La « Boite à Outils

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Boite à outilsDernière mise à jour 30/11/2015La « boite à outils »Table des matièresIntroduction 3Causes d’exclusion à l’attribution d’un marché. 4Boite à outils n 1 : causes d’exclusion . 4Clauses relatives au respect de la directive détachement . 5Boite à outils n 2 : Règles générales concernant la directive détachement des travailleurs96/71/CE. 5Boite à outils n 3 : Démarches obligatoires en cas de détachement des travailleurs . 7 Formulaire A1 . 7 Limosa (document L1) . 8 Immatriculation à l’OPOC . 9Boite à outils n 4 : La durée de travail . 11Clauses liée à la réglementation « Marché public » . 15Boite à outils n 5 : Vérification des prix anormalement bas en ce qui concerne « le cout de lamain d’œuvre » . 15Les régimes de responsabilité solidaire . 20Boite à outils n 6 : Les régimes de responsabilité solidaire . 20Clause liée à l’emploi des langues . 26Boite à outils n 7 : Langue du marché . 26Timbres fidélité. 28Boite à outils n 8 : Les timbres fidélité . 28Clauses sociales . 30Boite à outils n 9 : Les clauses sociales . 30Clauses bien-être au travail, sécurité, santé. 35Boite à outil n 10 : Règles générales . 35Boite à outil n 11 : Qualification/connaissances du Conseiller en Prévention . 38Boite à outil n 12 : Surveillance de santé des travailleurs . 40Boite à outil n 13 : Equipements individuels . 41Boite à outil n 14 : Equipements de travail. 42Boite à outil n 15 : compétences – formations des travailleurs pour certains travauxspécifiques . 431

Boite à outilsDernière mise à jour 30/11/2015Boite à outil n 16 : Coordination de la sécurité et santé lors de chantier où interviennent auminimum 2 entreprises . 45Clauses Environnement – déchets . 46Boite à outil n 17 : Règles générales . 46Boite à outil n 18 : Plan particulier de gestion des déchets . 47Boite à outil n 19 : Bon d’évacuation, bordereau de réception et registre des déchets . 49Mesures complémentaires . 51Boite à outils n 20 : l’agréation . 51Boite à outils n 21 : Enregistrement électronique des présences . 55Boite à outils n 22 : ConstruBadge. 592

Boite à outilsDernière mise à jour 30/11/2015IntroductionL'arrivée d'une main-d'œuvre étrangère "peu chère" sur les chantiers de construction en Belgique, parle biais du système européen de détachement, pose un problème majeur en termes de capacité deconcurrence pour les entreprises nationales qui souhaitent travailler avec leur propre main-d’œuvre.Ce problème résulte d'une double démarche : d'une part, celle -légale- du détachement de travailleursd'entreprises de construction établies dans des pays où les taux de charges sociales sont beaucoupmoins élevées; d'autre part, celle - illégale- de la mise à disposition, sous couvert du détachement etdonc de fausse sous-traitance, d'une main-d’œuvre se trouvant dans des circuits frauduleux. Lephénomèneestenprogressionconstante.Face cette situation, la Confédération Construction Wallonne a détecté le besoin de mettre en placedes actions concrètes afin de rendre plus accessibles et transparentes les informations relatives auxobligations et responsabilités à respecter en matière de conditions de travail et d’emploi.La législation actuelle comporte certes quelques zones grises mais elle fournit également une série debalises permettant de mener une lutte contre le dumping social. C’est dans ce cadre que laConfédération Construction wallonne a initié un groupe de travail ayant pour objectif de développerdes « outils » favorisant l’accès à l’information des entreprises, des maitres d’ouvrage et desarchitectes concernant les réglementations entourant le détachement des travailleurs.Le premier document créé est un « catalogue de clauses spécifiques » qui rappelle la réglementationen vigueur dans ce contexte. Il a pour but de réunir dans un même document les droits, les obligationset responsabilités qui sont pertinentes à respecter dans le cadre du détachement d’un travailleur enBelgique afin de participer à la lutte contre le dumping social. Ce catalogue de clauses est à proposeraux pouvoirs adjudicateurs et architectes afin qu’ils puissent intégrer les clauses dont ils ont besoindans les Cahier spécial des charges. Ces clauses spécifiques reposent sur le respect de laréglementation en matière de détachement des travailleurs, sur le respect des normes en matière debien-être au travail, sécurité, santé et de gestion des déchets, sur le respect de la directive marchéspublics, en outre, elles concernent également les clauses sociales et les causes de nullité des offres.En parallèle à ce catalogue de clauses, une « boite à outils » est également à disposition desentreprises, des maitres d’ouvrage et des architectes. Ce document permet d’appréhender lalégislation que nous retrouvons dans le « catalogue de clauses spécifiques ». Il s’agit d’un documentopérationnel et de contrôle qui se veut didactique et accessible à tout un chacun.L’objectif de cette « boite à outils » est tout d’abord de proposer aux pouvoirs adjudicateurs etarchitectes de disposer des informations pertinentes leur permettant de contrôler l’application de lalégislation. Ensuite, cette « boite à outils » a pour but d’informer les entreprises afin qu’elles puissentrépondre à leurs obligations légales et leurs responsabilités en la matière. Enfin, cet outil donne desmoyens afin de mettre en œuvre concrètement les obligations qui se retrouvent dans laréglementation.Ces deux documents permettent donc d’outiller les entreprises, architectes et les maitres d’ouvrageconcernant leurs droits et obligations à respecter en matière de détachement des travailleurs.Bonne lecture,3

