GLOSSAIRE LINGUISTIQUE - ResearchGate

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Studii şi cercetăti filologice – Seria Limbi Străine AplicateGLOSSAIRE LINGUISTIQUESophie Sournin-DUFOSSÉChargée de TD à l’Université du TamponUniversité de La RéunionRésumé: Ce travail a pour but la lecture aisée et la compréhension de travauxécrits à partir de la Théorie des Opérations Énonciatives selon le linguiste FrançaisAntoine Culioli. Une approche bilingue fançais / anglais s'appliquera aux travaux d'ordrecontrastif en particulier dans l'étude du nom et de ses satellites. Un glossaire linguistiqueservira de base de travail à toute analyse en traductologie.Mots-clés: approche bilingue, contrastivité, glossaire.Les éléments présentés ci-dessous sont tirés en partie des ouvragessuivants (voir bibliographie) : Dubois et al. (2002), Groussier, Rivière (1996),Guillemin-Flescher (1993), Lapaire, Rotgé (1992), Pottier (1967), Neveu (2000),Paveau, Sarfati (2003). Les autres ouvrages succinctement cités sont indiqués entreparenthèses dans le corps du texte.Actualisation (actualization) : Transformation d’un élément renvoyant à la notionpure, en élément déterminé de telle façon qu’il puisse être inséré dans un contexte.Mouvement du virtuel à l’actuel selon certains linguistes. « La transformation d’unélément renvoyant à la notion en élément déterminé de telle façon qu’il puisse êtreinséré dans un contexte. » (Guillemein-Flescher in Chuquet [1986 : 140])Actualiser (actualize) : Inscrire dans la réalité (« réaliser ») ; mettre en œuvre ;passer du prospectif à l’effectif ; rendre actuel ¹ virtualiser.Allocutaire (addressee) : La personne à qui le locuteur s’adresse [rappel : loqui, enlatin, signifie « parler »]. On peut parler à ce propos, de « personne écoutante »(pour reprendre une formulation de Guillaume), que l’on oppose à la « personneparlante » dans le rapport interlocutif (l’ « échange verbal »).Beaucoup de grammairiens emploient indifféremment allocutaire etcoénonciateur. Toutefois, le second terme semble moins tributaire de lacommunication orale et, à la suite des travaux de Benveniste et Culioli, évoque unsujet humain complet, qui est davantage rattaché à un contexte socioculturel etaffectif.Analytique (analytic) : Qui procède par dissociation ; qui décompose une totalitéen éléments constitutifs.32

Studii şi cercetăti filologice – Seria Limbi Străine AplicateAnaphore/anaphorique (anaphora/anaphoric) : Qui renvoie à du déjà exprimé, àdu déjà posé dans le discours [du grec pherein, « porter » et ana-, « en arrière »].Rappel de texte qui s’oppose l’appel de texte de la cataphore. Dans le domaine desopérations énonciatives, l’anaphore désigne un mouvement rétrospectif de l’espritvers du déjà enregistré, du déjà accompli dans le domaine des opérations et desrepérages.Animé (animate) : Propriété primitive associée à certaines notions pures. Lapropriété /animé/ est constituée par la combinaison des propriétés /vivant/ et/mobile/. Elle sera donc associée à toutes les notions d’animaux à l’exclusion desnotions de végétaux. Qui a les propriétés de /volition/, d’/intention/, de /cognition/et de /perception/.Argument (argument) : Chacun des termes mis en relation avec un autre terme parune opération de prédication est un argument.Dans la TOE, on représente la structure constituée par le prédicat et ses arguments(ou lexis prédiquée) par la formule : a r b. Le premier argument (a) est exprimédans la chaîne par le C0, le deuxième argument (b) par la C1, le prédicat (r) par leverbe.NB : 1) Le 1er argument est également le thème (terme repéré par rapport à lasituation d’énonciation dans tous les cas sauf celui de la prédication d’existence oùle thème est la situation d’énonciation elle-même). 2) Quand la relation prédiquéeest une identification (partielle ou totale) exprimée par un verbe copulatif, le 2eargument est appelé attribut.Aspect/aspectuel (aspect/aspectual) : L’aspect est un des modes de déterminationd’un prédicat. Dans la détermination aspectuelle, l’énonciateur indique comment etdans quelle mesure son propre point de vue modifie sa présentation du procèsprédiqué. La catégorie de l’aspect a des manifestations et un fonctionnementprofondément différents en anglais et en français.Certain (certainty) : Zone modale de la référence à ce que l’énonciateur donne àentendre qu’il considère comme factuel. Seule la référence à des faitscontemporains de l’énonciation (actuels) ou antérieurs à celle-ci (révolus) peutappartenir au certain.Classe (class) : Totalité des occurrences effectives, possibles, fictives, etc.,correspondant à une définition (ensemble de propriétés) donnée.On voit que, pour qu’il y ait classe, il faut qu’il y ait possibilité d’occurrences,c’est-à-dire d’éléments distincts, donc, que l’on ait affaire à une notion pure àlaquelle est associée la propriété /discontinu/. La construction d’une classe est, dansl’échelle des opérations de détermination d’une notion pure, la première opérationfaisant intervenir la dimension quantitative non pas en délimitant une quantité33

