RAPPORT DU GROUPE DE TRAVAIL SUR LES COMMOTIONS CÉRÉBRALES

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RAPPORT DU GROUPE DE TRAVAILSUR LES COMMOTIONS CÉRÉBRALESqui surviennent dans le cadre de la pratique d’activitésrécréatives et sportivesMars 2015

Le présent rapport ne lie pas le ministère de l'Éducation, de l'Enseignement supérieuret de la Recherche et ne constitue pas ses orientations. Il représente l'opinion du groupede travail chargé d'examiner la question des cas de commotions cérébrales quisurviennent au Québec dans le cadre de la pratique d'activités récréatives et sportives.Pour tout renseignement, s’adresser à l’endroit suivant :Renseignements générauxDirection des communicationsMinistère de l’Éducation, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche1035, rue De La Chevrotière, 28e étageQuébec (Québec) G1R 5A5Téléphone : 418 643-7095Ligne sans frais : 1 866 747-6626Ce document peut être consultésur le site Web du Ministère :www.meesr.gouv.qc.ca. Gouvernement du QuébecISBN 978-2-550-72815-3 (PDF)Dépôt légal - Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 201514-00571

3Québec, le 1er avril 2015Monsieur François BlaisMinistre de l’Éducation, de l’Enseignement supérieur et de la RechercheMinistre responsable du Loisir et du SportMonsieur le Ministre,Le groupe de travail chargé d’examiner la question des cas de commotions cérébrales quisurviennent au Québec dans le cadre de la pratique d’activités récréatives et sportives aterminé ses travaux et vous remet le résultat de sa réflexion.Nous nous sommes appuyés sur les données les plus récentes de la recherche pour étayer nosrecommandations et avons pris en compte les commentaires que nous ont faits les intervenantsdes milieux de l’éducation, du sport, du droit et de la santé.Nous sommes reconnaissants de la confiance qui nous a été accordée et nous espérons quenotre réflexion contribuera à améliorer les interventions en matière de prévention descommotions cérébrales au cours de la pratique d’activités récréatives et sportives ainsi que lagestion de celles-ci dans les milieux sportif et scolaire.Veuillez agréer, Monsieur le Ministre, l’expression de notre considération distinguée.Dave EllembergPrésident du groupe de travailLynda DurandMembre du groupe de travailPhilippe FaitMembre du groupe de travailPierre FrémontMembre du groupe de travailLuce MongrainMembre du groupe de travailMatthieu ProulxMembre du groupe de travail

4REMERCIEMENTSLe Groupe de travail sur les commotions cérébrales (GTCC) n’aurait pu remplir son mandatsans le soutien professionnel de M. Denis Brown, conseiller à la Direction de la promotion de lasécurité, du Secteur du loisir et du sport, du ministère de l’Éducation, de l’Enseignementsupérieur et de la Recherche. Ses membres le remercient chaleureusement.Nous voulons aussi remercier Mme Luce Tourigny, secrétaire à la Direction de la promotion de lasécurité au Ministère, de s’être occupée de tout l’aspect logistique et administratif desrencontres du GTCC.Le GTCC désire également exprimer sa reconnaissance aux organismes suivants pour leurimplication dans la logistique et la réalisation de ses différentes activités : la Direction du sport, du loisir et de l’activité physique et la Direction de la promotion de lasécurité du Secteur du loisir et du sport, du ministère de l’Éducation, de l’Enseignementsupérieur et de la Recherche;la Corporation Sports-Québec;le Réseau du sport étudiant du Québec;le Service de la méthodologie, des enquêtes et de la réduction de la bureaucratie de laDirection de la recherche et de l’évaluation, du ministère de l’Éducation, de l’Enseignementsupérieur et de la Recherche;l’Université de Montréal;l’Académie les Estacades de la Commission scolaire du Chemin-du-Roy;l’Université de Sherbrooke.Enfin, les membres du GTCC remercient toutes les personnes des milieux de l’éducation, dusport, de la médecine sportive et du droit qui ont bien voulu partager leurs points de vue aveceux.

