RAPPORT ANNUEL - BVG Mali

2y ago
53 Views
2 Downloads
3.35 MB
158 Pages
Last View : 11d ago
Last Download : 3m ago
Upload by : Bennett Almond
Transcription

République du MaliUn Peuple - Un But - Une FoiLe Vérificateur GénéralRAPPORT ANNUEL2016

1

AVERTISSEMENTLa Loi n 2012-009 du 8 février 2012 abrogeant et remplaçant la Loin 03-030 du 25 août 2003 instituant le Vérificateur Général au Malidispose en son article 18 que « Chaque année, le Vérificateur Généralélabore un rapport qu’il adresse au Président de la République, auPremier Ministre, au Parlement et à la Juridiction supérieure de contrôledes finances publiques. Ce rapport fait la synthèse des observations,analyses, critiques et suggestions formulées par le Vérificateur Généralpendant la période de référence. Le rapport annuel est rendu public etpublié au Journal officiel ».Le présent rapport annuel s’inscrit dans ce cadre. Il ne relate pas quedes constatations et recommandations issues des vérifications. Il vabien au-delà. Il se veut être un recueil d’information générale qui décritles activités fortes et les missions effectuées au cours d’une période.Il vise à informer l’opinion et les autorités nationales sur les tendancesqui caractérisent la gestion publique dans certains secteurs précis, à unmoment donné.Ainsi, les faits énoncés dans ce rapport annuel sont une synthèse etnon une compilation de l’ensemble des constatations relevées dans lesrapports individuels. Les vérifications, y évoquées, ont été conduitesdans le respect des normes internationales d’audit, notamment cellesde l’Organisation Internationale des Institutions Supérieures de Contrôledes Finances Publiques (INTOSAI) et en application des principes duGuide d’audit comptable et financier du secteur public approuvé parl’Arrêté n 10-1251/MEF-SG du 11 mai 2010 du Ministre de l’Economieet des Finances et des manuels de vérification du Bureau du VérificateurGénéral (BVG). Enfin, il convient d’indiquer que les termes techniquesutilisés dans le présent rapport sont extraits des manuels de vérificationfinancière et de performance du Bureau du Vérificateur Général (BVG)ou des documents officiels. Il s’agit, entre autres, de :Vérification financière :Elle a pour but d’apprécier la régularité et la sincérité des transactionsfinancières effectuées par l’entité vérifiée, ainsi que le respect desnormes, textes législatifs et réglementaires.Vérification de conformité :Elle se définit comme l’ensemble des travaux de collecte et d’analyseeffectués pour s’assurer que les opérations ont été exécutées dans lerespect des lois et règlements en vigueur.Irrégularités financières :Les irrégularités financières désignent, notamment, les transactions defraude et de mauvaise gestion.Fraude :Elle représente un montant dû, mais non perçu en raison notammentde vol, d’usage de faux, de détournement, de minoration de recettes,2

