service égal pour tous nese retrouve pas dans les prix de l’eau pratiqués en France. Une réformed’ampleur s’impose dans ce domaine. 2 Eau CGL-SB.indd 203/01/14 10:35

INTRODUCTIONUne étude portant sur les prix de l’eau peut avoir différentes portesd’entrée : elle peut porter sur l’impact, sur les prix de l’évolution dela réglementation, elle peut comparer les prix en fonction du modede gestion choisi, elle peut encore aborder les prix sous l’angle dupoids de la fiscalité Bref, le prix de l’eau, dans la mesure où les regards qu’on y portesont divers, peut faire l’objet de multiples approches.La nôtre, après un rappel des grandes évolutions législatives desdernières décennies, se place du point de vue du consommateur, c’està-dire en partant du coût à payer et en effectuant des comparaisons.C’est ainsi que nous avons comparé les prix moyens, les médianes, lesécarts de prix des départements métropolitains et d’outre-mer, puisregardé les différences entre les prix des grandes villes et ceux descommunes de moins de 10 000 habitants, avant d’examiner les différentsmodes de tarification pratiqués sur divers territoires.Enfin, le recensement des démarches d’harmonisation des prix et lacomparaison des parts fixes facturées aux consommateurs ont compléténotre approche sur l’examen des prix du m³ d’eau pratiqué en France.Nous avons volontairement laissé de côté d’autres domaines dontcertains ont déjà fait l’objet d’études. 3 Eau CGL-SB.indd 303/01/14 10:35

I. LE DROIT DE L’EAU 1. LES PRINCIPAUX TEXTES QUI RÉGISSENT LA POLITIQUE DE L’EAUI. LE DROIT DE L’EAU1LES PRINCIPAUX TEXTESQUI RÉGISSENT LA POLITIQUE DE L’EAULa loi du 16 décembre 1964 crée une redevance payée par les usagers, et partagele territoire national en six grands bassins hydrographiques comprenant chacunune agence de l’eau et un comité de bassin qui définit la gestion de l’eau dubassin.La loi du 3 janvier 1992 organise une gestion globale et cohérente de l’eau, enmettant en place de nouveaux outils de gestion des eaux par bassin : les schémasdirecteurs d’aménagement et de gestion des eaux (SDAGE) et les schémasd’aménagement et de gestion des eaux (SAGE).Complétée par la loi LEMA (loi sur l’eau et les milieux aquatiques), elle donneaux communes ou intercommunalités les compétences en matière d’eaupotable et d’assainissement et leur permet de se regrouper en syndicat, enintercommunalité ou de déléguer leurs compétences pour assurer la réalisationde ces nouvelles missions. Elles peuvent aussi gérer le service directement.La loi du 29 janvier 1993 institue une procédure de délégation, met enconcurrence les entreprises concernées et encadre le contenu des contrats.La loi du 2 février 1995 institue l’obligation d’un rapport annuel sur le prix etla qualité des services d’eau et d’assainissement mis à la disposition du public.La loi du 30 décembre 2006, qui s’inscrit dans le cadre de la directive européennesur l’eau du 23 octobre 2000, comporte plusieurs dispositions favorisant l’accèsau service de l’eau, l’encadrement de la partie fixe de la facture, l’interdictiondes coupures d’eau des abonnés ayant bénéficié d’un appui au paiement desfactures par le fonds de solidarité pour le logement et l’obligation de poserdes compteurs individuels dans les logements collectifs neufs. Elle réformel’organisation institutionnelle, notamment les Agences de l’eau et les redevancesqu’elles collectent. 4 Eau CGL-SB.indd 403/01/14 10:35

