- UNE MA!TRISE DE L'OR GANISATION SPATIALE RENFORCER

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- UNE MAÎTRISE DE L’ORGANISATIONSPATIALE À RENFORCERDeux grands principes complémentaires pour l’organisation spatiale du développement, le renouvellement urbain et la maîtrise dela croissance urbaine, étaient affichés au sein du Schéma directeur. Cependant, leur mise en œuvre s’est traduite par des outils àaméliorer.La stratégie de la « ville renouvelée » portée par le schéma directeur et rendue opérationnelle au sein du territoire communautairea porté ses fruits. Elle nécessite cependant d’être poursuivie et intensifiée, car des territoires importants doivent encore êtrerequalifiés.L’artificialisation du sol a continué, réduisant les espaces agricoles et les prairies au profit, trop souvent, d’opérations d’habitat oud’activités à faible densité et peu connectées aux transports collectifs et sans appréhender leurs impacts sur le réseau routier.La prise en compte des enjeux environnementaux appellent à plus d’exigence pour créer des conditions urbaines favorables à latransition énergétique.145

paysagères et d’un accès valorisé à de vastes espaces naturels etrécréatifs.Le centre métropolitain : Lille, ville-centre de la métropole, etsa première couronneUn cœur métropolitain à renforcerAccueillant de multiples fonctions métropolitaines (gares TGV,services administratifs, commerces de destination ou activités decommandement), Lille apparait comme la ville-centre, dont unepartie, articulée autour du centre-ville de Lille et du quartierEuralille, constitue le moteur et la vitrine du territoire à l’échellenationale et européenne. Ce cœur métropolitain, tête de pont del’immobilier de bureaux de la métropole, correspond également aucœur commercial et touristique. Cet ensemble atteint aujourd’huises limites spatiales (fonctions commerciales, pôles d’échanges,espaces publics emblématiques) compte tenu des ambitions derayonnement et d’attractivité du centre métropolitain.Une logique de ville-centre qui s’étend, un centre métropolitain enmouvementSi l’attractivité commerciale, touristique et patrimoniale de lamétropole se concentre au sein d’un hyper-centre resserré, onobserve cependant un phénomène d’élargissement des logiquesde la ville-centre. Densité de population, desserte en transports encommun, activités économiques et dynamiques d’aménagement(Port de Lille, Fives-Cail, ZAC Jeanne de Flandres /ex-Rhodia, )dessinent les caractéristiques d’un centre métropolitain étendujusqu’à la première couronne, au-delà des limites communales deLille.Les villes-centres d’agglomération : Roubaix, Tourcoing etVilleneuve d’AscqUne agglomération multipolaireL’agglomération lilloise présente la spécificité de ne pas concentrertoutes les fonctions métropolitaines au sein d’une seule villecentre. Ainsi, Roubaix, Tourcoing et Villeneuve d’Ascq accueillentelles-aussi universités, hôpitaux, équipements sportifs De plus,elles bénéficient d’une bonne desserte en transports urbains (TER,métro, tramway et bus). En ce sens, elles occupent une place de« centres d’agglomération » au sein de l’armature.Plus précisément, le système entre ces centralités s’incarne par larelation historique qui unit Lille au bassin de vie de Roubaix etTourcoing d’une part, et par la liaison à Villeneuve d’Ascq d’autrepart.Le renforcement des liaisons rapides en transports en communentre ces centralités et le cœur de la métropole, notamment par lapromotion de la desserte ferrée entre Lille, Roubaix et Tourcoing,est un axe prépondérant dans l’amélioration du fonctionnement del’agglomération centrale.Le bassin Roubaix-TourcoingLe bassin de vie de Roubaix-Tourcoing se caractérise par uneidentité et une histoire communes, liées à l’expansion industrielletextile qui a façonné ces villes. Depuis de nombreuses années, ceterritoire s’est engagé dans un processus de conversion et derevalorisation économique, urbaine et culturelle qui lui a permis derester un pôle économique majeur. La présence d’importantesfriches industrielles marque le territoire. L’inventairecommunautaire des