PSUP PROGRAMME PARTICIPATIF D’AMÉLIORATION DES BIDONVILLES .

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PSUPPARTICIPATORY SLUM UPGRADING PROGRAMMEPROGRAMME PARTICIPATIF D’AMÉLIORATION DES BIDONVILLESPPABKENYAHISTOIRE D’IMPACT:La nouvelle constitution et l’autonomisation des districts à promouvoir lastratégie d’amélioration des bidonvilles au niveau de la ville1Remarque: Les frontières, noms indiqués et désignations employées sur cette carte nevalent pas reconnaissance ou acceptation officielle par l’ONU-Habitat.IntroductionAvec plus de la moitié (environ 56%2) de la population urbaine vivantdans des établissements informels et des bidonvilles, et un taux de croissance urbaine de 4,34%3, la capacité et l’engagement de la Constitution kenyane de 2010 pour faire face au défi du logement abordableet des bidonvilles du pays, polarisent l’attention. Cette histoire d’impactexplore les cadres et les plates-formes que le Kenya a mis en place pourentreprendre une amélioration des bidonvilles à l’échelle de la ville, etla façon dont le Programme Participatif d’Amélioration des Bidonvilles(PPAB) a contribué aux progrès du Kenya vers une approche d’amélioration et de prévention à l’échelle de la ville. Le Kenya a plus de trente ansd’expérience dans l’amélioration des bidonvilles. Il a rejoint le programmePPAB en 2010 et est actuellement en phase de mise en œuvre, ayantintégré les principes et l’approche très rapidement, comme reflété, parexemple, dans le projet actuel de Politique Nationale d’Amélioration etde Prévention des Bidonvilles, et le projet de Politique de DéveloppementUrbain. À la lumière de l’intérêt actuel du pays pour les bidonvilles et leurprévention, le Kenya offre une étude de cas et une « histoire d’impact »particulièrement utiles sur la façon dont une approche à l’échelle de laville pourrait être adoptée.Qu’est-ce qu’une amélioration des bidonvillesà l’échelle de la ville et “dans les bonnesproportions”, et pourquoi est-elle importante?Les approches d’amélioration des bidonvilles à l’échelle de la ville sontplus complètes que les réponses au coup par coup traditionnelles. Ellessont inclusives et reconnaissent que les questions urbaines comme cellesdes bidonvilles, ne peuvent pas être traitées isolément. Plutôt, elles voientle tissu urbain comme un système ayant des composantes et des liensinterdépendants entre différentes personnes et différents lieux. Les principales caractéristiques de l’amélioration des bidonvilles à l’échelle de laville sont: Synergies and intégration: veiller à ce qu’il existe des connexionsentre les principaux plans, les parties prenantes et les institutions, desorte que les réseaux d’infrastructure et de transport de base, parexemple, soient harmonisés, et qu’un environnement urbain inclusif,innovant et fonctionnel, soit atteint. e(thématiquement et spatialement) pour résoudre les problèmes d’unlieu spécifique, mais avec l’accent mis sur le contexte urbain dans sonensemble, y compris la périphérie urbaine et les développements quipourraient tomber en dehors des limites administratives formelles. Conception et mise en œuvre participatives : s’assurer quel’engagement et que la coordination soient au cœur de l’approcheà l’échelle de la ville, et inclure les habitants des bidonvilles euxmêmes. Son leadership : comprendre l’approche à l’échelle de la ville, lavaleur du développement pour tous, le rôle de toutes les partiesprenantes, s’assurer que le financement est disponible et que lesrésultats sont délivrés à tous les niveaux4.L’amélioration des bidonvilles au KenyaReconnaissant l’importance et la valeur du développement urbain, le Kenya a entrepris une amélioration des bidonvilles et une rénovation urbainein situ depuis les années 1980. Au cours de cette première période, legouvernement a créé le Département du Développement Urbain (UDD),chargé de relever les défis du développement urbain, notamment celuides bidonvilles. Au début des années 2000, « l’approche d’interventionminimum » (MINA) débuta, basée sur l’idée d’un changement progressif et dans le but d’optimiser les