Rapport De Jury 2011 - Eklablog

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CONCOURS EXTERNE DE PROFESSEUR DES ECOLESRapport de jury2011

SOMMAIRE1. Préambule2. Epreuves écrites d’admissibilité1. Français2. Histoire-géographie3. Mathématiques4. Sciences expérimentales et technologie3. Epreuves orales d’admission1. Oral 1 - Mathématiques2. Oral 1 – EPS-1500m3. Oral 1 – EPS-danse4. Oral 1 – Musique5. Oral 1 – Arts visuels6. Oral 2 – français7. Oral 2 – Agir en fonctionnaire de l’Etat de façon éthique et responsable4. Conseils généraux pour les candidats2

PréambuleLa session 2011 du concours de recrutement de professeurs des écoles (CRPE) est la première à sedérouler dans le cadre réglementaire fixé par l’arrêté du 28 décembre 2009.Les épreuves du concours externe, du second concours interne et du troisième concours comportentdeux épreuves écrites d'admissibilité et deux épreuves orales d'admission.A. Les épreuves écrites d’admissibilitéL'admissibilité comporte deux groupes d'épreuves de quatre heures chacun, en français et histoiregéographie et instruction civique et morale, d'une part, et en mathématiques et sciencesexpérimentales et technologie, d'autre part.1- Epreuve écrite de français et d'histoire, géographie et instruction civique et moraleL'épreuve vise à évaluer :― la maîtrise des savoirs disciplinaires nécessaires à l'enseignement dans ces domaines, enréférence aux programmes de l'école primaire ;― la connaissance et la maîtrise de la langue française, en particulier la grammaire, l'orthographe etle vocabulaire ;― la capacité à comprendre et exploiter des textes ou des documents pour en faire une analyse, unesynthèse ou un commentaire rédigé avec clarté et précision, conformément aux exigences depolyvalence attachées au métier de professeurs des écoles.2- Epreuve écrite de mathématiques et de sciences expérimentales et de technologieL'épreuve vise à évaluer :― la maξtrise des savoirs disciplinaires nécessaires à l'enseignement des mathématiques, enréférence aux programmes de l'école primaire, ainsi que la capacité à raisonner logiquement dans lesdomaines numérique et géométrique et à communiquer dans un langage précis et rigoureux ;― la maîtrise des principales connaissances scientifiques et technologiques nécessaires pourenseigner à l'école primaire ainsi que la capacité à conduire un raisonnement scientifique.Dans chaque épreuve écrite, il est tenu compte, à hauteur de trois points maximum, de la correctionsyntaxique et de la qualité orthographique de la production des candidats.3

B. Les épreuves orales d’admission1- Présentation de la préparation d'une séquence d'enseignement en mathématiques etinterrogation, au choix du candidat, sur les arts visuels, la musique ou l'éducationphysique et sportive.L'épreuve comporte deux parties. Elle vise à évaluer :― les connaissances et compétences du candidat et son aptitude à les mobiliser pour concevoir etorganiser une séquence d'enseignement s'inscrivant dans les programmes d'une classe de l'écolematernelle ou élémentaire ;― la capacité du candidat à expliquer et justifier ses choix didactiques et pédagogiques.2- Présentation de la préparation d'une séquence d'enseignement en français etinterrogation sur la compétence Agir en fonctionnaire de l'Etat et de façon éthiqueet responsableL'épreuve comporte deux parties.La première partie vise à évaluer :― les connaissances et compétences du candidat et son aptitude à les mobiliser pour concevoir etorganiser un enseignement s'inscrivant dans les programmes d'une classe de l'école maternelle ouélémentaire ;― la capacité du candidat à expliquer et justifier ses choix didactiques et pédagogiques.La seconde partie “Agir en fonctionnaire de l'Etat et de façon éthique et responsable” vise àinterroger le candidat sur l’analyse qu’il fait de la situation qui lui a été proposée au début del’épreuve, qui porte sur les thématiques regroupées autour des connaissances, des capacités et desattitudes définies dans la compétence 1 du référentiel de professeur des écoles.4