de non-reversement de sommes collectées, de dépense sans piècesjustificatives, de double paiement d’une prestation ou autres. Ce sontces faits frauduleux qui sont dénoncés, sur la base du rapport individuel–et non du rapport annuel- au Procureur de la République par leVérificateur Général. Le dossier de dénonciation comprend notammentl’acte de dénonciation, une note technique explicative des faits, le rapportindividuel de vérification et les pièces de corroboration concernantchaque fait susceptible de constituer une infraction à la loi pénale. Lesfaits de fraude ne font pas, généralement, l’objet de recommandationsdans le rapport annuel.Mauvaise gestion :Elle est relative aux pertes économiques imputables à la non-applicationde pénalités, aux dépenses sortant du cadre des activités de l’entitévérifiée, aux surcoûts découlant d’un manque de suivi des activités,aux avances non remboursées, aux décaissements provisoires nonjustifiés par la suite ou autres. A la différence des faits de fraude, ceuxde mauvaise gestion ne doivent pas connaître un traitement judiciaire.Ils se répartissent en deux catégories : les sommes pouvant faire l’objetde recouvrement et celles qui constituent des pertes sèches pour l’Etat.Les montants proposés au recouvrement sont identifiés par des signesd’Astérisque (*) dans les tableaux des irrégularités financières.Contrôle interne :Le Contrôle interne « est l’ensemble des dispositifs, organisés, formaliséset permanents, choisis par l’encadrement, mis en œuvre par lesresponsables à tous niveaux pour maîtriser le fonctionnement de leursactivités ». Les faits relevant du contrôle interne, quoique figurant dansle rapport individuel de vérification, ne sont pas dénoncés au Procureurde la République, car il s’agit de faits qui nécessitent, généralement, desmesures administratives.Outre les terminologies utilisées dans ce rapport annuel, il est à rappelerque la démarche rédactionnelle des synthèses qui alimentent lerapport annuel fait l’économie des référentiels et des travaux effectués,contrairement au style adopté pour les rapports individuels. En effet, dansles rapports individuels du BVG, conformément au guide de rédactiondes rapports, chaque groupe de constat est adossé à un entête de titreneutre suivi d’une constatation qui à son tour rappelle le référentiel violé,la démarche méthodologique et les techniques utilisées par la mission.L’approche ainsi décrite ne paraît pas indiquée pour la rédaction durapport annuel en raison de l’hétérogénéité de son public destinataire.Toutefois, lorsque la compréhension d’un constat nécessite la citationd’un référentiel il est alors mentionné brièvement.Il faut également noter que l’expression « code des marchés publics etdes délégations de service public » désigne le Décret n 08-485/P-RM du11 août 2008, modifié, portant procédures de passation, d’exécution etde règlement des marchés publics et des délégations de service public.Enfin, il est utile de signaler que les chiffres contenus dans le rapportannuel peuvent connaître des évolutions, lors du traitement des3

dénonciations par le BVG. En effet, de plus en plus les entités vérifiéescommuniquent des informations, données et documents qui n’ont pas puêtre pris en charge dans les rapports individuels de vérification en raisonde leur transmission tardive et après la finalisation desdits rapports. Ceséléments, lorsqu’ils sont pertinents, sont pris en compte par le BVG dansles actes de dénonciation au Procureur de la République. Ils peuventinfluer conséquemment sur les montants.4

MESSAGE DU VERIFICATEUR GENERALMe consacrant à ma mission légalement dévolue, j’aile plaisir de m’adresser pour la sixième fois aux acteursde la gouvernance de notre Pays en empruntant latraditionnelle voie de communication de l’Autorité quej’incarne et qui a pour vocation essentielle d’améliorerla gestion publique. Comme dans les rapportsprécédents, des secteurs importants ont été choisis,au titre l’année 2016, et les vérifications y effectuéesapportent suffisamment d’éclairage sur la gestiondes entités auditées. Ces vérifications ont concernédes aspects qui ont un lien étroit, soit avec la décentralisation, soit avecl’amélioration de la dépense publique ou de l’appui de l’Etat à certainsdomaines stratégiques comme l’énergie.Ainsi, tout en rencontrant fortement la vision et l’ambition que je préconisaispour le Bureau du Vérificateur Général à l’entame de mon mandat, le présentrapport annuel fait la synthèse de 15 rapports individuels de vérificationtouchant la gestion des collectivités territoriales, la gestion des crédits globauxou « charges communes », les opérations de dépense de certains servicescentraux stratégiques, comme la Direction Administrative et Financièrede la Primature ou la Direction des Finances et du Matériel du Ministèrede l’Economie et des Finances. Des domaines concernant directementles besoins prioritaires des citoyens, telle que la gestion des conventionset contrats d’exploitation d’électricité, ont également été abordés. Cesdifférentes vérifications ont révélé d’importants questionnements afférentsà la gestion publique.D’abord, il semble avoir une forte distanciation entre l’Etat central et lesCollectivités Territoriales du fait de la non-prise en compte suffisante duvolet contrôle administratif du processus de décentralisation. De touteévidence, la gestion des Collectivités Territoriales vérifiées laisse apparaîtrede nombreuses anomalies ne permettant pas de rassurer quant à unegestion adéquate de proximité des ressources propres et des ressourcestransférées mises à leur disposition. Dans cet ordre d’idées, les évolutionssubstantielles en cours, relatives à l’augmentation du pourcentage deressources allouées, la dynamique du transfert modulé des compétences,l’élection au suffrage universel direct des Conseils des CollectivitésTerritoriales, doivent être accompagnées d’un déploiement suffisant dusystème de contrôle interne de la décentralisation.Ensuite, une autre dimension regrettable est celle de la faiblesse del’archivage, dénoncée presque dans tous les rapports annuels du VérificateurGénéral, depuis plus d’une dizaine d’années. Elle entame sérieusementla diligence dans la mise à disposition des documents permettant aupersonnel de vérification d’apprécier convenablement la gestion publique.Dans tous les services publics vérifiés, les archives sont faiblement tenues.Bon nombre ont juste des dépôts où pièces d’archives, fournitures debureau et matériels obsolètes se côtoient. Dans certains cas, cette faiblessede l’archivage est volontairement orchestrée, à l’effet de dissimuler les5