Studii şi cercetăti filologice – Seria Limbi Străine Aplicate(quantification) mais en rendant possible la délimitation de quantités(quantifiabilisation). En anglais, cette opération de détermination est marquée parle marqueur Ø S.Une classe représente un ensemble d’unités linguistiques ayant une ou plusieurspropriétés communes entre elles. En grammaire distributionnelle, une classegrammaticale sera définie comme l’ensemble des unités ayant les mêmespossibilités d’apparaître en un point donné de l’énoncé. La notion de classegrammaticale s’oppose ainsi à la notion de partie du discours telle que la définit lagrammaire traditionnelle, par référence à une théorie de l’adéquation entre le nomet la substance, le verbe et le procès, etc.La notion de classe est utilisée en sémantique sur le modèle de la logique desclasses. Par exemple, on établit la taxinomie des termes de parenté en étudiant lesrapports entre les différentes unités ; la classe des êtres dénotés (denotata) par lemot parent est plus grande que celle des être dénotés par le mot père, on dira quepère est à l’égard de la classe des parents en relation d’hyponymie et que parent esten relation d’hyperonymie à l’égard de père.On appelle classe de mots, en linguistique structurale et distributionnelle, unecatégorie de mots définis par des distributions analogues dans des cadressyntaxiques préalablement déterminés. Ainsi, on définira une classe dedéterminants par la position qu’ils ont en français de précéder une autre catégorie,les noms. Les classes de mots remplacent les parties du discours de la grammairetraditionnelle.On appelle classe de morphèmes l’ensemble des morphèmes ayant le mêmeenvironnement (contexte) et la même distribution.On appelle classes nominales les catégories caractérisées par l’emploi de certainssuffixes, appelés indices de classe ou classificateurs, entre lesquelles certaineslangues négro-africaines répartissent les noms selon la nature des êtres ou deschoses qu’ils désignent (humain, actant, nombre, etc.).On appelle classe syntagmatique le regroupement en une même classe desmorphèmes ayant les mêmes environnements.En analyse de discours, on appelle classes d’équivalence les classes fondées surl’équivalence ou identité de distribution (Harris).Classe notionnelle (notional class) : Classe dont les éléments sont des notionspures. Une classe notionnelle est définie par une propriété commune à tous leséléments. Le fléchage générique est une opération de fléchage sur un élémentd’une classe notionnelle.Classe paradigmatique (paradigmatic class) : Classe de tous les mots ou groupesde mots susceptibles d’être insérés à telle place dans une chaîne donnée.On appelle classe paradigmatique ou distributionnelle le regroupement en unemême classe des morphèmes lexicaux ou grammaticaux qui peuvent être substituésles uns aux autres dans de nombreuses phrases, c’est-à-dire qui possèdent les34

