Economie Verte, Histoire Et Définitions

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1N 185 Mars 20131.2- Histoire d’une idée4.1- Modèles de développementEconomie Verte, histoire et définitionsRésuméLa notion d’ « économie verte » a été de plus en plus largement employée sur la scène internationale depuisquelques années, jusqu’à la récente Conférence des chefs d’Etats dite de Rio 20 où les controverses qu’elle asuscitées ont égalé son succès rhétorique. L’un et l’autre se comprennent en cette période de crise économique etfinancière. L’apparition du terme, sa sacralisation par l’ONU et plusieurs instances internationales, son adoptionpar nombre d’Etats membres au moins comme élément de langage labellisé, sont strictement contemporains audésordre accentué qui sévit sur la planète depuis quatre ans.Cet article revient sur l’histoire de cette notion récente et décrypte ses différentes acceptions.Il est extrait du rapport de l’Association 4D, Pour une économie écologique et équitable, coordonnée et rédigée parAna Hours et Catherine Lapierre, co-rédigée par Pierre Grison, Michel Mousel et Vaia Tuuhia.Cette publication a été commandée par la CFDT dans le cadre de l’Agence d’Objectifs de l’IRES.Mots-clés associésEconomie verte modèle de développementAuteursMousel, MichelMichel Mousel a exercé ses activités professionnelles dans les domaines de l’administration économique etfinancière et dans celui l’environnement – en dirigeant notamment la Mission Interministérielle de l’Effet de Serre(1997–2002) ; il a également assumé des responsabilités syndicales, politiques et associatives. Il a fondél’association 4 D en 1993 et en a été longtemps le président. Il a également été Président du Comité français pour leSommet mondial du développement durable de Johannesburg en 2002.Hours Anaest chargée de mission à l’Association 4D, anime l’Encyclopédie du développement durable et est chargéed’études.Lapierre, CatherineIngénieur de l’École centrale des arts et manufactures, économiste. Elle est administratrice de 4D et membre dusecrétariat de rédaction de l’Encyclopédie du développement durable.Sommaire A. Une simple reformulation du développement durable ?B. Deux histoires d’intégration conflictuelle dans l’économieC. L’économie verte comme réponse à la confrontation aux limites et aux risques (.)Bibliographie

---A. Une simple reformulation du développement durable ----’invention du terme d’ « économie verte » par leProgrammedesNationsUniespourl’Environnement en 2008 visait « une économieporteuse d’amélioration du bien-être humain et del’équité sociale tout en réduisant de manièresignificative les risques environnementaux et lapénurie de ressources ». Reproduite quasi mot àmots dans son nouveau rapport d’ensemble dedécembre 2011, qui servit de base aux préparatifs duSommet de Rio 2012 [1] , on peut considérer cettedéfinition comme la plus aboutie et exhaustive par sonétroite parenté avec le concept de développementdurable tel qu’il s’est forgé depuis 1985, tout encherchant probablement à faire usage d’unesémantique plus communicante. Elle permuteopportunément (dans son contexte historique) l’ordred’énonciation des trois volets du triptyqueéconomique/social/écologique sans paraître n’ennégliger aucun ; mais rien n’écarte non plus le risqued’interprétations minimales comme cela s’estabondamment produit pour le développement durable.L’usage abusivement publicitaire du qualificatif« vert » n’est pas neuf et ne prédispose pasnécessairement à accueillir avec bienveillance lesintentions de ceux qui l’emploient. Exactement, à vraidire, comme celui de « durable » bien que dans le casprésent s’ajoutent des soupçons de peinture oucamouflage ou de marketing, amplifiés par l’usageimmodéré du « verdissement » [2] , ou l’ironie du« greenwashing » que ne méritent sans doute pas lespromoteurs de l’économie verte. Ceux-ci s’inscriventdans la continuité des préconisations antérieures enfaveur d’emplois de la même teinte [3] générés par unsurcroît de vertu écologique du monde de l’économie,spontané ou commandé. Les termes employéssuggèrent donc qu’on anticipe une réorientation ouune conversion de l’économie ayant pour finalité letraitement de la crise écologique, mais avec comme« produit fatal » celui de la crise sociale quis’accentue. Ainsi, dès sa naissance, la notiond’économie verte fut associée au souci de sortie decrise. Mais non sans visions très contrastées. Qu’ellesoit perçue comme un relais de croissance propice à lacréation d’emplois et à la lutte contre ladésindustrialisation grâce à une nouvelle générationde filières propres mais concurrentielles , ou que accompagnant un effort de sobriété, ouencore comme porteuse d’une redéfinition plus enprofondeur de notre modèle de développementl’économie verte peut recouvrir des stratégiesLdifférentes voire contradictoires de la part desdifférents acteurs.La difficulté rencontrée par le Secrétariat Général del’ONU pour dépasser ces fractionnements et trouverd’autres consensus que purement verbaux a ététraduite par l’expression-mascotte consommée adnauseam à Rio 20 jusque dans le document finaladopté par l’Assemblée Générale le 27 juillet dernier« L’avenir que nous voulons » : “a green economyin the context of sustainable development andpoverty eradication ”. Ainsi trouve-t-on par exempleau § 56 ce modèle de périphrase “circulaire” : “Laréalisation d’une économie verte dans le contextedu développement durable et de l’éradication de lapauvreté est un des moyens précieux dont nousdisposons pour parvenir au développement durable ».Au-delà de la tautologie, le problème de fond est bienidentifié : l’économie verte prétend engloberl’ensemble d’une transition vers le développementdurable, mais en même temps elle n’en est qu’unepartie, et comme il faut bien se référer à un volet« social » bien mal en point, l’éradication de lapauvreté est invoquée de façon quasi liturgique. Celan’a pas échappé à l’OIT qui, le 31 mai 2012, à laveille du Sommet écrit : « Il nous faut d’urgenceadopter une approche du développement durable quiplace les gens, la planète et la justice au cœur duprocessus politique. C’est tout à fait possible, maisl’économie verte n’est pas, par nature, ni inclusive nidurable d’un point de vue social. Pour tirer le meilleurparti des opportunités et parvenir à une juste transitionqui maîtrise les risques, des politiques sociales et demarché du travail doivent compléter les politiqueséconomiques et environnementales. » [4] .En France, tout en se référant à l’économie verte neserait-ce que comme élément de langage introduit parle Secrétariat de la Conférence, le CollectifRio 20 [5] émis des réserves analogues et regretté, enpremier lieu, la faible attention accordée aux objectifssociaux. « Cette notion est plus restrictive que cellede développement durable, puisqu’elle ne mentionnepas explicitement des objectifs sociaux, renvoyantseulement à un changement de modèle technologiquepour certains acteurs. Mais le changement decivilisation à réussir ne peut être limité à unetransformation technologique, aussi nécessaire soitelle ». Cette notion est donc à remplacer par celle detransition écologique et sociale. Et il y a urgence. Rio2012 doit se situer dans les pas de Rio 1992, à savoir