EPREUVES ECRITES D’ADMISIBILITE1. Français – épreuve écrite Référence aux textes : arrêté du 28 décembre 2009 (JO n 4 du 6 janvier 2010) :Il est rappelé que l’épreuve écrite de français, d’histoire-géographie et d’instruction civique et1morale se déroule dans un contexte de réforme du CRPE . Les épreuves écrites du concours sesont déroulées le 28 septembre 2010. Cette première épreuve écrite d’admissibilité restecommune aux trois concours. Sa durée est de 4 heures et le coefficient est 3.Dans la première partie de l'épreuve (partie “ français ”), le candidat doit répondre, sous la formed'une analyse, d'une synthèse ou d'un commentaire, à une question relative à un texte ou à unensemble de textes littéraires ou documentaires dont certains peuvent avoir trait à l'acquisition età l'enseignement du français. La production écrite du candidat doit permettre au jury d'évaluer sonaptitude au raisonnement, à la structuration ordonnée d'une pensée logique ainsi que sa capacitéà exposer de façon claire, précise et simple une problématique complexe. Il doit ensuite répondreà trois questions ayant trait à la grammaire, à l'orthographe et au lexique.Cette épreuve a pour objectif d’évaluer :-la maîtrise des savoirs disciplinaires nécessaires à l'enseignement dans ces domaines, enréférence aux programmes de l'école primaire ;-la connaissance et la maîtrise de la langue française, en particulier la grammaire,l'orthographe et le vocabulaire ;-la capacité à comprendre et exploiter des textes ou des documents pour en faire uneanalyse, une synthèse ou un commentaire rédigé avec clarté et précision, conformémentaux exigences de polyvalence attachées au métier de professeurs des écolesL’épreuve est notée sur 20 : 12 points sont attribués à la première partie (dont 6 aux questionsrelatives à la grammaire, à l'orthographe et au lexique) et 8 points sont attribués à la secondepartie (partie “ histoire-géographie et instruction civique et morale).Il est tenu compte de laqualité orthographique de la production des candidats. Présentation générale de l’épreuve session 2011 dans ses différentes composantesoQuestion de synthèse Présentation du dossier5

Le sujet de cette session 2011 était proposé à partir d’un dossier constitué de quatre textes, trèsdivers, qui restaient accessibles :Texte 1 : ELIADE Mircea - Mythes, rêves et mystères - Gallimard, “ Idées ”, 1981, pp.31-32Texte 2 : TOURNIER Michel - Le vent Paraclet - Gallimard, “ Folio ”, 1983, pp.188-193Texte 3 : BOIMARE Serge - Ces enfants empêchés de penser - Dunod, 2008, pp.80-81Texte 4 : ZOLA Émile - Germinal - Hachette, 1979, pp.27-30 Question poséeÀ partir de ces quatre textes, les candidats devaient s’attacher à analyser les fonctions du mythedans la création littéraire et la formation de l’individu. L’énoncé a pu déstabiliser un certainnombre de candidats, peu aguerris à ce type de problématique, “ littéraire et spécialisée ”. Lesconcepts demandaient à être situés et explicités : le mythe, ses fonctions, la création littéraire et laformation de l’individu Il convient à ce propos de rappeler l’importance d’une lecture attentive et finedu sujet. C’est une remarque qui avait été déjà formulée les années précédentes. De plus,contrairement aux années précédentes, aucune précision n’était portée à la connaissance descandidats quant à des éléments plus formels de ce qui était attendu (nombre de pages, par exemple).Il s’agissait d’un exercice d’analyse qui suppose de rendre compte de l’ensemble du corpus proposéde façon argumentée. Cette analyse pouvait être linéaire dès lors que la cohérence des textesproposés le permettait ; elle pouvait aussi se présenter dans une problématique organisée autour deplusieurs grands points. L’exercice supposait également une neutralité (pas d’appréciationpersonnelle). Attentes du juryLe jury a porté une attention particulière sur :-la capacité à concevoir et rédiger une introduction qui soit en mesure de présenter“ activement ” le corpus de textes, de le caractériser, de mettre en relation la spécificité destextes, de classifier les approches et d’annoncer un plan raisonné et cohérent ;-la capacité à dégager les fonctions essentielles du mythe :1. la fonction explicative pour catégoriser la pensée et les valeurs civiques et morales2. la fonction didactique sur le plan symbolique et moral3. la fonction pratique qui institue une relation dans le temps4. la fonction culturelle qui nourrit l’imaginaire et dont le texte lui donne une forme5. la fonction psychologique permet de se décentrer pour accéder au symbolique6. la fonction d’humanisation (“ l’homme ne s’arrache à l’animalité que grâce à la mythologie ”)-la capacité à effectuer des références explicites aux différents textes dans une progressionlogique, marquée par des connecteurs et un véritable “ guidage ” du lecteur ;-la capacité à maîtriser la langue, une langue de qualité, une langue précise, un lexique cibléet adapté ;-la présence d’un élément de conclusion à la problématique abordée ;-la capacité à produire une pensée concise mais dense qui écarte la paraphrase.6