Studii şi cercetăti filologice – Seria Limbi Străine Aplicatemêmes propriétés distributionnelles.Classe syntaxique partie du discours(syntactic class / part of speech) : Classe de tous les mots ou groupes de motsd’une langue donnée compatibles avec un ensemble fini de comportementsmorphosyntaxiques dans les énoncés.Compact continu non-quantifiable (compact continuous) : Propriété primitiveassociée par définition à certaines notions pures, essentiellement des notions deprocès du type /état/, soit temporaires, soit permanents. L’association de lapropriété /compact/ rend les notions de procès réfractaires à toute déterminationquantitative. Il en résulte que, même lorsque des déterminants ailleurs quantitatifssont employés avec des noms renvoyant avec de telles notions pures, ils prennentune signification qualitative.Le degré minimal de détermination constitué par le renvoi à la notion pure revient,pour l’énonciateur, à considérer une notion indépendamment de toutedétermination quantitative. Dans ce cas, même si la propriété habituellementassociée à la notion pure en cause est /dense/ ou /discontinu/, ces propriétés sontremplacées par la propriété /compact/ qui rend impossible toute quantification.Conceptualisation (conceptualization) : « Ensemble des phénomènes mentaux(perceptifs et cognitifs) qui permettent à l’énonciateur de saisir une globalitéconçue afin de la transformer en message linguistique linéaire [ ]. (Pottier in Joly[1997 : 28]Cognitif/cognition (cognitive/cognition) : Qui a trait à la connaissance ; quiconcerne la façon dont l’esprit abstrait des concepts à partir de son expériencesensorielle et psychique du réel.Continu (continuous) : Propriété primitive associée à certaines notions pures.L’association à une notion pure de la propriété /continu/ a pour conséquence,lorsque cette notion est exprimée par un nom, le fonctionnement indénombrable dece nom.On distingue la propriété /continu quantifiable/ ou /dense/ (associée aux notionsdésignées, entre autres par les « noms de matières » comme coffee), et la propriété /continu non-quantifiable : ou /compact/ (associée aux notions de procès comme «courage »).Une notion pure à laquelle est associée la propriété /continu/ ne peut définir uneclasse d’occurrences parce qu’il n’y a pas, par définition, d’occurrence distincte decette notion.Défini/définitude (definite/definiteness) : Circonscrit et identifié avec précision[formé sur le verbe latin finire, « mettre un terme à », ce qui n’est pas sansrappeler déterminer, qui provient de terminare].On associe traditionnellement l’emploi de l’article THE avec la définitude. En35

Studii şi cercetăti filologice – Seria Limbi Străine Aplicateeffet, on part du principe que le domaine (ou champ) référentiel du nom que THEaccompagne est parfaitement délimité et identifié.Déictique (deictic) : « Démonstratif » au sens strict, c’est-à-dire « ayant rapportavec l’action de montrer ». Ce terme qualifie un marqueur de déterminationsituationnelle dans la situation d’énonciation et seulement cela.1) Sur le plan de la référence à l’espace, on peut considérer que la valeur d’unmarqueur déictique est l’indication d’un degré de proximité/éloignement parrapport soit à l’énonciateur soit aux deux co-énonciateurs.2) Sur le plan de la référence au temps, les déictiques now et then indiquerontrespectivement la coïncidence ou la non-coïncidence d’un événement avec unintervalle incluant T0 moment de l’énonciation.Déixis (deixis) : Repérage direct par rapport à l’énonciateur et/ou au momentd’énonciation dans la Situation d’énonciation.Démonstratif (demonstrative pronoun/adjective) : Ce terme a deux significations :1) « Ayant rapport avec l’action de montrer ». Dans ce sens, démonstratif déictique. Terme désignant, dans de nombreuses langues naturelles, en particulierindo-européennes, des déterminants, pronoms, parfois adverbes, fonctionnantd’une part comme déictiques, d’autre part comme anaphoriques.Dénombrable(countable) : Dans la grammaire de l’anglais actuel, se dit du fonctionnement desnoms renvoyant à des notions pures auxquelles est associée la propriété/discontinu/. Ce fonctionnement est caractérisé par la compatibilité avec le pluriel,les adjectifs numéraux cardinaux, et les déterminants a(n), few, a few, many, anumber of, several, each, every.Dénombreur (partitive) classificateur : Nom suivi de la préposition of etexprimant soit la notion d’«unité » soit la notion de « sorte », que l’on peut insérerà gauche d’un nom renvoyant à du continu pour le faire fonctionner comme s’ilrenvoyait à du discontinu.Dense continu quantifiable (dense continuous) : Le continu quantifiable estsusceptible de détermination quantitative parce qu’il est par définition, divisible enquantités.Quand la propriété /dense/ est associée à la notion pure à laquelle renvoie un nomanglais, celui-ci a un fonctionnement indénombrable (notamment, incompatibilitéavec a(n).Ø, le pluriel, many.S, (a) few.S, a number of, several et les numéraux)mais compatibilité avec certains quantifieurs : much, (a) little, a quantity of.Déterminant (determiner) : Premier mot d’un SN constituant, en combinaisonavec le marqueur de nombre, le marqueur du degré de détermination énonciativede la notion pure à laquelle renvoie le nom. La valeur d’un déterminant pourra être36