tares d’une gestion catastrophique. Il est donc très souhaitable que desorientations soient portées à l’attention des responsables opérationnels parles Ministres ou autres ordonnateurs, au compte desquels les dépensessont engagées, afin de permettre au processus de vérification de gardertoute son objectivité. Aussi, faudrait-il à présent penser à une véritablepolitique d’archivage et mettre en place un mécanisme de suivi permettant,notamment la traçabilité de la gestion publique. La Primature et le Ministèrede l’Economie et des Finances, qui occupent une place prépondérante dansl’attelage gouvernemental et dont les Directions chargées des Financesont été vérifiées, doivent être des catalyseurs attitrés d’une telle politique,surtout que les principaux responsables ont témoigné sans réserve de leurdisponibilité et se sont heurtés aux obstacles des limites de l’archivagede leurs services concernés, en particulier au niveau de la Direction desFinances et du Matériel du Ministère de l’Economie et des Finances.Cette dégradation du système d’archivage, malgré les moyens innovantsqu’offrent les développements technologiques, est curieusement doubléeen général de la culture de plus en plus croissante du faux à laquellecontribue, souvent à son « corps défendant », le secteur privé. Lessimulations de concurrence, les achats et livraisons fictifs malgré l’existencede commissions de réception multipartites, l’inapplication de pénalités, lessurcoûts, etc. sont des illustrations parfaites de cette pratique tentaculairecontre laquelle aucune imagination fertile ne semble s’opposer.Enfin, ces vérifications ont démontré, outre la persistance des mauvaisespratiques au mépris de l’application du droit, les lacunes manifestes del’arrimage entre l’adoption de la politique de gestion axée sur les résultats,précédée de celle du contrôle interne, et la gestion des crédits globaux ou «charges communes ». Leur tendance haussière, leur caractère « fourre-tout» biaisant l’application de l’orthodoxie des finances publiques et les libertésprises dans la gestion de ces fonds questionnent largement la recherched’une optimisation de la dépense publique.Devant ce tableau moins reluisant de la gestion publique, il est néanmoinsheureux de constater que les citoyens, les organisations de la société civileet les partis politiques s’indignent de certaines pratiques de gestion. En effet,horrifiés par le comportement peu orthodoxe de certains gestionnaires etn’ayant pas voulu céder à la fatalité, ils ont choisi de dénoncer les attitudesqui pour eux sont en conflit avec les principes. Ce rapport annuel porte cesempreintes consciencieuses et citoyennes, qui combinées avec les saisinesdu gouvernement, montrent une véritable opposition entre les criminels àcol blanc et ceux qui désirent voir le Peuple malien profiter convenablementdes modestes ressources du Pays.De telles actions sont porteuses d’espoir surtout si elles rencontrentl’instauration de la paix et de la sécurité sur l’ensemble du territoire, toutechose qui permettra au Bureau du Vérificateur Général d’étendre sesactivités de vérification, notamment au Nord de notre Pays, bénéficiaire cesdernières années d’importants investissements.En perspectives, le Bureau du Vérificateur Général compte poursuivre lesraffermissements de ses liens de collaboration avec les pôles économiques6

