Notification Aux Partenaires Liée Aux ITSS Pourquoi, Pour . - Ccnmi.ca

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Centre de collaboration nationale des maladies infectieusesNotification aux partenaires liée aux ITSS :Pourquoi, pour qui et comment?Déterminer les produits et outils utiles destinésaux praticiens de la santé publiqueActes du Forumde l’échange des connaissancesLes 4 et 5 marsMontréal (Québec)Notification aux partenaires liée aux ITSS : Pourquoi, pour qui et comment?Déterminer les produits et outils utiles destinés aux praticiens de la santé publiqueMontréal, mars 2013i

RemerciementsLe Centre de collaboration nationale des maladies infectieuses (CCNMI) tient à remerciertous les participants au Forum qui ont pris le temps de prendre part à cette réunion.Communiquez avec nous :Centre de collaboration nationale des maladies infectieusesCentre international pour les maladies infectieuses515, avenue Portage, Winnipeg (Manitoba) Canada R3B 2E9Tél. : (204) 943-0051Téléc. : (204) 946-0927Courriel : nccid@icid.comwww.nccid.caNuméro de projet 157Notification aux partenaires liée aux ITSS : Pourquoi, pour qui et comment?Déterminer les produits et outils utiles destinés aux praticiens de la santé publiqueMontréal, mars 2013i

SommaireDans le domaine de la santé publique, la notification aux partenaires (NP) est une desinterventions les plus pratiquées dans la prévention et le contrôle des infectionstransmises sexuellement et par le sang (ITSS). Malgré les efforts continus et lesressources accordées à la notification aux partenaires (NP), son taux d’efficacité parrapport à la réduction de l’incidence d’ITSS demeure incertain. Au cours des années, leCentre de collaboration nationale des maladies infectieuses (CCNMI) a entrepris desprojets qui visent à évaluer les données probantes disponibles sur l’efficacité etl’efficience de la notification aux partenaires dans la prévention et le contrôle de latransmission des ITSS au Canada.Les 4 et 5 mars 2013, le CCNMI a rassemblé 52 personnes des instances fédérales,provinciales, territoriales et régionales de la santé publique en plus de divers organismesprofessionnels et universités pour participer à un Forum d’échange des connaissances dedeux journées. Le Forum avait pour but d’établir l’ordre de priorité des questions etd’évaluer les écarts des savoirs et d’autres besoins concernant l’application desconnaissances à la NP. L’objectif de cette réunion qui avait pour thème la « Notificationaux partenaires liée aux ITSS : Pourquoi, pour qui et comment? Déterminer les produits etoutils utiles destinés aux praticiens de la santé publique », était d’obtenir des suggestionssur le type de produits de connaissances qui serviraient aux praticiens de la santépublique.En s’inspirant d’une liste de questions qu’on avait recensées avant la tenue du Forum, lesparticipants au Forum de l’échange des connaissances ont délibéré et travaillé ensemblepour préciser les défis sous-jacents. À la fin des deux journées, le groupe a égalementformulé des idées sur ce qu’il fallait faire pour passer à l’action relativement à ces défis.Les discussions et suggestions sur les solutions et produits de connaissances possiblesconcernant ces questions prioritaires éclaireront le travail qui pourra être effectué àl’avenir dans le domaine de la notification aux partenaires par le CCNMI et ses collègues.Notification aux partenaires liée aux ITSS : Pourquoi, pour qui et comment?Déterminer les produits et outils utiles destinés aux praticiens de la santé publiqueMontréal, mars 2013ii

Page viergeNotification aux partenaires liée aux ITSS : Pourquoi, pour qui et comment?Déterminer les produits et outils utiles destinés aux praticiens de la santé publiqueMontréal, mars 2013iii

Table des matièresRemerciementsiSommaireii1.0 Contexte12.0 Introduction23.0 Résultats de l’échange des connaissances33.1 Grandes questions des participants – discussion après la table ronde virtuelle33.2 Discussion de l’assemblée plénière : Comment procéder?63.3 Séance en atelier : Quels sont les éléments importants que l’on devrait incluredans les solutions définies?104.0 Étapes suivantes205.0 Évaluation du Forum21ANNEXE A – Ordre du jour du Forum d’échange des connaissances23ANNEXE B – Liste des participants25ANNEXE C – Exercice avant la réunion – Table ronde virtuelle29ANNEXE D – Formulaire d’évaluation30ANNEXE E – Compilation des résultats de l’évaluation de la réunion34Notification aux partenaires liée aux ITSS : Pourquoi, pour qui et comment?Déterminer les produits et outils utiles destinés aux praticiens de la santé publiqueMontréal, mars 2013iv