Studii şi cercetăti filologice – Seria Limbi Străine Aplicatedifférente selon le nombre avec lequel il est combiné. Les déterminants sont latrace d’opérations de repérage conférant à la notion pure à laquelle revoie un nomdivers degrés de spécificité qualitative et quantitative.Outil grammatical qui apparaît avant le nom et permet une opération dedélimitation (apporter des limites au concept exprimé par le nom), (Alamichel[1999 : 131]).Détermination (determination) : Opération linguistique de spécification d’unterme désignateur. Elle peut être réalisée par les déterminants du nom, qu’ils soientdéterminants actualisateurs ou complémentaires, mais aussi par des constituantsdont la fonction syntaxique permet de restreindre l’étendue référentielle del’élément sur lequel s’exerce leur fonctionnement : adjectif ou substantif épithète,syntagme prépositionnel complément déterminatif, relative déterminative.Détermination [degré de] (determination [degree of]) : En TOE, degré degénéralité /spécificité référentielle entre d’une part la généralité absolue et d’autrepart la singularité absolue de l’occurrence individuelle irréductible à toute autre. Ladétermination est soit qualitative soit quantitative. La détermination qualitative estprimaire. La détermination intervient à tous les niveaux.Deixis (deixis) : Du grec qui signifie « ostension, fait de montrer » et qui estemployé pour désigner l’identification langagière des paramètres de la situationd’énonciation. Les formes concernées sont appelées déictiques, recouvrantgénéralement à la fois les indicateurs personnels et spatio-temporels, bien queBenveniste n’emploie le terme que pour les derniers. Jakobson utilisera de son côtéle terme embrayeur, traduction de l’anglais shifter, emprunté à Jesperson (1922).Discontinu discret (discrete) : Propriété primitive associée à certaines notionspures. Une notion à laquelle est associée la propriété /discontinu/ définit une classed’occurrences parce qu’il y a, par définition, des occurrences distinctes de cettenotion pure.L’association à une notion de la propriété /discontinu/ a pour conséquence, lorsquecette notion est exprimée par un nom, le fonctionnement dénombrable de ce nom.En anglais, les marqueurs de détermination exclusivement compatibles avec lapropriété /discontinu/ sont, pour les noms, les déterminants a(n), several, a numberof, (a) few, many, every, each, les numéraux, le pluriel, à l’exclusion desdéterminants (a) little, much, a (large/small) quantity of, a (large/small/fair)amount of.Discours (discourse/speech) : Les paroles (orales ou écrites produites parl’énonciateur.Le discours est fondamentalement individuel, situationnel et momentané, car il estrattaché à un acte d’énonciation spécifique (« je prends la parole »), inscrit dans37