5TABLE DES MATIÈRESINTRODUCTION . 7PRÉSENTATION DU RAPPORT. 91 La nature du problème . 101.1Les commotions cérébrales . 101.2Les particularités des commotions cérébrales d’origine sportive . 161.3Les commotions cérébrales dans d’autres secteurs de la vie courante . 191.4Les mythes et les réalités . 202 L’état de la situation . 222.1Le contexte législatif au Québec . 222.2La gestion des commotions cérébrales dans le monde . 252.3Les activités récréatives et sportives au Québec . 292.4Le système scolaire québécois . 312.5Les résultats des consultations au Québec . 343 Les recommandations duGroupe de travail sur les commotions cérébrales . 423.1La prévention des commotions cérébrales . 423.1.1 L’approche préventive . 423.1.2 Les stratégies de prévention . 443.2L’identification des commotions cérébrales . 563.3Le suivi des commotions cérébrales . 613.3.1 Le suivi dans le réseau de la santé. 613.3.2 Le retour à l’apprentissage et à l’activité récréative et sportive . 673.4La synthèse des recommandations . 69CONCLUSION . 75BIBLIOGRAPHIE . 76

6TABLE DES MATIÈRES (suite)ANNEXESANNEXE ILE MANDAT ET LA COMPOSITIONDU GROUPE DE TRAVAIL SUR LES COMMOTIONS CÉRÉBRALES . 84Le mandat du Groupe de travail sur les commotions cérébrales . 84La coordination . 85Le calendrier des rencontres . 85ANNEXE IILA CONSULTATION . 87La liste des fédérations sportives ayant répondu au questionnaire . 87La liste des organismes consultés parle Groupe de travail sur les commotions cérébrales . 88La liste des organismes qui ont déposé un mémoire . 89ANNEXE IIILE PROTOCOLE DE GESTION DES COMMOTIONS CÉRÉBRALES . 90

7INTRODUCTIONEn raison d’une forte médiatisation des cas de commotions cérébrales dans le sport amateur etprofessionnel, et en tenant compte de la préoccupation grandissante des intervenants et desparents à l’égard de ce problème, le ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport (MELS) acréé, le 30 janvier 2014, un groupe de travail pour examiner la question des cas de commotionscérébrales qui surviennent au Québec dans le cadre de la pratique d’activités récréatives etsportives.Le mandat de ce groupe était le suivant : faire un état de la situation au sujet des commotions cérébrales;déterminer les avenues permettant d’améliorer la situation sur le plan de la prévention, de ladétection et du suivi;formuler des recommandations au ministre.Dans le cadre de ce mandat, les travaux du Groupe de travail sur les commotions cérébrales(GTCC) étaient articulés, notamment, autour des axes présentés dans le tableau suivant :EncadrementAVANT(prévention)PENDANTQuatre domaines stratégiquesd’interventionComportements et attitudesÉquipement de protectionEnvironnement et installationsOutils d’informationReconnaissance d’un événementsusceptible de provoquer unecommotion cérébraleFormationVérification des signes et dessymptômesAnimationPrise de décision : poursuite del’activité, surveillance du joueur ouretrait du joueur(détection)Déclaration et information auxinstancesAPRÈS(suivi)RéseautagePrise en charge (protocole derécupération) Retour à l’apprentissageRetour à l’activité récréative etsportive

8Le GTCC était composé de membres des milieux sportif, scolaire, scientifique, médical etjuridique :Me Lynda Durand, avocate et présidente du comité de déjudiciarisation qui a mené aurapport Durand, à la base de la création de la Commission des lésions professionnelles;Dr Dave Ellemberg, neuropsychologue clinicien et professeur à l’Université de Montréal;Dr Philippe Fait, thérapeute du sport clinicien et professeur à l’Université du Québec àTrois-Rivières;Dr Pierre Frémont, médecin du sport et professeur à l’Université Laval;Mme Luce Mongrain, coordonnatrice des programmes Sport-études de l’Académie lesEstacades (Commission scolaire du Chemin-du-Roy) et ancienne joueuse de l’équipe nationalede soccer;M. Matthieu Proulx, avocat, analyste sportif et ancien joueur des Alouettes de Montréal.