1.ContexteLe Centre de collaboration nationale des maladies infectieuses (CCNMI) est l’un des six centresde collaboration nationale en santé publique créés et financés par l’Agence de la santé publiquedu Canada (ASPC). Le CCNMI est parrainé par le Centre international pour les maladiesinfectieuses (CIMI) qui est situé à Winnipeg (Manitoba).La mission du CCNMI est de faciliter l’utilisation des données probantes et émergentes sur lesmaladies infectieuses de sorte à éclairer les programmes et les politiques de santé publique. Lesfonctions primaires du CCNMI sont : la définition des lacunes en matière de connaissances dans les domaines de la recherche etde la pratiquela synthèse, l’application et l’échange des connaissances pour intégrer les données probantesobtenues de la recherche et de l’expérience aux politiques et à la pratiqueDans le domaine de la santé publique, la notification aux partenaires (NP) est une desinterventions les plus pratiquées dans la prévention et le contrôle des infections transmisessexuellement et par le sang (ITSS). Malgré les efforts continus et les ressources accordées à lanotification aux partenaires (NP), son taux d’efficacité par rapport à la réduction de l’incidenced’ITSS demeure, toutefois, incertain.Au cours des années, le CCNMI a entrepris des projets qui visent à évaluer l’efficacité etl’efficience de la notification aux partenaires dans la prévention et le contrôle de la transmissiondes ITSS au Canada.Les 4 et 5 mars 2013, le CCNMI a rassemblé plus de 50 personnes des instances fédérales,provinciales, territoriales et régionales de la santé publique en plus de divers organismesprofessionnels et universités pour participer à un Forum d’échange des connaissances de deuxjournées. Le Forum avait pour but d’établir l’ordre de priorité des questions et d’évaluer les écartsdes savoirs et d’autres besoins liés à l’application des connaissances à la NP. L’objectif de cetteréunion qui avait pour thème la « Notification aux partenaires liée aux ITSS : Pourquoi, pour qui etcomment? Déterminer les produits et outils utiles destinés aux praticiens de la santé publique »,était d’obtenir des suggestions sur le type de produits de connaissances qui serviraient auxpraticiens de la santé publique.Le Forum d’échange des connaissances organisé par le CCNMI et tenu à Montréal les 4 et5 mars 2013, a offert une occasion de discuter ouvertement des meilleurs moyens d’aborder lesdéfis concernant la notification aux partenaires liée aux ITSS avec des praticiens et des chercheursen santé publique. Dans le cadre de cette réunion, le CCNMI a aussi fait connaître les conclusionsrécentes des projets de recherche aux participants.Notification aux partenaires liée aux ITSS : Pourquoi, pour qui et comment?Déterminer les produits et outils utiles destinés aux praticiens de la santé publiqueMontréal, mars 20131