Boite à outilsDernière mise à jour 30/11/2015Causes d’exclusion à l’attribution d’unmarchéBoite à outils n 1 : Causes d’exclusion à l’attribution d’un marchéConformément aux articles 61 et 62 de l’Arrêté Royal du 15 juillet 2011, sous peine d’exclusion del’accès au marché, le soumissionnaire qui détache doit joindre à sa demande de participation ou à sonoffre, selon le cas-une attestation délivrée par l’autorité compétente certifiant qu’il est en règle, à cette date,avec ses obligations relatives au paiement des cotisations de sécurité sociale selon lesdispositions légales du pays où il est établi1. Le pouvoir adjudicateur ayant accès gratuitementpar des moyens électroniques à des données lui permettant de vérifier si le soumissionnaireest en ordre par rapport à ses obligations de sécurité sociale, celui-ci est dispensé de latransmission de l’attestation ONSS s’il emploie du personnel assujetti à la loi du 27 juin 1969(travailleurs et employeurs liés par un contrat de louage de travail). En effet, le pouvoiradjudicateur réclame par voie électronique l’attestation ONSS et consignera les résultats dansles documents du marché.Pour connaître la situation des entreprises étrangères, les pouvoirs adjudicateurs peuvent toujoursaccéder aux informations des pays membres concernés via l’IMI.L’IMI est un système d’information du marché intérieur qui facilite l’échange d’informations avec desorganismes similaires dans d’autres pays. Les coordonnées de l’IMI sont les suivantes :European Commission - DG GROWDG for Internal Market, Industry, Entrepreneurship and SMEsUnit B/1 – Single Market Service CentreWeb: http://ec.europa.eu/imi-net/Office: J59 06/027 - Téléphone : ( 32)2 29 55470 - E-mail: IMI-Helpdesk@ec.europa.euPlus d’informations sur le système d’information du marché intérieur : Consultez Site de l’IMIFiche de synthèse : Causes d’exclusionSoumissionnairePouvoir adjudicateurJoindre à son offre ou à sa demande departicipation une attestation prouvantqu’il est en règle avec ses cotisationsONSSEn cas de manquement :exclusion de l’accès au marchéSi accès aux sources authentiques viades moyens électroniques : interrogerles sources et consigner lesinformations dans les documents demarchés!! Pour les entreprises étrangères :informer l’IMI1Ce document peut être remplacé par une déclaration sous serment ou par une déclaration solennelle faite par l’intéressédevant une autorité judiciaire ou administrative, un notaire ou un organisme professionnel qualifié de ce pays4