3dans une volonté politique d’aborder conjointementenvironnement et développement.Trois fausses solutions doivent être absolumentévitées : Définir l’économie verte comme la recherchede nouveaux moteurs de croissance quimodèrent les crises environnementales. Cettedéfinition contournerait les inégalités socialeset ne constituerait pas une option dedéveloppement durable dans ses différentescomposantes. Il s’agirait en quelque sorted’un sursaut du système économique entales de manière localisée ;Construire avec l’économie verte un modèleéconomique et technologique qui ne répondepas aux attentes de développement pour lespopulations pauvres et précarisées, qui en ont le plus besoin ; en clair, il s’agirait d’un modede développement qui creuserait les inégalitéspar un rationnement et une hausse des prix ;Concevoir une économie verte qui se traduiseen pratique par un accroissement de lapression sur la nature et un niveau plussophistiqué d’artificialisation, par unemarchandisation accrue des ressourcescommunes, avec le recours notamment auxtransformations génétiques [6].Cet ensemble de réserves, auxquelles s’en ajouterontd’autres, chemin faisant, n’exprime pas simplementune défiance de principe : elles sont le fruit del’expérience, d’abord de la puissance des freins quipeuvent paralyser l’intégration des exigencesécologiques dans l’économie depuis la seconde moitiédu 2Oème siècle, puis du mépris explicite ou passifopposé à la composante sociale du développement.Bref retour sur ---------------B. Deux histoires d’intégration conflictuelle dans ---------------1. D’une confrontation conflictuelleéconomie et environnement.entreL’ intégration de l’économique et du social,un combat inachevé du XXème siècle.La poursuite de la Révolution Industrielle au début duXXème siècle a permis, d’abord en Europe, uneconsidérable accélération de la création de richesses,avec une multiplication par 5 à 10 du taux decroissance économique des pays qui en bénéficiaient.C’est là une évolution inédite dans l’histoire. S’estalors vite posé la question brûlante de la répartition decette richesse. Pendant plus d’un siècle, une dureconfrontation a opposé les responsables économiqueset les travailleurs salariés sur la répartition des fruitsde cette croissance. Un conflit qui vu la force brutaleutilisée pour briser les grèves.Progressivement, un compromis s’est construit, àtravers la mise en place de processus denégociation, la reconnaissance du droit de grève,l’accès du plus grand nombre à de meilleuresconditions de vie, la création de systèmes deprotection sociale et de régimes de retraite. Unevision nouvelle du développement a ainsi émergéavec l’accès à une consommation de masseassociant prospérité économique et mieux-êtresocial. C’est dans les démocraties occidentales que cecompromis a avancé le plus loin, appuyé sur lesthéories et doctrines économiques nouvelles nées dansla crise de 1929 (Keynes, Beveridge, New Deal) etprêtes à prendre le relais de la reconstruction après laguerre. Il a été qualifié de « social-démocrate » parceque pour la plupart, ou la plupart du temps [7] mis enœuvre par des gouvernements de cette famille ousoutenus par des alliances syndicats-partis de typetravailliste (ou encore les deux).Ce compromis s’est souvent révélé précaire, mais estparvenu à se renouveler jusqu’à ce qu’il soit de plusen plus radicalement mis en cause par le mouvementde « Contre-Réforme » qui déferle sur l’économiemondiale dans le dernier quart du siècle. Les« sentiers de croissance » associant prospéritééconomique et développement social sont abandonnésdans les pays industrialisés et ne sont pas ouverts dansles pays émergents. On assiste à une réductionrégulière et difficilement réversible des systèmes deprotection sociale. Parallèlement, on constate partoutun creusement des inégalités sociales : de plus en plusde personnes sont sans ressources, sans perspectives,acculées à une survie quotidienne. Avec souvent pourtraduction, la radicalisation politique et religieuse et lamontée de la violence. Les peuples longtempsmarginalisés comme fournisseurs de matièrespremières ou de main d’œuvre, exclus du compromisdu « welfare state », reviennent ainsi en boomerangsur la scène mondiale.