friches industrielles de 2007 recensait un tiersdes friches industrielles sur les communes de Roubaix, Tourcoinget Wattrelos.Villeneuve d’AscqCréée sous l’impulsion de la politique des villes nouvelles,Villeneuve d’Ascq a été conçue comme une ville laboratoire, uneextension de Lille vers l’est. Ainsi, elle est dotée de multipleséquipements métropolitains et concentre universités, pôles derecherche et sièges économiques. Malgré un cadre de vieverdoyant, elle doit aujourd’hui relever le défi d’une mutation deses espaces publics pour affirmer sa centralité, favoriser sonattractivité résidentielle et celle de la vie étudiante. La connexionrapide à Lille mais aussi avec les autres centralités et les pôlesd’excellence, est essentielle à la place qu’occupeVilleneuve d’Ascq au sein de l’agglomération.Les communes de l’agglomération centraleLe système urbain de l’entre-deux villesLe territoire qui s’est développé au gré des opportunités depuis lesannées 60 entre les villes de Lille, Roubaix et Tourcoing constitueun ensemble urbain très particulier dans la métropole. Alors qu’ildispose d’un système de transport métropolitain lourd etstructurant, son tissu proche se rapproche pourtant dans sa formeet dans sa densité de celui observé au sein des territoirespériurbains.Ce territoire très attractif du fait de sa proximité immédiate avec lesvilles-centres de l’agglomération, de la mixité de ses fonctions etd’une forte présence végétale, présente un large potentield’intensification urbaine autour de ses infrastructures.Au-delà des quatre grandes centralitésL’agglomération lilloise regroupe des communes de taille etd’intensité variées, composant un tissu urbain diversifié, auxservices dispersés et aux fonctions fortement spécialisées (zonescommerciales, zones d’activités ou zones pavillonnaires). Cescommunes pèsent pour près de 35% dans la répartition desménages sur le territoire, poids relatif qui s’est intensifié au coursdes dernières décennies.Les communes les plus proches des centres d’agglomération sontsouvent très bien équipées. En revanche, aux limites de ce tissuurbain aggloméré et multifonctionnel, l’expansion des communestend à produire des franges urbaines peu qualifiées : dispersiondes fonctions et des services urbains, mauvaise desserte entransports en commun, délaissés urbains.Un véritable enjeu de cohérence et de lisibilité du territoire se jouedans la maîtrise du développement de ces communes constituéesautour de centralités de proximité (centre-bourg historique,commerces de détails ) à conforter. C’est en leur sein que ledéveloppement vertueux du territoire peut se jouer, notamment enexplorant leurs contrastes comme autant de potentialités.La campagne urbaineUn étalement urbain récent encore soutenuEntre 1971 et 2008, alors que sa population augmentait de 11%, lasurface artificialisée du territoire métropolitain s’est accrue de 52%.Environ 12 000 ha 1 ont été artificialisés, ce qui correspond à unecroissance urbaine de 325 ha par an en moyenne. Ces terrains,essentiellement pris sur l’espace agricole, ont été utilisés pourpoursuivre l’édification des grands ensembles de logementssociaux, puis la ville nouvelle, mais également pour réaliser deslotissements de maisons individuelles, des centres commerciaux,des équipements de loisirs ou des zones d’activités, généralementappuyés sur les grandes infrastructures routières. Il est importantde noter que « le tissu urbain discontinu » majoritairementconstitué par de l’habitat individuel non mitoyen représente le1 Source : Étude occupation du sol, Agence de développement etd’urbanisme de Lille Métropole 2010148