Boite à outilsDernière mise à jour 30/11/2015Clauses relatives au respect de la directivedétachementBoite à outils n 2 : Règles générales concernant la directivedétachement des travailleurs 96/71/CE2La directive détachement s’applique aux entreprises étrangères établies dans un Etat membre3 qui,dans le cadre d’une prestation de services transnationale, détachent des travailleurs sur le territoired’un autre Etat membre pour une durée maximale de 24 mois et sans vocation de remplacer untravailleur détaché.La directive 96/71/CE couvre les hypothèses suivantes4 :--Détachement par un employeur d’un de ses travailleurs vers un autre état membre, poureffectuer pour son compte et sous sa direction des prestations au profit d’une tierce partie(cocontractant commercial) situé dans un autre état membreDétachement d’un travailleur vers un établissement ou une entreprise appartenant aumême groupe et situé sur le territoire d’un autre Etat membreMise à disposition par une agence d’intérim ou un bureau de placement des services d’untravailleur pour une entreprise implantée ou opérant dans un autre état membreLe cadre juridique du détachement porte globalement sur deux types de règles : Durant ledétachement, un « noyau dur » de règles protectrices minimales du pays où la prestation de serviceest effectuée doit être impérativement respecté5, en revanche, le travailleur reste assujetti au régimede sécurité sociale du pays d’origine de l’entreprise qui l’emploie6.En effet, pendant le détachement, l’employeur d’un Etat membre est tenu de respecter « le noyaudur » des conditions de travail du pays où les travaux sont exécutés7. Ces règles sont définies dans desdirectives européennes telles que la directive « détachement » 96/71/CE complétée par la directive« d’exécution » 2014/67/CE.Ce « noyau dur » de règles protectrices comprend :2Loi du 5 MARS 2002 transpose, en droit belge, la directive 96/71 du Parlement européen et du Conseil du 16 décembre1996 concernant le détachement de travailleurs effectué dans le cadre d'une prestation de services et instaurant un régimesimplifié pour la tenue de documents sociaux par les entreprises qui détachent des travailleurs en Belgique3 Il s’agit des 28 Etat membres de l’UE l’Islande, La Norvège, la Suisse et le Liechtenstein4 Article 1 §3 de la directive 96/71/CE du Parlement européen et du conseil du 16 décembre 1996 concernant ledétachement de travailleurs effectué dans le cadre d’une prestation de services5 Article 2 de la directive 96/71/CE du Parlement européen et du conseil du 16 décembre 1996 concernant le détachementde travailleurs effectué dans le cadre d’une prestation de services6 En vertu du règlement européen n 882/2004 du parlement européen et du conseil du 29 avril 2004 portant sur lacoordination du système de sécurité sociale7 Article5, §1er, de la loi du 5 mars 2002 qui transpose, en droit belge, la directive 96/71 du Parlement européen et duConseil du 16 décembre 1996 concernant le détachement de travailleurs effectué dans le cadre d'une prestation de serviceset instaurant un régime simplifié pour la tenue de documents sociaux par les entreprises qui détachent des travailleurs enBelgique5

Boite à outilsDernière mise à jour 30/11/2015--les périodes maximales de travail et les périodes minimales de repos,la durée minimale de congés annuels payés,les taux de salaire minimum, y compris ceux majorés pour les heures supplémentaires. La Courde justice de l’UE dans un arrêt (C-396/13) du 12 février 2015, a clarifié la notion de « taux desalaire minimal » devant être appliquée aux salariés détachés et a jugé notamment que ladirective relative au détachement de travailleurs (96/71) ne s’oppose pas à un calcul du salaireminimal fondé sur le classement des travailleurs en groupes de rémunération, conformémentaux dispositions d’une convention collective d’application générale de l’État membre d’accueil.la sécurité, santé et l’hygiène au travail,les conditions de mises à disposition des travailleurs, notamment en ce qui concerne le travailintérimaire,les mesures protectrices des femmes enceintes, des enfants et des jeunes, égalité detraitement homme/femme et dispositions en matière de non-discrimination.Un travailleur détaché effectuant des services de manière temporaire ou occasionnelle dans un autreEtat membre de l’UE reste cependant couvert, conformément à un Règlement européen8, par lesystème de sécurité sociale du pays d’origine si les conditions suivantes sont respectées :--Durée prévisible n’excède pas 24 moisInterdiction de détacher successivement des travailleurs différents pour occuper un postepermanent – l’employeur doit continuer à exercer normalement ses activités dans l’étatd’envoi soit l’exercice d’activités substantielles (autres que des activités de pureadministration interne)Maintien du lien de subordination entre le travailleur détaché et son employeurExistence de liens d’attache entre employeur et l’Etat membre dans lequel il est établiDélai d’attente entre deux détachements du même travailleur, de la même entreprise et dansun même état membre : 2 moisFiche de synthèse : règles généralesEntreprise qui détache1. Respect de la Directive détachement 96/71/CEObligations relatives à la directive- Durée maximum du détachement : 24 mois- Entreprise doit exécuter son activité substantielle dans pays origineRespect d’un « noyau dur » de règles minimales protectrices2. Respect du règlement européen n 833/2004Le travailleur détaché reste assujetti au système de sécurité sociale du paysd’origine8En vertu du règlement européen n 833/2004 du Parlement européen et du conseil du 29 avril 2004 portant sur lacoordination des systèmes de sécurité sociale, journal officiel de l’UE L166 30avril 20046

