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Les sœurs Deblois– Tome 4 –Le demi-frère

DU MÊME AUTEUR CHEZ LE MÊME ÉDITEUR :Les sœurs Deblois Tome 1 : Charlotte, roman, 2003Les sœurs Deblois Tome 2 : Émilie, roman, 2004Les sœurs Deblois Tome 3 : Anne, roman, 2005Les années du silence Tome 1 : La Tourmente, roman, 1995Les années du silence Tome 2 : La Délivrance, roman, 1995Les années du silence Tome 3 : La Sérénité, roman, 1998Les années du silence Tome 4 : La Destinée, roman, 2000Les années du silence Tome 5 : Les Bourrasques, roman, 2001Les années du silence Tome 6 : L’Oasis, roman, 2002Entre l’eau douce et la mer, roman, 1994La fille de Joseph, roman, 1994 (réédition de Le Tournesol, 1984)L’Infiltrateur, roman basé sur des faits vécus, 1996« Queen Size », roman, 1997Boomerang, roman en collaboration avec Loui Sansfaçon, 1998Au-delà des mots, roman autobiographique, 1999De l’autre côté du mur, récit-témoignage, 2001Les demoiselles du quartier, nouvelles, 2003Visitez le site web de l’auteur :www.louisetremblaydessiambre.com

LOUISE TREMBLAY-D’ESSIAMBRELes sœurs Deblois– Tome 4 –Le demi-frèreGuy Saint-JeanÉDITEUR

ISBNPDF9782894555552

À Alain, avec tout mon amouret une reconnaissancequ’il serait difficile de mettre en mots

Note de l’auteurCe matin, il fait très froid. La neige court sur la rivièregelée, poussée par un vent cinglant qui nous vient dunord. Le feu crépite dans la cheminée du salon et l’idée deme blottir sous une chaude couverture en compagnie d’unbon livre est très attirante. Malheureusement, je ne pourraipas le faire car, ce matin, j’ai de la visite. Les sœurs Debloissont ici, toutes les trois, dans mon bureau, et je crois qu’ellesattendent que je me tourne vers elles.Quand je les ai quittées, il y a de cela quelques semaines àpeine, l’atmosphère était à l’orage. Or je déteste les tensions,les discordes. Alors j’hésite à leur faire face. Mais qui d’autreque moi pourrait les aider à y voir clair ? Si je ne leur prêtepas mes mots, jamais elles ne pourront poursuivre leur destinée.Comme souvent, j’aimerais que le livre soit déjà écritpour n’avoir que le plaisir de le lire. Mais c’est impossible. Sije veux savoir ce qui va arriver à la famille Deblois, il ne mereste qu’une seule chose à faire. Je dois m’y mettre sanspenser à autre chose Voilà, j’y suis arrivée, je me suis retournée et je les examine tour à tour.Charlotte, Émilie, Anne Charlotte me dévisage en soupirant. Il y a de l’impatiencedans son regard et une bonne dose d’intolérance. Je peuxpeut-être saisir ce qui motive une telle colère. La vie n’a pas7

L ESSŒURSD EBLOIStoujours été très clémente à son égard. Pourtant, j’auraisenvie de lui retourner la balle. Moi aussi, à son égard, je ressens de l’impatience. J’ai hâte qu’elle fasse quelque chose desa vie amoureuse, car je ne suis pas de celles capables d’unelongue attente.Émilie, par contre, a les yeux baissés. On pourrait croirequ’elle est contrite, mais je sens qu’il n’en est rien. Elle dégage une tension palpable, dense à couper au couteau. Unrien la ferait exploser, j’en suis certaine. J’ai toutefois l’intuition qu’elle n’éclaterait pas pour les bonnes raisons. Va-telle enfin se décider à regarder les choses et les gens bien enface ? Il serait temps qu’elle enlève ses œillères et choisisse deredresser les épaules.Quant à Anne, elle se tient à quelques pas en retrait et fixeses deux sœurs, les bras croisés sur sa poitrine. Il y a en elleune détermination qui frôle l’opiniâtreté. Je n’ai aucuneidée de ce qu’elle pense, de ce qu’elle entend faire, mais touten elle indique qu’elle ira jusqu’au bout.Curieusement, c’est vers Anne que j’ai le plus envie de metourner. Le fait qu’elle soit encore une femme en devenir indique peut-être qu’elle a plus besoin d’aide que ses sœurs.Peut-être Avec Anne, on ne sait jamais. Mais chose certaine, c’est celle des trois sœurs que je connais le moins. Il ya tant de mystère en elle, d’indécision, de secret. Elle m’attire irrésistiblement et, par moments, j’aurais envie de resteruniquement avec elle.Malgré tout, j’ai le sentiment que toutes trois voudraientdire ce qu’elles ont sur le cœur maintenant, en même temps,pour être bien certaines que je vais leur laisser la parole.Tout dans leur attitude laisse croire que chacune voudraitque ce dernier tome lui appartienne. Comme si chacune8