ressources des partenaires et des dif-123Cette Histoire d’Impact fut développée en collaboration avec les programmes d’Amélioration desBidonvilles du Kenya.Programme des Nations Unies pour les Etablissements Informels (ONU-Habitat), Base de Données desIndicateurs Urbains Mondiaux de 2015.Le Département des Affaires Economiques et Sociales de l’ONU, Division Population – Perspectives del’Urbanisation Mondiale : la Révision de 2014. ONU-Habitat Sa nature stratégique: accent mis sur les résultats stratégiques à lafois pour le développement durable au niveau local et au niveau dela ville, en tenant compte de ce que l’ONU-Habitat estime être les «trois leviers » pour une urbanisation durable : une politique et unelégislation appropriées et réalisables, un développement économiqueet un financement inclusifs, et une planification intégrée pour desgains de prospérité à court et à long terme.4Adapté de l’ONU-Habitat (2010). Planification à l’échelle de la ville : guide étape par étape et GuidePratique (2015) de l’ONU-Habitat pour Concevoir, Planifier et Exécuter les Programmes d’Améliorationdes Bidonvilles à l’échelle de la Ville, incorporant le Nouvel Agenda Urbain de l’ONU-Habitat (Septembre2014).

ONU-Habitatférentes parties prenantes. Représentant une étape importante vers uneamélioration durable et inclusive des bidonvilles, MINA fut développéeet testée initialement par le Programme de Développement des PetitesVilles, cofinancé par la German International Coopera tion GIZ (alorsGTZ). L’approche a mis l’accent sur la participation des communautés, lasécurité d’occupation et l’objectif de n’entreprendre que des démolitionsminimales; et a depuis formé la base de plusieurs projets d’améliorationdes bidonvilles soutenus par UDD, dont le Programme d’Amélioration desBidonvilles de Korogocho.avec l’esprit de la Constitution de 2010 et l’actuel projet de StratégieNationale d’Amélioration et de Prévention des Bidonvilles.Opportunités offertes au Kenya pour uneamélioration intégrée de ses bidonvilles àl’échelle de la villeLe Kenya possède un certain nombre de politiques et d’institutions déjàen place et des activités en cours qui sont de solides fondations pour lapromotion de l’amélioration durable des bidonvilles à l’échelle de la ville.Parmi celles-ci:Depuis lors, différents gouvernements du Kenya ont initié ou conclu despartenariats avec des organisations internationales pour améliorer lavie des habitants des bidonvilles, à travers un certain nombre de programmes. Ces partenariats ont inclus le Programme d’Amélioration desBidonvilles du Kenya (KENSUP), qui a été lancé en 2001 sous l’ancienMinistère des Routes, des Travaux Publics et du Logement. Ce vaste programme en cours vise à institutionnaliser l’amélioration des bidonvilles «à bonne échelle » et à améliorer les moyens d’existence des personnesvivant et travaillant dans les bidonvilles du Kenya, en garantissant la sécurité d’occupation, des améliorations des infrastructures et des revenus, etla génération de revenus. L’ONU-Habitat a appuyé KENSUP de diversesmanières et continue d’y contribuer à travers le Comité Technique Consultatif de KENSUP.ll Les politiques nationales concernées : la Politique Nationale duLogement (Publication de Session parlementaire n 3 de 2004), laPolitique Foncière Nationale (Publication de Session parlementairen 3 de 2009), les projets actuels de la Politique Nationaled’Amélioration et de Prévention des Bidonvilles, et la PolitiqueNationale de Développement Urbain.ll Les Stratégies Nationales Urbaines concernées: La Vision Kenya2030 dont le pilier social cherche à installer des infrastructuresphysiques et sociales appropriées, dans les bidonvilles.ll Les arrangements institutionnels concernés: dont la présencede Départements gouvernementaux clés, comme un Départementdu Logement et un Département de l’Amélioration des Bidonvilles.Le Programme Municipal Kenya (KMP) n’avait pas pour objectif directl’amélioration des bidonvilles mais plutôt le renforcement des capacitésdu gouvernement municipal, le développement de l’infrastructure et lapromotion