Département De L’environnement, Des Transports Et De L .

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Etude comparative sur les budgets alimentaires selon divers régimesRédactionAude HaenniAnalyseVirgile Pasquier, Barbara Pfenniger, Robin Eymann, Laurianne Altwegg, AnahideBondolfi, Aude HaenniEtude mandatée par la République et Canton de GenèveDépartement de l’environnement, des transports et de l’agriculture (DETA)Direction générale de l’environnement (DGE)Lausanne, mai 2017

Etude comparative sur les budgets alimentaires selon divers régimesIntroduction 3Méthodologie 4Mandataire : la FRC 4Objet de l'étude 4Données de l'étude 4Périmètre de l'étude 5Limites de l’étude 6Quantités des denrées alimentaires par régime alimentaire 8Calcul des quantités par régime 8Récapitulatifs des quantités par régime 11Conclusion sur les quantités 14Durabilité par régime alimentaire 15Impact environnemental par type de produit 17Impact environnemental par régime alimentaire 18Conclusion sur la durabilité 18Budget alimentaire selon les différents régimes 20Prix des produits 20Budget par régime alimentaire 22Conclusion sur les budgets 24Budgets alimentaires selon les régimes version bio 25Méthodologie 25Budget par régime bio et non-bio 27Conclusion sur les budgets en bio 28Résultats par régime alimentaire 29Récapitulatif 29Conclusion sur le prix de l'alimentation durable 31Commentaires de la FRC 33Options budgétaires 33Options nutritionnelles 34Conclusion 36Conclusion 37Recommandations de la FRC 37Annexes 402

Etude comparative sur les budgets alimentaires selon divers régimesIntroductionLes recommandations nutritionnelles et environnementales en Suisse et ailleursconvergent toutes vers une alimentation durable pouvant concrètement se résumerpar l'achat de produits de saison, locaux, sains, respectueux de l'environnement,équitables. Elles mettent aussi en avant la gestion de sa consommation de boissonset de viande.En Suisse, 28% de la charge environnementale de la consommation vient del'alimentation, avant la mobilité et le logement. Si une majorité de Suisses adoptaientun régime alimentaire durable, cette charge environnementale pourrait être réduitede moitié 1.Or l'argument principal souvent évoqué comme frein à l'accès à une alimentationdurable est le prix 2 des produits. Mais est-ce vraiment le cas ? Est-ce surtout labonne approche puisque manger implique de fait la notion du choix entre différentsproduits (local, bio, emballés, etc.) mais aussi et surtout entre différents régimesalimentaires (plus au moins de légumes, de viande, de plats préparés, de déchetsd'emballage ou de restes de cuisine, etc.) ?Intéressée par cette problématique et ses enjeux, la Direction générale del'environnement (DGE) de l'Etat de Genève a mandaté la FRC pour étudier le prix del'alimentation durable. L'étude ne porte pas sur la comparaison des prix au kg entreun produit durable et un produit standard, mais porte sur la comparaison des budgetsdédiés à l'alimentation selon différents régimes alimentaires identifiés aujourd'hui enSuisse. La question sous-jacente de l'étude étant : est-il possible d'opter pour unealimentation durable avec un budget équivalent au panier de la ménagère actuelsuisse ?www.meschoixenvironnement.chPar exemple le sondage GS1 Report 2014 , ou Ernährung & Nachhaltigkeit in der Schweiz : Eineverhaltensökonomische Studie, Fehr Advice 2015123

Etude comparative sur les budgets alimentaires selon divers régimesMéthodologieMandataire : la FRCLe choix du mandat donné à la FRC a été réalisé dans un souci de prise en comptedu pouvoir d'achat des consommateurs et consommatrices en Suisse.La Fédération romande des consommateurs (FRC) est une association sans butlucratif et libre de toute influence. Référence en matière de consommationresponsable, elle fait respecter les droits des consommateurs et leur fait aussiprendre conscience de leur pouvoir et de leurs responsabilités en tant qu’acheteurs.Objet de l'étudeL'étude tend à comparer le coût de l'alimentation selon différents régimesalimentaires typés selon leur degré de durabilité. La question centrale étant decalculer s'il est possible de consommer de manière durable sans impacter sonbudget. Et de savoir si en changeant certaines habitudes alimentaires, leconsommateur pourrait tendre vers un panier non seulement moins cher, maismeilleur pour sa santé et pour l’environnementDonnées de l'étudeL'étude comparative se base sur les données suivantes : le panier de la ménagère suisse (moyenne suisse établie par l'Office fédéralde l'agriculture (OFAG) comme point de référence à l'étude comparative; la typologie suisse des régimes alimentaires corrélés à leur impact surl'environnement et donc à leur durabilité. Définie par le bureau d'étude ESUservices en novembre 2015 dans Ökoprofil von Ernährungsstilen3,cettetypologie établit les quantités de produits constitutifs des différents régimesalimentaires. les prix moyens par catégorie d’aliment répertoriés annuellement par l’Officede la statistique suisse (OFS) pour l’enquête sur le budget des ménagespermettent d'établir les budgets associés aux différents régimes alimentaires.Ökoprofil von /2016 03 14 studie oekoprofil von ernaehrungsstilen esu services.pdf34

