Gestion Financière Internationale GSF- 2104 Partie 1 .

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Gestion financière internationaleGSF- 2104Partie 1 : Introduction

IntroductionQuestions pertinentes et fréquemment posées :1) Pourquoi étudier la finance internationale séparémentde la finance domestique?2) Pourquoi y a-t-il des échanges internationaux?3) Qui échange quoi avec qui? (patterns of trade)4) Est-ce que le commerce international est bénéfique ounuisible?5) Comment analyser les politiques commerciales d’unpays?6) Comment mesurer l’importance des échangesinternationaux d’un pays?GSF-21042

1) La finance internationale entant que champ d’étude distinctLes trois sujets majeurs de toute discipline de natureéconomique,1) La production2) L’allocation et la redistributiondes ressources3) Les échanges de biensPourquoi ces trois sujets ne peuvent-ils pas être étudiésde la même manière dans un contexte international?GSF-21043

1) La finance internationale entant que champ d’étude distinctLa finance internationale exige un traitementparticulier, car :1) Spécificité des états : poursuite d’objectifséconomiques et sociaux distincts, gestion de ladette, gestion des taux d’intérêt, taxation, etc.2) Complications dues à la monnaie3) Facteurs géographiques et nationauxGSF-21044

1) La finance internationale entant que champ d’étude distinctCes facteurs engendrent des risques financiersimportants, dont il faut tenir compte:1) Risque de taux de change2) Risque sur les différentiels de taux d’intérêt3) Risque politique, géographique et régionalEtc GSF-21045

1) La finance internationale entant que champ d’étude distinctLes sept thèmes les plus courants en économie internationale :1. Les gains du commerce international2. Le « pattern of trade »3. Protectionnisme4. La balance des paiements5. La détermination des taux de change6. Coordination des politiques internationales7. Les marchés financiers internationauxEn finance et en gestion, nous devons aussi nous préoccuper de :1. La gestion des risques de change2. La gestion d’une entreprise ayant des activités dans plusieurspays3. L’impact de l’intégration des marchés sur les rendementsGSF-2104boursiers.6

2) Pourquoi y a-t-il des échangesinternationaux? Voici deux exemples des gains possibles reliés auxéchanges internationaux :– L’argument de l’avantage absolu :«The Wealth of Nation », Adam Smith, 1776.– L’argument de l’avantage comparé :« On the Principle of Political Economy », DavidRicardo, 1819.GSF-21047

L’argument de l’avantage absolu Avantage absolu : L’habileté d’un pays à produire unbien en utilisant moins de ressources que tout autrepays. Smith : « Une allocation de la main d’œuvre efficace àl’échelle internationale en serait une où chaque pays sespécialise dans la production de biens où il a unavantage absolu. » Par exemple :GSF-21048

L’argument de l’avantage 4 Si le Canada se spécialise dans le maïs et échange desvêtements avec la France, les gains seront :Gains /unité de productionPaysProd. de M.Prod. de VCanada 2-1France-1 3Monde 1 2GSF-21049

L’argument de l’avantage absolu Conclusion :La production mondiale peut être augmentée si, au lieude fermer leurs frontières, les pays se spécialisent dansla production de biens pour lesquels ils ont un avantageabsolu dans le but d’échanger la production entre eux. Questions :Est ce que l’on peut penser à des exemples ou ceci n’estplus parfaitement applicable?GSF-210410

L’argument de l’avantage comparé Réactions aux écrits de Adam Smith :– Que se passe-t-il si le même pays a l’avantage absoludans les deux biens?– Est ce qu’il y a encore des gains à faire des échanges? Réponse de Torrens et Ricardo:– Oui!!!GSF-210411

L’argument de l’avantage comparé L’avantage comparatif :Un pays a un avantage comparé dans la productiond’un bien lorsque celui-ci a un prix relatif plus basqu’ailleurs. Le concept peut ne pas être évident à priori :« Comparative advantage is the best example of aneconomic principle that is undeniably true yet notobvious to intelligent people »-Paul Samuelson (Prix Nobel d’économie, 1970)GSF-210412