premier facteur d’artificialisation (32% de la destination dessurfaces artificialisées entre 1971 et 2008), suivi de près par leszones industrielles et commerciales (24%).Si l’étalement urbain s’est légèrement ralenti à partir desannées 90, l’artificialisation 2 des sols s’est poursuivie à unrythme significatif, et pourrait même s’être légèrementrenforcée ces dernières années, passant de 260 ha par anentre 1994 et 2001 à 280 ha par an entre 2001 et 2008. Celacorrespond à une augmentation de la surface artificialisée depresque 6% en 7 ans. À titre de comparaison, ce rythmeéquivaudrait à l’artificialisation d’un territoire de la superficie de laville de Tourcoing tous les 5 ans et demi.L’extension de l’espace urbanisé a principalement concerné lesfranges de l’agglomération centrale, mais également celles despetites communes et des villages de la vallée de la Lys, desWeppes et de la Pévèle. Cette urbanisation correspond pour unebonne part à de l’habitat individuel (environ un quart del’artificialisation des sols), mais aussi, dans une moindre mesure, àdes zones d’activités périphériques, toutes ces extensionsprésentant une assez faible densité et une qualité trop souventmédiocre au regard des aménités urbaines induites.Les espaces périurbains du territoire métropolitain se trouventainsi soumis à une forte pression foncière par l’arrivée denouveaux ménages. Comme l’évoque le chapitre consacré auxmobilités, les navettes domiciles-travail ont fortement augmenté,allongées en conséquence d’une urbanisation nouvelledéconnectée des axes lourds de transports. Au sein de ce tissuurbain diffus, de lourdes contraintes pèsent sur la gestion detransports collectifs (étendue du réseau, coût de gestion, faiblerentabilité ).De manière générale, la construction neuve de logements enextension dans les territoires périurbains est très consommatriced’espaces. Ainsi, la densité constatée est de 17 logements àl’hectare dans les territoires des Weppes et du Sud interurbain, etde 13 logements à l’hectare dans celui de la Pévèle Carembault.Un territoire périurbain multiple à préserverLes extensions en frange des communes ont fragilisé l’identité desplus petites villes et des villages périurbains lissant leursspécificités paysagères et leurs caractéristiques.Néanmoins, le territoire périurbain n’est pas monolithique, sonattractivité est liée à la diversité qui le compose. Il est ainsi apparunécessaire de préciser la description des communes situées dansle tissu périurbain de la métropole, ce qui veut dire de mieuxcomprendre leurs caractéristiques urbaines et paysagères, leursspécificités spatiales, les pratiques de leurs habitants, etc. Uneétude en cours aboutira à la conception de solutionsd’aménagement durable pour le développement futur de cescommunes par rapport à leurs caractéristiques propres. Cetapprofondissement est l’objet du projet Villages durables aussidénommé Campagnes urbaines.ceinture urbaine constituée d’Erquinghem-Lys, de La Chapelled’Armentières et d’Houplines. Fortement connectée au cœurmétropolitain (22% des actifs travaillent à Lille), cetteagglomération secondaire dispose d’un potentiel dedéveloppement et pourrait concilier une croissance équilibréeentre extension et renouvellement urbain, entre développementéconomique et valorisation d’espaces récréatifs et paysagers Des polarités situées sur des axes historiques et stratégiquesLa commune de Seclin se distingue comme un pôle structurant ausud de la Métropole. Cette commune qui s’est organisée autour ducanal et du réseau de chemin de fer rassemblait également dès leXIXème siècle un important tissu industriel de filatures, tanneries,brasseries et distilleries. Aujourd’hui Seclin enregistre une forteconcentration des pratiques, notamment économiques. Saproximité avec le parc de la Deûle, vaste espace naturel etrécréatif métropolitain, pose la maitrise de son développementcomme un enjeu majeur.Aux portes du bassin minier, La Bassée s’est illustrée dans lepassé comme place militaire et s’est structurée autour de sesinfrastructures routière, portuaire et ferroviaire. Elle dénombre uneconcentration moyenne des pratiques mais reste un pôlerelativement bien situé à la jonction du territoire lillois avec lebassin de l’Artois, disposant de zones d’activités à bord de canal etbénéficiant de la liaison ferrée entre Lille et Béthune.Au cœur d’une région agricole dynamique, Orchies est la ville laplus peuplée de la Pévèle Carembault. La commune bénéficied’une certaine centralité concentrant emplois, liaisons TER (ligneLille-Valenciennes) ainsi que