2.IntroductionLe but de l’événement de deux jours était de :Fournir un forum qui permettrait l’échange d’information et une discussion ouverte entreles praticiens de la santé publique et les chercheurs sur les moyens possibles d’incorporerles connaissances actuelles sur la notification aux partenaires liée aux ITSS à la pratique etles moyens de réduire les écarts des savoirs.Les objectifs de ce Forum d’échange des connaissances étaient les suivants :1. Offrir une vue d’ensemble et les conclusions de la recherche aux participants sur le projetde notification aux partenaires liée aux ITSS du CCNMI2. Offrir des occasions d’échange d’information et d’idées sur les stratégies de notificationaux partenaires mises à l’essai par les compétences locales de la santé publique3. Définir des moyens permettant d’incorporer les connaissances tirées de la recherche et del’expérience locale aux politiques et aux pratiques4. Définir les écarts des savoirs sur la notification aux partenaires liée aux ITSS et les moyenspermettant de les réduire5. Déterminer un rôle que le CCNMI pourrait adopter et les étapes suivantes dans le but defaciliter l’amélioration des programmes de notification aux partenaires liée aux ITSS àl’échelle du CanadaVous trouverez l’ordre du jour définitif du Forum de l’échange des connaissances à l’annexe A. Lesparticipants à l’événement ont compris des représentants de l’ASPC, de la Direction générale de lasanté des Premières nations et des Inuits de Santé Canada, de l’Association canadienne de santépublique, des ministères provinciaux et territoriaux de la Santé et des agences de la santépublique, des instances régionales et locales de la santé publique aussi bien que des chercheursde nombreuses universités. Pour consulter la liste de tous les participants, reportez-vous àl’annexe B.Les participants ont profité de cinq exposés en avant-midi de la première journée de manière àles aider à entrer en matière. Les quatre premiers exposés ont servi à résumer les conclusions desexamens de preuves réalisés jusqu’ici à la demande du CCNMI l’année précédente sur les sujetssuivants : Compte rendu historique de la notification aux partenaires en Amérique du Nord – parOmobola Sobanjo Notification aux partenaires liée à la chlamydia – Pamela Leece Notification aux partenaires liée au VIH – Nicole Findlay Nouvelles technologies dans le cadre de la notification aux partenaires – Mayank SingalNotification aux partenaires liée aux ITSS : Pourquoi, pour qui et comment?Déterminer les produits et outils utiles destinés aux praticiens de la santé publiqueMontréal, mars 20132

Le cinquième exposé présenté par Ashleigh Tuite était intitulé « Une modélisation par agent sur latransmission de Chlamydia trachomatis au sein d’une sous-population canadienne ». Le CCNMIoffrira la version intégrale de tous ces exposés plus tard en 2013. 13.Résultats de l’échange des connaissances3.1Grandes questions des participants – discussion après la table ronde virtuelleDans le but d’entamer les discussions dans le cadre du Forum de l’échange des connaissances, leCCNMI a envoyé une liste de questions prioritaires possibles et a demandé aux participants de lesmettre en ordre de priorité en tenant compte du programme de notification aux partenaires liéeaux ITSS de leur instance et d’ajouter leurs commentaires. Au moyen de cette « table ronde »virtuelle, les participants ont répondu aux questions en indiquant les questions les plus urgentes.L’entière compilation des résultats de la table ronde figure à l’annexe C.Pendant l’après-midi de la première journée, les participants ont eu l’occasion de faire connaîtreleurs questions prioritaires à l’ensemble du groupe. On a résumé les questions les plus urgentesen fin de journée de la façon suivante :Difficultés principales liées à la notification aux partenairesQuestionDétailsDifficulté à obtenir des renseignements identifiables etlocalisables sur les partenairesCertains ne peuvent ou ne veulent s’en souvenir : identitépartielle, partenaires anonymes ou ils refusent de nommerles cas de contact Ressources adéquates pour assurer un niveau deservice convenable Gestion du temps et des ETP d’infirmières de la santépublique Vaste territoire, populations mobiles et questionspangouvernementales L’efficacité de la NP Les infirmières de la santé publique ne travaillent quependant la journée. Difficulté à joindre les jeunes d’âgescolaire pendant les heures d’ouvertureEn général, comment procéder pour obtenir et accorderdes ressources à la NP?1Nota : L’exposé sur le compte rendu historique ne sera pas offert. Pour en savoir davantage, consultez lanotification aux partenaires à www.nccid.ca.Notification aux partenaires liée aux ITSS : Pourquoi, pour qui et comment?Déterminer les produits et outils utiles destinés aux praticiens de la santé publiqueMontréal, mars 20133

