R Port Anu Rapport Annuel El Sur Lefi Sur L’efficacité Du .

R A P P O R T A N N U E L S U R L’ E F F I C A C I T É D U D É V E L O P P E M E N T 2 0 0 4274Créer un climat favorable aux investissements, à la création d’emploiset à la croissance durable272932415Institutions et croissance économiqueStratégies et aide de la Banque29 Stratégies sectorielles30 Etudes analytiques32 Prêts de la BanqueContraintes clés pour obtenir des résultats positifs32 Economie politique nationale34 Capacité du secteur public36 Corruption dans le secteur public38 Industries d’extractionResponsabiliser les pauvres pour qu’ils participent au développement et s’y investissent414551655AnnexesAugmentation des capacités des pauvres42 Dépenses dans le secteur social et réduction de la pauvreté42 Atteindre les populations démunies et répondre à leurs besoins43 Objectifs et pérennité des résultats44 Réformes sur les dépenses publiques et performance du secteur social45 Qualité des études analytiquesResponsabilisation des pauvres46 Mise en oeuvre d’activités de développement social46 L’impact sur la pauvreté des interventions relatives au développement social47 Pérennité des activités de développement social47 Décentralisation48 Activités participatives dans le cadre de l’aide de la BanqueConclusions576973107111A : Performance des projetsB : Croissance économique et insuffisance de revenusC : Tableaux statistiquesD : Commentaires de la DirectionE : Résumé du Président : Comité sur l’efficacité du développement (CODE)107Notes113RéférencesPoints essentiels de l'évaluation28162842Points essentiels de l’évaluation 1Points essentiels de l’évaluation 2Points essentiels de l’évaluation 3Points essentiels de l’évaluation 4Points essentiels de l’évaluation 5Encadrés58iv1.1 La Stratégie de lutte contre la pauvreté de 1991 a amélioré le travailopérationnel de la Banque2.1 L’Initiative de la stratégie pour la réduction de la pauvreté a apporté une valeurajoutée au programme sur la pauvreté . . . mais est encore en cours d’élaboration

TA B L E D E S M AT I È R E S1113192.2 Les programmes pays de la Banque pourraient renforcer leur approche axéesur les résultats2.3 Les évaluations sur la pauvreté représentent un outil utile, mais peuvent êtreencore améliorées3.1 Un échelonnement approprié des réformes macroéconomiques est la cléde la réussite2123253335353744454648493.2 La Banque a rencontré quelques difficultés dans le cadre de la réformebancaire en Chine3.3 La Banque a besoin de faire attention aux revirements de situations3.4 Une bonne connaissance du pays est importante notamment pour lesemprunteurs nouveaux ou anciens ainsi que pour les réformateurs de politiquesde coup de frein et d’accélérateur4.1 Le micro-financement est un outil de réduction de la pauvreté à fort potentielet qui est peu évolutif4.2 Le Pakistan et le Bangladesh : L’engagement du gouvernement peutêtre déterminant4.3 Qu’apporte (parfois) une crise (imminente) ?4.4 Le Mozambique adopte une approche intégrée pour réformer son secteur public5.1 L’acquisition des connaissances compte . . . dans le contexte d’uneréforme sectorielle5.2 Les programmes mondiaux de contrôle des maladies exploitent les possibilitésdes systèmes de distribution des soins5.3 Les thèmes sur le développement social englobent un evaste série d’activités5.4 Cibler les ménages les plus démunis constitue un défi de taille5.5 Les projets participatifs ne responsabilisent pas nécessairement les pauvresSchémas34491212171820202128291.1 L’extrême pauvreté a régressé en Asie et a augmenté en Afrique1.2 La croissance économique a une incidence notable mais variable sur la pauvreté1.3 La croissance économique rapide reste hors d’atteinte pour la majorité despays clients de la Banque2.1 Les pays sortant d’un conflit ont bénéficié de niveaux d’aide bien différents2.2 Les opérations de prêts de la Banque aux fins du développement humainconnaissent leur croissance la plus rapide depuis 20002.3 Les projets d’investissement ayant mis l’accent sur les thèmes du développementhumain et social ont obtenu les meilleures notes en terme de résultat3.1 La réduction de la pauvreté est fortement associée à la croissance économique3.2 Même certains des pays ayant obtenu des résultats modestes à médiocresont satisfaits compte tenu des objectifs des SAP y afférents3.3 Les SAP dans les pays en transition ont ensuite consisté à adopter une approcheexplicite axée sur la pauvreté3.4 L’OED a conclu que la plupart des stratégies d’aide-pays étaient assez outrès pertinentes3.5 Les prêts de la Banque ont généralement reflété la situation dans le pays4.1 Comment un climat d’investissement positif et des institutions de qualité dansle secteur public contribuent-ils à la croissance économique et à la réductionde la pauvreté4.2 La qualité des institutions du secteur public est supérieure dans les pays ayantaffiché de bons résultats et dans ceux en transitionv

R A P P O R T A N N U E L S U R L’ E F F I C A C I T É D U D É V E L O P P E M E N T 2 0 0 4293133343742434.3 La qualité des institutions publiques s’est considérablement améliorée dans lespays en transition entre 1996 et 20024.4 Les pays ayant affiché de bons résultats ont moins emprunté auprès de la Banquepour pouvoir privatiser4.5 Les opérations de prêts au profit des services d’infrastructure ont rebondiau cours des cinq dernières années4.6 Les projets sur le climat d’investissement et le secteur financier ont mieuxfonctionné que la moyenne4.7 La corruption dans le secteur public reste très enraciné dans l’ensemble des troisgroupes de pays5.1 Les prêts de la Banque au profit de l’éducation, de la santé et des autres servicessociaux ont augmenté de manière importante5.2 Les projets dans le secteur social obtiennent des résultats aussi bons, sinonmeilleurs, que la moyenne de la BanqueTableau6vi1.1 Croissance durable et responsabilisation : les deux piliers des tableauxsur la Stratégie 2001 de réduction de la pauvreté