4Cependant, les premiers symptômes de criseécologique viennent questionner une société qui sereprésentait mue par deux facteurs de production,le capital (finances, stocks et machines) et letravail. Les ressources naturelles supposées sanslimite globale étaient ajustées dans leurdisponibilité par une régulation de typeimpérialiste (guerres, colonisation, domination desmarchés dans le cadre d’une mondialisationengagée bien avant l’invention du mot). Puis estvenu le temps des limites.L’irruption de la question environnementaleet son intégration.Depuis les années 70, une nouvelle donne estintervenue : la dégradation de l’environnement et leconstat de la finitude des ressources, à commencer parle pétrole. Dès le départ, la prise en compte del’environnement s’est faite dans le conflit. Cespréoccupations ont été opposées aux difficultés desecteurs économiques exposés à une viveconcurrence et à une mise en péril des emplois.Ainsi, les acteurs économiques et sociaux ont-ilscraint que la prise en compte des questionsécologiques ne réduise la croissance économique et neremette en cause un compromis économique et socialsi difficilement obtenu précédemment. Pourtant, lespopulations les plus précaires sont aussi celles quisontlesplusvictimesdesimpactsenvironnementaux et sanitaires.Ce sont ainsi les deux termes du précédent compromisqui ont été potentiellement déstabilisés par l’entrée enscène de la question écologique. Il n’est pas rare queleur coexistence dans les projets nationaux ouinternationaux soit considérée comme concurrentielle,voire antinomique, selon les intérêts ou les opinionsqui défendent l’une ou l’autre comme prioritaire. Cefut l’une des raisons de la paralysie du Sommetintermédiaire entre Rio 1992 et Rio 2012 àJohannesburg. En même temps s’est forgée l’intuitiond’une analogie avec le récit, résumé ci-dessus, desrapports complexes entre les domaines économique etsocial où ce dernier est à la fois rejeté commecontraire à une conception dominante de l’efficacitééconomique, et reconnu comme « facteur deproduction » .Cette fois, c’est l’attention portée aux limites desressources qui entraîne la question de l’intégrationde l’écologie sur le terrain des « facteurs deproduction » en opposition au déni de lajustification des coûts et contraintes du respect denormes environnementales. Le rapport Brundtlandde 1987 « Our common future » énonce clairement lacertitude que l’environnement constitue la base deressources du développement économique. C’estévident dans les pays agricoles ou forestiers, dans lespays industrialisés où les territoires dégradés parl’industrialisation voient les activités économiques lesfuir, cela l’est également partout où les ressourcesnaturelles corrompues perdent leur rôle de facteur deproduction. Toutefois dans sa définition dudéveloppement durable le rapport ne perd pas de vuela nécessité d’une réponse équitable aux besoinshumains, ce qui ne sera pas toujours souligné dans lessuites immédiates et cela d’autant moins que lesystème ONU scinde après le premier Sommet de laTerre les sujets concernés en deux branches, celle desobjectifs (sociaux) de développement et des politiques(économiques) de développement durable proprementdit .Cette seconde phase d’intégration dans l’économie,celle de l’écologie, est encore balbutiante. Pour lemoment, les situations les plus contrastées cohabitent.Des producteurs qui s’arc-boutent sur le déni de risqueécologique, le « doute méthodologique » fait bonménage avec l’attentisme le plus passif ; d’autresacteurs se contentent d’une réduction des pollutionssous contrainte réglementaire ou fiscale sans changeren profondeur leur modèle de développementcependant que d’autres se convainquent plus ou moinsprogressivement d’économiser les ressources,généraliser le recyclage, concevoir leurs produits etleurs services dans une profonde démarche d’« écoconception », etc. Les avancées sont ainsipalpables, laissant présager un processus progressifd’intégration comme celui obtenu après deux sièclesde luttes dans les pays développés. L’implantationd’activités pouvant engendrer risques et pollutionsfont maintenant l’objet de conflits dans beaucoup depays : les procédés les moins polluants font souventpoids dans les négociations. S’ils ne sont pas toujourspréférés, ils permettent au moins une interpellationpublique et une visibilité du problème relayée àl’international.Même si pour le moment les progrès réalisésn’inversent pas la tendance à la dégradation del’environnement, au changement climatique, à ladiminution de la diversité biologique et à l’épuisementdes ressources, les esprits évoluent et c’est cela aussiqu’exprime le terme d’économie verte. La nouveautéréside sans doute dans le passage entre unenvironnement compris comme une contrainte à lareconnaissance d’une réelle opportunité. Du côté desEtats et en particulier des anciens Etats industriels enproie aux crises économique, financière et sociale,l’économie verte acquiert sa légitimité d’abordcomme recours face à la désindustrialisationprogressive et au chômage de masse. Du côté desentreprises, elle peut être l’objet d’une acceptationparadoxale car, si elle est synonyme de contraintesréglementaires contestées, elle est égalementsusceptible d’être perçue comme un moteur pourl’innovation voire la conquête de nouveaux marchéset favoriser la compétitivité.