de la planification dans une quinzaine de villes à l’échelle nationale. L’approche de planification participative du programme à l’échellede la ville a cependant été importante pour attirer l’attention sur le défiposé par les bidonvilles. Le Programme d’Amélioration des EtablissementsInformels du Kenya (KISIP) opérait aux côtés du Programme Municipal duKenya, et représente un effort de collaboration entre le Gouvernementdu Kenya et des bailleurs de fonds internationaux (Banque mondiale,l’Agence Suédoise pour le Développement International (SIDA), l’AgenceFrançaise de Développement (AFD) et l’ONU-Habitat). Le programme étaitspécifiquement axé sur l’amélioration des bidonvilles au niveau des quartiers, et a été mise en œuvre-mêmes dans les mêmes centres urbains quele KMP.ll La mobilisation de partenaires multilatéraux et bilatéraux definancement et d’investissement: par exemple, le KISIP, le KMP etle plus grand programme de gestion urbaine (KenUP), actuellementen cours de discussion.ll Constitution Nationale axée sur l’Urbain: la Constitution duKenya de 2010 a reporté l’attention et la structure du gouvernementvers un système de gouvernance décentralisé (représenté par les 47nouveaux gouvernements de comté), pour promouvoir une « sociétéouverte et démocratique fondée sur la dignité humaine, l’égalité,l’équité et la liberté5». Il offre une opportunité pour l’améliorationdes bidonvilles à l’échelle de la ville, à travers: Une structure de gouvernance décentralisée: qui donne auxgouvernements au niveau des comtés, le mandat de dialoguerdirectement avec ses électeurs et de répondre à leurs besoins etdroits, ce qui peut inclure l’amélioration des conditions de viedes habitants des bidonvilles.Enfin, le gouvernement du Kenya a utilisé l’approche du PPAB del’ONU-Habitat comme point d’entrée pour compléter et, dans certainscas, pour renforcer ses approches existantes pour l’amélioration desbidonvilles. Par exemple, le PPAB a été utilisé comme un véhicule pourmobiliser les partenaires clés, renforcer les capacités, favoriser les liensinstitutionnels, et soutenir le processus d’élaboration d’une vision commune de l’amélioration des bidonvilles pour le Kenya, en concordance Un Mandat de Planification Urbaine: La planification estdevenue prioritaire et les gouvernements de comté sont habilitésà entreprendre une planification participative physique.5KENYA HISTOIRE D’IMPACT213 Article 20 (4) (a), Constitution du Kenya, 2010.

Des ministères du gouvernement national rationalisés etinterdépendants: Les départements qui étaient auparavantreliés mais toutefois déconnectés, sont désormais liés par lafusion des fonctions du ministère. Par exemple, le Départementdu Développement Urbain fait maintenant partie du Ministèrede la Terre, du Logement, et du Développement Urbain.ll Créer des fora et des plates-formes de partage des connaissancesprogrammatiques et des échange d’apprentissage, dont ledéveloppement des capacités des cadres techniques au niveau desComtés.Les avantages du Programme Participatifd’Amélioration des Bidonvilles de l’ONUHabitat au Kenya Cadre des Droits: les droits urbains fondamentaux sontpromus par la Déclaration des Droits (le droit à un logementconvenable, l’accès à l’eau potable et à l’assainissement6). Ilexiste aussi un projet de Loi Anti-Expulsion.En 2010, au moment où la nouvelle constitution fut promulguée, le Kenyarejoint le Programme de Participatif d’Amélioration des Bidonvilles (PPAP)de l’ONU-Habitat, et fait partie du groupe mondial de trente-cinq paysdu PPAB, qui cherchent à renforcer l’impact structurel de l’améliorationdes bidonvilles, comme un mécanisme pour soutenir le développementurbain pro-pauvre, durable et à l’échelle de la ville. Le Kenya a véritablement adopté le programme PPAB, comme le démontrent les réalisationsspécifiques suivantes: Mandats d’engagement civique renforcés: la planificationparticipative est imposée dans tous les processus de planificationurbaine et étroitement liée à l’allocation de financement, en lienavec les Plans de Développement Urbains Intégrés des Comtés.La