Rédiger Un Glossaire Bilingue Sur La Pierre De Taille : Un .

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SOMMAIRE:1.2INTRODUCTION.2RÉDIGER UN GLOSSAIRE BILINGUE SUR LA PIERRE À BÂTIR : UN PROJETTERMINOLOGIQUE.21.1 ASPECTS THÉORIQUES ET PRATIQUES DE LA TERMINOLOGIE À SOUTIEN DU GLOSSAIRE BILINGUE .41.1.2 Aspects sémiotiques.4.51.1.3 Aspects syntaxiques et morphologiques.6EX.1 BLOC DE PIERRE/ BANC DE PIERRE.8.81.1.4 Aspects sémantiques.91.1.5 Aspects pragmatiques.111.1.6 Aspects Fonctionnels.121.2 L’IMPORTANCE DE LA TERMINOLOGIE ET DE SES RÉALISATIONS ÉCRITES DANS LA COMMUNICATIONSPÉCIALISÉE.141.3L’ACTIVITÉ TERMINOLOGIQUE OU TERMINOGRAPHIE : LES ORIENTATIONS ET LES MÉTHODES DE TRAVAIL.162.21LES SOURCES DU GLOSSAIRE : LE RÔLE COLLABORATEUR DES ENTREPRISESET LA PRIMAUTÉ DE L’INTERNET.212.1 LA DOCUMENTATION SUR OUVRAGES IMPRIMÉS.232.1 LA DOCUMENTATION SUR SUPPORT ÉLÉCTRONIQUE.272.2.1 Les problèmes de polysémie.272.2.2 les problèmes d’identification des dénominations longues.282.2.3 Les problèmes d’accès à l’information en langue étrangère.292.3 LES SITES INTERNET CONSULTÉS.302.3.1 Les sites des fiches en italien.302.3.2 Les sites des fiches en français.322.3.3 La documentation pour le commentaire d’introduction au glossaire.333.35LA STRUCTURE DU GLOSSAIRE BILINGUE SUR LA PIERRE À BÂTIR : LESPHASES DU TRAVAIL ET L’ANALYSE DES OBSTACLES TERMINOLOGIQUES .353.1DÉTERMINATION DU DOMAINE D’ANALYSE, DES FINALITÉS ET DES DESTINATAIRES DU GLOSSAIRE .363.2 SÉLECTION ET ANALYSE DES SOURCES (VOIR AUSSI LE CHAPITRE 2 LES SOURCES DUGLOSSAIRE : LE RÔLE COLLABORATEUR DES ENTREPRISES ET LA PRÉDOMINANCE D’INTERNET).363.3 ELABORATION DES ARBRES CONCEPTUELS .363.4 RÉDACTION DES FICHES TERMINOLOGIQUES.413.5 RÉVISIONDU GLOSSAIRE ET ANALYSE CONTRASTIVE FICHES ITALIENNES/ FICHES FRANÇAISES1.44

.44.443.6 PROBLÈMES DE TYPE ÉTYMOLOGIQUE.453.7 PROBLÈMES DE FIGEMENT SÉMANTIQUE.463.8 LE SITE CERTEM.48.484.49LE FRANÇAIS SPÉCIALISÉ ET LA PIERRE À BÂTIR : CONSIDÉRATIONSD’AMÉNAGEMENT .49LINGUISTIQUE.494.1 LAPIERRE À BÂTIR:LE CAS DU FRANÇAIS.501IntroductionRédiger un glossaire bilingue sur la pierre à bâtir : un projetterminologiqueLa pierre est un élément de nature. Cette qualité lui donne une noblesse native . Souvent utilisée enossature et parement, d’un seul bloc, elle fut au cœur d’évolutions fondamentales de l’architecture.L’intelligence de ses capacités et de son appareillage a autorisé l’invention de nouveaux espaces (lesconstructions grecques et romaines, gotiques, la liste n’est pas limitative), et abouti à des utilisationsrenouvelées. Cette dignité à la fois originelle et historique, n’interdit pas, mais accuse les emploismédiocres, souligne les porte à faux entre passé et présent.(Techniques et architecture Avril 1999 : 39)Le choix de réaliser un « projet terminologique » visant la rédaction d’unglossaire bilingue sur la pierre à bâtir dérive de deux motivations principales,que je vais brièvement expliquer ci-dessous.D’abord, c’est mon intérêt vers l’étude de la terminologie et de la linguistique,qui m’a poussée à perfectionner mes connaissances sur les différents aspects2