RemerciementsCe rapport a été réalisé par une équipe dirigée parChris Gerrard. Shonar Lala, Mirafe Marcos, RupaRanganathan et Robert Subrick comptent parmiles membres de l’équipe principale.Nous tenons à remercier les nombreuxcollaborateurs de l’OED pour leur participationet à saluer les précieux commentaires apportés parles collaborateurs de la Banque parmi lesquels :James Adams, Ipek Alkan, Luca Barbone, Jan Bojo,François Bourguignon, Aline Coudouel, ToddCrawford, Brigitte Duces, Jean-Jacques Dethier,Shahrokh Fardoust, Marisa Fernandez-Palacios,Prem Garg, Nidhi Khattri, Philip Keefer, AliMansoor, Anil Markandya, Gisu Mohadjer, TawhidNawaz, Maryvonne Plessis-Fraissard, MartinRavallion, Sudhir Shetty, Mark Sundberg, HasanTuluy et John Underwood.Jeffrey Hammer et Ravi Kanbur ont contribuéen tant que conseillers-pairs.William B. Hurlbut et Julia Akumu Ooro ontaidé l’équipe dans la production de ce rapport.Caroline McEuen a édité le rapport à des fins depublication.Ce rapport a été réalisé sous la direction deVictoria Elliott, Responsable des Evaluationset méthodes institutionnelles de l’OED.Directeur général par intérim, Evaluation des opérations : Ajay ChhibberDirecteur par intérim, Département de l’évaluation des opérations : R. Kyle PetersResponsable, Evaluations et méthodes institutionnelles : Victoria ElliottDirecteur de projet : Chris Gerrardvii

Avant-propose mandat et la mission de la Banque mondiale consistent à lutter contre lapauvreté. Pour arriver à ces fins, la Banque fournit des moyens financiers, unsavoir et des connaissances ainsi que des conseils aux pays membresemprunteurs, tout en essayant d’adapter cet ensemble particulier d’instruments auxdéfis que chaque pays doit relever. La Banque a développé une approche de réductionde la pauvreté multidimensionnelle, dépassant la notion d’insuffisance des revenuset prenant en compte des facteurs tels que le développement humain, la sécurité,l’information et l’expression d’opinion ainsi que la participation.LLe Rapport annuel sur l’efficacité du développement2004 examine l’évolution de la croissance et de laréduction de la pauvreté dans les pays clients. Il évaluela contribution des interventions de la Banque, prenantcomme cadre de référence la stratégie 2001 deréduction de la pauvreté de la Banque. Ce Rapportannuel sur l’efficacité du développement étudie dansquelle mesure les éléments de cette stratégie répondentaux besoins des pauvres, avec quelle efficacité la Banquemet en place sa stratégie et quelle est l’incidence desefforts déployés. Comme ses prédécesseurs, ceRapport annuel exploite surtout les conclusionsdes études d’évaluation de l’OED portant sur les projetsde la Banque, les programmes mondiaux et au niveaudes pays, ainsi que les initiatives sectorielleset institutionnelles qu’elle met en œuvre.A l’échelle mondiale, la proportion de la populationvivant avec moins de 1 USD/ jour diminue depuis lesannées 1980. Toutefois, des différences notoiresapparaissent selon les régions. L’extrême pauvretéa fortement reculé en Asie de l’Est, et toutparticulièrement en Chine. Hors des frontièreschinoises, la proportion de la population vivant avecmoins de 1 USD/ jour a chuté de 32 % à 23 % entre1980 et 2001, mais en termes absolus, la populationvivant sous ce seuil de pauvreté s’est accrue de850 à 880 millions de personnes. La croissance est lemoteur essentiel de la réduction de la pauvreté.Malheureusement, seul un tiers environ des paysen développement et en transition ont affiché unecroissance par habitant de plus de 2 % sur les dixdernières années.La stratégie de la Banqueet ses modèles d’entrepriseLa stratégie 2001 de réduction de la pauvretéde la Banque souligne de manière adéquate à la foisles aspects sociaux et de croissance d’une réductionde la pauvreté. Les deux piliers de la stratégiefournissent un cadre opérationnel efficace pouridentifier et catégoriser les interventions de laBanque. Néanmoins ce modèle à deux piliers tendà éclipser les interactions entre les aspectsde croissance et sociaux liés à la réduction de lapauvreté, ce qui peut avoir des effets de taille surles résultats de la lutte contre la pauvreté, et dansles faits, s’est traduit par une attention insuffisanteaccordée aux questions de croissance. Sanscroissance, une réduction durable de la pauvretéa peu de chances de voir le jour.La Banque s’est efforcée d’aligner ses modèlesd’entreprise par pays avec

B a n q u e m o n d i a l e. DEPARTEMENT DE L’EVALUATION DES OPERATIONS Série d’études Le Rapport annuel sur l’efficacité du développement 2003 : l’efficacité de l’appui de la Banque en matière de réforme . Le contenu de cette publication fait l’objet d’un dépôt légal. La reproduction et/ou transmission de l .