Les règles formelles de l’exercice pouvaient, encore une fois, déconcerter un certain nombre decandidats, préparés essentiellement dans le domaine de la synthèse. Les textes ne posaient pas dedifficultés majeures de compréhension mais leur diversité était peut-être difficile à appréhender. Lescandidats ont eu ainsi des difficultés à croiser les éléments du corpus pour dégager un plan structuréqui soit en mesure de prendre appui sur une progression susceptible de prendre en compte, de mettreen relation ou en écho toutes les dimensions des textes. Avec l’identification précise de ce qui pouvaitêtre un mythe, cet élément faisait d’ailleurs l’objet d’une attention toute particulière de la part descorrecteurs et d’une valorisation au regard du barème proposé. Analyse des productions des candidats (sur 6 points)Les candidats ont manifestement rencontré des difficultés dans cet exercice délicat de l’analyse quireste seulement moyennement réussi (pour les concours externes) ou peu réussi (pour les concoursinternes ou ceux de la troisième voie).Recommandations aux candidats-Procéder à une lecture fine et exhaustive des textes ;-Concevoir et construire un plan clair, structuré avec une progression argumentative (entrerdans la logique du dossier thématique proposé et de la question posée) ;-Respecter le plan énoncé ;-Rédiger des transitions (articulations) entre les différentes parties (équilibre) ;-Veiller à la maîtrise d’une part et à la qualité de la langue d’autre part.oQuestion ayant trait à la grammaire, à l’orthographe et au lexique (6 points) Présentation des questions poséesgrammaire (3 points)7

Il s’agissait dans un premier temps, dans le texte de Mircea ELIADE (texte 1), de relever sous formed’un classement raisonné les différentes propositions subordonnées et de les analyser.orthographe (2,5 points)Il était proposé aux candidats de justifier de manière précise l’orthographe des homonymes identifiés(écrits en caractères gras et soulignés) dans un passage proposé du texte 2.lexique (0,5 point)Il fallait expliquer la signification du mot “ bouche ” dans le texte de Zola (texte 4), justifier laréponse proposée en s’appuyant plus précisément sur le dernier paragraphe du texte, relever enfin(dans ce dernier paragraphe) un mot de la même famille.Attentes du juryOn attendait des candidats qu’ils soient en mesure :-d’effectuer un relevé exhaustif de toutes les propositions subordonnées ;-de déterminer deux classes distinctes ;-de produire une analyse précise en termes de fonctions ;-de justifier l’orthographe des homonymes en référence à la classe grammaticale ;-de faire référence au contexte pour expliquer le mot “ bouche ” ;-d’identifier le mot “ bouchées ” comme appartenant la famille de “ bouche ”. Analyse des productions des candidatsLa question de grammaire a été particulièrement mal traitée (0,77 sur 3 et plus de 300 copies sur 844ayant obtenu 0) pour l’ensemble des candidats. La notion de “ proposition subordonnée ” ne peut pasêtre considérée comme une connaissance grammaticale de “ haut niveau ” ; elle n’est pourtant pasmaîtrisée et témoigne de lacunes importantes chez nombre de candidats. Les analyses manquentcertainement de réflexion mais surtout des connaissances de base indispensables pour envisager, àterme, d’enseigner la langue et la grammaire à l’école primaire. La question d’orthographe estbeaucoup mieux réussie (1,60 sur 2,5) et la question ayant trait au lexique ne posait vraiment aucunedifficulté (moyenne de 0,43 sur 0,5).8