constitution et la législature de gouvernance relative (Loi surles Zones Urbaines et les Villes, et la Loi sur les Gouvernementsde Comté) nécessitent des budgets basés sur des Plans, et surun engagement structuré des parties prenantes. Des cadresde gestion des terres renforcés, tels que la Loi Foncière à venir,la Commission Foncière Indépendante et la Loi sur les CentresUrbains et les Villes (qui rend obligatoire l’élaboration deplans intégrés), aideront tous à renforcer la gestion des terresurbaines.Gouvernancell Adopta les principes et les objectifs du PPAB, représenté par l’EquipePays active qui a veillé à ce que les institutions et les intervenants cléss’approprient complètement le PPAB, et à une répartition du budgetnational et de l’allocation du budget du comté en faveur du PPAB.ll Développa des connaissances normatives, aboutissant à la définitionnationale des bidonvilles et des quartiers informels au Kenya. Leprocessus d’inventaire urbain dans diverses villes a fourni des chiffreset des faits importants sur la profondeur et l’ampleur des conditionsdes bidonvilles, qui ont contribué à la définition contenue dans leprojet de Politique Nationale d’Amélioration et de Prévention desBidonvilles.Prochaines étapes recommandées pourrenforcer l’amélioration des bidonvilles auKenyaLe PAB a identifié un ensemble de “prochaines étapes” potentielles, àmême de permettre la mise en œuvre d’une approche d’amélioration desbidonvilles à l’échelle de la ville au Kenya:ll Renforça la volonté des gestionnaires urbains d’intégrer leshabitants des bidonvilles et les bidonvilles dans l’environnementurbain plus large, à travers les outils du PPAB, et la possibilité dedévelopper les capacités (ateliers, informations MyPSUP et plateforme d’apprentissage), qui ont été officiellement demandées par legouvernement national du Kenya pour ancrer le programme sur lelong terme, dans tous les comtés.ll Élaborer des points de repère clairs et convenus au niveau national etdes comtés sur ce à quoi ressemble un contexte urbain “amélioré”,afin d’actionner une vision “à l’échelle de la ville », de soutenir ledéveloppement d’indicateurs de réussite, et de comprendre lesbesoins d’investissement.ll Renforcer le cadre politique et juridique pour promulguer laNouvelle Constitution et d’autres propositions visionnaires (commela Vision 2030 du Kenya), en matière de logement convenable etd’amélioration des bidonvilles.ll Facilita et encouragea la coordination institutionnelle entre lesdifférents programmes nationaux d’amélioration des bidonvilles etles acteurs, afin de développer une plate-forme d’apprentissage etd’échange à long terme.ll Ratifier les plates-formes politiques clés telles que la Politiqued’Amélioration des Bidonvilles, la Politique de DéveloppementUrbain et la Loi Foncière Nationale.ll Fournit un nouveau modèle pour mobiliser les habitants desbidonvilles eux-mêmes dans des projets de développement urbain,de manière stratégique et autonome. Les Fonds Gérés par lesCommunautés par exemple, sont gérés et répartis par les Comitésde Résidents Communautaires élus, et offrent aux gouvernementsdes Comtés une structure pour travailler avec les communautés demanière réciproque. Les habitants des bidonvilles font aussi partieintégrante de la prise de décision globale sur les projets individuelsdu PPAB, par l’intermédiaire de leur participation à l’Equipe-Pays duKenya, les associations de résidents et l’approche participative auniveau du projet.ll Améliorer la coordination entre les programmes existantsd’amélioration des bidonvilles au niveau national et au niveaudu comté, de sorte que la vision nationale, la coordination desressources et l’échange de connaissances puissent être optimisées.Cela nécessite également d’aligner les mandats et les activités desdépartements gouvernementaux nationaux clés tels que ceux dela Terre, du Logement, de l’Infrastructure et de l’Amélioration desBidonvilles.ll Intégrer les systèmes de gestion des terres pour offrir des optionsfavorables aux personnes pauvres pour les terrains viabilisésabordables.ll Encouragea