I. LE DROIT DE L’EAU 2. LES PRINCIPALES DISPOSITIONS PORTANT SUR LA GESTION ET LE PRIX DES SERVICES D’EAU ET D’ASSAINISSEMENT2Pour la fixationdu prixdes servicespublics de l’eauet del’assainissement,les collectivitésbénéficientd’une grandelibertédans le choixde la tarification.LES PRINCIPALES DISPOSITIONSPORTANT SUR LA GESTION ET LE PRIXDES SERVICES D’EAU ET D’ASSAINISSEMENTLa loi de 1992 a institué un nouveau mode de tarification : un montant calculéindépendamment du volume (compte tenu des charges fixes du service et descaractéristiques du branchement) et un montant calculé en fonction du volumeconsommé par l’abonné.La loi du 30 décembre 2006 a mis en place la notion de tarification uniforme ouprogressive et a prévu la possibilité de maintenir une part fixe.Enfin, la loi du 15 avril 20131 sur la transition énergétique a mis en place,jusqu'en avril 2018, une expérimentation sur la tarification sociale de l'eau.Pour la mise en œuvre de l'expérimentation, les collectivités participantesont été autorisées à prévoir une facturation progressive de l'eau potable, avecpossibilité d'instaurer une première tranche de consommation gratuite pour lesménages en situation de précarité.1. Loi n 2013-312 du 15 avril 2013 visant à préparer la transition vers un système énergétique sobre et portant diverses dispositionssur la tarification de l’eau et sur les éoliennes (loi Brottes). 5 Eau CGL-SB.indd 503/01/14 10:35

I. LE DROIT DE L’EAU 3. L’EAU DANS LE DROIT AU LOGEMENT, LE DROIT DE SANTÉ PUBLIQUE ET LA PAUVRETÉ ET L’EXCLUSION3En 2006,353 000 ménagesmanquaient duconfort de basesanitaire.L’EAU DANS LE DROIT AU LOGEMENT,LE DROIT DE SANTÉ PUBLIQUE,LA PAUVRETÉ ET L’EXCLUSIONPour le droit au logement : le droit d’accès à l’eau peut être rattaché au droit aulogement qui est reconnu comme un droit fondamental.2Effectivement, la loi du 13 décembre 2000 relative à la solidarité et aurenouvellement urbain (SRU) précise la notion de logement décent, détaillée parle décret du 30 janvier 2002. Celui-ci doit satisfaire à des conditions relatives à lasécurité physique et à la santé des locataires qui doivent avoir accès à un logementdécent, donc alimenté en eau potable et raccordé à un réseau d’assainissement.Pourtant, il existe encore des logements privés d’accès à l’eau, sans équipementstels que douche, WC, nécessaires à une vie saine et dans le respect de la dignitéhumaine. Rappelons à cette occasion une enquête menée par l’Insee en 2006 ;353 000 ménages manquaient du confort de base sanitaire, c’est-à-dire en l’absenced’un des éléments suivants : eau courante, installation sanitaire, WC intérieurs. Parailleurs, 108 000 ménages ne disposaient d’aucune installation pour faire la cuisine.Pour le droit de santé publique : le droit d’accès à l’eau potable concerne aussila protection de la santé publique, chargée de fournir une eau potable de qualitéqui ne présente aucun danger pour la santé. C’est l’article 1er de la Charte del’environnement, qui proclame le droit pour chacun de vivre dans un environnementéquilibré et respectueux pour la santé.2. Loi n 89-462 du 6 juillet 1989 tendant à améliorer les rapports locatifs. 6 Eau CGL-SB.indd 603/01/14 10:35