Studii şi cercetăti filologice – Seria Limbi Străine Aplicatel’espace et le temps (« je parle à un certain lieu, à un moment donné »).Embrayeurs (shifters) : Terme proposé par Ruwet pour traduire l’anglais shifter,créé par Jespersen (et repris par Jakobson) pour désigner un pronom ou adverberenvoyant d’une part à un élément d’une classe définie par une fonction dans lasituation d’énonciation d’autre part à l’identification référentielle de cet élément dela situation extralinguistique coïncidant avec la situation d’énonciation.« La signification générale d’un embrayeur ne peut être définie en dehors d’uneréférence au message » (Maingueneau [1994 : 11]). Ces morphèmes ne peuventêtre interprétés que si on les rapporte à l’acte d’énonciation unique qui a produitl’énoncé à l’intérieurduquel ils se trouvent. La classe des embrayeurs recouvreessentiellement les personnes (énonciateur et allocutaire) et les localisationsspatio-temporelles qui en dépendent.Les embrayeurs ont un sens tel que l’identification de leur référent exige que l’onprenne en compte leur occurrence, l’acte d’énonciation singulier qui les porte.L’identification du référent s’opère grâce à l’environnement spatial et temporelsingulier de cette occurrence.Les embrayeurs permettent la conversion de la langue comme système de signesvirtuels en discours par lequel un énonciateur et son allocutaire confrontent leursdires sur le monde (Maingueneau op. cit.). Suite phonique ou graphique produitepar un énonciateur, formant un tout cohérent ; fragment autonome de discours ;morceau de texte.Enonciation (Uttering act) : Acte de construction, donc de production par unénonciateur donné d’un énoncé donné à un moment d’énonciation donné, àl’intention d’un coénonciateur donné, ou « Acte individuel d’utilisation de lalangue [ ] » (Maingueneau op. cit.).Selon Benveniste (1902-1976) : « L’énonciation est cette mise en fonctionnementde la langue par un acte individuel d’utilisation ».Enoncé (utterance) : « Objet linguistique résultant de cette opération [opérationd’énonciation] » (Maingueneau op. cit.).Unité d’énonciation. On appelle énoncé ce que produit un énonciateur au cours d’unacte d’énonciation unique et qui, pour lui,forme un tout, ce qui va avoir desconséquences sur la forme prosodique.On ne peut pas dire que le terme d’énoncé soit synonyme de phrase parce quephrase est un terme purement syntaxique, sans prise en compte de la situationd’énonciation alors qu’énoncé renvoie à l’acte d’énonciation par lequel, dans unesituation d’énonciation donnée, un énonciateur donné se met en relation avec uncoénonciateur donné.D’autre part, qu’il s’agisse ou non d’une phrase, un énoncé porte la marquelinguistique de son énonciateur qui est responsable non seulement du choix desnotions pures en cause mais encore des déterminations (modalité, aspect, temps,38

Studii şi cercetăti filologice – Seria Limbi Străine Aplicateetc.).Sur le plan prédicatif, on peut dire qu’un énoncé inclut une opération deprédication soit unique soit centrale. En effet, si l’énoncé est constitué par unephrase complexe, la prédication de la proposition principale conditionne dans unecertaine mesure celles des subordonnées.Si aucun prédicat n’apparaît dans l’énoncé, on peut considérer qu’il y a unmarqueur non-verbal de prédication consistant soit en une mimique accompagnantl’acte de langage, soit en une prosodie particulière. Enfin, beaucoup d’énoncéscomportent des marques référentielles qui ne sont intelligibles que dans la totalitédu texte (reprises, etc). Selon Benveniste (in Chuquet [1986 : 62]) :L’acte individuel par lequel on utilise la langue introduit d’abord le locuteurcomme paramètre dans les conditions nécessaires à l’énonciation. Avantl’énonciation, la langue n’est que la possibilité de la langue - dansl’énonciation, la langue se trouve employée à l’expression d’un certain rapport aumonde. La condition même de cette mobilisation et de cette appropriation de lalangue est, chez le locuteur, le besoin de référer par le disc

contrastif en particulier dans l'étude du nom et de ses satellites. Un glossaire linguistique . approche bilingue, contrastivité, glossaire. . on établit la taxinomie des termes de parenté .

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