Examen de la pertinence de la NP générale liée à laChlamydia et prise en considération des circonstances etdes populations prioritaires relatives à la NP De nombreux cas de Chlamydia. La notification auxpartenaires liée à la Chlamydia par les infirmières de lasanté publique est insoutenable et ne se révèle pasefficace. Le fait de définir les objectifs et de formulerdes stratégies est difficile (Se concentrer sur les cas quisont plus aptes à avoir des séquelles négatives? Sur lespersonnes qui font partie des réseaux sexuels ayantdes taux élevés? Sur les inégalités en matière desanté?). Un manque de données probantes pouréclairer les décisions concernant les programmesClarification des rôles et des responsabilités entre lesmilieux de la santé publique et des soins primaires, etentre les omnipraticiens et les spécialistes Le bon équilibre de professionnels chargés de la NPLa NP effectuée par du personnel non médical, p. ex.,les spécialistes-intervenants des maladies?Certains fournisseurs de soins de santé chargés du casne reconnaissent pas que le fournisseur n’est pastoujours le mieux placé pour offrir la notification auxpartenaires et que les infirmières de la santé publiquesont en mesure d’offrir ce service de manière pluscompréhensive. Un service d’approche actif offert auxfournisseurs de tests réduit cette perception, mais ils’agit, toutefois, d’une perception que certainsretiennent. Comment aborder le désaccord entre les milieux desoins primaires et de la santé publique sur la NP? Un manque de lignes directrices, de normes derendement et de consignes provinciales bien définies surles dilemmes moraux et juridiquesDes moyens d’évaluer et de mitiger les retombées de laNP Clarifier le rapport entre les lignes directrices et lespratiques attendues Les attitudes envers la notification aux partenaires liéeau VIH peuvent varier au sein des collectivités et entrecelles-ci, mais la stigmatisation du VIH, la crainte denuire à sa réputation et de la criminalisation semblentêtre des thèmes importants qui reviennent.Stigmatisation du VIH, en particulierDans les petites collectivités des Premières nations, onse préoccupe de la confidentialité. Un manque de politiques et de lignes directrices surl’utilisation des médias sociaux en ce qui concerne la NPDivers niveaux de collaboration de la part de certainspraticiens qui voient l’intervention du milieu de la santépublique comme étant dérangeanteDes personnes qui se présentent sous le couvert del’anonymat dans des cliniques urbaines qui necollaborent pas bien avec le milieu de la santépublique Impossible de trouver les partenaires occasionnels ouanonymes (p. ex., ceux qui se sont rencontrés aumoyen des services de rencontre offerts en ligne). Lespolitiques de protection de la vie privée desorganismes limitent l’utilisation des médias sociaux (lesNotification aux partenaires liée aux ITSS : Pourquoi, pour qui et comment?Déterminer les produits et outils utiles destinés aux praticiens de la santé publiqueMontréal, mars 20134

messages courriel) et interdisent l’utilisation demessages texte et de Facebook. Il n’existe pas depolitiques ou de modalités sur l’utilisation des médiassociaux qui permettraient la notification aux partenairesen ligne et elles sont interdites dans tous les outils etsites de médias sociaux des lieux de travail desparticipants.Il faut des approches à la NP adaptées aux réalitésculturelles des populations ethniques. De plus, une collectivité a reçu l’approbation de soninstance de santé publique au niveau local pouradapter les formulaires provinciaux de sorte à ce qu’ilstiennent mieux compte de la réalité culturelle d’unePremière nation.Un accès aux services de soins primaires Tests et traitement des partenairesTester et traiter?Comment parvient-on à mieux choisir des indicateurspertinents aux fins du programme d’évaluation et decomparaison entre instances gouvernementales? Problèmes de suivi des résultats de la notification etpeu d’information validée sur les résultats du processus(nombre de partenaires dépistés qui ont reçu untraitement épidémiologique)« des connaissances qui orientent la pratique »Indicateurs pertinents (indicateurs sur les normes del’ASPC?) Rappels de suivi auprès des personnes atteintes du VIHconcernant les pratiques sexuelles sans risqueDéfinir les priorités en matière de formation et travailleravec les agences qui offrent un tel service Programme de formation : QC, BCCDC, modules enligne, spécialiste-intervenant des maladies Demander aux groupes marginalisés de nous proposerdes moyens qui nous permettraient de travaillerensemble pour les appuyer dans les efforts contre lesITSExamen et clarification des buts et objectifs de la NP Revoir le « pourquoi » : Sommes-nous clairs surl’objectif de la NP; pourquoi a-t-on besoin de la NP?Quels sont les buts et objectifs de la NP plus générauxque l’on devrait considérer? Dans le domaine desmaladies plus classiques, nous faut-il plus de donnéesprobantes pour nous permettre de mettre en ordre depriorité les programmes de NP? Comment met-on àprofit ces données probantes?Il faut une meilleure gestion des données surl’évaluation de la recherche. Panorama, iPhis, dossiers de santé électroniquesSensibilisation des collectivités à la notification auxpartenaires, au dépistage et aux tests pour les groupes àrisque élevéTravailler avec les groupes à risque élevé de manière àdéfinir leurs propres priorités en matière d’interventionliée aux ITSNotification aux partenaires liée aux ITSS : Pourquoi, pour qui et comment?Déterminer les produits et outils utiles destinés aux praticiens de la santé publiqueMontréal, mars 20135