9PRÉSENTATION DU RAPPORTLes recommandations du GTCC reposent sur trois sources d’information : la littératurescientifique, les meilleures pratiques en vigueur dans le monde et l’état de la situation auQuébec.Le présent rapport propose d’abord une recension de la littérature scientifique se rapportant auxcommotions cérébrales liées au sport. Les avancées technologiques et scientifiques des vingtdernières années nous permettent de mieux comprendre les conséquences des commotionscérébrales sur le fonctionnement du cerveau humain. En outre, les connaissances acquisesgrâce à ces travaux de recherche servent de fondement pour la mise en place de pratiquesvisant la saine gestion des commotions cérébrales.Le rapport présente par la suite les différents contextes dans lesquels le sportif ou l’élèveévolue lorsqu’il pratique une activité récréative et sportive ou fréquente un établissementscolaire. On y présente aussi l’état de la situation à l’échelon international et au Canada enmatière de gestion des commotions cérébrales. S’y trouvent également les résultats desconsultations effectuées auprès des principales organisations sportives ainsi que desintervenants des milieux de l’éducation, du sport, du droit et de la santé. Cette démarche nous apermis, entre autres, de prendre connaissance des pratiques et des besoins des milieux.Les sections suivantes présentent une série de recommandations concernant la prévention,l’identification et le suivi des commotions cérébrales. Ces recommandations reposent sur lesdernières connaissances scientifiques disponibles ainsi que sur les meilleures pratiques envigueur et prennent en compte la réalité de la pratique d’activités récréatives et sportives auQuébec.Étant donné l’état de la situation au Québec et les besoins des différents milieux, le GTCC aélargi son mandat et produit un protocole de gestion des commotions cérébrales. Cet outilpropose une démarche standardisée pouvant s’appliquer à l’ensemble des contextes sportifs etscolaires au Québec. Ce protocole repose également sur la littérature scientifique, lesconsensus d’experts et les meilleures pratiques en vigueur.Nota bene : Dans le présent document, les termes athlète ou sportif doivent être pris dans leursens large; ils désignent une personne pratiquant une activité récréative et sportive. Quant auterme étudiant, il désigne une personne fréquentant un établissement scolaire (primaire,secondaire, collégial ou universitaire).

101 LA NATURE DU PROBLÈMEIl a déjà été amplement démontré que l’activité physique peut améliorer la santé et la qualité devie de ceux qui s’y adonnent régulièrement. Cependant, la pratique de ces activitéss’accompagne également de risques de blessures. Les traumatismes d’origine récréative etsportive (TORS) sont reconnus comme un problème important de santé publique dans denombreux pays. Le Québec n’y échappe pas puisque près du quart (24,5 %) des blessures nonintentionnelles surviennent durant la pratique d’activités de loisir et de sport. En 2009, auQuébec, 671 000 personnes ont consulté un professionnel de la santé pour un TORS,7 700 personnes ont été hospitalisées pour des raisons liées à ce problème et 120 personnessont mortes à la suite d’un TORS (Hamel et Tremblay, 2012). Les coûts socioéconomiquesannuels associés à la mortalité et aux blessures d’origine récréative et sportive pourl’année 2009 au Québec se chiffrent à près de 1,2 milliard de dollars. Les coûts directs(consultations, hospitalisations, transport en ambulance, recherche de corps, enquête ducoroner, etc.) représentent 32 % de l’ensemble de ces dépenses, alors que les coûts indirectscomptent pour 68 % (Dufresne et Tremblay, à paraître). Ceux-ci représentent la valeur de la viehumaine évaluée à l’aide du modèle du capital humain (soit la perte de production commecritère d’évaluation des coûts associés à un décès prématuré).Depuis les années 1990, plusieurs indicateurs confirment que les efforts de prévention duQuébec portent leurs fruits et lui permettent d’afficher le taux de TORS le plus bas au Canada.Malgré ces gains, le Québec fait aujourd’hui face, lui aussi, aux enjeux sociaux et économiquesliés à la santé, et doit, pour y répondre, prendre en compte les approches novatrices en matièrede prévention et les récents progrès réalisés dans la compréhension du phénomène des TORSet de leurs conséquences. La « crise » actuelle relative aux commotions cérébrales dans lesport en est la manifestation la plus évidente.1.1 LES COMMOTIONS CÉRÉBRALESLa commotion cérébrale est une catégorie de traumatisme crânien. En général, nousreconnaissons trois catégories de traumatisme crânien : grave, modéré et léger. Lestraumatismes graves et modérés impliquent très souvent des fractures du crâne et despénétrations pouvant causer une hémorragie extradurale ou sous-durale, de l’œdème cérébralet des dommages aux tissus nerveux.La commotion cérébrale, quant à elle, correspond à un traumatisme crânien léger. Malgré le faitque l’expression commotion cérébrale ait été adoptée par le monde de la médecine sportive,alors que le terme traumatisme crânien léger est utilisé lorsque l’origine de l’accident est autreque sportive, ces deux expressions sont généralement considérées comme des synonymes. Ungroupe de chercheurs a démontré que les séquelles occasionnées par une commotioncérébrale liée au sport sont comparables à celles causées par un traumatisme crânien léger liéà un accident de la route (Belanger et Van der Ploeg, 2005). Dans les deux cas, les chercheursrapportent d’importants déficits impliquant la mémoire, l’attention et les capacités mentalessupérieures, y compris le raisonnement et la gestion de l’information. Ces résultats ne sont passurprenants si l’on considère que les impacts qui provoquent des commotions cérébrales sontd’une intensité égale à ceux qui sont à l’origine d’un bon nombre d’accidents de la route (Broglioet autres, 2009). En effet, des athlètes peuvent subir des coups qui produisent une accélération