I. LE DROIT DE L’EAU 3. L’EAU DANS LE DROIT AU LOGEMENT, LE DROIT DE SANTÉ PUBLIQUE ET LA PAUVRETÉ ET L’EXCLUSIONLe droit, prévupar la loi,d’accéderà l’eau potabledans lesconditionséconomiquementacceptables,suppose quechacun puissepayerle serviced’eau etl’assainissement.Pour la lutte contre la pauvreté et l’exclusion : le droit, prévu par la loi, d’accéderà l’eau potable dans les conditions économiquement acceptables, suppose quechacun puisse payer le service d’eau et l’assainissement. Le législateur a donc prévudes mesures destinées aux personnes en difficulté.La loi du 31 mai 1990 a institué le Fonds de Solidarité pour le Logement (FSL) destinéà aider les ménages ayant des difficultés liées au logement, avec l’article L115-3du code de l’action sociale et des familles : « toute personne ou famille éprouvantdes difficultés particulières du fait d’une situation de précarité a droit à une aidede la collectivité pour accéder ou pour préserver son accès à une fourniture d’eau,d’énergie et de services téléphonique dans son logement ».Depuis 2004, les fonds spécifiques, destinés à éviter l’interruption des services d’eau,d’électricité, d’énergie et de téléphone, sont intégrés aux FSL. La saisine du FSLdonne droit au maintien de la fourniture de l’eau entre le 1er novembre et le 15 marsde l’année suivante. Pendant cette période, les fournisseurs d’eau ne peuvent pascouper l’accès aux abonnés s’il y a eu un impayé de facture. La loi du 5 mars 2007instituant le droit au logement opposable (DALO), a étendu à l’année entière lesdispositions qui empêchaient les coupures d’eau dans les conditions prévues àl’article 115-3 du code de l’action sociale et des familles. Ce dispositif constituaitdonc une protection contre les coupures d’eau et contribuait à la mise en œuvre duprincipe de lutte contre la pauvreté et l’exclusion.Malheureusement, tous ces dispositifs d’aide aux ménages démunis restentinsuffisants, puisque les coupures d’eau existent toujours. 7 Eau CGL-SB.indd 703/01/14 10:35

I. LE DROIT DE L’EAU 4. LA TRANSPARENCE ET L’ÉGALITÉ DEVANT LES SERVICES PUBLICS4Les usagersdoivent êtreinformésen toutetransparencequant au budget,au prix et àla qualité desservices.LA TRANSPARENCE ET L’ÉGALITÉDEVANT LES SERVICES PUBLICSLes usagers doivent être informés et associés à la gestion du service, et les collectivités doivent gérer la distribution d’eau et l’assainissement en toute transparence,quant au budget, au prix et à la qualité des services.Les communes (ou les distributeurs d’eau privés) doivent utiliser un budgetspécifique équilibré en recettes et en dépenses. Les recettes proviennent de lafacture d’eau perçue auprès du consommateur, qui doit payer les frais engagés pourle traitement, la distribution et la dépollution de l’eau. Le principe de « l’eau paiel’eau » implique une nécessité, pour le consommateur, de connaître les composantes de sa facture.Les dépenses comprennent notamment le remboursement du capital des empruntset les intérêts bancaires, les investissements, les frais d’exploitation et d’administration des services, le coût de maintenance et de réparation et l’amortissementtechnique des installations.De plus, la collectivité a l’obligation de produire un règlement de service précisantles droits et les obligations de chacun (collectivité, exploitant, usager). 8 Eau CGL-SB.indd 803/01/14 10:35

I. LE DROIT DE L’EAU 4. LA TRANSPARENCE ET L’ÉGALITÉ DEVANT LES SERVICES PUBLICSLa passation des marchés publics dans le domaine de l’eau doit respecter troisgrandes règles : la liberté d’accès de tous les concurrents aux marchés publics,l’égalité de traitement des candidats et la transparence.En cas de délégation des services publics de l’eau et de l’assainissement, toutdélégataire a l’obligation de fournir chaque année aux collectivités « les comptesretraçant la totalité des opérations afférentes à l’exécution de la délégation deservice public »3. C’est un moyen de contrôle de la part de la collectivité pours’assurer que le prix revenant au délégataire corresponde au coût supporté par leservice (équilibre financier du service).Enfin, il nous semble important de rappeler un autre principe étroitement lié àl’accès à l’eau des usagers : celui de l’égalité des usagers devant les servicespublics. Ce principe implique donc un traitement égal des usagers du servicepublic, à moins qu’ils ne se trouvent dans des situations différentes ou qu’unintérêt général ne le justifie.De ce principe, nous pouvons déduire qu’aucune distinction dans la tarificationde l’eau et de l’assainissement ne doit être faite pour une même catégoried’usagers.3. Loi n 95-127 du 8 février 1995 relative aux marchés publics et délégation de service public, dite « loi Mazeaud ». 9 Eau CGL-SB.indd 903/01/14 10:35