Étude de prévalence ponctuelle sur la Chlamydia auCanadaComment agir en partenariat avec les sites de rencontreen ligne pour créer des outils permettant la notificationaux cas de contact anonymes?Étude sur l’AIP dans les régions sans notification auxpartenaires liée à la Chlamydia dans le but decomprendre l’évolution naturelle de l’infection àchlamydia.3.2Discussion de l’assemblée plénière : Comment procéder?Après une récapitulation des discussions de la journée précédente, on a réservé ladeuxième journée du Forum d’échange des connaissances, dans un premier temps, auxdiscussions sur les étapes suivantes lors de la discussion de l’assemblée plénière etensuite lors des séances en atelier qui comprenaient des petits groupes (voir ci-dessous).Pendant la séance plénière, les participants ont donné leurs points de vue sur lesquestions à l’étude pour ensuite les morceler en divers sujets de discussion et danscertains cas, on a trouvé des solutions possibles.QuestionUn manque de lignes directrices, de normes derendement et de consignes provinciales bien définies surles dilemmes moraux et juridiquesUn manque de politiques et de lignes directrices surl’utilisation des médias sociaux en ce qui concerne la NPDétails / Solutions Clarifier le rapport entre les lignes directrices et lespratiques attendues Élaborer des principes, des politiques et des lignesdirectrices en matière d’éthiqueÉvaluations des retombées sur la vie privéeDéfinir les priorités en matière de formation et travailleravec les agences qui offrent un tel service Programme de formation : QC, BCCDC, modules enligne, spécialiste-intervenant des maladiesRevoir la pertinence de l’ensemble du système de NPliée à la Chlamydia et considérer les situationsprioritaires et les populations visées par la NP Établir la proportion des infections à CT repérées par laNP et analyser par facteur démographiqueProcéder à la NP dans les cas prioritaires et évaluerLes données probantes n’indiquent pas clairement lespersonnes qui sont les plus susceptibles aux AIP oucomment repérer les cas infantiles. En ne suivant queles femmes enceintes, il n’y a pas de possibilitéd’intervention – on remet en question l’hypothèsevoulant qu’il soit utile de suivre les femmes enceintes.S’il n’est pas possible de randomiser les instances,procéder à une étude comparative des pratiquescourantes (comparaison des résultats), notamment lesséquelles (p. ex., les AIP). Notification aux partenaires liée aux ITSS : Pourquoi, pour qui et comment?Déterminer les produits et outils utiles destinés aux praticiens de la santé publiqueMontréal, mars 20136

Comment parvient-on à mieux choisir des indicateurspertinents aux fins du programme d’évaluation et decomparaison entre instances gouvernementales? Recherche comparative (comparaison des quatreéléments suivants) : Aucune NP, le système actuel, lescas prioritaires seulement, une approche plus élargieLe rapport entre l’équipe en santé et les populationsvulnérables les plus susceptibles aux séquelles(groupes cibles du programme)On pourrait modifier les outils de recommandationdestinés aux fournisseurs de manière à ce qu’ils soientdestinés aux patients dans le but de réduire la chargede travail des infirmières et procéder ensuite à uneévaluation.Maximiser les sources de données existantes (p. ex.,l’ICIS) pour renforcer la recherche sur cette question.Les commentaires obtenus de la santé publiquepeuvent façonner les questions de la recherche enfonction des besoins en matière de politique.Problèmes de suivi des résultats de la notification etpeu d’information validée sur les résultats du processus« des connaissances qui orientent la pratique »Indicateurs pertinentso Trouver une liste d’indicateurs dans lalittérature, entrer en communication avec lesparticipants et les interroger sur la possibilitéd’utiliser leurs réponses qui serviraient àtoutes les instances. Quelle combinaisond’indicateurs offrirait le meilleur reflet duprogramme actuellement en place danschacune des instances?o Il faut avoir une idée juste des buts duprogramme et du modèle logique avantd’adopter des indicateurs. Ce constat est liéaux questions qui touchent la « raison d’être »de ce projet. Il faut un but englobant avant depouvoir définir les indicateurs.o Déterminer le nombre de tests de dépistagede la CT et les mettre en ordre de priorité enfonction de la méthode de Guelpho Utiliser les formulaires de collecte desdonnées pour déterminer les indicateursd’autres instances au lieu de formuler desindicateurs en recommençant à la case départo Les indicateurs au niveau du programmecomparativement aux indicateurs de larecherche (doivent être faciles à utiliser et àinterpréter)o Il faut un soutien FPT pour en arriver à unecomparaison pangouvernementaleNotification aux partenaires liée aux ITSS : Pourquoi, pour qui et comment?Déterminer les produits et outils utiles destinés aux praticiens de la santé publiqueMontréal, mars 20137