L’argument de l’avantage comparéPar exemple :PaysProductionCanadaFranceMaïs312Vêtement68On voit que le Canada a un avantage absolu pour les deuxbiens.Par contre, la force de cet avantage n’est pas le même pourles deux biens.Résultat : le Canada a un avantage comparatif dans le maïsalors que la France a un avantage comparatif dans le textile.GSF-210413

L’argument de l’avantage comparéLa spécialisation de la production génère les gainssuivants :Gains /unité de productionPaysProd. de M.Prod. de VCanada 2-1France-1 1.5Monde 1 .5Conclusion : même sans avantage absolu, la spécialisationet les échanges amènent une plus grande production, et ce,sans utiliser de ressources supplémentaires.GSF-210414

L’argument de l’avantage comparéExemple 2 :PaysProductionDomestiqueÉtrangerFromage1 heure par livre6 heures par livrevin2 heures par litre3 heures par litre Le pays domestique a une plus grande productivité de sa main-d'œuvredans les deux biens. Le prix relatif du fromage domestique (cout d’opportunité du fromagedans le pays domestique) 1/2 Le prix relatif du fromage à l’étranger (cout d’opportunité du fromagedans le pays étranger) 6/3 2 À l’équilibre mondial, le prix relatif du fromage doit être entre ces deuxvaleurs. (assumons PF/PV 1)? Est-ce que les deux pays profitent de gains commerciaux?GSF-210415

L’argument de l’avantage comparé Certaines conceptions sont démystifiées grâce aumodèle Ricardien : Mythe 1 : L’argument de la compétitivité« Le libre échange est bénéfique seulement aux paysayant une économie assez forte pour faire face à lacompétition (e.i. les pays riches et développés) » :« What if there is nothing you can produce more cheaply ofefficiently than anywhere else, except by constanly cutting laborcost? »-Paul Kennedy in The Treat of Mondialisation Cet argument confondl’avantage comparé.l’avantageGSF-2104absoluavec16

L’argument de l’avantage comparé Mythe 2 : L’argument de la main-d'œuvre« La compétition étrangère est injuste et causepréjudice à un pays quand elle est basée sur dessalaires faibles. » Encore une fois, cette argument peut être réfuté par unexemple. Les faibles salaires à l’étranger ne sont paspertinents pour calculer les gains à échanger d’un pays.Tout ce qui compte pour un pays est que c’est moinscher en terme de sa propre main-d’œuvre de produireun bien et d’échanger contre un autre.GSF-210417

L’argument de l’avantage comparé Mythe 3 : L’argument de l’exploitation« Le commerce international empire la situation d’unpays si ses travailleurs sont moins payés que ceux desautres pays. » Pour déterminer si le commerce est bénéfique, laquestion n’est pas de savoir si les travailleurs sontcorrectement payés ou s’ils sont exploités. Pour juger de l’exploitation reliée au commerce, il fautsavoir quelle est l’alternative de ces pays s’ilsn’échangeaient pas. Retour à l’exemple.GSF-210418

L’argument de l’avantage comparé Discussion : est-ce que l’on est en train de faire le panégyrique dela mondialisation ici? Non!!!!!!!!!!!!!! Plusieurs éléments ne sont pas dans l’analyse :— Effet de redistribution dans l’économie. Il y a toujours desperdants.— Effet de redistribution de la main-d'œuvre.— Corruption.— Contexte politique et dépendances — Situation environnementale. Etc. . La liste est longue. L’objectif ici est de montrer les fondements théoriques pour lecommerce et non de dire que la situation actuelle est parfaite.GSF-210419

Paul Krugman et les économiesd’échelleL’avantage comparé n’explique pas tout Bien que le modèle Ricardien soit reconnu commefiable, il a quelques problèmes :1. Il prédit un degré de spécialisation extrême qui n’estpas observé dans la réalité.2. Ignore les effets des échanges internationaux sur laredistribution de la richesse à l’intérieur d’un pays :globalement, le pays participant est avantagé, mais il ya des perdants.GSF-210420