11allant de 80 à 140 g, ce qui équivaut à l’accélération causée lorsqu’une voiture entre en collisionavec un mur de briques à une vitesse de 60 à 80 kilomètres à l’heure.De nombreuses définitions ont été élaborées dans le but d’expliquer ce qu’est une commotioncérébrale, d’en permettre l’identification et, ultimement, d’en arriver à un diagnostic. En dépit dufait qu’aucune définition ne fait l’unanimité, les intervenants qui travaillent dans le domainesportif adoptent généralement la définition proposée en 2001 par un groupe internationald’experts en commotions cérébrales (Aubry et autres, 2001). Ainsi, la commotion cérébrale estdéfinie comme un processus pathophysiologique complexe qui affecte le cerveau et qui estinduit par des forces biomécaniques traumatiques.Les rapports de consensus de 2001, 2008 et 2012 de ce même groupe proposentd’abandonner tout système de grades de gravité ou de catégorisation des commotionscérébrales. Le groupe de cliniciens et de scientifiques reconnaît qu’il est impossible deprédire les conséquences ou la récupération à partir des symptômes présents aumoment où l’athlète subit le coup. La gravité de la commotion cérébrale peut seulementêtre déterminée de façon rétrospective, après que tous les symptômes se sont résorbéset à l’aide des résultats d’examens neurologiques et neuropsychologiques.Une commotion cérébrale se produit lorsqu’une force externe cause un mouvement rapide etviolent de la tête qui a pour conséquence que le cerveau se heurte contre les parois de la boîtecrânienne. Le mot commotion en latin signifie « secousse violente ». Cette secousse peut êtrecausée aussi bien par un impact direct à la tête, au visage ou au cou que par un impact à touteautre partie du corps occasionnant une force impulsive transmise à la tête (Aubry et autres,2001). Le mouvement rapide de va-et-vient produit une compression des tissus cérébraux,suivie d’un étirement de ces mêmes tissus lors du contrecoup (Denny-Brown et Russell, 1941;Gurdjian, 1972). Des études faisant appel à des techniques d’imagerie de pointe indiquent quela commotion cérébrale entraîne des microdéchirures des fibres reliant différentes régions ducerveau (Henry et autres, 2011a). D’autres études ont aussi démontré la présence élevée, dansle cerveau, de certaines molécules indiquant la dégradation du tissu cérébral à la suite d’unecommotion cérébrale (Henry et autres, 2011b). Enfin, la commotion cérébrale perturbe lefonctionnement neurochimique et neuroélectrique du cerveau à moyen et à long terme (Gaetzet autres, 2000; Broglio et autres, 2009; Baillargeon et autres, 2012).Les signes, les symptômes et les manifestationsLe tableau clinique d’une commotion cérébrale se manifeste et évolue différemment selon l’âgeet le sexe de l’athlète, le nombre de commotions subies par le passé, le temps écoulé entre lescommotions et, possiblement, certaines prédispositions génétiques (Ellemberg, 2013). Lesdifférentes manifestations cliniques vont inclure les signes, symptômes, troubles cognitifs,déficits moteurs, difficultés d’équilibre et autres changements directement attribuables à lacommotion cérébrale. Au moment de l’accident, les seuls indices disponibles pourl’équipe d’intervenants présents sur le terrain sont les signes et les symptômes. Lessignes sont les manifestations qui peuvent être observées par un tiers. Par exemple,l’entraîneur et les autres intervenants sur le terrain peuvent reconnaître que l’athlète soupçonnéd’avoir subi une commotion a du mal à garder son équilibre, est somnolent, a le regard hagardou se met à vomir. Les symptômes sont, quant à eux, ressentis par l’athlète. Ce dernier ressentdes maux de tête et des étourdissements que personne d’autre ne peut percevoir.

12Une vingtaine de signes et de symptômes ressentis dans les heures suivant une commotioncérébrale ont été répertoriés, mais environ une dizaine sont le plus souvent rapportés (voir letableau I). Selon l’étude de Guskiewicz et de ses collègues (2000), on recense en moyennetrois ou quatre signes et symptômes chez l’athlète qui en est à sa première commotion. Lenombre de signes observés et de symptômes rappor

Le présent rapport ne lie pas le ministère de l'Éducation, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche et ne constitue pas ses orientations. Il représente l'opinion du groupe de travail chargé d'examiner la question des cas de commotions cérébrales qui

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