(l’obligation de rendre compte).Examen et clarification des buts et objectifs de la NP Revoir le « pourquoi » : Sommes-nous clairs surl’objectif de la NP; pourquoi a-t-on besoin de la NP?Quels sont des buts et objectifs de la NP plus générauxque l’on devrait considérer? Dans le domaine desmaladies plus classiques, nous faut-il plus de donnéesprobantes pour nous permettre de mettre en ordre depriorité les programmes de NP? Comment met-on àprofit ces données probantes?o On connaît déjà les buts et objectifs de la NP– on doit aller plus loin.o Nous ne sommes pas certains que la NP liée àla Chlamydia réduise la transmission; on doitse poser la question à savoir pourquoi ondébourse des fonds alors que les avantagessont minimes. Il n’existe pas suffisamment dedonnées probantes qui indiqueraient que laNP réduise la transmission et qu’elle réduiseles AIP. On remet en question le fait que laChlamydia devrait être une infection àdéclaration obligatoire (ce problème a traitprincipalement à la Chlamydia – la NP estefficace lorsqu’il s’agit d’autres ITS).o Mettre en ordre de priorité les maladies quinécessitent la NP et déterminer qui devrait enêtre chargé. Pour ce qui est de la CT, ladécision peut relever des clients, tandis qued’autres infections sont du ressort de la santépublique.o Peut-on obtenir des données probantes quinous indiqueraient quelles méthodes derecommandation seraient indiquées pourdiverses maladies?o On veut des données probantes sur l’efficacitéde toute intervention, y compris lesinterventions actuelles. Si le milieu de la santépublique n’a pas l’effet voulu, arrêtons etfaisons autre chose ou demandons à d’autresde le faire pour assurer une meilleureefficacité (l’étude écologique mentionnée cidessus). Il est important de comparer lesmaladies et les pratiques.o Consulter les lignes directrices en place etrepérer les parties qui ne sont pas appuyéespar des données probantes, p. ex., revoir lesdeux derniers mois et demander pourquoi ilen est ainsi. Où sont les données probantes?Notification aux partenaires liée aux ITSS : Pourquoi, pour qui et comment?Déterminer les produits et outils utiles destinés aux praticiens de la santé publiqueMontréal, mars 20138

oComment agir en partenariat avec les sites de rencontreen ligne pour créer des outils permettant la notificationaux cas de contact anonymes? Trouver les commentaires jugés arbitraires etse méfier des énoncés tels que les suivants :« en l’absence de données probantes, on agiraainsi » ou « c’est dans nos habitudes ».La déclaration de la CT comparativement à lapratique de la NPOn doit les payer.On doit conseiller les clients (les motiver, les aider àfaire preuve d’imagination et, du côté des clients et desinfirmières, leur apprendre à faire preuve de courage).Des politiques et des protocoles sur les moyens qu’onadoptera pour utiliser le site de manière à lespersuader qu’on a l’intention d’utiliser le sitecorrectement – p. ex., le site Manhunt permetactuellement cette façon de faire, mais demande quele ministère de la SP lui fournisse une politique sur lamanière qu’on compte utiliser son site. P. ex., commenton assurera la protection de la vie privée, formulera desmessages, etc. (les clients du site ne s’opposent pas àces façons de faire)Ce que d’autres ont fait (p. ex., les É.-U., la G.-B. –GMFA, les ONG de la G.-B.)Sur les politiques : Faire savoir aux propriétaires dessites Web que s’ils se préoccupent de perdre desclients, ils peuvent leur offrir le choix de bloquer toutecommunication sur les ITS qui pourrait leur êtretransmise par l’intermédiaire du siteComme point de départ, on pourrait présenter unaccord national standard à ces sites Web (quiexpliquerait l’intention, l’objectif, l’approchenormalisée) et on pourrait ensuite y apporter deschangements en fonction des discussions entre lespartenaires et les représentants des sites Web.La personne-ressource au niveau national établira unlien avec ces sites Web, elle aura une idée de ce quel’on entend par « norme » et « outil », et chaqueprovince pourra ensuite les utiliser (on croit qu’elleaurait de meilleures chances en ce qui concerne lacollaboration avec les sites Web).Anticiper les besoins futurs et la direction desdémarches futures (p. ex., un examen des lois et despolitiques nationales) – il faut des règlements pourrégir les modalités de ce nouveau mode decommunication.Inciter les groupes communautaires à collaborer avecles sitesUne approche aux politiques trop sévère peut avoir unNotification aux partenaires liée aux ITSS : Pourquoi, pour qui et comment?Déterminer les produits et outils utiles destinés aux praticiens de la santé publiqueMontréal, mars 20139