Le demi-frèrevoulait que ses explications soient les bonnes et dirigent lereste de l’histoire !Mais ce n’est pas comme cela que la vie, la vraie vie, sepasse. Malgré les bonnes intentions et la meilleure volontédu monde, malgré les tentatives et les compromis, certainsévénements, certaines paroles nous échappent. Et c’est là,quand l’erreur est inévitable, quand les émotions nous ontportés au-delà des limites qui sont habituellement les nôtres, quand les routes arrivent à un tournant ou un croisement différent de ce que l’on avait prévu au départ, c’est à cemoment que les bonnes intentions se transforment enerreurs, en maladresses et que la bonne volonté se cachederrière la rancune, la colère, la haine.Malheureusement, la vie est aussi faite de ces émotionsmesquines et malsaines.Pourtant, Charlotte, Émilie et Anne savent fort bien queje déteste les guerres et les disputes. Elles savent aussi quej’aime les histoires qui se terminent bien. N’en déduisez pasque je parle ici d’une fin à l’américaine, le happy ending oùle bon l’emporte invariablement sur le méchant. Non, je n’ycrois pas, car je suis intimement persuadée qu’il n’y a ni bonni méchant. Dans la vie, il n’y a que des gens différents, particuliers, uniques, vêtus de mille et une nuances. Un peucomme Blanche que d’aucuns m’ont dit avoir détestée oucomme Raymond qui s’empêtre dans ses bonnes intentions,ce que plusieurs lui reprochent.Moi, je ne les méprise pas. Je ne les comprends pas toujours mais je ne les déteste pas.Voilà que je soupire à mon tour.Je perçois tellement de tensions entre les membres decette famille que je me demande s’ils vont finir par se9

L ESSŒURSD EBLOIScomprendre, par accepter ces différences qui pourraientpeut-être les unir. Ne dit-on pas que les contraires s’attirent ?Si au moins je pouvais les secouer un peu avant de poursuivre l’écriture de cette histoire ! Tous, du premier au dernier personnage, ils sont là près de moi dans une positiond’attente. Je peux les voir, mais je ne peux pas les toucher.Dommage. Je vais donc leur offrir ma plume pour s’exprimer. C’est le lien le plus vrai, le plus tangible que je peuxtracer entre eux et moi. Pourtant, Dieu sait combien j’aimerais pouvoir les haranguer parfois au même titre que j’aimerais être capable de les prendre dans mes bras. En effet, il mefaut le reconnaître, je les aime tous à travers leurs différenceset leurs particularités.Malheureusement, le contact se fait à sens unique. Si euxpeuvent me parler, moi, en revanche, je ne peux que lesécouter.Je reviens aux trois sœurs. Elles ont été le prétexte à l’écriture de ces romans, il est normal qu’elles en soient laconclusion. Pourtant, elles ne seront pas seules. Avec letemps, un autre personnage s’est glissé dans le trio dessœurs Deblois. Un personnage dont je n’avais aucunementprévu l’arrivée quand j’ai commencé à écrire cette histoire.Jason Le fils de Raymond, le demi-frère Bien qu’il se tienne encore en retrait, je sens qu’il sera trèsprésent le jour où il apprendra le secret qui entoure sa naissance. Et c’est à cause de lui qu’il y aura finalement quatretomes à cette histoire que je voyais comme une trilogie audépart.Charlotte, Émilie, Anne et maintenant Jason Les trois sœurs se sont approchées de moi et présentement, elles se tiennent derrière ma chaise et regardent par10

Le demi-frèredessus mon épaule. Je ferme les yeux, je me laisse envoûterpar leur présence, je mets mon cœur au diapason des leurset je prends ma plume.Voilà, c’est fait ! Le temps d’une longue inspiration et jesuis prête.Tout comme vous, je vais donc continuer mon chemin àleurs côtés en espérant de tout mon cœur que chacuned’entre elles saura fabriquer un bonheur à sa mesure et à saressemblance. Un bonheur qu’elles partageront avec ceuxqui les entourent, avec ceux qu’elles aiment. Un bonheurqui se vivra à travers les joies que la vie leur réserve etmalgré les difficultés dont chaque destinée est parsemée.11