II. LA DÉMARCHE UTILISÉEPOUR LE RECUEIL DES DONNÉESET LES RÉTICENCESRENCONTRÉESNotre objectif était de connaître les tarifs de l’eau pratiqués dans un nombresignificatif de communes réparties sur l’ensemble des départements, afind’avoir une idée assez précise de l’éventail et du montant des prix pratiqués,ainsi que du mode de tarification adopté par chaque distributeur.La collectedes réponsesa été réaliséepar deux moyens :courrier postalet voieélectronique.C’est ainsi que nous avons interrogé les distributeurs et les communes(rappelons qu’elles ont la compétence en matière de distribution d’eau potableet d’assainissement sur leur territoire). En cas de délégation du servicepublic d’eau et d’assainissement, notre courrier était également envoyé auxdélégataires.Ce travail nous a permis de recenser 2 500 structures (communes, distributeurs)responsables de la distribution de l’eau et de l’assainissement dans tous lesdépartements. Nous les avons sollicitées par courrier, notamment pour obtenirdes informations sur le prix de l’eau et de l’assainissement facturé aux usagerspour l’année 2012.Pour privilégier la fiabilité des données recueillies, la collecte des réponses a étéréalisée principalement par deux moyens : courrier postal et voie électronique.Dans un souci d’homogénéité avec les bases statistiques prises en compte auniveau national, notre échantillon des données traitées concerne le prix d’un m3d’eau sur la base d’un volume moyen annuel consommé de 120 m³ par abonnédomestique. 10 Eau CGL-SB.indd 1003/01/14 10:35

L’échantillon analysé porte sur les prix de 6 328 communes réparties danstous les départements avec un minimum d’au moins 10 prix par département.Il représente les tarifs d’eau avec assainissement et les tarifs d’eau sansassainissement.Pourquoi avons-nous dégagé ces deux catégories ?La transparencea encoredes progrèsà faire.Certains distributeurs n’ont pas la compétence d’assainissement, c’estpourquoi, ce service est géré soit par la commune, soit par une société privée.Nous avons reçu plusieurs types de réponses. Ainsi, une grande partie desdistributeurs interrogés nous ont fourni le rapport annuel de leur serviced’eau et d’assainissement. D’autres nous ont communiqué une facture type de120 m3 pour les communes desservies ou nous ont invités à visiter le site del’Observatoire national des services d’eau et d’assainissement.Malgré le caractère public de ces informations, certains distributeurs se sontmontrés réticents à nous communiquer leurs tarifs alors que d’autres n’ont pasrépondu à notre enquête. Sur plus de 2 000 envois, un tiers des destinatairesnous a répondu. La transparence a encore des progrès à faire.En ce qui concerne notre demande auprès des six Agences de l’eau d’obtenirles coordonnées des services d’eau et d’assainissement compétents sur leterritoire en question, nous avons eu cinq réponses : les Agences de l’eau RhinMeuse, Loire-Bretagne, Artois-Picardie, Adour-Garonne et Seine-Normandieont répondu (la dernière a dû être relancée une fois). La sixième, l’Agence del’eau Rhône-Méditerranée Corse, n’a jamais répondu, malgré nos relances. 11 Eau CGL-SB.indd 1103/01/14 10:35

III. COMPOSITIONDE L’ÉCHANTILLONLes 6 328 prix étudiés se répartissent sur les 95 départements métropolitainset les 5 départements d’outre-mer. Nous avons obtenu au minimum 10 prix pardépartement pour la totalité des départements métropolitains et d’outre-merà l’exception d’un seul : les Hautes-Alpes (6 prix seulement).Les pourcentages de réponses (nombre de prix obtenus par rapport au nombre decommunes du département) se répartissent de la manière suivante : de 50 % de réponses : 11 départements de 33 % de réponses : 17 départements de 20 % de réponses : 32 départements de 10 % de réponses : 55 départements- de 5 % de réponses : 11 départementsD’un point de vue scientifique, l’échantillon étudié n’est probablement pasparfaitement représentatif de la situation réelle des prix de l’eau de l’ensembledes communes de France.Néanmoins, le nombre de prix étudiés, l’importance des échantillonsdépartementaux dans près d’un tiers des départements, nous amène àpenser que notre échantillon est assez proche de la réalité des prix pratiquésen France. 12 Eau CGL-SB.indd 1203/01/14 10:35