et financiers, la Direction Générale du Contentieux de l’Etat, les partenairestechniques et financiers et les Organisations de la Société Civile. Sesactivités intégreront en 2017 des vérifications de performance dans dessecteurs cardinaux de la vie économique.Pour terminer, je voudrais remercier très vivement les plus hautesautorités de notre Pays qui ne ménagent aucun effort pour que le Bureaudu Vérificateur Général continue de remplir convenablement sa mission,ainsi que les services et organismes publics et privés pour leur contributionet leur collaboration. Ces remerciements s’adressent également auxcitoyens, aux acteurs de la Société Civile et aux partis politiques, quipar leur saisine, contribuent à circonscrire la délinquance économique etfinancière. C’est aussi le lieu de remercier les Partenaires Techniques etFinanciers, notamment la Coopération Canadienne et la Délégation del’Union Européenne, pour leurs appuis et accompagnements constants. Jevoudrais enfin, tout en adressant ma profonde reconnaissance au personneldu Bureau du Vérificateur Général, rendre un hommage particulier à noscollègues qui ont rendu l’âme par la grâce divine au cours de l’année 2016.Le Bureau leur sera éternellement reconnaissant pour leur contribution dequalité à l’atteinte des objectifs assignés.Bamako, le 27 novembre 2017Le Vérificateur GénéralAmadou Ousmane TOURECommandeur de l’Ordre National7

8

LISTE DES orité Administrative IndépendanteAppui Direct à l’Amélioration des Rendements ScolairesAcadémie d’EnseignementAgence Nationale d’Assistance MédicaleAgence Nationale d’Investissement des Collectivités TérritorialesAutorité de Régulation des Marchés Publics et des Délégations deService PublicBordereau d’EmissionBrevet de TechnicienBureau du Vérificateur GénéralCellule d’Appui à l’Informatisation des Systèmes Financiers etFiscauxCaisse Nationale d’Assurance MaladieCentre d’Animation PédagogiqueConseil de Cercle de KoulikoroCommissariat au Développement InstitutionnelCode Général des ImpôtsComité de Gestion ScolaireContrôle Général des Services PublicsCentre Hospitalier UniversitaireComité Militaire de Libération NationaleConditions Particulières du ContratConseil Supérieur de l’AgricultureCentre de Santé de RéférenceCollectivités TerritorialesDirection d’Académie d’EnseignementDirection Administrative et FinancièreDossier d’Appel d’OffresDirection des Finances et du MatérielDocument Cadre de Politique Nationale de DécentralisationDirection Générale du BudgetDirection Générale des DouanesDirection des Grandes EntreprisesDirection Générale des ImpôtsDirection Générale des Marchés Publics et des Délégations deService PublicDirection des Moyennes EntreprisesDirection Nationale des Collectivités TerritorialesDirection Nationale des Domaines et du CadastreDirection Nationale du Trésor et de la Comptabilité PubliqueDonnées Particulières de l’Appel d’OffresDirection Régionale des Douanes9

r du Service Financier et ComptableÉtablissement Public HospitalierFranc de la Communauté Financière AfricaineFonds d’Etudes et de RecherchesFonds de Garantie pour le Secteur Privé du MaliHors TaxesImpôt sur les Bénéfices Industriels et CommerciauxImpôt sur les SociétésNormes internationales d’audit (International Standards on Auditing)Impôt sur les Traitements et SalairesLaboratoire Central VétérinaireMinistère de l’Administration Territoriale et des Collectivités LocalesMinistère du Développement RuralMinistère de l’Economie et des FinancesMinistère de l’Education NationaleMinistère chargé de l’Enseignement SupérieurNuméro d’Identification FiscalOrdre de ServiceProgramme d’Appui aux Communes Urbaines du MaliPlan d’Actions Gouvernemental pour l’Amélioration et la Modernisationde la Gestion des Finances PubliquesPlan de Développement Economique Social et CulturelPaierie Générale du TrésorProgramme de recherche sur les Maladies InfectieusesProgramme de recherche sur les maladies métaboliques et despesticidesProduit National BrutPays Pauvres Très EndettésProgramme de recherche sur les affections parasitaires et lutte antivectorielleLogiciel de suivi de l’exécution budgétaire «Programme de RéformeEconomique pour le Développement»Projet de Gestion Durable du Bétail Ruminant EndémiqueProcès-VerbalProcès-Verbal de RéceptionRecette Générale du DistrictRecensement Général de la Population et de l’HabitatRecettes Perçues avant Emission des OrdresSecrétariat GénéralTaxe de LogementTrésorier Payeur RégionalToutes Taxes ComprisesUnion Economique et Monétaire Ouest Africaine