Recommandations aux candidats-Maîtriser les connaissances grammaticales de base ;-Utiliser une terminologie précise ;-Justifier les relevés lorsqu’ils sont demandés ;-Argumenter les justifications. NotationoMoyenne générale – note la plus haute – note la plus basseLecture du tableau : pour le concours externe public, les notes se situent entre 0 et 11,25 (sur 12). Lamoyenne s’établit à 5,66 sur 12. Conseils aux candidatsoDans le cadre de la préparationRespect des contraintes formelles, compréhension de texte, recherche pertinente et argumentée desliens, maîtrise de la langue :9

Il s’agit, avant tout, d’apprendre et de s’entraîner à maîtriser la langue française, son vocabulaire (laqualité de l’expression en général passe par la maîtrise d’un lexique spécifique utilisé avecpertinence et à bon escient), sa grammaire. C’est évidemment capital pour devenir enseignant.Ensuite, il convient de travailler avec méthode l’exercice de l’analyse : être capable de lire des textesdivers, être capable de les comprendre au regard d’une question posée, être capable d’en dégagerles idées essentielles et de les articuler au sein d’un écrit cohérent.oDans le cadre de l’épreuveLecture attentive des questionsLes candidats sont invités à lire et relire soigneusement le sujet et toutes ses questions quicomportent généralement des indications, des pistes, quelquefois même des procédures à suivre(notamment dans le cadre de la question ayant trait à la grammaire, à l’orthographe et au lexique).Analyse distanciée des documentsL’analyse de documents suppose un apprentissage méthodologique et une culture généralecertaine : la question posée demande une réflexion, des connaissances précises, desrapprochements entre les concepts abordés ; il faut être capable d’organiser son propos et dereformuler des idées tout en gardant une exigence d’objectivité sans jugement de valeur, évitantaussi l’écueil de la surinterprétation.Présentation, rigueur orthographique, syntaxeLa première compétence attendue d’un enseignant est d’utiliser et d’écrire correctement une languemaîtrisée : ce n’est malheureusement pas le cas de tous les candidats Pour mémoire, 232 copies,soit encore plus de 25% de l’ensemble, ont été pénalisées cette année dans le domaine de lavigilance orthographique. La maîtrise de l’orthographe commence par la relecture intégrale de sacopie puis par une mise en réflexion sur des éléments linguistiques de base (qui demandent à êtretravaillés en amont s’ils ne sont pas maîtrisés) : les accords dans le groupe nominal, l’orthographelexicale ou les accords sujet-verbe.A terme, on ne peut prétendre enseigner ce que l’on ne maîtrise pas soi-même.La remarque s’applique de la même façon à la présentation de sa copie (organisation de la page,distinction des paragraphes, qualité de l’écriture ). Les qualités de cette présentation, de cetteorthographe sans faille et de cette langue maîtrisée sont celles d’un enseignant qui doit “ donner àvoir, à lire et à comprendre ”.10