Paul Krugman et les économiesd’échelle3) Ne tient pas compte des différences en les dotationsen ressources des pays. La seule différence entre deuxpays est la productivité de ces travailleurs. (référence :modèle de Hecksher-Ohlin- Samuelson . Ces dernierssont prix Nobel 1977 et 70)4) Néglige les effets des économies d’échelle.(référence : Modèle de Krugman et autres prix Nobel2008)GSF-210421

Paul Krugman et les économiesd’échelle Avantage comparé: basé sur l’hypothèse desrendements à l’échelle constants. En pratique, plusieurs industries peuvent générer desrendements d’échelle croissants :ExempleRelation entre l’intrant et l’outputOutput produitMain d’œuvretotaleMain 230GSF-2104351.16722

Paul Krugman et les économiesd’échelle On voit donc clairement des économies d’échelle danscet exemple. Imaginons deux pays qui ont la même technologie pourproduire ce bien et qui produisent chacun 10 unités audépart. Si la production est concentrée dans un pays, elledevient plus efficace. Cet exemple illustre les gains potentiels des échangescommerciaux lorsqu’il y a des possibilités d’économiesd’échelle. Cela nous introduit dans un monde où la compétitionparfaite n’existe plus!!!! (compliqué )GSF-210423

2) Pourquoi y a-t-il des échangesinternationaux? Conclusion :Les fondements théoriques du commerce internationalsont :1.La spécialisation permet une production globale plus efficace.(Smith et Ricardo)2.Concentrer la production d’un bien particulier dans unendroit précis génère des économies d’échelle. (Krugman etautres.)GSF-210424

Une note sur le “Pattern of Trade” Essentiellement, il s’agit de répondre à la question : quiéchange quoi avec qui et pourquoi?. C’est une question compliquée. Une explication simple couvre cependant une partie dela réponse :Le modèle de gravitéGSF-210425

Modèle de gravité Les échanges commerciaux des États-Unis sont faits à68 % avec 10 partenaires majeurs : Exemple avec l’Union européenne :La taille des économies européennes et la valeur de leur commerces avec lesUSA% du GDP dans l'EU25Allemagne20R² ande5Belgique005GSF-2104101520% de commerce des USA avec ce pays de l'EU253026

Modèle de gravité On remarque que les points sont autour de la ligne 45degrés. (Question : ça vaut dire quoi?) Il y a une relation linéaire entre la taille d’une économieet le niveau de ses échanges commerciaux. En clair,plus un pays est gros économiquement, plus il échangeavec les autres pays. C’est l’idée derrière le modèle de gravité qui expliqueavec qui un pays a plus de chance de faire ducommerce.GSF-210427

Modèle de gravité Le modèle simple du modèle de gravité dit :Tij A * Yi * Yj /Dij Tij Le commerce entre les deux pays.A une constante.Y Le GDP de chaque pays i et j.D La distance entre les deux pays.Cette équation stipule que la valeur des échanges entredeux pays est proportionnelle, toutes choses étantégales par ailleurs, au produit des GDP des deux pays etdiminue proportionnellement avec la distance entre lesdeux pays.GSF-210428

Comment mesurer l’importance deséchanges internationaux d’un pays? Réponse :La balance de paiements :Une approche statistique qui résume pour un horizon temporeldéterminé, les transactions économiques d’un pays avec le reste dumonde.-Eiteman, Stonehill & MoffetC’est une mesure comptable basée sur le principe des entréesdoubles.On distingue deux comptes dans la balance de paiements :Le compte courantLe compte CapitalGSF-210429

La balance de paiementsLes variables de la balance de paiements : Crédits :X: Vente de marchandises et services en monnaiedomestique (e.i: exportation).Er: Revenus d’investissement (Er) des résidents surdes placements à l’étranger (en monnaiedomestique).Ur: transferts unilatéraux de pays étrangers à desrésidents (en monnaie domestique).Cr: Achat d’actifs financiers domestiques par desétrangers (inflow de capitaux)Crédits totaux X Er Ur CrGSF-210430