3.3effet contraire; on peut utiliser le couvert de l’anonymatà notre avantage dans les sites des médias sociaux.Rechercher : Quel est le rapport entre les médiassociaux et la transmission des maladies?Ces sites Web sont des entreprises – une partie del’équation c’est que « tout le monde y trouve soncompte » – pouvons-nous obtenir des données de cessites Web? Des accords mutuellement avantageux –créer des liens avec ces entités. Corrélation entre lerisque de la syphilis et les annonces de craigslist (accèsgratuit) – il faut faire preuve d’imagination et trouverdes nouveaux moyens d’obtenir gratuitement desdonnées de recherche.Séance en atelier : Quels sont les éléments importants que l’on devraitinclure dans les solutions définies?On a divisé les participants en sept groupes de séance en atelier. On a, ensuite, demandé àchaque groupe de délibérer davantage sur les sujets proposés qui mèneraient à l’action surchaque groupe de questions concernant la faisabilité en tenant compte du mandat du CCNMI etde décrire des activités concrètes que l’on pourrait mener. On a également demandé à chaquegroupe de suggérer des partenaires et collaborateurs éventuels qui devraient prendre part à laplanification et à la mise en œuvre de ces activités. À l’aide d’un formulaire modèle, on a résuméles discussions des séances en atelier. Le texte qui figure ci-dessous se veut un résumé dechacune des discussions des séances en atelier.1ER GROUPEDéfinir les priorités en matière de formation et travailler avec les agences qui offrent un tel service, p.ex., QC, BCCDC, modules en ligne, spécialiste-intervenant des maladiesQuels sont les objectifs et la solution attendue?Objectifs1. Élaborer un modèle normalisé et national lié à la notification aux partenaires qu’on pourrait adapter à chaqueinstance2. Devrait être accessible à tout fournisseur qui œuvre dans les domaines du dépistage, de la gestion, de lanotification aux partenaires liés aux ITS et des infections transmises par le sang, y compris, sans s’y limiter, lemilieu de la santé publique, les fournisseurs de soins primaires, les chercheurs, les établissementsuniversitaires3. Surveiller l’assurance de qualité liée à la notification aux partenairesRésultats attendus1. L’élaboration de modules sur la notification aux partenaires liée aux ITSS offerts en ligneNotification aux partenaires liée aux ITSS : Pourquoi, pour qui et comment?Déterminer les produits et outils utiles destinés aux praticiens de la santé publiqueMontréal,

L'objectif de cette réunion qui avait pour thème la « Notification aux partenaires liée aux ITSS : Pourquoi, pour qui et comment? Déterminer les produits et outils utiles destinés aux praticiens de la santé publique », était d'obtenir des suggestions sur le type de produits de connaissances qui serviraient aux praticiens de la santé

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Chapitre 2 : Introduction aux systèmes d’information géographique 1 Chapitre II Introduction aux SIG Introduction aux SIG 2.1 – Modélisation des objets géographiques 2.2 – Acquisition des données 2.3 – Eléments de cartographie 2.4 – Requêtes spatiales 2.5 – Indexation spatiale

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