Etude comparative sur les budgets alimentaires selon divers régimesL'étude, contrainte par les données statistiques disponibles sur les régimes dontl’écobilan a été évalué, considère essentiellement les produits bruts non transformés.Ainsi, les surcoûts dus au plats prés-cuisinés, aux friandises et aux repasconsommés à l’extérieur (hôtels, restaurants, invitations, etc ) ont été exclus del’étude, car l’évaluation environnementale des régimes par ESU-services écartait cesdenrées afin de se concentrer sur l’impact environnemental des matières premières.Périmètre de l'étudeL'étude reprend la typologie des régimes alimentaires selon leurs impactsenvironnementaux définie par le bureau ESU-services dans son étude Ökoprofil vonErnährungsstilen4. Pour établir cette typologie, ESU-services a tenu compte del’enquête sur le budget des ménages de 2011 de la Confédération et des produitsdisponibles sur le marché en 20135 (Union suisse des paysans) et les données de lafiche suisse des bilans alimentaires de FAOSTAT6 (Organisation des Nations Uniespour l’alimentation et l’agriculture FAO) de 2011.La provenance de toutes les denrées de l’étude est, si possible, suisse, notammentpour les produits exotiques qui ne sont pas cultivés en Suisse.Ces types alimentaires représentatifs des habitudes culinaires présentes en groupesd’alimentsparticulièrement impactant pour l'environnement. Un des facteurs importants de cettetypologie des régimes est la variation qualitative et quantitative dans le groupe desfournisseurs de protéines : viande, produits laitiers, œufs, protéines d’originevégétale.Les 6 types de régimes identifiés par ESU-services sont : végétalien (aucun produit d'origine animale) ovo-lacto-végétarien (avec produits d'origine animale excepté la viande) flexitarien (très peu de viande) carnivore (beaucoup de viande) FOODprints (nutritionnellement équilibré et à très faible impact écologique)Recherche mandatée par le WWFEnquête sur le budget des ménages : m.assetdetail.349158.html6 Bilans alimentaires FAOSTAT http://www.fao.org/faostat/fr/#data/FBS455

Etude comparative sur les budgets alimentaires selon divers régimes moyenne suisse (régime de référence est le régime standard en Suisse établit selonles moyennes statistiques effectives) 7La présente étude reprendra ces données par régime et en calculera le budgetalimentaire selon les différents régimes pour un adulte en Suisse sur une année. Lesdifférents modes d’alimentation et leurs contraintes environnementales ont étédéterminés par ESU-services pour le WWF. Les quantités achetées et la dépenseannuelle associée proviennent des calculs que nous avons opérés (voir tableau enpage 10-11 et 2.1. Prix pour les détails). Les 6 types de régimes identifiés par ESUservices et repris dans cette étude sont : végétalien (aucun produit d'origine animale) ovo-lacto-végétarien (avec produits d'origine animale excepté la viande) flexitarien (très peu de viande) carnivore (beaucoup de viande) FOODprints (nutritionnellement équilibré et à très faible impact écologique) moyenne suisse (standard en Suisse établit selon les moyennes statistiqueseffectives)8.Limites de l’étudeNotre étude est elle-même basée sur une autre étude, celle d’ESU-services dontnous pouvons mentionner déjà certains biais qui se répercuteront de fait sur notrepropre recherche : l’évaluation environnementale se base uniquement sur des denrées deproduction conventionnelle ; les fruits et légumes sous serre ont été inclus dans l’étude ; le fait de cuisiner, utiliser un four, un frigo, n’a pas été pris en compte ; les éléments gaspillés sont inclus dans les paniers achetés, sauf pour lesFOODprints (qui partent du prérequis qu’il existe un gaspillage minimal) ;Enquête sur le budget des ménages : m.assetdetail.349158.html8 Enquête sur le budget des ménages : m.assetdetail.349158.html76