52. Des acceptions très diverses qui questionnentle rapport à la croissance et à l’emploi.Les réponses de l’économie à la pression del’environnement évoluent par glissements successifset rendent bien compte de l’intensification de leurintégration réciproque. Le sens historique de cesglissements peut être analysé selon deux critèresprincipaux : L’intensité de la remise en cause du modèleéconomique antérieurLa place du « social » dans la mutation dumodèle économiqueL’étendue de la conversion du modèleéconomique* La conversion a minima : chasse aux pollutionset emplois verts.On s’est d’abord occupé de faire le ménage, de mettredes rustines et de serrer des boulons, Ces politiquesenvironnementales, centrées sur la réduction despollutions et nuisances, ont été à l’ordre du jour destrois dernières décennies du siècle précédent enEurope et en Amérique du Nord. Dans certains caselles ont commencé à engendrer des activitésindustrielles spécifiques (eau, énergie, déchets) ellesmêmes préfigurant l’apparition d’un nouveau typed’emplois ou l’évolution de certains autres. Cettetendance allait ensuite s’accélérer, sans prétendreinfléchir le cours et les modalités de la croissancealors consensuelle. Elle se révèle cependantparticulièrement insuffisante pour la lutte contre lechangement climatique dont la prise en comptepoussera vers une nouvelle étape. .Le dépassementdes politiques résumées ci-dessus s’effectue d’aborden introduisant, dans le circuit productionconsommation, des segments d’activité susceptiblesde réduire son empreinte écologique. Selon lePNUE [8] , il s’agit d’« emplois ( ) qui contribuentà la préservation ou au rétablissement de la qualitéde l’environnement ». Ils peuvent être identifiés danstous les secteurs de l’économie, et se diffuser danstous les métiers.Deux écoles pour intégrer la dimension environnementale dans l’économieLa notion d’économie verte n’a pas de définition ferme dans la théorie économique. Si la prise en compte de lanature a fait l’objet de réflexions de natures diverses dès le XVIIIème siècle avec les travaux des physiocrates puisde Malthus, ce qui est devenu depuis le « capital naturel » a longtemps été largement ignoré. C’est à partir desannées 70, dans un contexte de chocs pétroliers et de prise de conscience écologiste que la rencontre entre questionenvironnementale et économique va se préciser. C’est une relation au départ éminemment conflictuelle puisquel’activité économique est abordée sous l’angle de l’épuisement des ressources naturelles mais également desrisques de pollution de l’environnement.L’économie de l’environnement est une réponse à cette recherche de prise en compte du capital naturel dansl’analyse économique. Elle envisage la relation entre l’économie et l’environnement de façon double, d’une part enconsidérant que la production est dépendante des ressources naturelles, d’autre part en reconnaissant l’impactnégatif (pollutions) que cette production génère sur l’environnement. L’économie

venu le temps des limites. L’irruption de la question environnementale et son intégration. Depuis les années 70, une nouvelle donne est intervenue : la dégradation de l’environnement et le constat de la finitude des ressources, à commencer par le pétrole. Dès le départ, la prise en compte de

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