sommaireLISTE DES SIGLES.9sommaire.11INTRODUCTION.13Environnement. 14Principales réalisations. 14Nature des missions et domaines couverts. 16Saisines. 16Respect du Principe du Contradictoire. 17Faits saillants du rapport annuel 2016. 17SYNTHESES DES MISSIONS DE VERIFICATIONEFFECTUEES . .23Gestion des Charges Communes .251.1. Opérations de dépenses effectuées sur les Charges Communes Direction Générale du Budget. 26Operations de depenses des DAF et DFM . 352.1. Opérations de dépenses effectuées par la Primature . 362.2. Opérations de dépenses effectuées par la DFM du Ministèrede l’Economie et des Finances . 462.3. Opérations de passation, d’exécution et de réglement du marche rélatifa l’acquisition de 1000 tracteurs et accessoires effectuéespar la DFM du Ministère du développement rural . 562.4. Opérations de dépenses effectuées par la DFMdu Ministère chargé de l’Enseignement Supérieur . . 61Operations de recettes et de depenses des CollectivitesTerritorriales. 713.1. Opérations de recettes et de dépenses effectuéespar la Commune Urbaine de Koulikoro. 723.2. Opérations de dépenses effectuées par la Collectivité Cerclede Koulikoro . 823.3. Opérations de dépenses effectuées par la Collectiv

RAPPORT ANNUEL 2016 Le Vérificateur Général. 1. 2 . le Vérificateur Général élabore un rapport qu’il adresse au Président de la République, au Premier Ministre, au Parlement et à la Juridiction supérieure de contrôle des finances publiques. Ce rapport fait la synthèse des observations, .

Related Documents:

Rapport statistique – Fonction publique hospitalièr e 2009 . PRESENTATION DU RAPPORT HOSPITALIER DE LA BND 2 Caisse des dépôts- Etablissement de Bordeaux – PPGE1 – Rapport annuel BND 2009 – oct.11 . PPGE1 – Rapport annuel BND 2009 – oct.11 % trajet % %. % CNRACL % % i % % % %. .

Rapport statistique – Fonction publique territorial e 2009 . PRESENTATION DU RAPPORT TERRITORIAL DE LA BND 2009 2 Caisse des dépôts- Etablissement de Bordeaux – PPGE1 – Rapport annuel BND 2009. . Rapport annuel BND 2009 % 133,9. 3. % Jours % 4. %

RAPPORT ANNUEL 2016-2017 OTTIAQ 3 2 TABLE DES MATIÈRES Raison d’être, mission, vision, valeurs et logo 4 Lettres de présentation 5 Rapport du président du conseil d’administration 7 Rapport des activités du conseil d’administration (article 5) 10 Rapport des activités du comité sur la réserve d’actes 16

RAPPORT FINANCIER ANNUEL 2016 RAPPORT FINANCIER ANNUEL 2016 07 ACTIFS nombre de clients au 31/12/2016 nombre de 210 646 clients suivis par conseiller formé 156 33 % actions obligations 22 % fonds en euros 18 % 16 % SCPI 11% monétaire orientation des actifs administrés (en pourcentage) au 31/12/2016 collecte commerciale globale en millions d .

Rapport Annuel 2008-2009 - 1 - TABLE DES MATIÈRES . A la lecture de ce rapport annuel, vous aurez l'occasion de voir que le rôle primordial de . Le Colloque CRM-ISM-GERAD de statistique suit le même formule que le colloque de mathématiques, attirant chaque vendredi des conférenciers en statistique de .

4 RAPPORT ANNUEL DE GESTION 2009-2010 Québec, septembre 2010 Monsieur Laurent Lessard Ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation 200, chemin Sainte-Foy Québec Monsieur le Ministre, La Commission de protection du territoire agricole du Québec vous présente son rapport annuel de gestion pour l’exercice 2009-2010.

4 20152016 Rapport annuel Juin 2016 L’honorable Geoff Regan, député Président de la Chambre des communes Ottawa (Ontario) K1A 0A6 Monsieur le Président, J’ai l’honneur de présenter au Parlement, conformément à l’article 38 de la Loi sur l’accès à l’information, le rapport annuel

DEGREE COURSE: DATE OF BIRTH: FOR TEST SUPERVISORS USE ONLY: [ ] Tick here if special arrangements were made for the test. Please either include details of special provisions made for the test and the reasons for these in the space below or securely attach to the test script a letter with the details. Signature of Invigilator FOR OFFICE USE ONLY: Q1 Q2 Q3 Q4 Q5 Q6 Q7 Total. 1. For ALL .