théoriques et pratiques concernant la nature des termes qui, bien évidemment,sont à la base du bagage notionnel fondamental d’un traducteur. L’approchevers les ouvrages les plus connues des experts en linguistique et terminologie(Maria Teresa Cabré, Pierre Lerat, Robert Dubuc pour le français, FedericaScarpa, Marella Magris et d’autres pour l’italien1),m’ont fourni les basesthéoriques essentielles pour obtenir un glossaire complet dans toutes ses parties.Ainsi, l’idée de rédiger un glossaire bilingue sur la pierre à bâtir est née aprèsplusieurs collaborations à l’intérieur d’une société de import-export spécialiséedans la commercialisation des pierres destinées à l’industrie du bâtiment. Montravail consistait essentiellementdans la traduction anglais italien de fichestechniques et descriptives des pierres (marbres, granits, travertins, onyx etardoises), aussi bien que la rédaction d’e-mails pour répondre aux demandesd’échantillons de la part des clients. Vu l’omniprésence de l’anglais dans le cadrede la communication internationale (en particulier dans les domainesscientifiques et techniques), le projet d’un glossaire bilingue italien françaispourrait se révéler un possible point de départ pour un approfondissement dufrançais technique dans ce domaine spécifique et pour des considérations enmatière d’aménagement linguistique ( voir chapitre 4 Le français spécialisé et lapierre à bâtir : considérations d’aménagement linguistique). De plus, la possibilitéde travailler sur ce sujet à Toulon (Région PACA) pendant mon assistanat delangue italienne de second degré, m’a permis de pénétrer dans la langue vivanteet de venir à contact avec toutes ses facettes.1Voir Bibliographie.3

1.1 Aspects théoriques et pratiques de la terminologie à soutien du glossaire bilingueJe définis mon glossaire bilingue un « projet terminologique », un travail quin’est pas simplement linguistique, mais qui inclut une chaîne de démarchesdépendantes les unes des autres, le résultat d’une combinaison d’aspectsintérieurs (considérations en matière de morphologie, syntaxe, etc.) et extérieursà la « langue naturelle considérée en tant que vecteur de connaissancesfortement thématisées » (Lerat 1995 : 20).1.1.2 Aspects sémiotiquesQuant aux aspects extérieurs, il faut mettre en évidence le rôle dominant de lasémiotique, l’étude des signes et des moyens extralinguistiques qui contribue defaçon déterminante à la compréhension des termes en tant que signes et de leur« technicité ». Celle-ci se traduit dans deux caractéristiques principales :1) selon Guilbert (1965, p.337), l’exigence de monosémie référentielle2, car toutterme technique et scientifique doit toujours éviter l’ambiguïté et la confusiondans la communication à l’intérieur d’un domaine particulier :Le trait spécifique de la terminologie technique est la recherche dela monosémie par opposition à la polysémie généralisée des termesdu lexique général de la langue .Picht et Draskau (cités par Cabré 1992:129) soulignent à ce propos le caractère monofonctionnelmanifesté par les termes spécialisés puisqu’ils sont employés dans un cadre social spécifique etavec une intention de communication.24

2) Le principe de « mini-max »3, c’est à dire qu’il faut fournir le maximumd’informations en employant le moins possible de signes.Toujours en restant dans le contexte sémiotique, on doit prendre en compte laposition particulière du terme en tant que signe par rapport à son signifié et àson référent. Le terme s’insère dans le « triangle objet (terme)-concept - signe »crée par l’Ecole de Vienne4.A l’intérieur de cette schématisation du procès terminologique le termereprésente la cible qui est atteinte à travers une démarche onomasiologique : ladénomination de l’objet est rendue possible à travers la conceptualisation etl’interprétation du signe, linguistique ou non linguistique5. Dans cette chaîned’opérations, l’analyse et la sélection des informations pour la dénomination enmatièredemorphosyntaxe, sémantique, pragmatique aussi bien qu’une analyse des aspectsfonctionnels.3Federica Scarpa, La traduzione specializzata – Lingue speciali e mediazione linguistica, HoepliEditore, Milano 2001.4 L’Ecole de Vienne est née de la nécessité pour les techniciens et les scientifiques de normaliserles termes de leurs disciplines afin d’assurer la communication professionnelle et le transfert deconnaissances entre spécialistes. Pour cette école, la documentation constitue un pilierfondamental, d’abord parce que c’est dans les textes techniques qu’apparaissent les termesutilisés par les spécialistes, et qu’ensuite les textes sont le véhicule des termes. Pour respecter lesprincipes de cette approche, il a fallu élaborer des documents normalisés sur le vocabulaire dutravail terminologique, sur les méthodes de travail et le transfert de données ainsi que sur laprésentation des produits terminologiques (Cabré 1992 :38).5 Chapitre II « Langues spécialisée et linguistique générale » de Pierre Lerat Les languesSpécialisées, Presses Universitaire de France, 1995.5