IV. DES PRIX DISPARATES,SOUVENT ÉLEVÉSET INÉQUITABLES POURLES CONSOMMATEURSL’examen des 6 328 prix recensés dans les départements métropolitains etd’outre-mer est édifiant : la disparité et le niveau élevé d’un grand nombre de prixsont devenus la règle, ils entraînent de grandes injustices entre les consommateurs,selon qu’ils habitent dans le Tarn ou dans l’Hérault, par exemple. Mais ces disparitésexistent aussi à l’intérieur d’un même département, voire entre des villes voisines.Par exemple, en région Île-de-France, les villes de Suresnes, Saint-Cloud

Effectivement, la loi du 13 d cembre 2000 relative la solidarit et au renouvellement urbain (SRU) pr cise la notion de logement d cent, d taill e par le d cret du 30 janvier 2002. Celui-ci doit satisfaire des conditions relatives la s curit physique et la sant des locataires qui doivent avoir acc s un logement

Related Documents:

No 147 NUIT BLANCHE 4 Commentaires de lecture Rubriques 3 Présentation 6 Sommaire des livres commentés 26 Fiction 40 Fiction (suite) 10 Le livre jamais lu Voyage à Tombouctou Envoi de Poste publications par Christian Guay-Poliquin 59 Essai Gabriel Osson (p. 27) Daniel Grenier (p. 59) Directrice de la publication: Suzanne Leclerc

COMMERCIAL-IN-CONFIDENCE DP W Proposal No: 1001 A Issue: 1 COMMERCIAL -IN CONFIDENCE 3 SOMMAIRE (Dossier A) Sommaire (Dossier A) 3 Sommaire (Dossier B) 5 Liste des tableaux 6 Introduction 7 Chapitre I. Présentation générale de l’installation portuaire à auditer 8

1.1.3 WordPress.com dan WordPress.org WordPress menyediakan dua alamat yang berbeda, yaitu WordPress.com dan WordPress.org. WordPress.com merupakan situs layanan blog yang menggunakan mesin WordPress, didirikan oleh perusahaan Automattic. Dengan mendaftar pada situs WordPress.com, pengguna tidak perlu melakukan instalasi atau

WordPress Themes WordPress Premium Themes WordPress Free Themes WordPress Plugins ite Templates WordPress Hosting WordPress.com CreativeMarket.com . with crowdfunding b Astoundif plugin and fundif theme. Plugin will empower o

Lesson 2. Install Wordpress On Your Domain Lesson 3. How To Log In And Out Of Wordpress Lesson 4. The Design Of Your Wordpress Website Lesson 5. First Steps To A Perfect Website Lesson 6. Add Your First Wordpress Page Lesson 7. Add Your First Wordpress Post Lesson 8. All About Widgets IN-DEPTH GUIDE - DRILL DOWN TO THE WONDERS OF WORDPRESS .

manuel des normes audit légal et contractuel page 1 section 000 la mission d’audit legal et contractuel sommaire général sommaire 01 - préambule 02 - nature d’une mission d’audit 03 - nature d’une mission de commissariat aux comptes 04 - examen limite 05 - mission d’examen sur la base de procedures convenues 06 - mission de compilation 07 - referentiel comptable pour la .

Sommaire Séquence 4 Séance 1 Lire et comprendre – La nouvelle Séance 2 Histoire de la langue – L’étymologie – Les langues latines (ou romanes) Séance 3 Vocabulaire – La formation des mots : radical, préfixes et suffixes Séance 4 Le dictionnaire – Se repérer dans un dictionnaire Séance 5 Expression écrite – Le portrait Séance 6 À la découverte d’une œuvre .

Le monstre sur le seuil et autres nouvelles traduites, annotées et illustrées par Luc Deborde 2. Sommaire Avertissement: Vous êtes en train de consulter un extrait de ce livre. Voici les caractéristiques de la version complète : Comprend 30 illustrations - 28 notes de bas de page - Environ 295 pages au format Ebook. Sommaire inter-