PREMIÈREPA RT I EAutomne 1952 - Printemps 1953« Pour frayer un sentier nouveau,il faut être capable de s’égarer. »JEAN ROSTAND

CHAPITRE 1Le cœur a ses raisons Antoinette resta un long moment debout, à côté du téléphone, sans se décider à raccrocher. Illusion d’un lienréel avec Montréal, elle regarda longuement l’appareil,pressa le combiné contre son cœur en prenant une profonde inspiration avant de le déposer doucement.Novembre tirait à sa fin et Raymond n’était toujours pasde retour. Après ce qu’il venait de lui dire, Antoinette savaitmaintenant qu’un éventuel départ de Montréal n’étaitmême pas envisagé. Ni pour l’instant ni dans un avenir prévisible. Raymond s’en remettait à son avocat pour trouverune solution afin qu’il puisse entreprendre le voyage avecAnne. En attendant, il resterait à Montréal pour être auprèsd’elle.— Tu me comprends, n’est-ce pas ?Bien entendu, Antoinette comprenait. En fait, elle avaitpassé une longue partie de sa vie à essayer de le comprendre,cet homme complexe au cœur immense de générosité et derespect. Au cœur aussi grand que le nombre de ses indécisions et hésitations. Malgré cela, Antoinette l’aimait plusque jamais. Au bout du fil, elle avait senti sa fragilité, sa tristesse mais aussi sa détermination. Elle aurait tant voulu êtreauprès de lui alors que des centaines de milles les séparaientl’un de l’autre. Par contre, elle savait que Raymond avait lachance d’avoir à ses côtés André, cet ami, avocat de profession, à qui il vouait une confiance absolue, et madame15

L ESSŒURSD EBLOISDeblois qui, malgré son grand âge, restait une femme lucideet avisée. À défaut d’être elle-même présente, Antoinetteavait réussi à se convaincre que Raymond ne devait pas tropsouffrir de la solitude. Il pouvait compter sur l’amitiéd’André, l’affection de sa mère et la présence de Charlotte.Il y avait Anne, aussi.Face à leurs enfants, Raymond et Antoinette se ressemblaient. Il suffisait que l’une des sœurs ait besoin de son pèrepour qu’aux yeux de celui-ci tout le reste recule dansl’ombre. Pour le moment, Anne devait être au centre despréoccupations de Raymond, au centre de sa vie.Antoinette se dirigea vers le salon.Ce soir, elle avait fermé les tentures pour essayer de créerun isolant de plus contre la nature hostile qui se déchaînaità l’extérieur. Depuis quelques jours, il tombait une pluiefroide poussée par un vent qui venait de l’est et s’engouffraitlibrement dans la baie. La mer était houleuse et sombre.Même si les fenêtres étaient bien calfeutrées en prévision del’hiver, Antoinette entendait le rugissement des vagues quise fracassaient contre les récifs.La flambée qu’elle avait allumée en revenant du travail semourait lentement en une petite montagne de tisons rougeoyants. Antoinette s’en approcha, les bras croisés sur lapoitrine. Elle s’amusa un moment à regarder les braisesqui dessinaient une multitude de figures mouvantes sechevauchant les unes les autres, puis elle se pencha pourattraper une bûche qu’elle déposa dans l’âtre. Aussitôt unelongue flamme s’éleva et lécha le bois qui se mit à crépiter.Antoinette tendit impulsivement les mains devant elle pourles chauffer au-dessus du feu qui renaissait. Le froid qu’elleressentait n’avait pas uniquement à voir avec la température16