La balance de paiementsLes variables de la balance de paiements :– Débits :M: Achats de marchandises et services étrangers (enmonnaie domestique). (e.i: importation)Ep: Revenus d’investissement des investisseurs étrangerssur des placements domestiques (en monnaiedomestique).Up: transferts unilatéraux du pays domestique à desrésidents étrangers (en monnaie domestique.Cp: achat d’actifs financiers (capitaux) étrangers par desinvestisseurs domestiques (en monnaie domestique).Débits totaux M Ep Up CpGSF-210431

La balance de paiementsRésumé :Crédits totaux X Er Ur CrDébits totaux M Ep Up Cp– La balance de paiements balancetoujours!!!!– Cela implique queX Er Ur Cr M Ep Up CpGSF-210432

La balance de paiementsÀ l’intérieur de la balance de paiements, on peutdistinguer des sous-catégories qui peuvent être positivesou négatives :1) Balance sur les biens et services:X-M T2) Balance sur les revenus d’investissement:Er – Ep E3) Balance sur les transferts:Ur – U p U4) Balance sur le capital:Cr – C p CCe qui implique une autre identité:T E U C 0GSF-210433

La balance de paiements Le compte courant enregistre– les paiements des importations de biens et services,– les recettes des exportations de biens et services,– les intérêts nets payés à l’étranger ainsi que lestransferts nets comme les paiements d’aide àl’étranger. Le solde du compte courant est égal à la valeur desexportations nettes (c’est-à-dire des exportationsmoins les importations), les paiements d’intérêts netset les transferts nets. Donc, Compte courant T E UGSF-210434

La balance de paiements Le compte Capital consigne :Deux Dénominations :– Le compte capital (petit, incluant le mouvement decapitaux des immigrants )–Le compte financier incluant : les investissements étrangers au Canada, les investissements du Canada à l’étrangerTous deux incluent :— les investissements directs— les investissements de portefeuille Emprunts/prêts gouvernementaux Actifs de réserve gouvernementaux35GSF-2104

Des exemples :La balance de paiements du Canada pourles années 2006 à 2010— Source : Site web de Statistique CanadaGSF-210436

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Exemple 2 :– La situation du compte courant aux États-Unis :– Source : Site web du Bureau of Economic Analysis, U.SDepartment of CommerceGSF-210439

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Déficit/ Surplus du comptecourant: Il faut d’abord les mettre en perspective par rapport auGPD. Pour l’année 2010, le déficit du compte courantaméricain était de 3.37 % du GDP, un chiffre assezélevé.GSF-210441

Comte courant en %du GDP au 31 décembre 05%Australie-2,50%Canada-3,13%Grande le-Zélande-4,10%Espagne-4,49%Grèce-10,45% Qu’est ce que ça implique?GSF-210442

Quelques identités comptables(Shapiro p.186) Observations initiales :– le revenu national (R) est soit dépensé enconsommation (C) ou épargné (S):R C S(1)– Les dépenses nationales (D) se composent de laconsommation (C) et des investissements (I)D C I(2)GSF-210443

Quelques identités comptables (1) – (2) implique :R-D S–I(3)(3) Implique que si les revenus nationaux dépassent lesdépenses, l’épargne sera plus grande quel’investissement domestique. Le surplus doit être investi à l’étranger!!! En ignorant l’impact faible du compte capital (petit),l’épargne en surplus de l’investissement domestiqueégale le déficit sur le compte financier!!!!GSF-210444

En résumé: Une nation produisant plusqu’elle ne dépense : Une nation dépensant plusqu’elle ne produit :– Épargne plus qu’ellen’investit domestiquement.– A donc un outflow de capital.– Cette sortie de capitauxapparaîtra comme un déficitsur le compte financier.GSF-2104– Investie plusdomestiquement qu’ellen’épargne– A donc besoin de capitauxétrangers– Cet afflux de capitauxapparaîtra comme unsurplus sur le comptefinancier.45