1.1.3 Aspects syntaxiques et morphologiquesEn ce qui concerne la syntaxe6, les termes doivent toujours remplir desfonctions syntaxiques, même si leur morphologie n’est pas conforme aux règlesd’ordinaire formation lexicale. En effet, la forme flexionnelle appropriée estdonnée par le contexte :La polisseuse à chants 7 mince PCM est une machine polyvalente pour le polissagedes chants et le polissage à plat, le moulurage et le sciage.Dans l’exemple ci-dessus, le contexte permet de justifier le choix du termepoliss-euse au lieu de poliss-oir (la présence du mot féminin indiquant un type demachine). Tous les deux termes sont le résultat d’un procédé de suffixation denoms d’instruments ou machines. L’exemple suivant illustre l’usage du termepolissoir qui s’insère parfaitement dans un autre contexte, toujours à l’intérieurdu domaine de l’usinage de la pierre :Le sciage primaire des blocs est assuré par une machine à fil (fil de 30 m) ou à disquediamantés. Chaque panneau obtenu après sciage du bloc brut est découpé, façonnétoujours de façon automatisée. Quand l'élément a sa forme définitive, il est poli. Lepolissage à plat des éléments se fait grâce à un automate pouvant polir plusieurspièces simultanément. Ce polissage se fait progressivement en 1 heure avec 5 jeux demeules différentes à grains de plus en plus fins. Il faut l'intervention d'un polissoir àchants pour le polissage des côtés.8Quant à la morphologie, la tâche du terminologue ou de la personne chargée dela rédaction d’un glossaire bilingue spécialisé est celle de soumettre le terme à6La syntaxe est l’examen des relations entre mots et groupes de mots et des marques de cesrelations » (Hagège 1985, p.208)7 Voir à ce propos la fiche terminologique polisseuse à chants (fiche terminologique en italien :lucidacoste ).8 /m28Funeraire.html (date de consultation04/12/2005)6

une série d’analyses internes qui partent du morphème ou monème, « l’unitésignificative minimale9 ». D’ici, la classification des termes à la lumière de leurscomposants : composés, dérivés, radicaux, syntagmes, locutions, périphrases etc.(voir chapitre 3. La structure du glossaire sur la pierre à bâtir).Pour les langues romanes, dans ce cas l’italien et le français, il est important deconsidérer la notion de « paradigme dérivationnel », c’est à dire « la série desréalisations syntaxiques différentes d’un même noyau sémantique » (Guilbert,1975 p. 176). La connaissance des stratégies qui régissent cette méthoded’indiquer les différentes formes morphologiques dans lesquelles un conceptpeut apparaître dans un contexte donné se révèle un instrument pratique etflexible pour le traducteur. Voici deux exemples extraits du glossaire de la pierreà bâtir :Ex. 1 Boucharde, boucharder, bouchardage, bouchardé(e)Ex. 2 Biseau, biseautage, biseauter, biseauté(e)(Les différentes réalisations grammaticales sont insérées dans la partie de lafiche appelée « Notes linguistiques »)Les concepts de paradigme dérivationnel et des différentes réalisationsgrammaticales d’un terme sont strictement liés à l’un des principaux acquis de lasyntaxe, c’est à dire la notion de distribution, « la position relative d’un mot oud’un groupe de mots dans la phrase » (Lerat, 1995 :75). Donc, étant donné queles termes d’une langue spécialisée doivent toujours obéir à la nécessité demonosémie référentielle :9André Martinet, cité par Alise Lehmann & Françoise Martin Berthet Introduction à lalexicologie – Sémantique et morphologie, Nathan Université, 2000, pag. 107 et suivantes.7