Le demi-frèreambiante. Elle se sentait frigorifiée jusqu’à l’âme. Elle restaainsi un long moment, à demi penchée, les mains tendues etles yeux mi-clos.En se retournant pour regagner le canapé, le regardd’Antoinette se heurta au piano.Le piano d’Anne.Une fine poussière blanche s’était déposée sur le noir duvernis.Depuis qu’Anne était repartie, personne n’avait faitchanter les notes de l’instrument. Tout comme Antoinette,le piano était en attente d’un retour « Ou peut-être en attente d’un départ », pensa-t-elle sansle quitter des yeux. Puis elle fronça les sourcils. Comment sefaisait-il que Blanche n’avait pas encore réclamé le piano desa fille ? Si elle avait bien saisi ce que Raymond lui avait dit,Blanche était persuadée qu’Anne était avec elle pour y rester.Comment pouvait-elle imaginer garder sa fille sans prendrele piano qui allait avec elle ? Comment Anne arriverait-elle àvivre sans sa musique ?Antoinette se laissa tomber sur le canapé, attrapa le tartande laine qu’elle avait retiré de la naphtaline depuis quelquesjours et l’enroula frileusement autour de ses épaules. Elleramena son regard sur le piano.Elle revoyait Anne très sérieuse, concentrée, les sourcilsfroncés quand elle répétait les pièces demandées par le professeur. Ou encore insensible au monde extérieur, la tête rejetée vers l’arrière, ses longs doigts courant sur le clavierquand elle improvisait des airs imprégnés de modernismecomme on en entendait de plus en plus souvent à la radio.Anne et la musique ne faisaient qu’un. Pour la jeune fille,c’était plus qu’une passion, c’était un mode de vie. C’était sa vie.17

L ESSŒURSD EBLOISAnne avait-elle eu la chance de recommencer à suivre descours à Montréal ? S’était-elle trouvé un autre piano ?Antoinette en doutait. Si Raymond n’en avait pas parlé,c’était que rien n’était arrivé. Et elle-même, trop déçue parl’annonce d’un délai indéfini avant le retour de Raymond,elle n’avait pas pensé à le demander.Elle pouvait facilement imaginer la jeune fille, recroquevillée sur elle-même, farouche comme au premier jour oùelle l’avait connue. Et dire que tout allait si bien depuisquelque temps. C’était trop beau pour durer.Antoinette avait fermé les yeux tout en pensant à Anne. Etpetit à petit, les notes qui avaient si souvent résonné dans samaison se substituèrent aux images. Elle les entendait aussiclairement que l’été dernier quand elle se trouvait sur lagrève et que, toutes fenêtres grandes ouvertes, la maison vibrait de musique. C’était une valse toute légère commeseule Anne savait les rendre joyeuses. Puis brusquement, ellevit Anne et Jason qui couraient sur la plage au rythme de lamusique. La lune montait doucement sur l’horizon et lamer brillait de mille diamants qui semblaient porter les pasdes deux jeunes. Anne et Jason dansaient sur les reflets delune qui montaient dans l’air de la nuit comme autant denotes. Puis son fils leva un bras pour lui faire signe et il semit à crier :— Viens, maman. Viens danser avec nous !La lune était de plus en plus ronde, de plus en plus lumineuse et les silhouettes de Jason et d’Anne dansaient de plusen plus vite. La voix qui appelait avait remplacé la musiqueet elle arrivait jusqu’à elle, claire et limpide, portée par ungrand vent venu de nulle part. La voix d’Anne se joignit ensuite à celle de Jason. Maintenant, ils étaient deux à l’appeler18

L ESSŒURSD EBLOISprésenté à elle bien plus par curiosité que par politesse. Ilvoulait savoir qui était la mère d’Anne. Il tendit la main.— Blanche, n’est-ce pas ? Moi, c’est Jason.— Je sais, mon garçon. Je sais qui tu es. Tu ressembles tellement à ton père, fit Blanche sans toutefois saisir la mainqui lui était tendue.Jason se mit à rougir.— Je ne voudrais pas vous déranger.Blanche balaya l’air devant elle comme on chasse unmoustique.— Au contraire. Je suis très heureuse que tu sois venu mevoir.Tout en parlant, Blanche se surprenait elle-même.Comment pouvait-elle être heureuse de rencontrer celuiqu’elle tenait en partie responsable des déboires de ces dernières années ? Pourtant, c’était un fait : elle avait envie demieux le connaître. Elle regarda autour d’elle. Ne voyant aucune chaise, elle montra l’herbe à ses pieds.— Et si tu t’assoyais ? Je crois que nous avons bien deschoses à nous dire. Après tout, tu es le demi-frère de mesfilles et ça, vois-tu, c’est de la toute première importancepour moi. J’aime bien connaître les gens que mes filles côtoient.FIN

DU MÊME AUTEUR CHEZ LE MÊME ÉDITEUR : Les sœurs Deblois Tome 1: Charlotte,roman, 2003 Les sœurs Deblois Tome 2: Émilie,roman, 2004 Les sœurs Deblois Tome 3: Anne,roman, 2005 Les années du silence Tome 1: La Tourmente,roman, 1995 Les années du silence Tome 2: La Délivrance,roman, 1995 Les années d

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