2. Histoire-géographie – épreuve écriteSujets :Dans l’épreuve de “ français et histoire, géographie et instruction civique et morale ”, la seconde partiede l’épreuve est donc celle consacrée à l’histoire géographie instruction civique et morale. Ellecomprenait deux questions :-Question de géographie sans document :Les villes et le développement durable en France métropolitaine.-Question d’histoire avec documents :Les relations entre seigneurs et paysans au Moyen Âge après l’an mil.Document 1 : Trois phrases extraites de la Charte de Saint-Germain-des-Prés du XIIIe siècle,décrivant des éléments de la vie paysanne.Document 2 : Miniature extraite des Très Riches Heures du Duc Jean de Berry, XVe siècle,illustrant des travaux agricoles.L’attente du jury :Chaque question est notée sur 4 points. La correction de la langue peut donner lieu à une minorationde 3 points sur l’ensemble de l’épreuve. Il a été décidé que cette minoration irait jusqu’à 1 point pourla partie histoire géographie et de deux points pour le français.Pour les deux questions, il est attendu une réponse organisée.En géographie, deux axes de construction du devoir étaient possibles autour de “ Villes etdéveloppement durable : une problématique incontournable ” et “ Exemples et limites de politiquesurbaines associant le développement durable ”.En histoire, deux axes étaient également possibles : “ Les rapports de domination des seigneurs surles paysans ”, “ qui s’exercent dans le cadre spécifique de la seigneurie ”. Il n’est pas attendu uneprésentation formalisée des documents, mais on valorise une utilisation des documents qui éclaire ledéveloppement du sujet.Remarques sur les copies :Méthodologie et corps du sujetPour les deux questions, les termes du sujet sont rarement définis. Quand un plan est annoncé, iln’est pas toujours suivi. Introduction et conclusion sont succinctes voire absentes.Les connaissances sont souvent superficielles voire lacunaires.GEOGRAPHIELa notion de développement durable n’est pas cernée chez beaucoup de candidats qui le confondentavec la protection de l’environnement. Par exemple, beaucoup de candidats se sont cantonnés àévoquer le tri sélectif. Le manque d’exemples concrets a été patent pour illustrer la démonstration.HISTOIREDe façon générale, les candidats connaissent mal la structure sociale de l’Occident féodal etconfondent vassalité et relations seigneurs/paysans. Les notions de fief, vassal, protection par le11

suzerain ne rentraient pas dans le cadre de ce devoir. Beaucoup de copies présentent desanachronismes dans l’utilisation du vocabulaire (machine agricole, classe sociale ). Les candidatsont eu du mal à utiliser le document iconographique (nature mal cernée et surtout description ducontenu indigente).CONSEILS AUX CANDIDATSLa définition de cette épreuve nouvelle est dans le journal officiel de la République française n 000 4du 6 janvier 2010, page texte n 22.Elle implique de bien gérer son temps entre français et histoire géographie instruction civique etmorale. Il faut traiter les deux sujets et se ménager un temps de relecture à l’issue de l’épreuve.Pour chaque question, il importe de définir les termes du sujet et de construire une réponseorganisée qui permette de vérifier les capacités du candidat à maîtriser les “ savoirs disciplinairesnécessaires à l’enseignement dans ces domaines en référence au programme de l’école primaire ”.Les candidats veilleront à :-rédiger une courte introduction et une courte conclusion,-construire un plan et s’y tenir,-illustrer leurs propos par des exemples pertinents,-utiliser à bon escient les termes scientifiques spécifiques à la discipline.Pour se préparer sur les “ savoirs disciplinaires ”, il est conseillé aux candidats de repartir d’ouvragessimples de base (manuels du secondaire et du premier cycle universitaire) et de les mettre enrelation avec les programmes du primaire.12

4. Mathématiques – épreuve écrite Présentation générale de l’épreuve session 2011 dans ses différentes composantesConformément à l’arrêté du 28 décembre 2009 le candidat devait résoudre deux exercices et unproblème, notés au total sur 12 points dans l’épreuve “ mathématiques et sciences expérimentales ettechnologie ” d’une durée de 4 heures.oExercice 1 : 4 pointsPrésentation de l’exerciceDans cet exercice six affirmations étaient proposées. Pour chacune d’elles, le candidat devait précisersi elle était vraie ou fausse et justifier cette rép

Texte 1 : ELIADE Mircea - Mythes, rêves et mystères - Gallimard, “ Idées ”, 1981, pp.31-32 Texte 2 : TOURNIER Michel - Le vent Paraclet - Gallimard, “ Folio ”, 1983, pp.188-193 Texte 3 : BOIMARE Serge - Ces enfants empêchés de penser - Dunod, 2008, pp.80-81 Texte 4 : ZOLA Émile - Germinal - Hachette, 1979, pp.27-30 Question posée

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