- on parlera seulement de synonymes si deux ou plusieurs mots appartiennent àla mêmepartie dudiscours et sontsubstituables dans les mêmesenvironnements syntaxiques (et même dans ce cas, il est mieux quand même deles définir parasynonymes10). Voici un exemple extrait du glossaire :Ex.1 Bloc de pierre/ banc de pierreEx.2 Chanfreinage/Biseautage-la relation biunivoque entre un mot et une définition spécialisée dépendaussi du degré de figement syntaxique, qui varie selon les contextescommunicatifs (voir à ce propos le paragraphe Problèmes de figementsémantique).10Selon Dubuc (1995 :73) on parle d’équivalence entre deux termes quand ils affichent uneidentité complète de sens et d’usage à l’intérieur d’un même domaine d’application. Comme onpeut bien voir dans ce glossaire, il y a équivalence d’usage même si chaque langue n’envisage pasla même notion sous le même angle.8

1.1.4 Aspects sémantiquesBien que la sémantique aussi représente une composante essentielle dans letravail terminologique, il faut considérer la différence, mise en évidence parWüster (cité par Cabré 1992 :31) par rapport à la terminologie en ce quiconcerne l’approche à l’idée de notion :A la différence de la sémantique, qui s’intéresse à la relation entre ladénomination et le signifié, la terminologie se préoccupe d’abord de larelation qui s’établit entre l’objet réel et la notion qui le représente.C’est par un processus d’abstraction que l’individu passe de cet objetréel à la notion ou à la catégorie de l’objet.D’ici, l’importance des relations qui lient les différents termes à l’intérieur duglossaire et de leur facilité de schématisation à l’aide des arbres conceptuels, donton parlera dans le paragraphe consacré à la structure du glossaire bilingue sur lapierre à bâtir.Toujours en contexte sémantique, pour mieux comprendre les différents traitsqui composent un terme par rapport à d’autres termes appartenant au mêmedomaine, la méthode de l’analyse sémantique en traits, introduite par Pottier(cité par Lehmann & Berthet 2002 : 24), peut aider à indiquer les différencessémantiques entreles termes,pourcommunication spécialisée.9évitertouteéquivoque dansla

Voici un exemple extrait du glossaire :Exemple d’analyse sémique11ou componentielle(A partir des fiches en italien des termes Granito, Marmo, Travertino et zzatocome materialeda costruzione,dapavimentazioneedarivestimentoAlto tasso didurezzaS4S3GranitoMarmoTravertinoArdesia /- (1) - - /- -(1) solo alcune rocce metamorfiche di analoga composizione come gneiss eserizzi appartengono alla categoria dei graniti;(2) L’ardesia è specialmente usata per la copertura dei tetti.Dans ce cas, l’analyse sémique componentielle est fonctionnelle pour unecorrecte discrimination des termes (sur une base onomasiologique, sur la basedes traits sémantiques pertinents au niveau conceptuel).11Pour un approfondissement de la notion d’analyse sémique voir Chapitre 3 Les analyses dusens lexical, II. L’analyse sémique ou componentielle dans Alise Lehmann & Françoise MartinBerthet Introduction à la lexicologie – Sémantique et morphologie, Nathan Université, 2000.12 S correspond à sème ou trait sémantique et les symboles /- indiquent respectivement laprésence ou l’absence du trait sémantique à l’intérieur du sémème renvoyant à la notion duterme concerné.10

1.1.5 Aspects pragmatiquesQuant à la pragmatique, que l’on pourrait définir comme l’étude des relationsentre les signes et leurs interprètes, elle contribue de façon déterminante à biencirconscrire la notion donné en fonction des groupes de locuteurs, des situationsdans lesquelles le terme est employé, des espaces géographiques et des types dediscours. Des considérations de nature purement pragmatique sont introduitesdans les fiches terminologiques13, notamment dans les sections « Notestechniques » et « Notes d’usage » à l’intérieur de la section « NotesLinguistiques ». Voici un exemple extrait de la fiche relative au terme Ardoise :NotesTechniquesLes principaux emplois de l’ardoise sont : construction,couverture des toits; tables de laboratoire; articles d'écoliers;charge pour linoléums, a/r motclef/index80

Quant à la morphologie, la tâche du terminologue ou de la personne chargée de la rédaction d’un glossaire bilingue spécialisé est celle de soumettre le terme à 6 La syntaxe est l’examen des relations entre mots et groupes de mots et des marques de ces relations » (Hagège 1985, p.208)

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