Etude comparative sur les budgets alimentaires selon divers régimes les compléments alimentaires (vitamines et minéraux) n’ont pas été pris encompte dans le prix du budget, pourtant conseillés notamment pour lesrégimes végétaliens stricts.7

Etude comparative sur les budgets alimentaires selon divers régimesQuantités des denrées alimentaires par régime alimentaireCalcul des quantités par régimeL’étude menée par ESU-services donne des informations précises sur la quantité dechaque denrée achetée en fonction du régime alimentaire des individus. Le tableaufourni par cette société détaille plus précisément ces régimes alimentaires. Il s’agitd’idéaux-types représentant les principaux choix alimentaires observés en Suisse.S'il existe évidemment d’autres possibilités et habitudes de consommation, cettetypologie a l'avantage de définir des tendances, d'estimer leurs impacts et depermettre une comparaisonExemple du fichier Excel reçu par ESU-services (fichier en pièce jointe, utilisation àusage interne uniquement) :Tableau 1 : Exemple de la quantité d'aliment achetée par régime et par an, ici les légumes etles céréales. On voit que le carnivore mange moins de légumes, tandis que l’on achète moinsde pain à la boulangerie avec le FOODprints . (source ESU-services)La présente étude a agrégé ces données pour déterminer les aliments achetés enkilo par année, par une personne adulte, selon chaque régime sélectionné.Les données ont été distinguées selon leur différence significative de quantitéd'aliment achetée en référence à la moyenne suisse effective.8

Etude comparative sur les budgets alimentaires selon divers régimesLégendeRouge :quantité consommée supérieure à la moyenne suisseVertquantité consommée inférieure à la moyenne suisse:UnitéType de denréeMoyennesuisse FOODprints 3.32.91.3-Épiceskg0.71.40.90.80.4-Pain à la boulangeriekg63.963.963.963.963.936.5Farines et céréaleskg7.67.67.67.67.616.6Pâtes 55.55.56.3Pommes de 36.436.42.6Fruits diverskg60.875.975.968.530.675.0Viandes 0Tofukg0.17.84.0-Quorn3.9-15.7-7.85.7kg-Lait de sojal-Pois diverskgOléagineuxkg4.0Tous produits laitierskg139.70Huiles et beurrekg25.7AlcooliséeslJus de fruitlCafékgThékg0.70.70.70.70.7Eau minérale, en 075.075.075.013.0Eau du robinetkg619.0619.0619.0619.0619.0730.0Totaux hors boissons 019.019.019.020.99.09.09.09.09.05.0-Tableau 2 : les aliments achetés en kilo par année, par une personne adulte, selon lesdifférents régimes93.0-

Etude comparative sur les budgets alimentaires selon divers régimesLa consommation de fruits dans un régime végétalien est maintenue par rapport auvégétarien. La consommation de légumes, en revanche, est multipliée par 1,5 parrapport au régime végétarien et suit ainsi les recommandations alimentaires pour unstyle de vie végétalien.La consommation des fruits et légumes dans un régime végétarien est augmenté de25% par rapport à la moyenne suisse et se situe donc entre celle d'un régimevégétalien et la moyenne suisse.La consommation de fruits et légumes dans un régime flexitarien se situe entre celledu régime végétarien et la moyenne suisse.La consommation de fruits et légumes dans un régime carnivore est estimée demoitié inférieure à la moyenne suisse. La quantité d’origine animale (viande, œufs,miel) est significativement supérieure aux autres régimes et le double de la moyennesuisse.Les quantités de protéines sont équivalentes entre un régime avec ou sans viande.Dans un régime végétarien et végétalien, les sources de protéine sont leslégumineuses, les noix, le tofu, etc. (4 à 8 fois plus que la moyenne suisse). Dans unrégime carnivore, la source de protéine est la viande (double de la moyenne suisse).Dans un régime flexitarien, les sources de protéine sont un mix entre leslégumineuses (double de la moyenne suisse) et la viande (moitié de la moyennesuisse). La consommation de produits d'origine animale est sensiblement la mêmedans un régime flexitarien et FOODprints .La quantité de produits céréaliers, de matière grasse et de boissons est la mêmepour tous, sauf pour les FOODprints qui est significativement inférieure globalementde moitié.Globalement, tous les régimes alimentaires achètent leurs denrées alimentaires dansdes quantités plus ou moins équivalentes. Notons cependant que les quantitésachetées sont les plus faibles dans le régime FOODprints , optimisé par rapport aux10