Boite à outilsDernière mise à jour 30/11/2015Clauses relatives au respect de la directivedétachementBoite à outils n 3 : Démarches obligatoires en cas de détachementdes travailleursLe détachement des travailleurs en Belgique nécessite plusieurs démarches administrativesobligatoires telles que : Formulaire A1Le formulaire A1 atteste de la législation de sécurité sociale applicable à son détenteur. Tout travailleursalarié ou travailleur indépendant qui exerce une activité dans plusieurs pays de l’Union européenne9doit disposer d’un formulaire A1.Tout salarié qui travaille momentanément dans un autre pays de l’UE, doit s’assurer que sonemployeur lui a remis le formulaire A1.L’employeur doit, lors du détachement de l’un de ses travailleurs, demander le formulaire A1 auprèsde l’organisme compétent du pays d’envoi. L’employeur doit ensuite veiller à transmettre autravailleur le formulaire A1 attestant qu’il est redevable des cotisations de sécurité sociale dans sonpays d’origine et qu’il en est exempté en Belgique et ce pour une période de 24 mois maximum.L’organisme compétent du pays d’envoi met sans délai à la disposition de l’organisme compétent dupays d’accueil des informations sur le détachement. Le travailleur salarié détaché continue donc d’êtreassujetti au régime de sécurité sociale du pays où il est habituellement employé10 à condition que ladurée prévisible de ce travail n’excède pas 24 mois et que la personne ne soit pas envoyée enremplacement d’une autre personne. Le maintien du régime du pays d’envoi implique également quele salarié détaché doit effectivement avoir été, au préalable, affilié au régime de sécurité sociale del’Etat d’origine.Tout indépendant peut se renseigner auprès de l'autorité chargée des travailleurs détachés pourconnaître les organismes habilités à délivrer ce formulaire.Pour obtenir ces informations, l’indépendant doit prouver que l’activité qu’il compte exercer àl'étranger est semblable à celle qu’il exerce dans le pays d'origine.Pour y parvenir, il est possible de consulter le guide de l'UE sur les détachementsQuelles sont les responsabilités de chacun et les sanctions à l’appui ?Avant toute décision relative à l’attribution du marché, le pouvoir adjudicateur doit vérifier l’exactitudeconcernant le paiement des cotisations sociales via ce formulaire A1. Le travailleur salarié ou9Dans ce cadre, lorsque nous utilisons le terme « Etat membre de l’Union européenne » cela couvre également leLichtenstein, la Norvège et la Suisse.10 Article 14, 1 du Règlement 1408/71 du Conseil du 14 juin 1971, relatif à l’application du régime de sécurité sociale auxtravailleurs salariés et à leur famille qui se déplacent à l’intérieur de la Communauté, s’inscrit dans le cadre des articles 48 à51 du Traité concernant les libertés fondamentales de circulation des personnes et des services7

Boite à outilsDernière mise à jour 30/11/2015indépendant doit pouvoir présenter le formulaire A1 à tout moment pendant le séjour à l'étranger.Dans le cas contraire et pour tous travaux immobiliers, le client belge est tenu d’appliquer une retenuede 35% au moment du paiement des factures. Si cette retenue n’est pas appliquée, le client belge peutêtre tenu solidairement responsable pour le paiement des cotisations sociales dues à la sécurité socialebelge.Fiche de synthèse : Formulaire A1Pouvoir adjudicateurEntreprise qui

La « boite à outils » Table des matières . répondre à leurs obligations légales et leurs responsabilités en la matière. Enfin, cet outil donne des moyens afin de mette en œuv e concrètement les obligations qui se retrouvent dans la réglementation. Ces deux documents permettent donc d’outille les entepises, achitectes et les .

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