l’amélioration de la gestion foncière et de la sécuritéd’occupation, ce qui s’est traduit par des efforts de régularisationfoncière dans certains projets. Dans le projet Mtwapa par exemple,plus de 12,000 ménages bénéficieront du processus de régularisationfoncière.ll Améliorer les options de financement pour le logement etl’amélioration des bidonvilles.Politiquesll Renforcer les moyens par lesquels les données sociodémographiquessont comprises et utilisées pour informer les départementsNationaux clés et les gouvernements des Comtés, de sorte que lesdécisions soient adéquatement ciblées. Cela inclut la création d’unObservatoire Urbain National.6ll Appuya le développement du projet de Politique Nationaled’Amélioration et de Prévention des Bidonvilles du Kenya.Chapitre 4, Constitution du Kenya de 2010.KENYA HISTOIRE D’IMPACT3

ll Influença la collecte et le type de données nationales disponiblessur les bidonvilles. L’approche de collecte de données du PPAB,mettant l’accent sur les données SIG de niveau national, a alimentél’exercice de cartographie urbaine SIG à l’échelle nationale, évaluantainsi le nombre de bidonvilles et alimentant la Politique Nationale deDéveloppement Urbain.Planification participative à l’échelle de la villell Souligné l’importance de mobiliser toutes les parties prenantesdans la planification à l’échelle de la ville. En élaborant les Plans deDéveloppement Urbain Stratégique Intégrés (ISUDP), le ministèreprécédent du gouvernement local a adopté le processus du PPABtel qu’entrepris à Mtwapa. D’autres villes urbaines régionales, dontEmbu, Kisii et Kilifi, ont également appliqué l’approche dans ledéveloppement de leurs plans.ll Renforça la capacité des communautés à jouer un rôle central dansla planification et la collecte de données. La méthodologie d’analysesituationnelle et de profil de planification du PPAB, a été utilisée demanière efficace au Kenya, et reproduit dans d’autres projets dedéveloppement dans les différentes régions du pays.ll Offrit un modèle de développement urbain mené par les citoyens,par le biais des Comités de Résidents du PPAB et des Fonds de ProjetGérés par les Communautés. Les Comités de Résidents sont élusdémocratiquement par les membres des communautés locales ,y compris les femmes, les jeunes et les personnes vivant avec unhandicap. Ces comités prennent des décisions clés sur les projetslocaux à développer, et gèrent le financement associé (dix pour centdes fonds sont alloués par l’intermédiaire des Fonds Gérés par lesCommunautés).ll Développa les capacités et des compétences pratiques. LesFonds Communautaires ont aussi eu un effet de développementcatalytique, en offrant aux femmes et aux jeunes un financement dedépart et les connaissances nécessaires pour accéder à d’autres fondsgouvernementaux, dont le Programme National de Financement duDéveloppement des Entreprises et le « Uwezo » et « Fonds pour laJeunesse » du Ministère de la Décentralisation et de la Planification.Les réactions des groupes de résidents suggèrent qu’il existe d’autrescompétences en cours de développement liées à la gestion, qui setraduisent par d’autres projets à petite échelle.Information et Apprentissage pour le plus grandnombrell Renforça la disponibilité des informations sur l’amélioration desbidonvilles par l’intermédiaire du site web MyPSUP, de Facebook etdes blogs qui ont mobilisé les communautés locales et partagé desconnaissances au niveau national.ConclusionLe Kenya a une longue histoire d’amélioration des bidonvilles derrière lui.L’avènement de la Constitution de 2010, la législature qui s’en découle etl’autonomisation des gouvernements de comté, promettent de garantiret de renforcer les leçons tirées de

des bidonvilles à l’échelle de la ville, à travers: Une structure de gouvernance décentralisée: qui donne aux gouvernements au niveau des comtés, le mandat de dialoguer directement avec ses électeurs et de répondre à leurs besoins et droits, ce qui peut inclure l’amélioration des conditions de vie des habitants des bidonvilles.

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