Etude comparative sur les budgets alimentaires selon divers régimesbesoins physiologiques, et les plus grandes dans le régime végétalien qui nécessitede grandes quantités de légumes.Récapitulatifs des quantités par régimeLes chiffres des quantités de denrées alimentaires par régime se réfèrent aux achatsd’une personne adulte par année.Régime moyenne suissePour établir le régime moyen en Suisse, ESU-services s'est basé sur les quantitésproduites en Suisse en 2012 selon les statistiques de l’Union suisse des paysansAGRISTAT9. Celui-ci a été complété par d’autres données, notamment concernant laconsommation de boissons. Les pertes au niveau de la production agricole ont étésoustraites grâce aux données de l’Union suisse des paysans. La FRC a complétéces données par celles de l'enquête sur le budget des ménages de l’Office fédéral dela statistique (OFS) qui relève annuellement les dépenses et les revenus desménages privés en Suisse de manière très détaillée.Principales caractéristiques de la quantité consommée parQuantitépersonne par semaine.consomméeparpersonneparannée (en kg)1 kg de viande21 portions de produits laitiers578.83,5 œufspeu de protéines végétales1,4 kg de légumes0,8 kg de fruitsRégime végétalienLe régime végétalien est exempt de tout produit d'origine animal tel que la viandemais aussi les produits laitiers, les œufs, le miel. La source de protéine est végétale(tofu, légumineuses, )9AGRISTAT ations/agristat/11

Etude comparative sur les budgets alimentaires selon divers régimesPrincipales caractéristiques de la quantité consommée parQuantitépersonne par semaineconsomméeparpersonne par année(en kg)pas de viandepas de produits laitiers652. 3pas d’œufsprotéines végétales issues du tofu, légumineuses, etc deux fois plus de légumes que la moyenne suissedeux fois plus de fruits que la moyenne suisseRégime ovo-lacto-végétarienLe régime végétarien octo-lacto-végétarien est exempt de viande et de poisson maiscomporte des œufs, des produits laitiers ou du miel. Il est communément appelérégime végétarien.Principales caractéristiques dela quantité consommée parpersonne par semaineQuantitéconsomméeparpersonneparannée (en kg)pas de viande ni poisson21 portions de produits laitiers5944 œufsun peu de protéines végétales30% de légumes en plus que la moyenne suisse25% de fruits en plus que la moyenne suisseRégime flexitarienLe régime flexitarien est exempt de viande et de poisson plusieurs jours parsemaine. Il est aussi connu sous le nom de semi-végétarienPrincipales caractéristiques delaquantitéconsomméepersonne par semaineparQuantitéconsomméeparpersonneparannée (en kg)pauvre en protéines animales : 300 g de viande, 70 g de poisson21 portions de produits laitiers574.1trois œufs20% de légumes en plus que la moyenne suisse10% de fruits en plus que la moyenne suisse.12

Etude comparative sur les budgets alimentaires selon divers régimesRégime carnivoreLe régime carnivore se compose de beaucoup de protéines animales. Les produitsd'origine animales, et notamment la viande, est au centre de chaque menu. Les fruitset légumes sont consommés en faible quantité.Principales caractéristiques dela quantité consommée parpersonne par semaineQuantitéconsomméeparpersonne par année(en kg)beaucoup de protéines animales : 2 kg de viande21 portions de produits laitiers553.65,5 œufsdeux fois moins de fruits que la moyenne suissedeux fois moins de légumes que la moyenne suisseRégime FOODprints Le régime FOODprints a été proposé par la Société Suisse de Nutrition 10. D'unepart, il reprend les recommandations de la pyramide alimentaire sur les types deproduits et leur quantité à consommer en vue d'une bonne santé. Les quantités desaliments moins favorables à la santé sont réduites (alcool, friandises, boissonssucrées, ). D'autre part, le régime FOODprints préconise une alimentation durablecomposée de denrées alimentaires saines, respectueuses de l’environnement et desressources notamment par la gestion des dé

Pour établir cette typologie, ESU-services a tenu compte de l’enquête sur le budget des ménages de 2011 de la Confédération et des produits disponibles sur le marché en 20135 (Union suisse des paysans) et les données de la fiche suisse des bilans alimentaires de

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