équipements sportifs et culturels dedimension intercommunale. Cependant, l’ensemble du bassin devie de la Pévèle et du Carembault est fortement influencé par lapériurbanisation lilloise. Ainsi, en 30 ans, la commune d’Orchies aurbanisé 75% de la surface urbanisée jusqu’alors. (rapportprésentation SCOT Grand Douaisis - 2007).Traversées par la frontière, les communes d’Halluin, Bousbecque,Wervicq Sud, Comines et Warneton forment un ensemble au tissuurbain très caractéristique de celui des villes jumelles, à la foisdense et segmenté, articulé autour de Halluin d’une part, et deComines d’autre part. La proximité avec la Belgique fait de cesdeux communes des destinations métropolitaines pour leshabitants français désirant accéder à des services ou équipementsparticuliers situés à proximité ou de l’autre côté de la frontière(commerces de frontière, piscine belge de Comines Warneton).Relativement mal desservi du fait de sa position en queue desréseaux nationaux et régionaux (à titre d’exemple, il faut autant detemps pour aller de Lille à Comines que de Lille à Lens), cetensemble fonctionne de façon relativement autonome par rapportaux centres d’agglomération (les actifs recensés au sein des deuxcommunes de Halluin et Comines habitent majoritairementLe pôle d’ArmentièresLa commune d’Armentières, ancien fleuron de l’industrie textile,s’affiche clairement comme un pôle alliant une concentration desfonctions urbaines et une bonne desserte TER. Une agglomérationsecondaire s’est ainsi structurée autour d’Armentières et de saL’artificialisation des sols résulte de l’urbanisation au sens large. Onentend par « surface artificialisée » toute surface retirée de son étatnaturel, forestier ou agricole, qu’elle soit bâtie ou non. Les surfacesartificialisées incluent donc également les espaces artificialisés non bâtis(espaces verts urbains, équipements sportifs et de loisirs, jardins demaisons pavillonnaires, etc.).2149

dans cet ensemble urbain), et présente une dynamique spécifiquepropre aux territoires frontaliers (emploi, immobilier, loisirs).D’autre part, la fonction industrielle historique de ce territoire liée àla présence de la Lys canalisée a entraîné la formation d’un tissuurbain dont quelques caractéristiques perdurent aujourd’hui : descentralités relativement dynamiques et riches en patrimoine, unestructure urbaine développé, marquée par une densité et unemixité fonctionnelle importante, et enfin une facilité d’accès auxespaces de nature et en particulier à la Lys si centrale. Cetensemble de communes, articulé de part et d’autre de la frontière,peut de ce fait être considéré comme un exemple de tissupériurbain bien structuré et relativement économe en espace.Du fait de leur proximité et d’une desserte ferrée commune, Don,Annœullin et Sainghin-en-Weppes peuvent être considéréescomme fonctionnant en système : une polarité à trois dimensions.Ainsi, à elles trois, elles mutualisent une desserte efficace entransports en commun, d’un bon niveau de services etd’équipements et un bassin de vie d’environ 15 000 habitants.Des unités urbaines spécifiques à préserver d’une absorption ausein de l’agglomérationL’extension de l’urbanisation a tendance à faire se rejoindre entreelles des unités urbaines préalablement séparées. Si l’absorptiondes communes au sein de la tâche urbaine centrale est parfoissouhaitable, il s’agit aussi de préserver l’entité propre de certainesvilles situées à proximité de l’agglomération centrale. À titred’exemple, Linselles, Bondues, Lesquin, Fretin ou encoreTemplemars se sont beaucoup urbanisées ces dernières années.Un arbitrage devra être opéré entre les besoins de préserver leuridentité particulière, de répondre aux besoins en matière deservices et d’équipements liés à l’accueil de nouvelles populationset d’étendre l’urbanisation jusqu’à l’agglomération.151