Le lien entre le compte courant etle compte financier. Sachant que le revenu national (produit national) (R) se diviseentre la consommation domestique (CD) et les exports (X).R CD X(4) Similairement :D CD M(5) De (4) et (5) nous avons :R - D X- M(6) De (3) et (6) nous aurons:S- I X- M(7)e. i Investissement net à l’étranger (S - I) Exports – ImportsGSF-210446

Le lien entre le compte courant etle compte financier. Interprétation de (7):La balance commerciale doit être égale au flux decapitaux. Un déficit du compte courant (balance commerciale)implique que la nation est un importateur net decapitaux. Un surplus du compte courant (balance commerciale)implique que la nation est un exportateur net decapitaux.GSF-210447

Le lien entre le compte courant etle compte financier. Interprétation de (7) suite :La différence entre les biens et services achetés et ceuxproduits domestiquement doit être financée par descapitaux étrangers. (un surplus sur le compte financier) Donc, la balance sur le compte courant et celle sur lecompte financier doivent s’annuler (ou presque ) Balance de paiement 0 CC CAP CFIN .GSF-210448

FIGURE 19.1 La balance des paiements du Canada de 1980 à 2004Balance des paiements (en pourcentage du PIB)6Solde du comptecapital et financier42Solde du compte des réservesofficielles de liquiditésinternationales0-2-4Solde du 10449

Implications de ces identités Elles nous permettent d’analyser les solutions pouraméliorer la balance sur le compte courant.Il faut deux conditions pour réduire le déficit ducompte courant (ou augmenter son surplus ):1) Augmenter la production nationale par rapport àla consommation.2) Augmenter l’épargne par rapport auxinvestissements domestiques.Mauvaises solutions : tarif, quotas sur les imports,dévaluation de la monnaie, limitations desd’investissements étrangers .GSF-210450

Questions : Est-ce qu’un déficit sur le compte courant estnécessairement mauvais? Est-ce qu’un surplus sur le compte courant est toujourssigne de vigueur économique?GSF-210451

Les déficits jumeaux Le déficit du compte courant tend à se creuser enmême temps que le déficit du budget public.– À cause de cette association, on dit que le déficit dubudget public et le déficit du compte courant sontdes déficits jumeaux. Par exemple, pour le Canada :GSF-210452

Les Déficits jumeauxFIGURE 19.2 Les déficits jumeauxBudget public et solde du compte courant (enpourcentage du PIB)42Solde du comptecourant0-2-4-6Solde dusecteur 3

Les Déficits jumeaux Explication : On peut dériver que : Balance du compte courant Surplus Épargne privé Déficit budget gouvernementalEn général, le déficit sur le compte courantreprésente la décision de consommer (par lescitoyens et le gouvernement) plus que ce est quiproduit par la nation.GSF-210454

Conclusions de la section 1 La finance internationale est un sujet à part entièredans la sphère financière, car :– Il convient de tenir compte de la spécificité desétats.– Des taux de change et différentiels de taux d’intérêt.– Des facteurs géographiques et politiques.GSF-210455

Conclusions de la section 1 Nous pouvons analyser simplement les gains obtenuspar des échanges internationaux avec les théories deSmith et Ricardo. Les échanges de biens ont pour but une plus grandeefficacité de la production mondiale. Celle-ci estatteinte par la spécialisation. Les économies d’échelle croissantes impliquentpotentiellement des gains au commerce.GSF-210456

Conclusions de la partie 1 La balance des paiements d’un pays est l’outilstatistique utilisé pour mesurer le volume de ceséchanges internationaux. Balance de paiements 0 Il y a deux comptes : Courant et Capital (capital etfinancier) Les deux comptes sont reliés entre eux par desidentités comptables.GSF-210457

Partie 1 : Introduction . Introduction Questions pertinentes et fréquemment posées : 1) Pourquoi étudier la finance internationale séparément de la finance domestique? 2) Pourquoi y a-t-il des échanges internationaux? 3) Qui échange quoi avec qui? (patterns of trade)

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