LE RENOUVELLEMENT URBAIN EN MARCHELe renouvellement urbain évoque l’évolution de la ville sur ellemême. Phénomène permanent, il est nécessaire à lamodernisation de la ville en agissant tout à la fois sur la gestion dela rareté foncière, sur la revitalisation des quartiers anciens, sur leréaménagement d’anciens sites industriels, sur les secteursdéfavorisés de la ville La notion de renouvellement urbain s’appuie notamment sur lesprincipes de mutation de terrains disponibles (dents creuses,friches, délaissés ), sur l’évolution de certains secteurs(gentrification, mixité fonctionnelle, regain d’attractivité) voire surl’optimisation foncière en dégageant de nouvelles surfacesdisponibles par la division ou le réaménagement d’une parcelle.L’importance décisive du renouvellement urbain surl’aménagement urbain interroge les stratégies à mettre en œuvrepour l’aider et le stimuler. En effet, l’image du territoire et sa valeurfoncière jouent très fortement en faveur, ou défaveur, d’unrenouvellement spontané, porté par des initiatives privées. Le plussouvent, la volonté politique est le moteur du renouvellementurbain et la plupart des opérations sur le territoire du SCOTn’auraient pu émerger sans le soutien financier de la puissancepublique.Une valorisation effectiverenouvellement urbaindesterritoiresdeDonner la priorité au renouvellement urbainFavoriser le renouvellement de la ville sur elle-même est uneorientation majeure du Schéma directeur de 2002, et un objectifessentiel pour maîtriser l’étalement urbain.Au sein du schéma directeur, cette ambition s’est traduite par lastratégie de la « ville renouvelée », visant à requalifier les secteursphysiquement, socialement et économiquement dégradés de lamétropole. Ainsi, des périmètres prioritaires ont été inscrits sur lacarte de « destination générale des sols » du Schéma directeur.Les sites de « requalification urbaine et ville renouvelée » ycouvrent environ 4 000 ha sur 22 communes.La « ville renouvelée » : une politique à poursuivreMis en œuvre opérationnellement au sein du territoirecommunautaire à partir des années 2000, le concept de « villerenouvelée » porté par le schéma directeur s’est traduit par larequalification de nombreux sites. Sur la base d’un premier bilandes politiques mises en œuvre, elle a été réaffirmée au mois dejuin 2009 à travers l’adoption par la MEL d’une délibération-cadrequi a affirmé la nécessité de poursuivre et d’actualiser lagéographie prioritaire de la ville renouvelée.Aménagements d’espaces publics, réhabilitations deconstructions existantes, créations de nouveaux programmesd’équipements ou de logements ont contribué à requalifier lesanciens espaces industriels et à leur redonner de la valeur. De2000 à 2014, environ une centaine de projets derequalification de quartiers ou de friches ont été achevés,lancés ou étudiés. Les mutations du centre-ville de Roubaix, ducentre du quartier de Fives à Lille, ou encore du quartier duVirolois à Tourcoing illustrent, parmi bien d’autres projets, leseffets de cette stratégie.Deux des pôles d’excellence du Schéma directeur sont situés enville renouvelée - les Rives de la Haute-Deûle à Lille-Lomme et lesite de l’Union à Roubaix, Tourcoing et Wattrelos - etcorrespondent à des opérations majeures de transformation defriches industrielles pour créer des écoquartiers. Pour le premiersite, après la réhabilitation de l’ancienne usine Le Blan-Lafont encentre d’affaires dédié aux technologies de l’information et de lacommunication, l’édification d’importants programmes delogements et de bureaux continue. À l’Union, le Centre du textileinnovant (CETI) est achevé, la transformation de l’ancien siteVanoutryve en pôle d’activités du son et de l’image se poursuit, etles opérations de logements et de bureaux sont en cours.Les dix programmes du plan national de rénovation urbaineconcernant les quartiers de grands ensembles, tous situés dansles territoires de « ville renouvelée », sont en voie d’achèvementou en cours de

des zones d'activit#s p#riph#riques, toutes ces extensions pr#sentant une assez faible densit# et une qualit# trop souvent m#diocre au regard des am#nit#s urbaines induites. Les espaces p#riurbains du territoire m#tropolitain se tro uvent ainsi soumis % une forte pression fonci(re par l'arriv#e d e nouveaux m#nages.

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